Nooooon Vince + mort inutile
En tout cas Sweet
2

Suite + 2 pour voir comment se porte l'autre lycée

J'aime bien l'idée de Skylacks. Je pense que je vais écrire ça

Ouai ! Ca va surement être mon idée

Sweet ?

Chapitre 11
La suite de la nuit se passe de la manière la plus vraisemblable pour un groupe de lycéens dans une ville abandonnée. On trouve un bar abandonné, et on met de la musique et on se bourre la gueule jusqu'à ce qu'on s'endorme. On se réveille le lendemain avec une sacré gueule de bois. On se verse des seaux d'eau sur la tête pour se remettre, et on se réunit pour savoir quoi faire.
Finalement, après une courte discussion, nous décidons de rentrer dans notre lycée car j'ai bien peur que les mecs que l'on a explosé précédemment ne soit qu'une infime partie d'un gang, et le reste risque certainement de riposter. On doit donc préparer le lycée. Après un chemin une fois de plus tranquille, nous arrivons à notre QG. La plupart des lycéens nous accueille en héros, effet accentué par une histoire complètement inventé, mais approuvé par tous, pour légitimer nos actes:
-... Alors que nous cherchions tranquillement à parlementer, le chef adverse se jette sur moi, par surprise, avec une machette d'une taille impressionnante. Mais je l'esquive et lui plante ma lame dans son cœur. C'est à ce moment là que ses sbires nous attaquent lâchement alors qu'on se remettait de nos émotions. C'est là que Hasj à balancer son marteau dans la tête du plus proche. Il l'a ensuite reprit en plein vol pour envoyer un splendide coup sur la pommette du suivant. C'est à ce moment là que max, s'étant libéré de ses liens, est parvenu à faire une balayette au gardien qui pourtant tenait son M16...
Bref, vous voyez le genre. Je conclus en disant que malheureusement, un d'entre eux et parvenu à s'enfuir et a probablement prévenu les autres mauvais hommes de leur bande et que je crains une attaque.
J'ordonne donc la suspension de toutes les tâches pour que chacun aide à la fortification du lycée. J'organise des expéditions dans les alentours pour ramener des planches de bois, des barres en fers et n'importe quoi d'autres pouvant permettre à la confection de barricades. Pour faire le chef modeste et travailleur (FAUX!!) Je mène moi même une expédition pour ramener des choses. Mais je ne fais évidemment pas ça sans arrières pensées. Je mets Amélie dans mon groupe et je passe le plus clair de mon temps à la draguer (et à travailler dur, mais c'est en corrélation évidente avec la première action).
Nous revenons les bras chargés au bout de deux heures de recherches. Une fois toutes les patrouilles rentrées, on construit un rempart improvisé (on se croirait en Mai 68 ) Dans tous les points mal défendus du lycée, soit les différentes portes d'accès. On travaille toutes la journée comme des malades. A 18 heures, on a presque terminé, je décide donc de renvoyer les cuisiniers à la préparation du repas, parce que damned, qu'est ce que c'est crevant, et ne pas avoir de repas après ça aurait créé une rage généralisée (et justifiée). Une fois le travail achevé, on le regarde tous avec fierté. Le lycée est imprenable pas de doute là-dessus.
On se remet de notre dur labeur autour d'un bon repas. L'ambiance y est festive, bon enfant, le travail rapprochant les individus. Pour une fois, je n'autorise pas l'alcool, par crainte de subir une attaque pendant qu'on est bourré. Cette présence d'esprit (je sais, je suis incroyable ) nous sauve probablement la vie.
Car à peine le repas finit qu'un lycéen que j'avais nommé comme guetteur arrive en courant dans le self et hurle:
-Ils arrivent et ils sont nombreux!
Merde. On est un peu dans la merde, mais on a toutes nos armes.
-Branle-bas de combat, personne ne quitte le navire. Ceux qui n'ont pas d'armes de tir, prenez un couteau et placez vous devant les points d'attaque probable. Ceux qui ont des armes à feu, trouver le meilleur angle possible pour tirer.
Malgré la peur et la panique, tout le monde s'exécute. Karl place ses armes blanches à la disposition des plus expérimentés du lycée dans le domaine de la bagarre. Moi, je vais immédiatement me placer sur le toit. La parabole satellite sera ma protection. Mon sniper à la main, je regarde la scène.
Au moins une quarantaine de gars se positionnent autour du lycée. La moitié ont une arme à feu, l'autre partie des machettes. ça va pas être facile. Je pose un genou au sol, place le fusil de précision sur mon épaule, et je me prépare à tirer.
https://www.youtube.com/watch?v=Ms7Qu3XcwVo
Prochain chapitre ce soir, grosse scène d'action
Je remettrais la musique au début du chapitre 12

Je vais attendre ce soir pour la sweet

Énorme, sweet

JE VEUX LA SWEET!SWEETY SWEET!

Et alors ? .

La suite ce soir, comme d'hab .
ArchetierCoyote, je ne comprends pas trop ton commentaire ^^

Vers quelle heure ?

Je dirais entre 20 heures et 21 heures 30 au plus tard

Sweet

Sweeeeet

sweet

Suite!!!

Sweet

Excusez mon retard, mais pour mon dernier repas du soir de mes vacances à l'autre bout du monde, on est resté longtemps à table. J'écris la suite de ce pas

Vite la sweet

Chapitre 12
https://www.youtube.com/watch?v=d2hRTLdvdnk et quand elle est terminée https://www.youtube.com/watch?v=ASj81daun5Q
https://www.youtube.com/watch?v=qwJj2EpC8vg si vous êtes lent à lire ^^
J'entends les premières balles sifflées. Je reconnais mes deux automatiques qui font feu. Karl et Max n'ont pas traîné. Nos ennemis ripostent au hasard avant de se mettre à couvert. Ils ne m'ont pas remarqué, excellent. Je vise mon premier homme, et je tire. Pleine tête, mes séances de tir m'auront finalement servi. Pris d'une certaine confiance, j'encoche une deuxième balle, et je refais feu. Dans le thorax cette fois-ci, la mort sera plus lente, mais le résultat sera le même.
Nos adversaires se sont tous mis à couvert et semblent se concerter. Ils ne s'attendaient pas à une telle résistance. J'attends que ça bouge. Une minute passe, puis deux, cinq. Je commence à m'inquiéter. Ils préparent quelques choses.
D'un coup, j'entends une terrible explosion au niveau de la porte nord (le seul côté où ils attaquent). Un lance-roquette!! Ils ont amené un lance roquette ici, c'est des malades. Plusieurs de mes camarades ont du être blessé, voire tué. Me remettant rapidement de mes émotions, je tire sur l'artilleur. Dans le cœur, je suis en forme aujourd'hui. Stratégiquement, je décide de ne viser que le l'arme lourde pour tuer ceux qui essayeraient de la reprendre. Ma tactique ne marche pas vraiment car suite à l'explosion, tous se sont rués vers l'entrée, en tirant sans s'arrêter. Mes amis armés ripostent, les deux automatiques font beaucoup de dégâts. Mais l'heure du corps à corps arrive à grands pas. Je décide de quitter ma position, et de partir en courant dans les escaliers pour intercepter nos ennemis. On s'est entraîné à l'épée pendant des années, Arthur, Karl et moi. Il faut que ça serve.
Alors que je me trouvais dans les escaliers, j'entends un cri. Shawna! Elle doit être blessé. Sans réfléchir, je ne continue pas dans les escaliers et dévie dans le couloir qui donne sur la scène de combat. Le couloir en question se termine par une fenêtre. Sans hésiter, je saute et la brise au passage. Je me retrouve dans les airs, surplombant la scène de combat. Le temps semble ralentir autour de moi. Shawna est au sol, touchée au ventre, un homme au couteau la dévisageant avec mépris, prêt à donner le coup de grâce. Devant cette scène, je lève mon unique katana que j'ai gardé. Il est trop loin de mon point de saut, je ne l'atteindrais pas. Juste avant de toucher le sol, prit d'un élan héroïque, je lance mon katana.
Changement de point de vue: Shawna:
Je souffre. Je ne pensais jamais ressentir une telle douleur. Cet homme, cet homme des plus abjecte m'a planté un couteau alors que je me battais contre un autre. C'est un male, mais il a moins de couille qu'un eunuque. Il me regarde, avec ce petit air satisfait. Il va me tuer, je le vois dans ses yeux. Pourquoi mourir maintenant, si jeune. Il lève sa lame, prêt à l'abattre sur mon cœur. Mais d'un coup, il arrête son geste. Un bout de métal dépasse de son cœur.
Retour au point de vu d'Alex:
Arrivé au sol, je fais une roulade pour limiter les dégâts de chute et je reprends dans un même mouvement ma lame plantée dans le type. Ne me rendant même pas compte de mon exploit, je me jette pour voir l'état de ma bien aimée. Je n'ai même plus Amélie dans la tête.
-Shawna! C'est moi, tiens le coup, je t'en prie, tiens le coup.
Elle me regarde, les yeux embués de larmes.
Changez de musique https://www.youtube.com/watch?v=2ntKgLxgY9s
-Je suis blessée Alexandre. Très blessée. Mais avant de fermer les yeux.
-Non, tu vas survivre, tu ne peux pas me laisser ici. Tu vas survivre, je t'ai sauvée!!!
-Arrêtes de m'interrompre et écoute moi un peu idiot...
Elle sourit un peu, mais sa voix et saccadée, elle cherche sa respiration
-... je sais qu'on est pas rester ensemble très longtemps, mais je t'ai aimée. Avec toi, j'ai passée les meilleurs moments de ma vie. La nuit qu'on a passé ensemble m'a presque fait regretté toutes les autres. Tu as tes côtés mauvais, comme tout le monde, mais dans le fond, tu restes le meilleur type que j'ai connu de ma vie. Adieu.
Dans un ultime effort, elle lève sa tête et m'embrasse. Une dernière fois. Avant de retomber au sol. En plein champ de bataille, j'hurle de toutes mes forces. Elle ne méritait pas ça, c'est moi qui est fait n'importe quoi en décidant d'exploser ces types. J'étais le chef, c'était à moi de contrôler tout le monde, de prendre une décision sage. C'était à moi de mourir, et pas à elle.
https://www.youtube.com/watch?v=huNsvKYt9as
Je me relève lentement. Mais yeux bouillonnent de rage. Je regarde ces gangsters, ces monstres qui m'ont prit Shawna. Je ne suis plus moi. J'hurle de rage et j'entre dans un état second. Je me jette sur chaque ennemi, ne leur laissant aucune chance. Je frappe avec une vitesse et une force sans égale. Les corps se séparent en deux partis distincts, nos adversaires commence à reculer de peur. Mais pas de retraite accordée à ses monstres. Je continue ma boucherie, suivit par mes amis ayant vu la mort de Shawna. Je n'ai même pas différencié le chef des autres.
Quelques minutes plus tard, il n'en reste plus aucun. Tous mort. Je m'effondre à genoux. Elle est morte. Je n'ai rien pu faire. Je fond en larmes. Pour la première fois depuis des années.
Arthur, partageant ma peine, s'approche du corps de Shawna. Il s'agenouille devant elle, et se penche. D'un coup, il se retourne vers moi et hurle:
-Elle respire encore!

FIN DE LA PARTIE 1