CHAPITRE 33 : UN PEU DE REPOS

Le dimanche après-midi, tu retrouves tes potes. Vous avez pris vos maillots.

- Ça faisait longtemps qu'on ne c'était pas retrouver tous ensemble !
- Ouais, normal Max prend son travail trop au sérieux maintenant, tu m'étonnes... Chef de la communication ! Cela ne s'invente pas !
- Je sens une once de jalousie dans ta voix.
- Non non je n'ai aucune envie d'être le chien d'une meurtrière.
- ...Arrête avec ça...
- Bon du coup on va à la piscine à quelle heure ?
- Eh bien en fait je pensais que ce serait d'aller à une autre piscine que la piscine municipale...
- Hein ? Comment ça ?
- On ne peut rien faire à la piscine, pas le droit de salto, pas le droit de faire d'apnée, pas le droit de sauter n'importe où.... obliger à nager... Mais c'est ce n'est pas grave puisque je connais une autre piscine, une gratuite.
- Gratuite ?
- Ouais, des gens de mon quartier sont partis en vacances.
- Aaah je sens le coup foireux ! Tu t'es déjà baigné chez eux en leur absence ?
- Ouais plusieurs fois. Suffit d'escalader le grillage, discrètement.
- Discrètement... À cinq... ahah !

Vous arrivez devant le jardin en question et vous vous mettez à escalader. Vous vous mettez en maillot que commencer à vous baigner, à faire des sauts.

- Ça vous dit de faire un petit tour de la maison ? Ça à l'air d'être une belle propriété !
- Mec, on se doit d'être discret.
- Ouais, hum... vous n'êtes pas très discret en sautant dans tous les sens. Bon moi j'y vais. Qui m'aime me suive.
Tu suis Nathan pendant que les autres continue de se baigner.
- Bah ? Je croyais que tu ne voulais pas faire le tour ?
- Je te surveille !
- Je ne vais rien casser !
- Je ne te fait pas confiance ! Ahah
- De toute façon, le reste de notre gang de chômeurs est là pour nous protéger...
- Gang de chômeurs ! Ahah ! On est une majorité de travailleurs maintenant.
- Ouais. Au fait, tu sais qu'Alice cherche du travail en ce moment ? Je lui ai conseillé Intra Z mais elle n'a pas voulu.
- Tu m'étonnes. Au fait, Déborah va nous faire signer un nouveau contrat.
- Ah ! Eh bien je demande à voir ce qu'elle va changer dans Intra Z... Elle est pire que Perfide celle-là.

Vous voyiez une voiture approcher de la maison. Vous vous cachez.

- Allez, tourne !
- Elle ne tourne pas, elle va se garer je crois.
- Oh m*rde elle se gare.

Vous allez voir les autres pour les prévenir. Ils sont tranquillement en train de se baigner en se chamaillant.
- Venez vous baigner les gars ! Au lieu de faire les petits vieux !
- Y a le proprio ! Sortez de la piscine !
- Ouais venez vous baigner ! Elle est en bonne !
- Arrêter de parler de ta sœur un peu...
- Hein ? ...Ah mais t*geule toi ahah !
- Mais les gars, écoutez ! Y a le proprio ! Le pro-pri-o ! Sortez !
- Ohh m*erdeee !
Ils sortent de l'eau et commence à escalader le grillage.
- Ouf ! ...On a encore eu de la chance !
- Oui haha !

Le lendemain, lundi, Déborah réunie tout le monde une heure avant l'ouverture pour faire signer les nouveaux contrats. Tous les travailleurs sont venues, même ceux qui ne travaillaient pas ce jour-là.

- Bonjour, travailleurs. Chacun de vous va recevoir son nouveau contrat. Vous avez une heure pour le lire et le signer. Si vous n'acceptez pas les nouvelles règles, vous serez licencié.
- Mais ?! Il y a une cinquantaine de pages !
- Et ? Vous avez largement le temps de les lires en une heure. Vous ne pratiquez jamais la lecture rapide ?

- Euh... Excuse-moi Déborah, je ne peux pas les lires plus tard ? Je ne vais pas avoir le temps là...
- Les règles sont les règles Max.
- Je sais bien... Mais je suis chef de la communication...
- Les règles sont les règles Max.
- Bon...

Tu essaies de te dépêcher. L'heure avance vite. Au bout d'une cinquantaine de minutes tu n'en es qu'à la troisième page. Comme c'est un contrat, tu lis attentivement chaque page... Surtout qu'avec Déborah il faut se méfier... Il y a des formulations de phrases étranges, qu'il faut relire plusieurs fois pour bien les comprendre, et d'autres fois des mots soutenues, peu connues.
- Il ne vous reste plus que cinq minutes.
- Mais c'est n'importe quoi ! On a même pas le temps de tout lire !
- C'est que vous êtes trop lent. Et les employés sont une perte de temps dans mon entreprise. Libre à vous de prendre la porte.

Il regarde la porte la porte puis signe finalement son contrat.
- Si vous ne signez pas avant la fin de l'heure vous serez licencié.
Sous la pression de Déborah, tu décides finalement par signer. De toute façon... Où travaillerais-tu sans Intra Z ?

Ta journée se déroule comme d'habitude. Tu continues de travailler sur la communication de la Poppa avec Alex. Enfin vient le moment de partir, tu croises Déborah.
- N'oublie pas ta couchette demain, Max.
- Hein ?
- C'est ta première journée au foyer des travailleurs demain.
- Co...comment ça...?
- C'est marqué dans le nouveau contrat. Tout le monde dormira là-bas désormais. Prends une couchette et des vêtements de rechange, ça pourrait servir.
- O...ok....

Up bien légitime comme toujours, continue crayon c’est du bon

Le 23 mai 2020 à 22:56:36 Lerotisseur019 a écrit :
Up bien légitime comme toujours, continue crayon c’est du bon

Cimer khey
désolé pour l'attente
Je fais la suite demain

CHAPITRE 34 : AU TRAVAIL, FEIGNASSE !
Le lendemain tu arrives avec ta couchette ainsi que des vêtements de rechange... Tu les mets dans une pièce prévue à cet effet.
- Désormais, de nouvelle règle s'applique. Qui dit nouvelle règle dit... nouvelle tenue ! On reprend la même tenue qu'avant, noir, avec le logo Intra Z, mais on y deux petites choses... La première chose : une couche !
- C'est une blague j'espère ?!
- Silence, employé ! Cette couche vous permettra tout simplement de passer moins de temps aux toilettes, donc plus de productivité ! Génial, non ?!
- Pff c'est n'importe quoi !
- Monsieur grognon, taisez-vous où nous allons être obligés de vous mettre à l'isolement. Dorénavant, vous n'aurez plus le droit de parler. Si on vous prend à parler, le temps de parole sera ajouté sur votre temps de travail. ...Bien sur, je sais que ça ne va pas empêcher certain de parler. C'est pour ça, que si on vous prend trois fois à parler, vous irez à l'isolement.
- Mais on aura le droit de parler aux clients ?
- Bien sur, idiot ! La seconde chose en plus sur votre équipement sera... un collier électronique !
Les employés se regardent l'air abasourdi.
- Nous sommes les premiers à mettre ce nouveau prototype dans notre entreprise, vous en serez les cobayes ! Allez mettre vos tenues, puis les vigiles s'occuperont de mettre votre collier.
Les gens obéissent, y compris toi et tes amis. Une fois que tout le monde a mis sa tenue, les portes du magasin vont bientôt pouvoir ouvrir.

Comme chaque matin, une cinquantaine de client attendent avant l'ouverture des portes, en majorité des personnes âgées en semaine. Une heure avant l'ouverture, certains sont déjà là. Ils attendent, patiemment, dans leur voiture. Souvent avec la radio allumé. Puis lorsque l'ouverture se fait proche, ils prennent leurs caddies et se dirigent vers la porte d'entrée du supermarché. Ils rentrent ensuite un par un, bien ordonnés, comme un petit rang de fourmi retournant dans sa fourmilière.
Ce matin, étant donné que tu n'as rien à faire, comme tu ne travailles que l'après-midi, tu décide d'aller faire un tour en ville avec Nathan et Édouard. Vous avez toujours vos bracelets électroniques.
- Elle abuse Déborah, des colliers électroniques. Elle ne nous explique même pas à quoi ça sert.
- C'est clair...
- Bah dit donc, il n'y a pas beaucoup de personnes ce matin en ville.
- Cool comme ça on ne se marchera pas dessus.
- Ouais.
Vous entrez dans un premier magasin de vêtement. Personne à l’intérieur. La vendeuse vient toute de suite vers vous avec un large sourire.
- Bonjour ! N'hésitez pas à me demander les tailles ! /4/1546493982-1.png
- Ok merci.
- Ou quoi que ce soit d'autres.
- Ok.
Elle vous regarde de loin pendant qu'elle range des vêtements.
- Vous savez que nous concevons nous-mêmes nos vêtements ! De A à Z !
- Ah c'est bien...
- Non je vous dis ça, parce que je sais que nos prix sont un peu plus élevé que chez certains de nos concurrents...
Vous continuez de regarder les vêtements mais ils sont beaucoup trop chers pour vous. Vous vous regardez l'air de dire "on y va ?" . Puis vous finissez par le faire.
- N'hésitez pas à revenir à l'occasion, c'est bientôt les soldes, les prix seront plus attractifs ! dit-elle avec un regard désespéré.
- D'accord, au revoir !

- La pauvre elle fait de la peine n'empêche.
- T'façon, on ne gagne pas assez pour acheter ses vêtements.

Vous passez devant un magasin où sur la devanture est marqué : " fermeture prochaine-liquidation totale- moins 75%)
- Oh ! Il va se fermer ce magasin ! M*rde ! C'est dommage, j'y allais souvent.
- Ah ouais ?
- Ouais depuis vachement longtemps, depuis que j'étais tout petit.
- Eh ben... on n'a qu'à y aller, au moins ce ne sera pas cher...

Soudain le portable de Max sonne.
- Ah c'est Déborah...
- Put*in qu'est-ce qu'elle veut celle-là ?
- Max, viens dans mon bureaux, a eu une proposition pour les costumes du défilé de la Poppa.
- Mais on ne peut en parler cette après-midi ? Je ne suis pas censé travailler ce matin.
Elle raccroche.
- Mais...?! Elle m'a raccroché au nez !
- Ahah ! Elle en a vraiment rien à fo*tre de nous respecter !
- Mais ce n'est pas drôle, je suis censé avoir un des postes les plus élevés de la boite.
- Et ?
- Bah je ne sais pas, elle devrait quand même plus me respecter.
- Plus que nous tu veux dire ? Les petits employés qui faisons tourner la boite ?
- P*tain je n'ai pas dit ça. Bon du coup j'y vais ou pas ? Elle veut que je vienne la voir pour travailler, sauf qu'on n'est pas censé bosser ce matin.
- Vas-y Max.
- Bon ok...

Tu vas voir Déborah et Alex, vous parlez quelques minutes puis c'est bouclé. Ça te met hors de toi. Mais tu ne dis rien. Elle ta fait venir pour rien. Juste pour te faire perdre ton temps. Tu retournes dehors, mais tu n'as pas le temps de retourner en ville voir tes potes car il faudrait pour ça que tu prennes le bus.

Le soir venue, c'est la découverte du foyer des travailleurs. Il se trouve à plusieurs kilomètres d'Intra Z, donc il faut que vous alliez en bus. Plusieurs bus amènent tous les employés.
Une fois là-bas, le surveillant du foyer, vous accueille.
- Vous avez intérêt à bien vous tenir, bande de vermines ! Et si je vous appelle comme ça, c'est parce que je sais que la majorité d'entre vous mérite ce nom. Déborah m'a dit que pour la majorité d'entre-vous, on ne pouvait pas vous faire confiance. Si vous ne voulez plus que je vous appelle ainsi, il faudra gagner ma confiance, pigé ?
- D'accord !
- Je ne vous ai pas demandé de répondre, vermine !

Uuuup

Up

CHAPITRE 35 : LE FOYER DES TRAVAILLEURS

Le foyer est séparé entre une partie pour les hommes, une partie pour les femmes.
Tu te retrouves dans une chambre où tu n'es pas avec tes potes. Et il n'y a pas de matelas non plus. Sur les lattes de lits, il y a simplement un carton, un oreiller et une fine couverture. Et surtout, vous êtes six pour cinq lits. Tu vas voir le surveillant.
- Excusez-moi, il n'y a que cinq lits pour six personnes dans notre chambre...et nous n'avons pas de matelas.
- Que ?! ...Que cinq lits ?! C'est déjà beaucoup tu sais ! Tu en as autant chez toi ?! Tu en as autant hein ?
- Non...
- Bah alors ?! Pourquoi tu râles ?!
- Je... je voulais juste savoir si vous ne vous étiez pas trompé pour le nombre d'effectif de ma chambre.
- Non... Y a pas d'erreur ! 'Bécile ! Retourne dans ta piaule !
- O...ok...
- Et pour ce qui est des matelas, vous n'avez qu'à vous les payer ! Non mais ! N'importe quoi !

Tu retournes dans ta chambre, pour en parler aux autres.
- En fait... Il...Il n'y a pas assez de lits dans notre chambre, y en a cinq pour six et...hum...
Ils ne te répondent pas.
- Bon, hum... Moi je prends ce lit.
- Nan. C'est déjà le miens. Tu vois pas mes affaires dessus ?
- Ok... Alors je vais prendre celui-là.
- Je suis désolé mon petit mais c'est le mien celui-là.
- Ouais ils sont tous déjà prit dans cette chambre.
- Oui mais je n'en ai pas moi... On pourrait alterner, non ? Ou...ou...vous pourriez me faire une petite place dans votre lit... Je ne sais pas...je...je...
- Pas question que tu dormes avec moi ! Il est disjoncté celui-là ! Bon moi je vais à la douche.
- Ne t'inquiète pas minot, on va trouver une solution.
La soirée passe et personne ne fait rien pour trouver une solution. Quand vient l'heure du couché, tu t'assoies contre un mur et tente, en vain, de t'endormir. Tu finis par faire une nuit blanche.
Le lendemain, sans surprise, tu es mort de fatigue. Vous prenez le petit déjeuner, un bout de pain avec du chocolat au lait. Vous prenez ensuite le bus pour retourner à Intra Z. Sauf que tu ne travailles pas le matin. Tu essaies donc te reposer sur un banc... Les journées passent et se même scénario se répète, avec toujours plus de fatigue.

Tu continues à travailler sur la communication autour de la Poppa. Vous organisez un défilé dans les rues, en l'honneur de la Poppa. Vous vous déguisez en fourmis. Pas mal de monde vient assistez au défilé en particulier des parents avec leurs enfants.
Petit à petit, la communication ayant fait son effet, Déborah juge que vous n'avez plus besoin de travailler à sa communication. Elle vous remet au stand poisson. Par conséquent, tu gagnes moins d'argents, et tu as moins de contacte avec Déborah et moins d'importance dans la hiérarchie.
Les semaines passent et tu es de plus en plus fatigué, tu n'arrives jamais a dormir. Tu achète une couchette mais le surveillant te la confisque. Un des hommes de ta chambre fini par te donner son coussin par pitié.
Au fil des semaines tu deviens de plus en plus lent au travail à cause de la fatigue, cela te rappelle lorsque tu dormais à la rue. Tu commences même l'impression d'avoir des hallucinations parfois.
Au travail vous ne parlez toujours pas entre vous. Et Déborah passe régulièrement pour vous demander d'accélérer la cadence. Vous ne pouvez même plus prendre le temps d'aller au toilette puisque vous avez des couches.
Le matin, tu ne travailles pas mais malgré tout Déborah te fais venir pour des petites tâches. Elle organise aussi des réunions. Bien sur, ses réunions ne sont pas compté dans le temps de travail.
Quant à Nathan, il organise toujours des manifestations le dimanche, rassemblent toujours un peu plus de monde. Mais elle n'ont aucune répercussion sur Intra Z.

Un jour, quelque chose vient troubler ton quotidien.
Juste après avoir mis ton uniforme, tu te diriges vers ton stand et là tu vois... Alice ! Alice qui travaille à ton stand ! Tu n'oses rien lui dire car vous n'avez pas le droit de parler d'autre chose que de travail. Alors tu réfléchis, puis tu lui lances :
- Tu es nouvelles au stand ?
- Oui.
En te disant cela, elle lève les yeux en l'air. Puis vous vous mettez à travaillé comme si de rien n'était.
Le soir venus, tu as trop envie d'en parler avec Nathan. Tu te décides d'aller à sa rencontre avant l'extinction des feux. Chose que tu n'as pas le droit. Vous n'avez pas le droit de parler à quiconque en dehors de votre chambre. Vous devez aussi limiter le temps de paroles dans vos chambres.
- Nath'...
- Oh Max ! Qu'est-ce tu fais là ?!
Tu regardes constamment autour de toi pour éviter de te faire attraper par Rufus.
- T'es au courant qu'Alice travaille avec moi maintenant ?
- Ouais je l'ai vu. Mais on ne sait pas parler.
- Elle a l'air dégouté.
- Oui... C'est parce que Déborah a créé un groupe d'anti-chômeur. Une sorte de police d'Intra Z qui s'occupe de recruter de force les chômeurs dans les villes aux alentours...
- Hein ?! C'est quoi ça encore ?!
- Ouais c'est dingue, mais n'en parle pas. Ils ont trouvé un accord avec les mairies, sous prétexte qu'il recrute beaucoup de monde. Louis aussi a été recruté. Tu sais quoi faudrait qu'on se parle plus souvent le soir.
- Oui mais c'est interdit...
- On pourrait se voir après l'extinction des feux, après 22h.
- Mais...
- Qu'est-ce que vous faites, bande de vermines ?!
- Désolé...
- Il n'y a pas de désolé ! Pour la peine, ça fera 1 heure de travail en plus pour vous deux, demain. C'est Déborah qui va être contente !

Le 01 juin 2020 à 22:24:09 Lerotisseur019 a écrit :
Up

Merci pour les up kheys !
Je fais une sweet le 5 juin

Le 5 c’est demain Uuuuuup

CHAPITRE 36 : FÊTE IMPROVISÉE Partie 1

Le lendemain, tu fais comme prévu, une heure supplémentaire. Et à chaque fois que quelqu'un se met à parler de chose qui n'est pas en liens avec le travail, du temps supplémentaire lui est ajouté. Tu finis par te dire qu'après tout, c'est normal, puisque vous êtes là pour travailler.
Un matin, Déborah réuni tout le monde avant l'ouverture du magasin.
- Si je vous ai réunie, ce n'est pas pour vous féliciter. Au contraire. Nous avons constaté, que vous étiez moins efficace qu'avant. Par exemple, au Drive, vous êtes passé de 250 colis par heure à seulement 220. C'est inadmissible. Et sachez, que dès à présent, nous saurons punir, ceux qui font tout pour baisser la rentabilité du magasin. Car une tel baisse de productivité n'est pas naturelle. C'est une volonté de destruction de notre enseigne. Évidemment, ça touche la majorité des employés, donc je ne remets pas en cause l'intégrité de la majorité, mais seulement d'une minorité qui essaie de s'unir face à leur supérieure et face à au fonctionnement d'Intra Z. Tout ceux qui complotent à l'encontre d'Intra Z... je vous entends. Tôt ou tard vous serez punis. Changez ou je vous changerais. ...Et c'est inutile de tenter de vous cacher. Nous sommes... à la frontière de l'omniscient. Mon équipe et moi savons et voyons tout de se qui se déroule dans le magasin et à l’extérieur.
L'un des autres managers prend la parole.
- Exact. Nous avons voulu vous aider, à lutter contre la procrastination qui vous rongent de l’intérieur, en vous empêchant de parler, et en vous donnant des couches au lieux d'aller aux toilettes.
- Très bien dit, Arnaud. On perd un temps fou en temps de paroles. Et pour ceux qui est des toilettes n'en parlons pas, il me semble qu'on y pense trois ans dans une vie. Bref... nous serons encore plus vigilante et dure dans les semaines à venir, mais c'est pour votre bien.
- Cependant, nous avons aussi introduit des nouveautés qui devraient vous faire plaisir ! Tout travail mérite récompense !
Les employés se regardent étonnés.
- Désormais il y aura un classement du pire au meilleur employé. Tout ça sera affiché à l'entrée du magasin. De quoi vous donnez envie de vous dépasser, pour être meilleur ! ...Ce sera tout pour aujourd'hui.

L'après-midi venus, tu retournes au travail. Déborah te demande de la suivre.
- Tu m’emmènes là où sont stocké les boissons Poppa...?
Elle te répond sans même se retourner, tout en marchant d'un pas rapide.
- Max, tu n'es plus au service communication, tu te souviens ? Tu es au rayon poisson.
- Hum... Oui pardon.
Elle ouvre une porte qui mène au sous-sol. Vous n'entrez pas, vous restez sur le bas de la porte.
- Écoute Max.
Tu t'avances pour écouter.
- Reste derrière, n'entre pas. Écoute simplement.
Tu entends des cris et des gémissements. Un frisson de peur te parcours.
- Qu'est-ce... Qu'est-ce ? Qui est-ce...?
- Max. Fait attention à ce que tu dis et fait. Nathan et une mauvaise influence. Éloigné toi en. Si tu ne veux pas te retrouver derrière cette porte.
- O...Ok...
- Nathan est irrécupérable. Toi, tu as encore une chance.
- ...Ok...
- Ah oui, et pense à plus souvent passez le balai dans le magasin.
- Mais...? Je ne suis pas censé rester dans ma zone de travail ?
- Ta zone de travail c'est le magasin, Max.
- ...Ok.

Quelques jours passent, tu travailles toujours avec Édouard et Alice, et pourtant tu ne leur parles jamais d'autres choses que de travail. En dehors de vos horaires de travail, vous n'avez jamais le temps de vous parler. Il y en a toujours deux sur trois qui est appelé pour tâches ou pour une réunion. Le seul moyen de vous parler serait de vous parler à l'internat. Nathan serait bien content tu viennes le voir l'internat. Mais à chaque fois que l'idée te traverse l'esprit, tu repenses aux menaces de Déborah et aux cris venant du sous-sol. Deux semaines passent et tu n'en peux plus. Tu as aucune relation autres que le travail. Tu craques. Tu décides d'enfreindre le règlement et d'aller voir pendant la nuit.
Tu attends deux heures après l'extinction des feux, à minuit. Le silence règne dans le foyer. Il n'y a quasiment aucune lumière dans les couloirs, hormis celle venant des fenêtres.
En traversant le couloir, une lumière s'allume. Il s'agit d'une lumière qui s'allume automatique lorsque quelqu'un passe en-dessous. Heureusement, les couloirs n'en sont pas remplis, ceux qui te permet, malgré la bouffé de stresse, d'aller te cacher un peu plus loin.
Tu entends des bruits de pas, ainsi qu'un objet qui frôle le sol. Le son d'un bout de bois.
- Bande de vermine... Bande de vermine irrécupérable... Montrez-vous...
Tu ne sais pas ce que tu quo faire... Il approche de plus en plus de toi. Courir dans les couloirs ? Au risque de te retrouver coincé au fond de l'un d'entre eux ? Sachant que tu ne connais pas très bien la géographie du foyer... Rentrer dans une chambre ? Au risque de te faire dénoncer ou de te retrouver piéger...
Soudain, tu entends des gens sortir de leur chambre.
- Eh ! Vient par ici, la teigne !
Tu ne les vois pas, tu les entends seulement parler. Tu te réjouis, tu as l'impression qu'ils viennent à ton secours ! Même si tu n'es pas sur qu'ils ne se fassent pas punir...
- Bande de...! Vermine ! Vermine !! Retournez dans vos chambres ! M...mais...qu'est-ce que vous... qu'est-ce que vous faites ?! Lâchez-moi ! Lâchez-moi !!
Tu entends d'autres personnes qui sortent de leur chambre. Puis les gens des chambres en face desquels tu t'étais caché, s'ouvrent. Ils te regardent l'air surpris.
- Vous pouvez sortir, la voix est libre !

Le 04 juin 2020 à 22:18:32 Lerotisseur019 a écrit :
Le 5 c’est demain Uuuuuup

Voilà la sweet Un peu plus courte que d'habitude, j’essaierai de faire la suite soit demain soit dimanche

Up habituel pour cette fic de qualité

Le 06 juin 2020 à 22:45:01 Lerotisseur019 a écrit :
Up habituel pour cette fic de qualité

Désolé khey j'ai pas eu le temps d'écrire la sweet
Je la ferait demain

CHAPITRE 36 : FÊTE IMPROVISÉE Partie 2

Tu te mets à sourire, c'est trop beau pour être vrais ! Tu t'avances dans le couloir et tu vois de plus en plus de personnes de sortir de leur chambre.
- On vient de l'enfermer dans notre chambre ! C'est bon on peut sortir tranquillement !
- Incroyable ! Je n'arrive pas à y croire !
- Il commençait sévèrement à me casser les pieds à nous rabaisser à longueur de temps !
- Attendez.. Mais comment vous allez faire si il est toujours dans votre chambre ?
- Oh... Eh bien on l'enfermera dans les toilettes plus tard. Allons rependre la nouvelle au rester du foyer. Enfin on va pouvoir se parler entre nous.
Vous ouvrez les portes, une par une, pour prévenir tout le monde. Certains sont énervés qu'on les réveilles en pleine nuit, d'autres sont heureux et rejoigne le cortège. Vous vous mettez à parler entre vous. Vous vous présentez. Vous n'avez parlé que de travail depuis des semaines. Tu es tellement heureux de pouvoir parler d'autre chose. Tu te rends compte que certain ne travaille pas à Intra Z.
- Vous travaillez dans quel rayon ?
- Ah mais moi je suis dans les rayons ! Je travaille à l'usine où on fabrique la Poppa !
- Ah je ne savais pas qu'il y avait des gens de l'usine ici. Et ça va ? Ce n'est pas trop dur ?
- Si...si bien sur que si... C'est du travail à la chaîne quoi. Ta l'impression de te ramollir le cerveau. Mais y en a certain que ça ne dérange pas. Moi je dis : vivement qu'ils nous remplace par des machines. En plus elles seraient beaucoup plus rapides que nous. Soit-disant il nous garde pour favoriser l'emploi, mais bon, un emploi comme ça... Ouais je le fais parce que, par rapport à mon niveau d'étude, je n'avais pas trop le choix...

Vous arrivez à la chambre de Nathan. Il est euphorique. Vous papotez, puis tout en marchant à travers le foyer, vous allez ouvrir les chambres d'Édouard, Pédro et Louis.
- Les gars, j'ai une super idée !
- Je crains le pire.
Il s'arrête de parler et te regarde en souriant.
- Mais vas-y, dis toujours.
- Ça ne vous dit pas d'aller voir Alice ? Je suis certain qu'elle sera ravie de notre visite !
- Mais elle n'est pas dans ce bâtiment, elle est dans le bâtiment des filles.
- Je sais, oui.
- Tu veux chercher les embrouilles c'est ça ?
- Oh non je veux simplement m'amuser. Boys just want to have fun, non ?
- Ahah, et du coup, tu veux faire comment ? Juste entrer en n'espérant que le surveillant ne nous fasse rien ?
- On prend des chaises et on avance avec. Comme ça, s'il y a des surveillants on les menacera de leur lancer à la figure.
- Mais... Ahah ! C'est diabolique !
- Bon allez c'est parti. Par contre, on n'y va qu'à cinq. Je n'ai pas envie que tout le monde vienne.
- Oui.

Vous prenez des chaises dans les chambres, certain vous demande qu'est-ce que vous alliez faire avec, vous répondez simplement que vous les ramènerez plus tard dans la soirée.
- Attendez, mais comment on va faire pour ouvrir les portes si on a tous une chaise dans les mains ?
- ...Hum... Effectivement bien vu Édouard. Heureusement que l'un d'entre nous a un cerveau. Eh bien, l'un de nous se sacrifira pour nous ouvrir les portes et les refermer.
- Je me sacrifie pour la cause.
- Merci Édouard. On te protégera. Jusqu'à la fin de la mission, tu as ma parole.
- Par contre, tu n'as pas la mienne haha !
- Mais...
- Je plaisante haha !
Vous entrez dans le bâtiment. La lumière s'allume. Vous entrez lentement, muni de vos chaises tel des boucliers.
- Faites pas de bruit les gars.
- Ouais.
Juste après avoir dis ça, Nathan se met à hurler.
- Y a quelqu'uuuun ?!!
- Mec ! Tes c*n ou quoi ?!
- C'est bon, on s'en fout. Qu'est-ce qu'ils vont nous faire hein ? Au pire la police anti-chômeurs nous arrêtera et nous ramènera.
Une femme rentre dans le couloir. Armé d'un fouet.
- Retourner dans votre foyer, ou ça va mal se passer.
Aucun de vous ne bouge, vous la regarder, sans rien dire.
- Vous attendez quoi hein ? Vous avez l'air malin avec chaise ! Vous avez quel âge ?! Comportement immature !

- Bougez de là, où on vous fonce dessus !
- Non vous n'allez rien faire du tout. Je me faire un malin plaisir de vous frappez la tête si vous faites ça. Vous tentez de me cogner et je vous cognerais encore plus fort.
Vous foncez sur elle à la queue leu leu, elle tente d'attraper les pieds de la chaise de Nathan, mais il court tellement rapidement, qu'elle trébuche. Vous continuez votre route dans les couloirs. Nathan cris le nom d'Alice, en ouvrant les portes. Vous finissez par la trouver. Vous parlez un peu. Elle vous raconte que la police anti-chômeurs est venus la chercher de force chez elle, alors qu'elle était tranquillement en train de regarder des séries, vous en rigolez, quoiqu'au fond, ça vous inquiète des pratiques douteuses d'Intra Z.
Après une trentaine de minutes à discuter dans sa chambre, la surveillante vient vous voir.
- Ok. Ok vous avez gagné pour ce soir. Mais demain, demain vous allez morfler.
- Tu veux un coup de chaise ? C'est ça ?
- Pff.
Elle s'en va.
Le lendemain, Édouard est convoqué au bureau de Déborah, une fois son entretien terminé, c'est à toi d'aller dans son bureau. Elle tente de faire cracher le morceau sur qui était dans les couloirs la vieille et qui a lancé tout ce mouvement. Tu lui réponds simplement qu'il y avait tellement de monde dans les couloirs que tu n'as pas retenu le nom de toutes les personnes, ce qui l'énerve, évidemment. Le lendemain, tu te rends compte que Nathan n'est pas au travail, quelques jours passent, et il n'est toujours pas là. Tes potes et toi n'avez aucune nouvelle de lui. Il semble avoir disparu. Tu finis par te demander si... Déborah ne l'aurait pas enfermé au sous-sol... Là où elle avait menacé de te mettre...

Sweet et up comme toujours

UP UP UP

Up de up

CHAPITRE 37 : INTRA Z EST PARMI NOUS

Tu n'en peux plus de ta vie à Intra Z. Tu ne dors quasiment pas la nuit. Tu es obligé de dormir sur des bancs publics le matin. Et encore, tu n'y arrives pas toujours car Déborah te fait souvenir venir au magasin, bien que tu ne sois pas censé y travailler en matinée.
En plus de la fatigue, tu portes tous les jours un collier électronique. Tu dois le porter du matin au soir, comme les autres employés. On ne te l'enlève qu'au moment de te coucher. On te le remet au levé. Parfois, lorsque tu te mets à parler, Déborah envoie de légère électrocution dans ton collier. Tu es l'objet de Déborah.
Tu commences sérieusement à réfléchir à démissionner. Mais si tu passes à l'acte, il te faudra trouver un autre employeur.
Alors, plutôt que d'aller te reposer sur un banc, tu décides pour une fois d'aller voir les autres magasins. On sait jamais, ils sont peut-être à la recherche d'employés...

Tu prends le bus, direction le centre-ville. Une fois arrivé, tu entres dans le premier magasin que tu vois, un fast food.
Tu vois pas mal de clients, ainsi que des employés qui vont à vive allure. Jusque-là rien d'anormal... oh ! Qu'est-ce que ? Tu remarques que sur leur uniforme noir... il y a marqué "Intra Z".
- Excusez-moi, je...
- Vous souhaitez une sauce monsieur ? C'est à l'accueil !
- Non, en entrant j'ai vu que c'était un fast food Wando et pourtant vous avez des uniformes Intra Z...
- Intra Z à racheté récemment la chaîne Wando. Nous n'avons pas encore eu le temps de changer l'enseigne.
- Ah oui...
Tu n'étais pas au courant de ça... Tes potes vont être surpris... Tu décides d'aller dans un autre magasin. Un magasin de bijoux. Tu as peu de chances d'être pris dans un magasin comme ça mais... on ne sait jamais.
Une fois dedans, la vendeuse vient tout de suite à ta rencontre, et là... stupeur... c'est le sosie de Déborah version homme.
- Bonjour monsieur, je peux vous aider ?
- Excusez-moi mais, Vous... vous n'auriez pas... un liens de parenté avec Déborah ? La manager d'Intra Z ?
- Je suis de sa famille, oui. Vous souhaitez quelques choses ?
Tu te rends compte qu'il porte un tee-shirt Intra Z.
- Mais...?! C'est un tee-shirt d'Intra Z !
- Oui, Intra Z a racheté la chaîne Lordor. Nous allons bientôt changer l'enseigne.
Tu le regardes, horrifié, puis tu quittes le magasin.

Tu vas dans une salle de gym et une fois de plus, tu vois un sosie de Déborah.
- Bonjour. Vous souhaitez vous muscler ?
- Non, je souhaiterais savoir, est-ce que vous faites partis de la famille de Déborah, c'est un manager d'Intra Z...
Elle te saisit le poignet, et rapproche son visage dû tient. Elle tient tellement fermement ton poignet que tu pousses un petit gémissement de douleur.
- Max. Tu ne devrais pas autant t'éloigner du supermarché, on pourrait avoir besoin de toi.
- Quoi ?! Mais allez-vous faire foutre !
- Max, nous ne voulons que ta liberté... mais ne va pas à notre encontre. Nous te nourrissons. Nous te garantissons un emploi. Il y a peu d'entreprises aujourd'hui qui garantissent un CDI. Ne va pas à notre encontre.
Un homme musclé se joint à vous.
- Un problème Déborhina ?
- Il semble que cet employé du supermarché Intra Z ait perdu son chemin.
- Mais non ! Vous ne voyez pas qu'elle vous manipule ?!
- Tout va bien se passer monsieur, si vous vous laissez faire.
Tu donnes un coup de pied sur Déborhina, elle lâche prise. Tu pars en courant du magasin, en direction du bois. Sur le chemin tu passes devant d'autres magasins, ou des employés aux portraits crachés de Déborah sorte. Ils te fixent du regard.
Tu arrives enfin dans la forêt. Cette fois, il n'y a personne. Enfin ! Tu te retournes quand même, pour voir si personne ne te suis. Il semble qu'il n'y a personne. Tant mieux, tu peux souffler un peu.
Tu marches un peu et tu commences à entendre des murmures. Tu t'avances encore, les bruits sont de plus en plus fort, il se mélange à des bruits de chantiers. Ça t'étonne, tu vas régulièrement dans cette forêt et tu sais qu'il reste plusieurs kilomètres avant la fin du sentier. Et là... c'est la désolation. Tu vois un chantier, des constructions, il y a même déjà des petits appartements de construits... en pleins milieux de la forêt, ta forêt, la forêt de ton enfance...!
Une employé s'avance vers toi avec casque, elle le retire,... c'est encore une sosie de Déborah.
- Max. Nous allons construire de superbe lotissement pour travailleur. Ici on travaillera... Tu sais sur quoi ?
- Je...Je...je n'en sais rien...
- Sur le futur, Max. Mais ne t'inquiète pas, l'humain sera au cœur du projet.
Elle s'avance vers toi. Tu ne bouges pas. Tu es comme tétaniser. Elle tend sa main vers ton cœur, en le désignant.
- Au cœur, Max.
- J'ai...j'ai compris...
Quelqu'un s'approche de derrière toi. C'est la vrais Déborah cette fois-ci.
- Tu es allé trop loin Max. Et comment je fais moi ? Si j'ai besoin de toi, je fais comment ?
Tu n'as même pas le temps de parler, qu'elle t'électrocute à distance avec sa télécommande. Tu tombes au sol, inconscient.
Tu te réveilles quelques heures plus tard. Tu es dans une petite pièce vide. Tu remarques quelques choses de spécial. Tu dors dans un lit, un vrai, avec un matelas et une couverture, tu te sens bien ! Tu as l'impression de t'être enfin reposer. Tu te lèves, puis tu vas dans le couloir, pour voir où tu es. Tu croises Déborah.
- Ah ! Bonjour Max. Tu as dormi tellement longtemps que tu as raté une journée de travail. Tu la rattraperas dimanche. Et à l'avenir, ne va pas t'aventurer trop loin du magasin quand tu travailles le même jour. ...Ah oui et, il faut que tu viennes, on va faire une minute de silence pour un employé qui est décédée.
Lorsqu'elle t'annonce ça, tu penses immédiatement à tes amis.
- Un employé un décédée ?! Mais qui ?!
- Huum... Un employé, je ne sais plus qui. Et ne t'attache pas trop aux entre employé Max. Cela pourrait te créer de la tristesse, c'est mauvais pour la rentabilité.
Tu rejoins les autres, pour la minute de silence, tu regardes tout autour de toi pour voir où se trouvent tes amis. Ouf...! Ils sont tous là.
Une fois la minute de silence terminé, un employé prend la parole, sans avoir l'autorisation.
- Il s'est suicidé ! Il s'est suicidé !
- Une heure de travail supplémentaire pour vous, pour avoir pris la parole sans autorisation. Mais je vais quand même vous répondre, il ne s'est pas suicidé, il s'agit d'un accident du travail.

Le 09 juin 2020 à 19:23:00 Lerotisseur019 a écrit :
Sweet et up comme toujours

Merci pour les up khey
voilà la sweet
100% Déborah

Up de cette fic imprévisible et trop méconnue dommage que des histoires de type que se touche sur leur sœur ou sur des feet marchent mieux