Union for the Alaskan Independence.
Via U.R.S.S.

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Nouvelle Nation Unie d'Abraham

Nouvelles subdivisons administratives

Le pays est divisé en dix-neuf régions administratives appelées "Gouvernorats" chacune dirigées par un gouverneur désigné par le gouvernement comme étant le plus apte à diriger. Selon les gouvernorats il se peut que les critères soient politiques mais aussi religieux ou économiques. Chaque gouvernorats possède un conseil du peuple composé de cent personnes (cinquante choisies parmi les meilleurs travailleurs de la région, vingt-cinq parmi les plus grands intellectuels et vingt-cinq parmi les chefs religieux ou les philosophes). Le conseil du peuple assiste le gouverneur dans sa tâche en menant des sondages pour sans cesse mettre à jour les statistiques du gouvernorat et surtout pour savoir l'opinion populaire sur les décisions du gouverneur, c'est également lui qui vote pour les élections législatives. Deux autres régions à caractère spéciaux existent, le Sud-Liban qui est de jure Libanais mais sous revendiqué par la Nouvelle Nation Unie d'Abraham et les hauteurs du Golan qui sont de jure Syriennes mais qui sont occupées militairement par les forces Israéliennes puis Abrahaméennes depuis 1967.

Les gouvernorats sont :

Al Balqa, capitale : Salt
gouverneur : Sa'd Taymullah Abboud
Al Karak, capitale : Al Karak
gouverneur : Yahyah Radi Shamoun
At Tafilah, capitale : At Tafilah
gouverneur : Anwar Haddad Shamoun
Amman, capitale : Amman
gouverneur : Nuwayrah Nihad Saliba
Ashqelon, capitale : Ghaza
gouverneur : Al Hakam Hamdan Moghadam
Aqaba, capitale : Aqaba-Eilat
gouverneur : Caleb Schwab
Az Zarqa, capitale : Az Zarqa
gouverneur : Shakib Fudail Moghadam
Beersheba, capitale : Beersheba
gouverneur : Kelyn Alter
Galilée, capitale : Nazareth
gouverneur : Iqbal Sha'ban Botros
Haifa, capitale : Haifa
gouverneur : Jonas Moses
Hebron, capitale : Hebron
gouverneur : Israel Peres
Irbid, capitale : Irbid
gouverneur : Sumaira Marzuqah Qureshi
Jéricho, capitale : Jéricho
gouverneur : Seosaph Shulman
Jérusalem, capitale : Al-Quds/Jérusalem
gouverneur : Kahan ben David
Jaffa, capitale : Tel-Aviv
gouverneur : Yehoshua Endelman
Ma'an, capitale : Ma'an
gouverneur : Mu'awiyah Bahiyy al Din Almasi
Madaba, capitale : Ma'daba
gouverneur : Khalisah Huda Kanaan
Mafraq, capitale : Mafraq
gouverneur : Abdul-Nur Naim Mikhail
Nablus, capitale : Naplouse
gouverneur : Hayfa' Rabi'ah Malouf

Nouvelle Nation Unie d'Abraham

Informatisation de l'administration, projets Tameng et Martell

Avec la naissance d’un état aux idées novatrices, il fallait une administration forte, capable de répondre aux demandes du gouvernement. Ne voulant pas se fier à une immense masse de fonctionnaire, système obsolète et couteux, chose démontré de nombreuses fois par les pays d’occident, le gouvernement a décidé de se tourner vers la modernité, profitant du grand avancement d’Israël dans les domaines informatiques. Un nouveau corps administratif vit ainsi le jour. Centralisé en grande partie sur les capacités d’un puissant logiciel unique en son genre. Le logiciel Tameng. Créer par une équipe d’informaticien spécialisé, le logiciel Tameng se trouve être le nouveau corps administratif de la jeune nation. Tameng était chargé d’enregistré et classifié chaque informations qui lui était donné. De même il faisait le lien entre les différentes sous branches de l’administration, étant chargé de traiter et de transmettre les demandes et les réponses pour permettre à l’administration de gagner en souplesse par rapport à avant

Ceci n’étant qu’un point de cette nouvelle administration. Avec les mélanges des populations, l’état s’est mis à recensé sa population en les classifiant selon leur religion et parfois leur culture si il fallait spécialiser. Les personnes n’ayant pas de foi particulière, ou une religion encore non reconnu par l’état étaient tous classé dans un groupe spécial avec une sous division interne. Pour maintenir une bonne connaissance de la population, chaque naissance et décès est minutieusement enregistrés et classifié. Tout habitant est également prié de faire reconnaître son lieu d’habitation, ce qui permet de tenir des comptes détaillés et précis des populations et leur placement géographique. Les groupes d’étrangers travaillant sur le territoire bénéficie d’un statut particulier qui leur demande juste de faire renseigner leur lieu d’habitation général sur le territoire de la NNUA, même s’il est possible que d’autres informations soient prise de manière conventionnel ou non.

Cependant Tameng va beaucoup plus loin. En effet. Pour un côté pratique et, moins conventionnel. L’état possède des dossiers extrêmement complets sur chaque individu. Quasiment toutes les informations d’importance minimum sont enregistrées par Tameng. Ainsi le changement de métier, les études, les spécialités étudiés, les différentes possessions foncières, les pays visités. Toutes ces informations sont classifiés avec minutions par le système. Il est très facile pour le système administratif de retracer la vie complète d’un individu par son seul dossier. En plus une case ethnie a été rajouté, cependant par souci de réputation, cette partie est confidentiel ainsi que de nombreuses autres informations qui pourraient être jugé beaucoup trop personnel par l’opinion publique. Dans un même ordre il est primordial de déclarer son orientation sexuelle. Ceci n’est pas à but discriminatoire mais bien à but pratique, pour éviter tout problème comme dans les corps de l’armée par exemple

Un logiciel particulier appelé Martell, a été développé juste après la proclamation de l’état. C’est un système complexe mise en place par des informaticiens spécialisés sous la surveillance accrue de l’ancien Mossad qui veillait sur le projet. Ce logiciel a une double fonction. La première est de pouvoir désigné parmi les catégories de population selon leur corps de métier et leur fonction, si ils peuvent être sélectionné par le hasard. Ainsi le logiciel fait un premier tri, désignant les gens selon leur dossier en ligne minutieusement conservé qui lui permet de mieux faire un premier groupe. Le reste de la pré sélection se fait par des employés humains responsables. Ensuite le logiciel Martell a pour deuxième fonction de désigner, par le biais du hasard, une liste de 10 potentiels candidats au ministère parmi le groupe pré sélectionné. Ainsi le logiciel Martell est l’un des plus sécurisé du pays, constamment entretenu par une équipe d’informaticiens spécialisé.

L’administration se divise également entre les différents districts du pays, ainsi qu’au niveau gouvernemental et national. Cette division était nécessaire pour le bon fonctionnement du pays. Chaque division se retrouvant sous le contrôle d’une administration centrale chargée de coordonner les échanges d’informations entre les différents corps et la communication. Cependant l’administration engage le moins de personne au possible. Commençant plutôt à recruter dans l’informatique pour faire fonctionner ses serveurs et la tentaculaire administration informatique du pays. Mais malgré la réforme il reste encore de nombreux postes plus classique qui vont du simple gratte papier au chef de section

République Fédérative du Brésil
L’éthanol est produit par la fermentation de plantes comme la canne à sucre. Le biodiesel, lui, est issu des huiles végétales contenues par exemple dans le soja. Et le Brésil a développé ces filières dès les années 70, avec un véritable lancement de la production après le premier choc pétrolier de 1973. Il est devenu en fait le premier pays au monde à produire des véhicules fonctionnant exclusivement à l’alcool. Le programme industriel se nommait alors Pro-Alcool, et il visait à substituer l’éthanol à l’essence traditionnelle.
Et de plus, à partir de 2003 le pays a introduit à l'échelle nationale un moteur polycarburant, dit flex-fuel, qui fonctionne indifféremment à l’essence, à l'éthanol, ou à un mélange des deux. Résultat, aujourd’hui, 90% des véhicules neufs vendus au Brésil sont flex-fuel, et d’ailleurs, les consommateurs brésiliens à la pompe achètent aujourd'hui plus d’éthanol que d’essence. Cette production destinée à l'éthanol s’est accrue de manière régulière, ces dernières années. Et aujourd’hui, l’éthanol incorporé à l’essence au Brésil l'est à hauteur de 25 %.
En plus d’être le deuxième producteur mondial d’éthanol, le Brésil en est aussi le premier exportateur : En 2007/2008, le pays a exporté près de 20 % de sa production, surtout vers son premier client, les Etats-Unis.Mais à terme, c’est l'Union européenne qui va former un marché très attractif, avec la décision du Parlement de Bruxelles de faire passer la part des agrocarburants dans la consommation des véhicules européens, de 2 % en moyenne aujourd'hui, à 10 % d’ici 2020.
Le Brésil est un pionnier en agrocarburant et compte en faire un des secteurs les importants d'ici quelques années. Dans cette optique le Brésil fera voter une loi au Congrès National: Tout véhicule neuf mis en vente devra obligatoirement avoir un moteur flex-fuel afin de contribuer au développement des énergies renouvelables. De plus, le gouvernement s'est donné comme objectifs de doubler l'incorporation de l'éthanol à l'essence, la faisant passer de 25% à 50%.
Le Ministre des Transports, avec le soutient de la Ministre de l'Écologie, annonce que l'Etat subventionnera le développement de turboréacteur flex-fuel en collaboration avec Embraer avec de réduire la consommation de kérosène dans le ciel brésilien.

République Fédérative du Brésil
L'économie du Brésil est très tournée vers la production de matière première dont le pays dispose en grand nombre (pétrole, minerai ect.), mais l'Etat sait qu'il doit développer une économie diversifié afin de posséder une compétitivité à toute épreuve. Le gouvernement s'est donc tournée vers l'exemple du Japon.
Les immenses groupes (Toyota, Fujitsu, Nissan, Honda, Mitsubishi, Canon, Panasonic, Sony, Akai, Sharp, Nintendo, etc.) édifiés sur cette modeste surface placent le Japon parmi les grandes nations industrielles : première place mondiale pour l’automobile, l’électronique, deuxième place pour la construction navale (cargos, porte-conteneurs, pétroliers…). C’est aussi une économie de services très diversifiée et compétitive, particulièrement performante dans les secteurs de pointe.
L'Etat veut donc développer au plus vite un secteur pointe, et s'inspire de l'organisation japonaise pour cela:
-Mettre en place des "unificação", ce sont des conglomérats, formés d'une multitude d'entreprises diverses, généralement liées entre elles par des liens financiers tissés à partir d'une banque. Cette banque dispose d'un contrôle important sur les entreprises des unificação, agissant comme une entité de surveillance et un prêteur de court-terme. Ces groupes disposent de sociétés de commerce, qui prospectent les marchés mondiaux. Les unificação s'appuient sur des réseaux de PME très dynamiques, sous-traitantes et parfois familiales. Ils seront utiliser pour facilité les liens entre industriels, sous-traitants et distributeurs.
-Mettre en place de puissants syndicats d’entreprise, avec peu de conflits et une culture du dialogue, ainsi qu'un mouvement de revendications salariales annuel s'inspirant de la shuntō au printemps au printemps japonais.
-Mettre en avant de forts investissements dans la recherche et le développement. Dans ce cas là le gouvernement a annoncé que le pourcentage du PIB accordé dans l'investissement dans la R&D passerait de 1.2% du PIB à 2.5%, se rapprochant de l'investissement des USA (2.8% en 2011).

On sent les postes non modifié avec Empire au milieu

Montée de l'AID, élimination des services secrets Jordaniens

Avec la création du nouvel état, il devint vite évident qu’une des deux agences de renseignements devait disparaître. Pour des problèmes d’unité et de secret d’état, il était impossible de les faire fusionner. Ainsi il fut décidé que ce serait le Mossad de l’ancienne Israël qui représenterait la base de la futur AID, ou Abraham Intelligent Department. Les anciens membres des services secrets Jordaniens seront pour la plupart assassiné, les meurtres devant passer pour des accidents. Cependant certaines personnes sans intérêt particulier ou ne représentant pas de menace furent simplement licenciés, et d’autre très rares furent transféré à l’AID selon des critères particuliers qui garantissaient leur fidélités, ils participèrent à l’épuration des services secrets du pays. Furent également éliminé des officiers et certaines têtes du Mossad, jugé non sûr en raison de leur attachement à l’ancienne Israël. Ceux-ci furent donc assassinés de façon diverse également et remplacés par des personnes compétentes et fidèles à la nouvelle nation.

Cependant l’AID ne se contenta pas de reprendre entièrement la structure du Mossad et changeant seulement de nom. L’agence s’agrandit encore, profitant de la puissance de l’ancien Mossad pour se développer encore plus. Près de 2500 personnes furent compté dans l’agence en tant que membre à part entière et ce sans compter les agents extérieurs. Tous étaient tenus au secret absolu quant à leurs activités. Et ceux qui étaient soupçonné de vouloir parler avaient de grande chance d’être retrouvé étouffé dans leur lit ou d’avoir un accident de la route. L’agence se divisait en plusieurs départements travaillant en totale coordination et possédant chacun son propre directeur responsable et n’ayant d’ordre à recevoir que du président, du premier ministre ou du conseil dirigeant de l’AID.

Le premier département était le département administratif. Nommé Ayin, il se divisait en plusieurs groupes avec leur missions spécifique, totalement séparé les uns des autres pour éviter toutes transmissions d’information secrètes. Le premier groupe s’occupait de l’administration interne de l’agence, les documents à leur disposition pouvait aussi bien être l’achat des nouvelles machines à café que des documents jugés secret défense, cela variant selon leur niveau d’accréditation. Un deuxième département était chargé de s’occuper des parties secrètes de Tameng et dans un second plan devait protéger ce logiciel ainsi que Martell de toute attaque pirate, tout en gérant les informations qui pouvaient être transmise à l’AID dans le cadre d’une opération quelconque. Enfin un troisième groupe était chargé des informations extérieurs, transmise autant par des informateurs extérieurs que par des rapports officiels. Ils avaient la charge de classifié le tout, ainsi que de s’occuper de transmettre ces informations si besoin.

Le second département fut celui du renseignement et donc par extension de l’espionnage pure. Les acteurs directs étaient des agents polyglottes entraîné et formé par l’AID pour des missions pouvant s’étaler sur des durées allant d’une semaine à plusieurs années. Certains agents pouvaient être envoyés pour une simple mission, tout comme être envoyé infiltré une structure étrangère sur de longues années pour pouvoir se hisser à un haut rang. Cependant l’information passait aussi par l’infiltration au sein même des pays étrangers par la corruption de certains de leurs membres, ou le détournement d’information. Les étrangers travaillant pour l’AID n’étaient pas considérés comme des membres à part entière par l’agence mais étaient tout autant soumis à un risque d’exécution brutal et immédiat en cas de trahison ou d’un quelconque double jeu. Il arrivait que certaines personnes travaillent pour l’AID sans le savoir par la simple manipulation et la transmission de fausses informations. Les agents de l’AID étaient souvent amenés à travailler en coopération avec les contacts dans les différent pays espionnés. Ainsi il pouvait plus facilement infiltrer leurs cibles avec le soutien intérieur de leurs agents étrangers. Tous les dossiers des agents de l’AID sont classifiés top secret et protégé en conséquence. Il n’est pas rare que leurs dossiers soient effacés de Tameng pour leur protection et la plupart d’entre eux possèdent de multiples identités pour leur permettre de mieux agir.

Le troisième département était le bras armés de l’AID. Leurs agents sont donc des personnes formés par l’AID pour servir dans des missions plus sensibles. Cependant leurs actions ne se limitent pas seulement à l’assassinat. Elle peut aussi passer par le rapt, le sabotage, l’intimidation ou même la protection. Certains sont plus polyvalents et capable de plusieurs types de missions. Mais la plupart sont spécialisés dans un domaine particulier. Il est évident qu’ils sont tous polyglottes et font autant preuve de capacités mentales que physiques. Ils travaillent souvent en étroite collaboration avec le département du renseignement pour les aider dans leurs missions. Cependant, l’identité de la plupart des assassins et saboteur est totalement inconnus et classifié secret absolu. En s’engageant ils perdent souvent leurs identités pour en adopter une toute nouvelle, devant la plupart du temps laisser derrière eux leurs anciennes vies. Cependant comme tout membre de l’AID ils sont traçable par l’agence qui peut ainsi très facilement les retrouver pour les mettre à mort en cas de trahison. Ils disposent de très nombreux moyens pour arriver à leurs fins, certains sont recrutés également dans d’autre pays si le besoin s’en fait sentir, mais en règle général ceci devront mourir au terme de leur mission.

Le quatrième département était celui dédié à l’informatique et tout ce qui s’y rattachait. Travaillant souvent avec le département administratif, ils sont chargés de la protection de Tameng. Leurs rangs sont constitués d’individu allant du petit geek de base à des hackers très performant. Ils sont donc aussi bien chargé de protéger les secrets du pays avec leur logiciel, que de rassembler des informations par le piratage. Ils peuvent également servir à mener des attaques informatiques contre des services de façon plus ou moins massive et à des fins diverses. Ils peuvent ainsi travailler avec quasiment tous les départements.

Le cinquième département avait pour mission de recruter et de former des agents. Il est divisé entre différents groupes chargés de missions différentes. Le recrutement d’un informaticien n’ayant rien en commun avec l’enrôlement d’un agent étranger, ou l’entraînement d’un assassin. Le système de formation des tueurs et saboteurs de l’AID était un secret particulièrement bien sauvegardé et les entraîneurs eux-mêmes ont des identités spéciales. On sait seulement qu’il est extrêmement éprouvant. Le département emploie des méthodes radicalement différentes pour recruter les futurs agents de l’AID et la façon dont ils procèdent est plus ou moins soumis à un degré de secret.

Le sixième département était un peu particulier par rapport aux autres. Les leaders de l’AID le considéraient comme une expérience en soi. Techniquement, c’était un département dont les rangs étaient constitués de petits génies. Leurs travails pouvaient prendre des formes très diverses et ils travaillaient avec tous les groupes quasiment. Parfois chargé d’analyser le comportement d’un agent adverse pour essayer de prévoir ses futurs actions, parfois montant de nouvelle techniques, parfois suppléant les équipes du quatrième département, parfois chargé de faire des profils différents sur les agents de l’agence ainsi que sur des individus étrangers importants.

Le septième département était l’un des plus importants et surtout l’un des plus secrets. Il était sous simplement dédié au contre-espionnage. Aussi bien au niveau national, qu’avec les aides étrangères, ou au sein même de l’agence. Les membres du contre espionnages pouvaient être à n’importe quel poste dans la société de la NNUA, et quelques agents de chaque département étaient des membres du contre-espionnage, chargé de contrôler et d’espionner leurs camarades en toute discrétion. Le département possède ses propres assassins pour régler toute tentative de trahison, des informaticiens pour surveiller le réseau informatique, etc. C’est le département avec le plus de pouvoir et possédant de facto le plus de moyen et le plus d’influence. Il est possible que ce département mène des opérations au sein même de l’agence en se faisant passer pour des puissances étrangères tâchant de s’acheter leur services, ou transmettant de fausses informations pour savoir qui les communiquera, et ainsi débusquer les traîtres ou éventuel traîtres. L’identité des membres de ce département était particulièrement protégé.

Enfin venait la haute administration. Dans ce groupe pouvait être amené les directeurs des différents département, ainsi que des officiers et des hauts placés de chaque groupes. A leur tête se trouvait donc le directeur de l’AID, chargé avec ses aides d’organiser des opérations diverses, mais aussi d’exécuter les ordres de la Présidente et du Premier Ministre.

République Fédérative du Brésil
La présidente Dilma Roussef accompagné de son Premier Ministre et de son Ministre de l'Intérieur a annoncé la création d'une agence gouvernementale indépendante visant à garantir la sécurité du peuple brésilien et de ses secrets et la collecte d'informations et de données.
Le "Système Global de Sécurité" (SGS) est dirigé par Fernando Silvio, ancien membre des forces spéciales.
Affiliations: Aucune (Indépendante juridiquement du gouvernement brésilien)
Siège: Curitiba dans l'état du Parana.
Employés: Classifié
Budget annuel: Classifié
Activités: Renseignement et Protection d'information
Sous la Responsabilité du Ministre de la Défense

Brésil via Inde
Nous serions ravi d'entamer des discutions avec votre nations le plus tôt possible afin de trouver une solution à la nouvelle guerre froide qui s'annonce.

J'en ai oublié un seul

Je peux prendre l'Albanie ?

Oui.

Ok merci je commencerais demain.

États-Unis d'Amérique

Operation Cleaning Shit

Envoi de la Garde Nationale en Alaska ainsi que de la CIA et du FBI (ces 2 organisations agissent en mode secret, après un appel personnel de l'administration Walker) dans l'État du 'Nord vers l'Avenir'. Les locaux du parti séparatiste 'alaskain' sont saisis, les documents sont envoyés à Washington et des documents officiels font état d'une possible menace communiste à l'intérieur même des États-Unis d'Amérique, le mouvement est également soupçonné d'être financé par la Russie. Les membres du Parti sont arrêtés activités illégales, haute trahison, ainsi qu'activités pédophiles. Effectivement, le FBI, en arrivant aux locaux du parti, a fabriqué de fausses preuves, en dissimulant des clichés de jeunes fillettes accrochés un peu partout dans les bureaux du 'parti', ainsi qu'en installant des logiciels permettant l'installation de vidéos pornographiques dans les ordinateurs des fonctionnaires. Un document de 260 pages sera rédigé par le Bureau, dans le but de mener des accusations concrètes contre le parti et ses membres et lier les preuves à ces mêmes accusations. Les membres du 'Mouvement patriotique alaskain', du moins une partie de ceux-ci, sont arrêtés pour haute trahison et activités anti-américaines. L'état d'urgence est déclaré en Alaska, la Garde Nationale est déployée et l'armée circule dans les rues, même si la menace est quasi-inexistante. Pendant plusieurs jours, des véhicules d'infanterie blindés 'Stryker' circulent dans les rues d'Anchorage et des drones survolent les grands massifs de l'Ouest Américain, pour surveiller une quelconque menace de guérilla antiaméricaine qui pèserait sur l'État de l'Alaska. Aucune menace n'est détectée. La vie normale reprend son train dans l'État.

Politique Intérieure

La crise en Alaska a suscité énormément de questionnements et de doutes, du président Barack Obama lui-même, qui a accusé Bill Walker et son administration d'avoir organisé une 'mascarade géante' et d'avoir utilisé des techniques digne de l'Union Soviétique pour questionner un simple mouvement. À la suite de ces déclarations, le président Obama a été accusé d'être passif, de diviser toujours plus les institutions américaines et de vouloir accentuer la répression vis-à-vis du droit aux États d'intervenir dans des situations rares de cette ampleur. Le vote républicain monte en flèche en Alaska, les citoyens étant très rassurés des perquisitions effectuées dans les locaux du parti. Cependant, la popularité des Démocrates en prend un gros coup, accusés d'avoir tout fait pour contrecarrer la disposition de l'Alaska vis-à-vis la présence de ses forces militaires et policières. Les américains les plus paranoïaques accusent même Barack Obama d'avoir sollicité l'aide de l'Union Soviétique pour stopper cette intervention. Une confrontation aura lieu entre républicains et démocrates au Congrès concernant l'arrestation de 'traîtres à la Nation', et le sort que sera réservé aux suspects. La Cour Suprême des États-Unis a tranchée de son côté, souhaitant envoyer ces hommes en prison, certains risquant 40 ans de prison. Barack Obama entend passer par un décret présidentiel; chose qui pourrait être bloquée par la majorité républicaine au Congrès qui menace de boycotter les prochaines sessions si Obama en venait à cet acte.

Natchud Maintenant on va être tout les deux perdants.

Tu veux mes bons vieux fusils brésilien ?

Union des Républiques Socialistes Soviétique

Nous félicitons encore une fois les Etats-Unis d'Amérique pour avoir démontré au monde entier qu'il était bien le contraire d'une nation libre et démocratique : le pseudo "Pays de la Liberté" ne tolère donc pas que des membres de sa population veuillent obtenir l'indépendance, comme ils ont eux même démembrer la Serbie pour créer le Kosovo ce pseudo-pays servant d'antenne au libéralisme impérialiste.

Peuples du monde, réveillez vous; Aujourd'hui l'Alaska demain l'Ecosse et bientôt le Monde, les USA ne feront pas durer indéfiniment leur supercherie pseudo-démocratique.

John Henry Aiden.
Vice président de l'U.A.I.

Alors que le vice président de l'U.A.I. était en voyage d'affaires en Italie, il apprit avec inquiétude ce qu'il s'était passé en Alaska, dans ses propres locaux. Quelques minutes plus tard, il prit la route en direction de l'aéroport le plus proche pour se réfugier en U.R.S.S.

Via U.R.S.S.

Nous avons besoin de vous en Alaska, mes collègues ont été arrêtés injustement par les forces américaines et ça ne serait tarder pour moi. Je vous implore d'accepter que je me réfugie dans votre belle et puissante nation.

Union des République Socialiste Soviétique

Article 129.

L'URSS accorde le droit d'asile aux citoyens étrangers persécutés pour la défense des intérêts des travailleurs ou pour leur activité scientifique, ou bien pour la lutte en faveur de la libération nationale.

En vertu de l'Article 129. de la Constitution Soviétique de 1936-2015 nous accordons à John Henry Aiden, vice président de l'UAI, groupe de lutte pour la libération nationale de l'Alaska terre colonisée par les impérialistes américains, le droit d'asile en URSS.

Nous appelons les Etats Unis à cesser cette pantalonnade éhonté qui consiste à faire des descente de l'armée dans les locaux de partis politiques dont les intérêts ne sont pas convergents avec ceux des lobbys financiers du pétrole et des banques qui dirigent "la Maison Blanche"

Il n'y a aucun groupe de lutte, tout le monde a été arrêté.

COUCOU TCHERNO TU TE SOUVIENS DE MOI PD ?

je jouais le Danemark en 2013