P'tin mais c'est dingue la communauté de jeuxvideo.com

Ce jeu a été développé par un gars qui était tout seul, il a fait les graphismes ET la programmation.
Quand on est un développeur indépendant on PEUT PAS se payer des moteurs graphique.

Vous êtes tous des artistes ici pour juger le travail d'une personne?

Excellent jeu

Addictif, surprenant, original, Paper please a tout pour plaire, la langue ne nous interesse pas vraiment car cest de langlais de 6 eme , pas besoin de parler anglais a par pour lire les missions du jour, une vrai petite perle !

Parfait, les graphisme sont accrocheur, la bande son est bonne, le scénar' déchire et cette ambiance est péché tellement elle est bien, les nouvelles règles qu'il y a chaque jours, la peur de se faire chopper, l'empressement de sauver notre famille etc.

Tout est parfait, reflète très bien les régime communiste d'autre fois

Bon, je me suis laissé tenter par ce petit jeu indépendant qui fait tant parler de lui.

Globalement, ce fut une très bonne surprise.
Le côté Oldies apporte un charme évident au jeu et colle bien avec l'univers soviétique du jeu.

Le gameplay est super bien foutu et on se surprend à devenir un agent inquisiteur du régime en travaillant avec beaucoup de zèle.

La progressivité des difficultés est vachement bien foutue et le maniement bien que complexe colle bien à l'esprit administratif du jeu.

J'ai par contre quelques doutes sur la rejouabilité du titre.

Mais bon, finalement 6 heures de jeu pour quelques euros... C'est plutôt un bon investissement.

Et ça fait du bien de retrouver des jeux qui misent avant tout sur une idée.

Meilleur jeu indé que j'ai testé depuis longtemps. Le concept peut rébuter au début si l'on pense a sa monotomie mais il n'en est rien, le jeu vous tient en haleine a l'aide de ses fins differentes et de ses personnages. A tester a tout prix au moins en démo.

OMG ce jeu est vraiment dur ^^ mais c'est vrai qu'il offre une certaine dimension à un jeu de frontières avec une ambiance bien respectée. Des personnages attachants. On ne sait pas trop s'ils bluffent ou non en parlant, les interroger c'est tout un art ^^ attention toutefois à ceux qui ne sont pas a l'aise avec l'anglais !!

Papers please est ce qu'on appelle un très bon jeu indépendant, très peu de soft de ce type ( ou de soft tout court) permettent de faire autant réfléchir le joueur, car oui, Papers, please, nous pousse dans la peau d'un pauvre prolo, vivant dans une Dictature communiste du nom d'Arstotzka ( Navré s'il y a un problème dans l'orthographe ) affecté à un poste de garde frontière et qui moyennant un salaire de merde doit faire preuve de beaucoup de perspicacité et faire face à des choix moraux très difficiles pour pouvoir subvenir aux besoins de sa famille de 5 personnes . En gros le protagoniste à une VDM et c'est la même choses pour son entourage.

Niveau Gameplay, au début c'est simple, il suffit de refuser les étrangers puis au fil des jours et des changements politiques dans votre pays, vous vous retrouverez le nez dans la paperasse avec comme seules armes perspicacité et rapidité, et comme si cela ne suffisait pas, vous allez être confrontés à des choix difficiles. Allez vous accepter l'Asile à cette réfugiée condamnée à mort dans son pays et risquer une pénalité sur votre salaire ou bien garderez vous ce fric pour votre fils malade ? Fonctionnaire Zélé ou compatissant ? à vous de choisir votre voie .

Bref Papers, please est un OVNI vidéo ludique qui en dépit de sa répétitivité et de ses graphismes ne manquera pas de vous scotcher par ses multiples fins et son univers qui illustre bien le climat austère des pays à l'est du rideau pendant la guerre froide .

Wow, ce genre d'expérience dans un jeu vidéo est assez imprévisible, mais je pense que cela n'est possible que dans un jeu indépendant à l'heure actuelle.
Papers Please montre d'abord sans se gêner que la qualité des graphismes est loin d'être primordiale pour l'immersion, au contraire. Le jeu nous met littéralement dans la peau d'un inspecteur de douane d'Artroska dont le but est de vérifier les papiers des entrants, en les refusant ou acceptant en fonction de leur validité. Au départ assez simples, les corrélations à effectuer sont de plus en plus nombreuses et notre inspecteur finit par être noyé dans a paperasse. Le gameplay s'avère ainsi, contre toute attente, assez addictif malgré une relative répétitivité. Relative, car l'évolution du jeu au fil des journées de travail est très bien rythmée, et de nombreux événements feront leur apparition, permettant au joueur de forger son destin. Le jeu s'avère ainsi toujours truffé de choix qui seront rarement sans conséquences. L'histoire se dévoile ainsi au fur et à mesure des discussions et des lectures de journaux, et recèle l'une des plus brillantes et subtiles critiques des régimes policiers en impliquant pour la première fois le joueur au cœur même de leur système, mettant en doute notre aversion de la collaboration et de la corruption. Et ça, c'est nouveau, le genre de chose que presque seul un média comme le jeu-vidéo peut transmettre. Bravo, Lucas Pope.

Papers, Please est une œuvre majeure.Le discours du jeu est profond, percutant, entièrement mis en scène à travers un gameplay évolutif qui fait sens comme rarement.

Ce jeu montre bien que l’univers du jeu vidéo a encore de belles années devant lui. Une perle parmi des caillou.
Bref en deux mots "Gloire à Arstotzka!"

Ce jeu mérite qu'on s'y plonge au moins une fois, pour en savourer la délicieuse "parodie" (ici on ne rigole pas forcément) des régimes communistes, exposée grossièrement mais non sans finesse. Finesse dans un gameplay qui surprend sans vraiment lasser, avec ses dilemmes, ses secrets, ses personnages (les immigrants et autres intervenants gouvernementaux) jamais répétitifs... Sauf peut être un gars qui cherche par quatre fois à rentrer, et le pire c'est que moi j'ai fini par le faire rentrer, faute d'erreur dans ses papiers finaux.

Une bande son discrète, mais justement à l'image de l'ambiance que l'on s'imagine d'un poste frontière, et des graphismes bien choisis, à base de pixels qui sentent bon les oldies.

J'y ai joué deux heures environ et suis "mort" deux fois : emprisonné pour dette de 75 arstotzka-dollars, et pour ne plus avoir de famille (un citoyen arstotzkien se doit d'avoir des parents et une progéniture en bonne santé). Le mode histoire contient une certaine ligne directrice (au niveau des attentats surtout), mais il faudra une bonne de patience pour en savourer chaque détails.

Revenons au gameplay : ici il est évolutif. Au départ on vérifie un passeport et on fait rentrer seulement les citoyens d'Arstotzka. Il faut regarder si la photo correspond, si la date de naissance semble valable, ainsi que le sexe, et enfin si la date de validité du passeport n'a pas expirée. On dispose donc du choix d'accorder ou non le visa d'un coup de tampon bien droit. Si on se trompe, on reçoit un message d'avertissement. Un deuxième gratuit, et ensuite on raque (5 $ par message).

Dès le deuxième jour les étrangers sont acceptés, et l'on dispose d'un vérificateur d'informations, qui permet en cas de détection d'une erreur d'en interroger l'immigré. Puis tout ça se complexifie/se modifie au fil des jours : vérification des empreintes, détention possible, fouille par scanner, détection d'arme ou de drogue, besoin d'un papier supplémentaire, ect. ect.

Pour l'instant je pense avoir fait à peine 1/4 du jeu. Et ma mère est morte.

Paix à son âme.
Gloire à Arstotzka.

Je trouve que ce jeu est plaisant. Il permet de revenir dans un univers plutôt ancien et c'est super pour varier un peu !

Ce jeu est bien addictif et stressant.

Bref je recommande à toutes les personnes qui s'ennuient à jouer toujours aux mêmes jeux ou au même genre de jeu.

Quelques rares contributeurs n'ont semble t'il pas, mais alors pas du tout compris ce que Lucas Pope propose ici ...
Ce titre possède le facteur X que bon nombre de jeux n'ont pas : ce petit truc qui le fait passer de tas de pixels crados à quelque chose d'unique, et terriblement addictif. La difficulté croît très vite et on se surprend à faire travailler des zones du cerveau trop souvent endormies : il faut réfléchir vite, agir sans hésitation. Exemple, l'étourderie du genre "j'ai passé 5 minutes à tout checker, l'interrogatoire est OK ... mais je me prends une amende qui va coûter la vie à mon fils parce que j'ai pas fait gaffe au sexe sur le passeport oO", explique assez bien ce qu'on attend du joueur.
Ce jeu est un véritable défi !
Pour ceux qui se demandent si un bon dans le passé n'a pas été fait avec ce titre, gardez bien à l'esprit qu'il y a 20 ou 30 ans, il était impossible de créer des jeux graphiquement réalistes ... mais il n'a jamais été impossible de bousculer les codes de l'univers vidéo ludique, gavé de superproductions à la plastique parfaite, mais à l'intérêt plus petit encore que les 30 MO de Papers, Please.

Les graphismes ne font pas tout et ce jeu en est la preuve.
Papers, please est un bon jeu pour passer le temps, c'est original et c'est drôle franchement j'adhère. Après on va pas se mentir c'est pas un jeu auquel on va jouer 10 heures d'affilé malgré les 20 fins différentes...

J'adore ce jeu, mais je ne le conseille pas à tous car il faut aimer le répétitif. Ne vous faite pas de mauvaises idée de ce jeu au tous début du jeu, la difficulté va croissante et vous permet de recommencer quand vous en avez envie. Le seul point négatif que je lui ai trouver, c'est qu'il soit en anglais, même si on comprend en gros ce qu'ils vous disent.

Un super petit jeu qui derrière ses mécaniques répétitives cache une trame scénaristique bien plus complexe qu'elle n'y parait. Pour peu que l'on adhère à l'univers et aux personnages, la rejouabilité est énorme. J'en suis déjà presque à 10 heures de jeu et je n'ai pas découvert la moitié de toutes les fins. Pour moins de 10 euros je trouve que ça vaut plus que le coup.