Ta composition est ma préféré jusqu'à présent Fa7 et cette finale
C'est descriptif avec brio et très imaginatif. Je ne veux pas spoiler, disons que c'est comme un univers à la matrix et ensuite on se rend compte avec surprise que c'est une analogie
Mac qui met un smiley en spoil et un spoil entre crochets..
Merci beaucoup. J'aurais jamais imaginé que ça puisse plaire comme ça..
AAaah tricheur, tu as tout changé !
bon du coup moi c'est pas encore ça
faut vraiment que je trouve un sujet plus intéressant la prochaine fois
Un sujet plus intéressant comme quoi par exemple ?
bah justement, j'en ai fichtrement aucune idée
En fait j'ai une méga flemme d'écrire.
head et en vacance!encore
Je le sens bien, au bout du quatrième thème, plus que trois participants
Bonjour à vous, les écrivains en devenir.
Je vote pour Le Krakoukas, non pas parce que j'aime les oiseaux, mais parce que j'ai adoré le style. Le texte m'a même touché à la fin. Il n'y a qu'un point négatif, la phrase où tu parles de la chaleur de la sueur qui lui glace la peau. Cet oxymore me paraît totalement dénué de sens. Enfin bon, ce n'est qu'un détail. Bravo à toi et pour les autres, vous avez tous bien écrit mais il y avait toujours un équilibre entre technique et style qui ne me convenait pas.
Vous m'avez quand même tous agréablement tous surpris par votre niveau, chapeau bas!
Ah, au contraire ! J'ai aussi relevé ce passage, et pour moi c'est très poétique, et cet effet est, à mon avis, voulu dans le contexte !!
heu, ne te précipite pas chibrosse tout le monde n'a pas finis de poster leur compo hein
J'ai envie d'écrire, y a ce concours donc je vais squatter. Désolé par avance si cela n'est pas tip top j'ai un peu perdu la main.
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- Lumière !
- Qui m'appelle ?
- Non pas toi, Lumière j'ai dit !
- Lumière est mon nom. Que me voulez-vous ?
- Allumez la lumière !
- Comment osez-vous prétendre vouloir m'allumer, monsieur ! C'est très grossier, et puis, vous n'êtes pas mon genre...
Le vieil homme au chapeau haut de forme se retourna vers cet étrange jeune homme de petite taille, habillé en peau de sac.
- Allez donc railler ailleurs ! Lumière !
- Je raillerai bien quelque chose d'autre, mais j'ai perdu mon emploi dans les cheminots.
- Si ce n'était que votre emploi qui avait été perdu... Rendez-vous utile et retrouvez-moi le responsable de la lumière !
- Je veux bien, à condition que vous me donniez quelques pièces pour aiguiller mes intentions.
- Vous n'aurez rien, débrouillez-vous avec votre bonne conscience pour aider le vieillard que je suis avant que je ne m'éteigne sur place !
- Ma bonne conscience, je l'ai abandonné dans une allée obscure lorsqu'il a fallu que je choisisse pour manger.
- Très bien, vous aurez de quoi vous chauffer pour une semaine si vous faîtes ce que je vous dis !
- Voila qui éclaire notre relation. J'y vais immédiatement !
Puis le jeune homme entra dans l'établissement, monta à l'étage, puis apparut à la fenêtre où l'enseigne trônait au dessus de la rue sombre.
- Il n'y a personne, monsieur ! Que des lampions, et quelques vêtements... Il semblerait que votre homme se soit enflammé en bonne compagnie avant de s'évaporer !
- Ah le scélérat ! Encore à fricoter avec Lucile ! Bon, je double votre récompense si vous réalisez le travail à sa place !
- Avec une triple paye, je rend votre établissement aussi brillant que sous le Soleil !
- Accepté ! Je veux que mon enseigne soit le phare de cette contrée !
Quelques manipulations plus tard, les lettres noircies s'enrobèrent d'ampoules éclatantes, les révélant à tous les passants : Chez Kitty, la chatte des étoiles.
- Hé bien, Monsieur, un homme de raison comme vous, je ne pensais pas qu'il tiendrait ce genre de commerce !
- Mon jeune ami, saches que dans la vie il y a deux catégories de personnes : les hommes impuissants à la bougie, et les hommes virils sous le feu des projecteurs !
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Pas mal, pas mal...et bien trouvé !
Très sympathique comme petite histoire !^^
Moi je vote pour mon texte. Je suis le Houellbecq du concours.
En parlant de Houellbecq, j'ai ri à ce passage de Soumission, que je suis entrain de lire :
→ «J'aimais prendre le métro un peu après sept heures, me donner l'illusion fugitîve d'appartenir à la « France qui se lève tôt », celle des ouvriers et des artisans, mais je devais être à peu près le seul dans cecas, car je faisais cours à huit heures devant une salle quasi déserte, hormis un groupe compact de Chinoises, d'un sérieux réfrigérant, qui parlaient peu entre elles, et jamais à peronne d'autre»
C'est vrai qu'elles sont comme ça les chinoises, vous ne trouvez pas ?
Non, des fois elles se marrent ensemble, et on sait jamais pourquoi..