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Sujet : [Story] L'Autriche au sommet

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Barcelone97 Barcelone97
MP
Niveau 20
17 décembre 2019 à 18:16:22

Non mais le problème c'est que si tu fais la fête en public après une défaite ça donne l'impression que tu en as rien à foutre, et donc ça démotive l'équipe. Et ça Red Bull peut pas se le permettre. Et c'est une des responsabilités de Niki de motiver son équipe, même si il n'est pas encore 100% écouté (en même temps, à lui de faire ses preuves avant de considérer qu'on doit le suivre comme le messie).

DorotheaWierer DorotheaWierer
MP
Niveau 17
17 décembre 2019 à 18:45:54

Je comprends le point de vue. Mais là Niki fait la fête en premier lieu pour son pote Luca. Et c'est vrai aussi qu'il a pas de scrupules à le faire après un échec, mais plus pour relâcher la pression et repartir fort au travail derrière, pas pour dire "j'en ai rien à foutre".

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
17 décembre 2019 à 18:48:42

Reste à voir si Niki en a quelque chose à foutre :hap:
Réponse demain entre 17h et 18h, direction la Turquie, qui fait son retour après 13 ans d'absence :cool:

Barcelone97 Barcelone97
MP
Niveau 20
17 décembre 2019 à 19:25:54

Le 17 décembre 2019 à 18:45:54 DorotheaWierer a écrit :
Je comprends le point de vue. Mais là Niki fait la fête en premier lieu pour son pote Luca. Et c'est vrai aussi qu'il a pas de scrupules à le faire après un échec, mais plus pour relâcher la pression et repartir fort au travail derrière, pas pour dire "j'en ai rien à foutre".

Oui mais ça donne l'image inverse aux médias, aux gars de l'équipe, aux actionnaires. Et ça il aurait dû en avoir conscience. :oui:

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
17 décembre 2019 à 19:50:44

Le 17 décembre 2019 à 19:25:54 Barcelone97 a écrit :

Le 17 décembre 2019 à 18:45:54 DorotheaWierer a écrit :
Je comprends le point de vue. Mais là Niki fait la fête en premier lieu pour son pote Luca. Et c'est vrai aussi qu'il a pas de scrupules à le faire après un échec, mais plus pour relâcher la pression et repartir fort au travail derrière, pas pour dire "j'en ai rien à foutre".

Oui mais ça donne l'image inverse aux médias, aux gars de l'équipe, aux actionnaires. Et ça il aurait dû en avoir conscience. :oui:

Niki...avoir conscience de quoi que ce soit ?
J'apprécie la naïveté mais là ça fait 270 épisodes quand même. :hap:

Barcelone97 Barcelone97
MP
Niveau 20
17 décembre 2019 à 21:05:13

J'avoue. :hap:

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
18 décembre 2019 à 17:27:29

Saison 7 : https://docs.google.com/document/d/1KZi5n0g1M9dJ-3vZO_PDAyQRutLPMqfoXFlNWozXvdM/edit?usp=sharing

:mac: 2024 (S7), Chapitre 9 (n°271) : Point de départ :mac:

Comment dire ? J’ai dit non. Juste non. Mon cousin est une chèvre, le mot est cru, mais force est de constater que sa carrière ne se fera pas en monoplace. Ce n’est juste pas possible. Je ne dis pas qu’il est mauvais, peut-être sera-t-il un excellent pilote de stock-car, de Nascar, d’Endurance ou de Porsche Cup, mais la monoplace, c’est non. Il est nul, ça s’est vu l’an dernier et toute l’année j’ai regretté mon coup de piston. Peu de temps sera nécessaire pour que les médias établissent une collusion entre Andreas Ebner et Niki Kofler et ça nuirait encore plus à ma réputation - est-elle vraiment à ça près ? - d’apprendre que j’aide mon cousin à obtenir des contrats.
Andy est abattu, mon parrain et oncle Christian est en colère mais, comme d’habitude quand il s’agit du fameux “troisième prodige avec du sang Ebner” , il n’y a que mon père qui est d’accord avec moi sur le sujet. Je reste persuadé d’être le mieux placé pour savoir s’il mérite ou non cette deuxième saison en F3 parce que, après tout, je suis le seul de la famille qui sait juger un pilote pour de vrai. Andreas était très doué il y a deux ans en Audi Cup et je ne comprend pas pourquoi il s’entête en monoplace alors que sa seule forme de talent semble s’exprimer en GT.

Pour en revenir à la F1, cette fois, c’est la Turquie qui nous attend. Treize ans après, voilà la F1 de retour ici, sur l’Istanbul Park. D’abord vendu à des concessionnaires, le circuit a été racheté par la TTOK - la fédération turque - et voici un moment attendu par beaucoup de fans. Personnellement j’ai hâte car Istanbul est selon moi l’un des meilleurs tracés d’Hermann Tilke au même titre qu’Austin, Sepang et le feu tracé de Valence : j’ai toujours rêvé de piloter ici et c’est sur le point de devenir réalité. Bien évidemment, je redoute que les médias me tombent dessus après les événements de Melbourne mais j’ai des gardes du corps de fortune qui s’occupent de ça. Au sein de l’équipe, je sens bien qu’on me regarde de travers et, avant de me retrouver avec le monde entier à dos, je ferai mieux de corriger ce détail qui tue : 21 KOFLER 0PT. C'est ce que je vais m'efforcer de faire au long de ce week-end.

Dimanche 14 avril 2024, Otodrom Istanbul Park, Istanbul
Le début du week-end s’est bien déroulé. Dans une saison décidément étrange, j’alterne entre bonnes et mauvaises qualifications et, comme au Bahreïn, j’ai pu profiter hier d’une bonne séance : je me suis bien débrouillé pour terminer la qualification à la septième place. Ce n’est pas étincelant mais ça a suffi pour fermer quelques bouches qui affirmaient déjà que j’étais devenu un “party animal” (une sorte de machine à beuveries, en français) dépourvu de tout talent.
Puisqu’il en faut un qui ne s’en sort pas chez nous, il faut donc que ça tombe sur Sergio. Le pauvre n’a même pas pu se qualifier hier, la faute à une sortie spectaculaire dans le quadruple gauche causée par une rupture inexplicable de suspension qui vient encore illustrer la risible situation sportive face à laquelle nous nous trouvons. J'ai quelques flashbacks de McLaren au début des années 2000 qui fournissaient une voiture en kit au pauvre Räikkönen, la différence étant que les voitures grises et noires étaient rapides quand elles étaient en bon état. Ici, ce n'est pas encore tout à fait le gars avec nos RB20.

Grille de départ :
1 Ricciardo (FER) 2 Verstappen (AUD)
3 Leclerc (FER) 4 Ráfaga (AUD)
5 Ticktum (REN) 6 Vandoorne (REN)
7 Kofler (RBR) 8 de Vries (MCL)
9 Ocon (SAU) 10 Pöpfer (SAU)
11 Gasly (AMR) 12 Russell (MCL)
13 Wighels (AMR) 14 Sigthorsson (HAA)
15 Maini (CHR) 16 Zoranovic (WIL)
17 Pérez (HAA) 18 Schumacher (DAL)
19 Gelael (WIL) 20 Ghiotto (DAL)
21 Zhou (CHR) 22 Sette Câmara (RBR)

Mon envol est assez médiocre et je dois concéder la septième place à Nyck de Vries immédiatement. Pas résigné pour autant, je parviens à former un quatuor avec Nyck et les deux Renault, en prenant mes distances avec les Sauber, Aston et compagnie. Au bout de quelques tours, le neuvième n’est autre que mon bourreau de la saison passée, George Russell, privé de Q3 hier pour une erreur stratégique stupide mais qui a un rythme suffisant pour recoller pendant que je suis occupé à me crêper le chignon avec mes deux anciens rivaux de Formule 2 pour la sixième place. Vandoorne prend quant à lui un peu d’avance au cinquième rang.

Les tours s’enchaînant, notre bataille à quatre - Russell s’étant invité entre temps - peine à se résoudre et le temps coûté est un peu dommageable mais, pour la première fois de la saison, je semble oublier les problèmes de maniabilité de ma voiture, noyé dans cette lutte fratricide que nous menons. Vers le tiers-course, nous gagnons une place grâce à l’abandon sur casse mécanique de Stoffel - le deuxième consécutif - qui vient là confirmer un début de saison pas idéal pour Renault. Dans le même temps, Ticktum commence à perdre du terrain sur le trio formé par les deux McLaren et ma Red Bull.

Une fois les arrêts aux stands effectués - hormis pour George qui est parti en durs et qui ne s’arrêtera qu’en fin de course - je m’attaque pleinement à son équipier, qui se révèle toutefois être beaucoup plus coriace que je n’aurai jamais pensé. Nyck n’est pas un méchant, que ça soit sur ou en-dehors des pistes, mais aujourd’hui sa défense est magistrale et ma numéro 7 ne parvient pas à trouver l’ouverture. Sur un circuit où les opportunités de dépassement n’existent que pour les plus téméraires, je ne prend pas trop de risque de peur de gâcher ce qui semble être mon premier résultat correct de la saison.

Le reste de la course se révélera des plus ennuyants ; Nyck finit par me décrocher et ma course se résume à prier pour que Ticktum retienne un Russell en pneus tendres derrière lui. Cette mission étant accomplie par Dan, je me dis que je vais terminer sixième et, même si ça n’est pas extraordinaire, ça me convient dans le contexte récent. Néanmoins, mon visage s’illumine à deux tours de la fin quand je dépasse un Verstappen au ralenti, l’Audi du batave terminant sa course à côté des rails de sécurité pour une panne d’alternateur qui le prive d’un podium et aussi de la tête du championnat.

C’est donc quatre courses qu’il m’aura fallu pour enfin ouvrir mon compteur dans cette saison où tout va décidément de travers. Cinquième ce n’est pas grand-chose, la saison dernière ç’aurait même été un résultat décevant, mais je m’en contente car ça me permet de repartir sur de bonnes bases pour les courses suivantes. En plus, si l'on regarde derrière, j'ai battu le champion du monde sortant alors qu'il fait pourtant partie des pilotes à la lutte pour la victoire en temps normal. Aussi anodin qu’il puisse paraître, ce résultat a fait taire du monde, que ça soit au sein même de mon écurie ou dans le carré médias.

Classement final du Grand Prix :
1 Leclerc (Ferrari)
2 Ricciardo (Ferrari)
3 Ráfaga (Audi)
4 de Vries (McLaren)
5 Kofler (Red Bull)
6 Ticktum (Renault)
7 Russell (McLaren)
8 Gasly (Aston Martin)
9 Ocon (Sauber)
10 Sette Câmara (Red Bull)

Championnat pilotes https://image.noelshack.com/fichiers/2019/51/3/1576685591-04-tur-1.png Championnat constructeurs https://image.noelshack.com/fichiers/2019/51/3/1576685603-04-tur-2.png

Journaliste : Niki, elle est belle, cette course, pour répondre à vos détracteurs ?
Niki : Répondre je ne sais pas, en tout cas pour leur prouver que je suis encore vivant ce n'est pas mal, oui. Ce n’est pas le moment de s’enflammer, ce n’est que la deuxième course satisfaisante sur quatre, c’est la première avec une issue positive, maintenant il faut enchaîner. Je suis bien placé pour dire ça étant donné que j’ai toujours à peu près réussi à confirmer dans des situations pareilles mais, maintenant que le compteur a décollé du zéro, j’espère que c’est parti pour de bon.
Journaliste : Il reste encore dix-neuf courses mais, pour le titre, ça semble compromis, non ?
Niki : Ca semble compromis, comme vous dites, mais il ne faut jamais dire jamais. Un accident par ci, une crevaison par là et beaucoup de choses peuvent se passer, même si c’est peu probable. Je vous rappelle que Sergio Pérez et Haas ont gagné un Grand Prix il y a quinze jours !
Journaliste : Après une tempête à cause de votre soirée arrosée après le Grand Prix d’Australie, vous aviez à coeur de remettre les choses d’équerre, j’imagine ?
Niki : Tout à fait, on a essayé d'entacher ma réputation, des gens ont été virulents à mon égard en prétendant que ma situation compliquée devrait m’inciter à travailler au lieu de faire la fête, certains ont cru que je me désintéressais de la situation dans laquelle l'écurie se trouve mais je crois que la course d’aujourd’hui est un bon contre-exemple de cela. Quand tout est aligné, je reste capable de faire quelques bonnes choses, maintenant le tout est de s'assurer, main dans la main avec l'équipe, que tout soit aligné aussi souvent que possible. Si je peux me permettre, j’ai déjà montré que je faisais partie du gratin dans ce paddock et ça m’a blessé qu’on vienne remettre cela en question à cause d’une petite erreur de jugeote. Je ne suis peut-être pas si étincelant que l’an dernier mais je reste convaincu de ma capacité à mener ce projet à bien au fil du temps. Je crois que certains ont mélangé des choses, dans l’affaire. Ce n'est pas un verre bu avec des amis de temps à autres qui fait de moi un pilote lambda ou un élément perturbateur, je reste pleinement concentré sur la mission qui nous attend.
Francesca : Certains pilotes ont acquéri une réputation de fêtards tout en faisant de grandes carrières, est-ce que vous pensez que ça pourrait être votre cas ?
Niki : Je ne suis pas vraiment ce genre de types, je pense que je me lasserai réellement si mes virées nocturnes devenaient une habitude. Je m’en suis sevré pendant plus d’un an alors je ne m’attendais pas à ce qu’on me tombe dessus pour une sortie occasionnelle, mais ce genre de moments peut facilement vous causer des ennuis, vous pouvez...vous pouvez facilement vous retrouver dans de sales draps. Ca ne me convient pas trop, je n'aime pas avoir à me justifier de mes actes en public. (rires)

Ce sourire échangé avec Francesca était nerveux mais ça m’a détendu. Il y a un truc qui s’est délié en moi au moment où j’ai dit ça. Elle avait le sourire jusqu’aux oreilles en posant sa question, j’étais pareil en répondant, au moins ça permet de détendre un peu l’atmosphère alors que je ne suis pas vraiment à l’aise de continuer à parler de cette nuit melbournienne. Après toutes les activités médiatiques, j’ai retrouvé Francesca, on a reparlé de ce qui s’est passé mais je lui ai affirmé une chose : bien qu’elle soit canon, je n’imagine rien de sérieux entre nous. A l’heure actuelle, je ne ressens rien d’autre que des pulsions corporelles, des désirs un peu bestiaux pour elle, de même pour Josephine. Cette dernière ne sait rien de mon léger dérapage australien mais elle n’a de toute façon pas son mot à dire car, dans un cas comme dans l’autre, je n’envisage rien de sérieux. Tout ce que j’envisage, au sortir de ce week-end, c’est de confirmer ce bon week-end et de remettre ma saison sur les rails. Après le dernier briefing post-course, je reste à discuter quelques instants avec Richard dans le paddock.

Richard : Tu as remis les choses dans l'ordre, enfin. J'avais fini par croire que tu étais mort cet hiver et qu'on avait embauché ton sosie pour faire comme si de rien n'était.
Niki : Tu as douté de moi ?
Richard : Pas douté, mais disons que j'ai placé ma carrière entre tes mains et que tu as causé pas mal de bazar en relativement peu de temps. Maintenant je pense qu'on t'a récupéré, ça devrait commencer à aller mieux.
Niki : J'espère bien. Tu crois qu'ils m'en veulent encore ?
Richard : Ces gamins t'en veulent depuis février, ce n'est pas une cinquième place qui va les faire changer d'avis...Au pire du pire, contente-toi de faire le boulot de manière professionnelle et ça ira, mais je pense qu'ils commencent à comprendre qui ils ont en face.
Niki : Et qui est-ce qu'ils ont en face ?
Richard : Un autrichien amputé d'une partie du cerveau mais qui sait se servir des autres morceaux. C'est dommage que les médecins aient enlevé les cellules qui gèrent le contact social et la politesse, parce que sans ça tu serais presque impeccable...
Niki : Fous-toi de moi, vas-y.
Richard : Je ne me fous pas de toi, je dis juste que tu as déçu un tas de gens qui voyaient en toi le gendre idéal. Beau gosse, souriant, professionnel, pilote rapide, pour eux tu étais l'élu. Je suis persuadé que certains fans étaient prêts à te présenter leur fille et à t'offrir leur main avant le début de l'année, maintenant tu n'attires probablement plus grand-monde.
Niki : J'aurai de nouveau ces gens à mes pieds dès le prochain podium, c'est bien connu en F1.
Richard : Et quand est-ce que tu comptes l'obtenir, ton podium ?
Niki : Plus tôt que tu ne peux l'imaginer...

Message édité le 18 décembre 2019 à 17:29:24 par Haryanto
Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
18 décembre 2019 à 17:28:13

Niki est de retour bande de https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/3/1522269369-memphischut.png
Reste à voir si c'est un vrai départ ou si le karma se chargera de lui très prochainement :hap:

dsmii dsmii
MP
Niveau 10
18 décembre 2019 à 18:37:17

Certains pilotes ont acquéri de fêtards

Le traducteur parlait le français comme une vache italienne aujourd'hui. :hum:

Je note que Niki est confiant pour une nouvelle magnifique performance dans le championnat en partant de la fin, c'est bien. :oui:

[-Monarch-] [-Monarch-]
MP
Niveau 10
18 décembre 2019 à 20:15:55

Le récit de la course est un peu expédié pour du Istanbul mais bon après Melbourne c'était prévisible. Mais surtout... PUTAIN ENFIN ! ENFIN IL ENVOIE BOULER CE TOCARD D'ANDRENAZ ! :bave:

DorotheaWierer DorotheaWierer
MP
Niveau 17
20 décembre 2019 à 02:28:14

vous aviez à coeur de remettre les choses d’équerre

T'avais réçu un livre sur les expressions les plus inutilisées de la langue française à noël 2018 ? :doute: Jamais entendu ou lu ça de ma vie avant aujourd'hui :(

Certains pilotes ont acquéri

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/17/6/1556380942-claire-williams-2.png

vous pouvez...vous pouvez facilement vous retrouver dans de sales draps

https://image.noelshack.com/fichiers/2016/33/1471628139-rosberg.jpg

C'est dommage que les médecins aient enlevé les cellules qui gèrent le contact social

Merde ils l'ont aussi enlevé chez moi https://image.noelshack.com/fichiers/2016/43/1477861573-verstappen-owned-1.png

Barcelone97 Barcelone97
MP
Niveau 20
20 décembre 2019 à 23:05:58

Le 20 décembre 2019 à 02:28:14 DorotheaWierer a écrit :

vous aviez à coeur de remettre les choses d’équerre

T'avais réçu un livre sur les expressions les plus inutilisées de la langue française à noël 2018 ? :doute: Jamais entendu ou lu ça de ma vie avant aujourd'hui :(

J'ai une impression de déjà-vu. :( :( :hap:
Je suis presque sûr que tu lui as déjà fait la même remarque à propos de cette expression plus tôt. :hap:
Sympa l'épisode sinon, belle réponse de Niki. :p)

Message édité le 20 décembre 2019 à 23:06:39 par Barcelone97
Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
21 décembre 2019 à 15:12:24

Suite ce soir mais vu comment c'est parti, pas avant 21 heures :hap:

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
21 décembre 2019 à 21:35:00

Saison 7 : https://docs.google.com/document/d/1KZi5n0g1M9dJ-3vZO_PDAyQRutLPMqfoXFlNWozXvdM/edit?usp=sharing

:mac: 2024 (S7), Chapitre 10 (n°272) : Endroit familier :mac:

Peu de temps après le Grand Prix de Turquie, j’ai pris la direction de Milton Keynes, où j’ai passé trois jours avant de prendre la direction de l’Azerbaïdjan. Je me rend compte que l’investissement de cette maison que je loue non loin de l’usine pourrait vite devenir rentable car, après la déconvenue australienne, je tiens à tout prix à réaffirmer aux membres de l’équipe que je suis à fond avec eux, pour qu’on redonne à Red Bull la gloire qu’elle a connu par le passé. Même si j’estimais déjà être à fond, il est dans mon intérêt de continuer à montrer que c’est le cas, parce que certains gars au sein de l’équipe restent persuadés que je suis un branleur alors que c’est faux.

Comme un simple mécano, je ne compte pas les heures que je fais dans l’antre de l’ancienne écurie Stewart parce que l’équipe a besoin de moi pour comprendre ce qui ne va pas. Mon feedback est le bienvenu, la plupart des ingénieurs du département aéro sont forcés de reconnaître que je suis doté d’une vraie capacité pour parler des problèmes qu’une Formule 1 peut avoir. On amènera quelques évolutions pour le Grand Prix d’Europe, qui suit l’Azerbaïdjan, et on espère qu’il y aura déjà du mieux, même si le package majeur sera là pour l’Espagne ou pour Monaco. C’est là que notre saison commencera vraisemblablement.

Le contrecoup de mes visites à Milton Keynes, c’est que je m’éloigne de ma famille : j’avais juré de ne plus faire une saison de zombie comme l’année dernière mais, devant la précarité de la situation sportive, je n’ai pas le choix. Je n’ai pas vu mes parents depuis janvier, Karl est venu à la maison pour la dernière fois en février et je ne parle même pas des jumeaux, que je vois très peu à cause de mes déplacements à droite et à gauche. Le sacrifice est dur à faire et je sais que ça m’empêche d’être le meilleur des pilotes parce que je ne suis pas heureux de ça mais je crois que, pour le moment, je n’ai pas d’autre choix que de foncer la tête dans le guidon pour mon métier. Et je crois que je ne suis pas vraiment en droit de me plaindre quand on sait que, en bas de l’échelle, les mécaniciens font déjà des cauchemars en imaginant l’état dans lequel ils seront en novembre.

Dimanche 21 avril 2024, Circuit urbain de Bakou, Bakou
Bakou fait partie des circuits que j’affectionne dans ce calendrier : le tracé est assez risible sur le papier mais, en piste, il se passe toujours des trucs de dingue. Je suis rentré trois fois dans les points ici, dont deux fois à la quatrième place lors des deux dernières éditions. Le courant passe plutôt bien entre moi et le circuit azéri, même si ça ne se matérialise pas pour l’instant : je m’élance d’une anonyme neuvième place, trois places devant Sergio, alors que notre moteur Honda coûte cher en ligne droite. J’ai l’impression d’être revenu en 2020 ou en 2021, quand le moteur Mercedes était pour moi un handicap énorme.

Grille de départ :
1 Ráfaga (AUD) 2 Verstappen (AUD)
3 de Vries (MCL) 4 Ticktum (REN)
5 Russell (MCL) 6 Leclerc (FER)
7 Ricciardo (FER) 8 Vandoorne (REN)
9 Kofler (RBR) 10 Ocon (SAU)
11 Gasly (AMR) 12 Sette Câmara (RBR)
13 Wighels (AMR) 14 Sigthorsson (HAA)
15 Pöpfer (SAU) 16 Zhou (CHR)
17 Pérez (HAA) 18 Maini (CHR)
19 Ghiotto (DAL) 20 Schumacher (DAL)
21 Zoranovic (WIL) 22 Gelael (WIL)

Lors du départ, comme j’aime en prendre l’habitude, je me décolle bien de ma place et parviens à m’immiscer devant la Renault d’un Vandoorne qui n’a pas l’air bien plus confortable dans sa voiture que moi dans la mienne. Sans réellement savoir pourquoi, j’ai faim aujourd’hui : je veux un résultat, le scalp d’un pilote du haut du plateau, quelque chose de marquant. Avec cela en tête, je dépossède rapidement Nyck de Vries de la septième place, mon pote étant en perdition totale après être parti troisième. Quelque tours plus tard, c’est au tour de Dan de m’aider en m’offrant grâcieusement la sixième place après une petite erreur au premier virage. Devant, néanmoins, il y a du calibre : Ráfaga, Verstappen, Russell, Leclerc, Ricciardo. Rien que ça.

Je suis sixième dans un no man’s land et la course devient à vrai dire assez ennuyante et me coupe les pattes. Ma motivation et ma soif se sont comme évaporées sur la fin de mon premier relais et, alors que je suis le seul à m’équiper de médiums pour le deuxième relais du jour, ce sentiment ne fait que s’accentuer. L’écart avec le quintuor de tête augmente et celui avec Nyck de Vries stagne ; rien ne se passe dans ma course. Alors que les derniers arrêts de mes concurrents ont lieu, je reste sixième, bien loin des autres, mais ma chance intervient au tour 33 : Wighels s’est planté au virage 3, en plein dans les TecPro, déclenchant la sortie de la voiture de sécurité. Je profite de l’occasion pour avancer mon arrêt de quatre tours et me voici donc toujours sixième mais avec l’aileron arrière de Leclerc en guise de paysage, cette fois. Que la bataille commence.

La relance est donnée au début du tour 36 et, immédiatement, je me montre dans les rétros de Charles ; il ne me faudra que deux virages pour passer à l’attaque sur le monégasque, impuissant à cause de son moteur Ferrari qui reste encore le moins performant de la grille bien qu’il soit plus proche de la concurrence qu’il ne l’était auparavant et bien que le Honda ne soit pas une référence non plus.
Devant, les deux Audi se sont envolées comme Vettel et moi l’avions fait l’an dernier ; ce qui me reste, c’est une lutte inespérée pour la troisième place. La différence de pneus y est pour beaucoup dans l’opportunité qui se présente face à moi et la bataille est plutôt équilibrée ; la Ferrari est plus rapide en virages, la McLaren a un redoutable compromis entre moteur et châssis et la Red Bull a les meilleurs pneus. La bataille est mise en place entre quatre pilotes phares du championnat : Daniel “champion sans couronne” Ricciardo, George “nouvelle superstar” Russell, Charles “éternel grand espoir” Leclerc et Niki “le vrai, pas son sosie” Kofler.

Si Charles lâche peu à peu prise, la lutte à trois avec Daniel et George est fascinante à vivre, surtout de l’intérieur. Bien que le DRS soit une arme d’une grande utilité sur ce circuit, la majorité des dépassements ont lieu en-dehors de ces zones et c’est presque logique quand vous considérez les noms des protagonistes.
Avec mes pneus tendres, je finis par prendre la tête de ce trio après six tours de bataille et j’arrive à prendre mes distances sans réellement savoir l’expliquer. Je me contente de profiter plutôt que de comprendre et je m’évade, ce qui est nécessaire car je ne sais pas comment mes gommes se comporteront en toute fin de relais. Je bénéficie de quelques tours pour creuser un écart d’un peu plus de trois secondes mais, inexorablement, la tendance s’inverse car mes pneus tendres étaient prévus pour durer quatorze tours et que mon arrêt anticipé m’oblige à en faire seize. Les pneus sont en fin de vie et, dans les trois derniers tours, j’observe nerveusement l’image grossissante de la Ferrari numéro 9 dans mes rétros.

Fort heureusement, il manquera un tour à Daniel pour passer à l’attaque et je parviens presque miraculeusement à franchir la ligne au troisième rang pour signer mon premier podium chez Red Bull après cinq courses. Ce 1100ème Grand Prix de l’Histoire a été assez passionnant à vivre pour moi et se termine par un résultat satisfaisant mais il ne faut pas oublier que j’ai été chanceux pour arriver à cette troisième place.

Richard : Très bonne course, Nix. De retour à l’endroit où l’on devrait être. Profite du podium !
Niki : YES ! YES YES YES ! Merci, merci les gars. Enfin une petite récompense pour notre travail. Il faut continuer comme ça.

Je ne suis pas le seul type heureux ; tout souriant sur le podium, un nouvel homme fait son entrée au cercle des vainqueurs de Grand Prix : Arturo Ráfaga. Auteur d’un week-end de haut-vol avec une pole et une victoire sans jamais laisser échapper la tête de la course, l’uruguayen permet à son pays de gagner pour la première fois en Formule 1 après avoir déjà été le premier représentant national dans la discipline. Après trois premiers week-ends tous marqués par des collisions et des sorties de piste, le voilà qui gagne enfin et, même s’il est tôt pour affirmer quoi que ce soit à ce stade de la saison, je crois que ça donne le coup d’envoi d’une lutte fratricide chez Audi.
Notre poignée de main dans la cool room est quelque peu...froide - c’est le moins qu’on puisse dire quand on connaît nos antécédents - mais je crois qu’on est en train d’assister à l’émergence d’un ovni de la F1.

Classement final du Grand Prix :
1 Ráfaga (Audi)
2 Verstappen (Audi)
3 Kofler (Red Bull)
4 Ricciardo (Ferrari)
5 Russell (McLaren)
6 Leclerc (Ferrari)
7 Sette Câmara (Red Bull)
8 de Vries (McLaren)
9 Ocon (Sauber)
10 Sigthorsson (Haas)

Championnat pilotes https://image.noelshack.com/fichiers/2019/51/6/1576960238-05-aze-1.png Championnat constructeurs https://image.noelshack.com/fichiers/2019/51/6/1576960237-05-aze-2.png

Ce genre de week-ends est une petite récompense mais une récompense qui fait plaisir. Après un début de saison galère, signer mon premier podium pour Red Bull permet de revigorer un peu tout le monde ; non seulement l’équipe, qui décroche son deuxième top 3 de la saison, mais surtout moi. En signant chez Red Bull, je m’attendais à arriver dans une équipe inférieure sportivement à Audi mais j’étais loin de m’imaginer que je serai si heureux d’une troisième place en Azerbaïdjan. Deux semaines nous séparent du Grand Prix d’Europe et je vais devoir gérer mon temps avec précision : je serai de retour à Milton Keynes la semaine prochaine pour continuer à tester les nouvelles pièces que nous amènerons au Nürburgring et à Monaco. Les choses semblent lentement s’améliorer, enfin.

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
22 décembre 2019 à 13:45:22

Uppent

PapY_MoLoToV PapY_MoLoToV
MP
Niveau 59
22 décembre 2019 à 13:48:33

Ça c'est mon champion, son 1er point :bave:

Sinon bravo à Niki pour son podium :oui:

DorotheaWierer DorotheaWierer
MP
Niveau 17
22 décembre 2019 à 23:27:47

Beau podium, NIki montre qui est la patron :oui: Sinon j'espère que Verstappen va vite calmer Rafaga :(

Haryanto Haryanto
MP
Niveau 21
23 décembre 2019 à 00:39:08

Demain pas un mais bien deux épisodes :cool:
Retour du format "classique" pour le GP d'Europe, avec un tournant dans l'année de Niki, mais est-ce que ce sera pour une bonne ou une mauvaise raison ?
Réponses vers 14h puis 19h30 :sournois:

Le 22 décembre 2019 à 13:48:33 PapY_MoLoToV a écrit :
Ça c'est mon champion, son 1er point :bave:

"mon champion"
9 Pérez 30
19 Sigthorsson 1
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/11/1489872984-ikeo.png

[-Monarch-] [-Monarch-]
MP
Niveau 10
23 décembre 2019 à 09:33:46

Niki joue le titre :bave:
Victoire éclatante au Nurb, je te vois mal, scénaristiquement parlant, faire une sorte de Haas 2019 ou Niki va redemander une spec inférieure mais que ça arrive trop tard dans la saison...

A moins que ça annonce une rupture du contrat à la fin d'année pour aller chez McLaren ? :hap:

PapY_MoLoToV PapY_MoLoToV
MP
Niveau 59
23 décembre 2019 à 09:33:50

Le 23 décembre 2019 à 00:39:08 Haryanto a écrit :
Demain pas un mais bien deux épisodes :cool:
Retour du format "classique" pour le GP d'Europe, avec un tournant dans l'année de Niki, mais est-ce que ce sera pour une bonne ou une mauvaise raison ?
Réponses vers 14h puis 19h30 :sournois:

Le 22 décembre 2019 à 13:48:33 PapY_MoLoToV a écrit :
Ça c'est mon champion, son 1er point :bave:

"mon champion"
9 Pérez 30
19 Sigthorsson 1
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/11/1489872984-ikeo.png

On se hype avec ce qu'on peut :hap:

Monarch pourquoi on te voit jamais sur le blabla ? :-(

Message édité le 23 décembre 2019 à 09:34:36 par PapY_MoLoToV
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