Le 08 janvier 2017 à 17:46:45 Tris0m a écrit :
Le 08 janvier 2017 à 16:43:05 Monetarism a écrit :
C'est vrai qu'il faut aller au fond du cul des campagnes pour trouver des Suisses de souche maintenant. Triste.Hé oui en ville ils sont mis en minorité par les Monétarisme et autres kosovars du genre
Mis en minorité par les étudiants étrangers, mais oui Trisom
Il faut espérer que San Giorgio fasse encore plein de gosses
Même la Suisse et l'Australie sont touchées par le grand remplacement.
Sinon, je suppose que les droits-de-l'hommistes s'opposent aussi à la peine de mort pour Dylann Roof.
Même la Suisse et l'Australie sont touchées par le grand remplacement
Libéralisme.
Le 08 janvier 2017 à 17:54:02 Monetarism a écrit :
Le 08 janvier 2017 à 17:46:45 Tris0m a écrit :
Le 08 janvier 2017 à 16:43:05 Monetarism a écrit :
C'est vrai qu'il faut aller au fond du cul des campagnes pour trouver des Suisses de souche maintenant. Triste.Hé oui en ville ils sont mis en minorité par les Monétarisme et autres kosovars du genre
Mis en minorité par les étudiants étrangers, mais oui Trisom
On refuse toujours de voir quand on fait parti du problème qu'on dénonce effectivement
La majorité des étudiants étrangers repartent après leur formation, c'est aussi ce que je compte faire. Je ne plaide pas pour un monde ou l'on ne peut pas sortir de son pays.
Le 08 janvier 2017 à 18:02:00 Monetarism a écrit :
La majorité des étudiants étrangers repartent après leur formation, c'est aussi ce que je compte faire. Je ne plaide pas pour un monde ou l'on ne peut pas sortir de son pays.
La majorité des frontaliers repartent après leur journée de travail. Ils ne posent donc aucun problèmes aux genevois
https://www.youtube.com/watch?v=TQn9FSmkDT4
La seule complainte que j'entends à leur sujet c'est qu'ils leur piquent leurs jobs et qu'ils encombrent les routes, je ne travaille pas et je n'ai pas de voiture
Le 08 janvier 2017 à 18:28:24 Monetarism a écrit :
La seule complainte que j'entends à leur sujet c'est qu'ils leur piquent leurs jobs et qu'ils encombrent les routes, je ne travaille pas et je n'ai pas de voiture
Tu fais monter le prix de l'immobilier.
Le 08 janvier 2017 à 18:28:24 Monetarism a écrit :
La seule complainte que j'entends à leur sujet c'est qu'ils leur piquent leurs jobs et qu'ils encombrent les routes, je ne travaille pas et je n'ai pas de voiture
On va te reconduire à la frontière le profiteur d'allocs.
Le 08 janvier 2017 à 19:15:06 Tris0m a écrit :
Le 08 janvier 2017 à 18:28:24 Monetarism a écrit :
La seule complainte que j'entends à leur sujet c'est qu'ils leur piquent leurs jobs et qu'ils encombrent les routes, je ne travaille pas et je n'ai pas de voiture
Tu fais monter le prix de l'immobilier.
Je suis en chambre étudiante
Le 08 janvier 2017 à 19:17:33 Zorracat a écrit :
Le 08 janvier 2017 à 18:28:24 Monetarism a écrit :
La seule complainte que j'entends à leur sujet c'est qu'ils leur piquent leurs jobs et qu'ils encombrent les routes, je ne travaille pas et je n'ai pas de voiture
On va te reconduire à la frontière le profiteur d'allocs.
Je cotise à l'AVS sans rien toucher
Cherchez pas, je suis l'immigré parfait que chacun voudrait avoir chez soi, et en plus je repart chez moi après quelques années
Le 08 janvier 2017 à 19:19:36 Monetarism a écrit :
Le 08 janvier 2017 à 19:15:06 Tris0m a écrit :
Le 08 janvier 2017 à 18:28:24 Monetarism a écrit :
La seule complainte que j'entends à leur sujet c'est qu'ils leur piquent leurs jobs et qu'ils encombrent les routes, je ne travaille pas et je n'ai pas de voiture
Tu fais monter le prix de l'immobilier.
Je suis en chambre étudiante
Tu piques la place des suisses.
Si tu me dis qu'il y a assez de place c'est donc qu'on a bétonné une partie du pays pour qu'un français puisse se loger. C'est tout aussi dommageable.
L'immigré parfait c'est celui qui ne part pas de son pays, mais ça n'existe pas
Le 08 janvier 2017 à 19:34:46 Tris0m a écrit :
Le 08 janvier 2017 à 19:19:36 Monetarism a écrit :
Le 08 janvier 2017 à 19:15:06 Tris0m a écrit :
Le 08 janvier 2017 à 18:28:24 Monetarism a écrit :
La seule complainte que j'entends à leur sujet c'est qu'ils leur piquent leurs jobs et qu'ils encombrent les routes, je ne travaille pas et je n'ai pas de voiture
Tu fais monter le prix de l'immobilier.
Je suis en chambre étudiante
Tu piques la place des suisses.
La Suisse n'a qu'à privilégier les petits suisses
Le libéralisme est d’abord une philosophie globale. Il arrive souvent, aujourd’hui, qu’on le réduise à son aspect économique qui doit être replacé dans une perspective plus large et n’est qu’un point d’application d’un système complet englobant tous les aspects de la vie en société, et qui croit avoir réponse à tous les problèmes posés par l’existence collective
René Rémond qui fait du Michéa
Elle est une philosophie politique toute entière ordonnée à l’idée de liberté, selon laquelle la société doit être fondée sur la liberté et trouver sa justification dans la consécration de celle-ci. C’est également une philosophie sociale individualiste dans la mesure où elle fait passer l’individu avant la raison d’Etat, les intérêts du groupe, les exigences de la collectivité ; le libéralisme ne connaît guère les groupes sociaux, et il n’est que de se souvenir de l’hostilité de la Révolution à l’égard des corps et des ordres, de la défiance que lui inspirait le phénomène de l’association, de sa répugnance à reconnaitre la liberté d’association de peut que l’individu ne soit absorbé, asservi par les groupes.
A gerber cette influence communisto bolchévique chez l'historien des droites
C’est enfin une certaine philosophie de la connaissance et de la vérité. En réaction contre la méthode d’autorité, le libéralisme croit à la découverte progressive de la vérité par la raison individuelle. Foncièrement rationaliste, il s’oppose au joug de l’autorité, au respect aveugle du passé, à l’empire du préjugé comme aux poussées de l’instinct. L’esprit doit pouvoir chercher lui-même la vérité, sans contrainte, et c’est de la confrontation des points de vue que doit peu à peu se dégager une vérité commune. Le parlementarisme n’est, à cet égard, que la traduction, au plan politique, de cette confiance dans la vertu du dialogue. Les assemblées représentatives fournissent un cadre à cette recherche commune d’une vérité moyenne, acceptable par tous. On entrevoit les conséquences que cette philosophie de la connaissance implique : le rejet des dogmes imposés par les Eglises, l’affirmation du relativisme de la vérité, la tolérance.