Le 14 octobre 2021 à 18:32:21 :
Ah non quedalle, elle n'est pas du tout branchée féminisme et cie. Elle a le double totem femme + racisée mais pas une mentalité de victime, donc...

La même ayaa

Elle a envie de voir le film parce qu'elle aime bien les films de Ridley Scott, c'est une femme de goût.

+ ouais, j'espère caser ma séance ce WE.

Ah non là par contre, pas du tout branché cinéma donc j’y vais seul SpoilAfficherMasquerj’ai réussi à la ramener pour OSS quand même

Ta copine elle ressemble à la Comtesse ?

https://www.youtube.com/watch?v=Zk6toudCjeo&ab_channel=EastonWestin

Vu avant hier, excellent film qui arrive à monter crescendo dans la tension et le glauque
Perso j'ai trouvé le duel final vraiment génial
Les acteurs excellents, j'ai particulièrement apprécié Adam Driver en salaud charismatique

À moins d'être un extrémiste religieux, un incel niveau 10 ou un violeur, il est impossible de ne pas se ranger auprès de Marguerite. On n'est pas dans un délire de se colorer les aisselles en bleu
Même si le véritable message du film est ailleurs : SpoilAfficherMasquerJean de Carrouges SPOILest également une ordure, rongé par une soif d'avidité. Il n'est pas l'homme parfait qui nous est dépeint lors du chapitre 1.

C'est pas vraiment ça qui est mis en cause, mais le fait de faire des parallèles douteux avec aujourd'hui en mode "le film est d'actualité en nous posant la question de la culture du viol et du consentement qui sévissent dans nos sociétés" pas que franchissent allégrement toutes les critiques pour parler du film au lieu de s'arrêter sur la situation de la femme au moyen âge.

Les quelques retours du topic font bien envie.

Vu mercredi, très bon film d'époque, on a vraiment l'impression d'y être

La structure du film est bien faite en différents chapitres faisant monter l'histoire en puissance

La fin est brutale, réaliste, sans fioritures, je suis sorti de la salle satisfait avec le sentiment d'avoir passé un bon moment

Je le classe juste derrière Gladiator, du très bon Ridley Scott

Le 15 octobre 2021 à 09:52:49 :

À moins d'être un extrémiste religieux, un incel niveau 10 ou un violeur, il est impossible de ne pas se ranger auprès de Marguerite. On n'est pas dans un délire de se colorer les aisselles en bleu
Même si le véritable message du film est ailleurs : SpoilAfficherMasquerJean de Carrouges SPOILest également une ordure, rongé par une soif d'avidité. Il n'est pas l'homme parfait qui nous est dépeint lors du chapitre 1.

C'est pas vraiment ça qui est mis en cause, mais le fait de faire des parallèles douteux avec aujourd'hui en mode "le film est d'actualité en nous posant la question de la culture du viol et du consentement qui sévissent dans nos sociétés" pas que franchissent allégrement toutes les critiques pour parler du film au lieu de s'arrêter sur la situation de la femme au moyen âge.

Bah c'est plutôt normal qu'un film utilise son sujet pour parler en réalité d'un thème d'actualité
Il faut juste que ça soit cohérent et crédible au premier degré. Ce qui a l'air d'être le cas.

Faut vraiment vivre dans une réalité alternative pour estimer que le film est décorrélé des problématiques actuelles hein évidemment que des parallèles peuvent être faits, quand bien même la situation de la femme est infiniment meilleure aujourd'hui qu'à l'époque du Moyen-Âge.

Le 15 octobre 2021 à 14:26:39 :
Faut vraiment vivre dans une réalité alternative pour estimer que le film est décorrélé des problématiques actuelles hein évidemment que des parallèles peuvent être faits, quand bien même la situation de la femme est infiniment meilleure aujourd'hui qu'à l'époque du Moyen-Âge.

Les parallèles sont évidents, mais les personnages ne réagissent pas comme au 21ie siècle, il n'y a pas de sororité entre les femmes et Marguerite aime son mari malgré son comportement plus qu'inapproprié selon nos mœurs. Le film ne travestit pas l'Histoire.
De plus, celle-ci ne remet pas en cause le système hiérarchique, elle demande justice et dignité. Et non, un traitement paritaire entre les hommes et les femmes. On n'est pas un dans film Netflix

J'ai pris une grosse claque dans la tronche ! Je suis ultra exigeant avec les films récents , mais la forcé de constater que c'est tout simplement génial .

Le récit emprunte sa structure à Rashomon, mais ici on est pas sur des versions différentes des faits , mais des visions différentes des faits (même si cela est sujet à interprétation surtout pour la scène clé du film).

Ça fait bien évidemment écho à toute la mode metoo mais la c'est fait intelligemment , on sent la détresse du personnage ainsi que la répulsion qu'elle éprouve envers les autres .

Puis bon le duel à la fin est juste brillant , c'est lourd , viscéral et violent .

Le seul point noir c'est la photographie et l'étalonnage du film , on sent les couches de numérique rajouté en post-production c'est dommage .

En revoyant Gladiator récemment, je me suis demandé si, un jour, on aurait la chance d'avoir un nouveau film " historique " (l'emploi des guillemets à ici son importance, pour nuancer ce terme d'historicité, sinon je sens que les historiens en herbe vont me tomber dessus) de la même veine et de grande ampleur. Le Dernier Duel me prouve que oui, que le cinéma historique n'a pas dit son dernier mot.

Le film se divise en trois actes distincts, avec le point de vue de Jean de Carrouges (incarné par Matt Damon), de Jacque le Gris (incarné par Adam Driver) puis de Marguerite, ce dernier point de vue étant considéré comme la réalité. Qu'on se le dise, malgré le fait de revoir à trois reprises certaines scènes (mais sous un angle différent, parfois radicalement, parfois plus subtilement), l'ennui ne pointe jamais le bout de son nez. En réalité, c'est tout le contraire. On prend du plaisir à voir, et à revoir le film, en quelque sorte.

Le point de vue de Carrouges est le premier visionnage. Le spectateur se plonge dans la fraicheur de cet hiver médiéval, découvre les personnages et le contexte de l'époque. Puis le viol, immanquablement, a lieu. S'en suis ensuite la mise en place de la machine judiciaire, avant de revenir en arrière, pour nous narrer cette fois-ci la même histoire, mais du point de vue de Jacque le Gris, faisant de cette même histoire une histoire finalement différente sur plusieurs aspects. La version de Marguerite arrive enfin, nous permettant d'avoir une vision complète de cette histoire.

Puis la machine juridique et sociale se mettent définitivement en marche, avec des personnages qui agiront chacun selon leur propre comportement, fidèles à eux-mêmes jusqu'au bout (chapeau à Ben Affleck et à Adam Driver d'incarner de si belles têtes à claques). Si le système juridique français du XIV e siècle ne donne guère une image reluisante du Moyen Age (décidément, beaucoup vont encore sortir de la salle en se disant que c'était la pire période de l'Histoire Humaine), le thème du viol, quant à lui, résonne cruellement avec l'actualité. Abordé de manière subtile, dure, froide, et émouvante, les épreuves de Marguerite captent le spectateur jusqu'au bout, permettant au Duel de s'incarner comme le point d'orgue de cette fresque médiévale, qui a su jongler avec brio entre épique et moments plus calmes, gravité et solennité.

Un film que j'ai beaucoup aimé. J'ignore à quel point celui est proche de l'Histoire, que ce soit au niveau de la retranscription historique ou des faits réels, mais le tout (en tant que long-métrage) reste suffisamment convaincant pour être crédible jusqu'au bout. Mon seul léger regret est que le film donne " sa " propre vérité. Ah, et l'absence d'une BO forte, ou d'un thème qui reste en tête. La musique, c'est important. Hormis quelques brefs moments musicaux, Le Dernier Duel ne nous offre aucun son digne de ce nom. Mais bon, il fallait bien quelques menus défauts à cet excellent film.

Le 15 octobre 2021 à 21:48:35 :
En revoyant Gladiator récemment, je me suis demandé si, un jour, on aurait la chance d'avoir un nouveau film " historique " (l'emploi des guillemets à ici son importance, pour nuancer ce terme d'historicité, sinon je sens que les historiens en herbe vont me tomber dessus) de la même veine et de grande ampleur. Le Dernier Duel me prouve que oui, que le cinéma historique n'a pas dit son dernier mot.

Le film se divise en trois actes distincts, avec le point de vue de Jean de Carrouges (incarné par Matt Damon), de Jacque le Gris (incarné par Adam Driver) puis de Marguerite, ce dernier point de vue étant considéré comme la réalité. Qu'on se le dise, malgré le fait de revoir à trois reprises certaines scènes (mais sous un angle différent, parfois radicalement, parfois plus subtilement), l'ennui ne pointe jamais le bout de son nez. En réalité, c'est tout le contraire. On prend du plaisir à voir, et à revoir le film, en quelque sorte.

Le point de vue de Carrouges est le premier visionnage. Le spectateur se plonge dans la fraicheur de cet hiver médiéval, découvre les personnages et le contexte de l'époque. Puis le viol, immanquablement, a lieu. S'en suis ensuite la mise en place de la machine judiciaire, avant de revenir en arrière, pour nous narrer cette fois-ci la même histoire, mais du point de vue de Jacque le Gris, faisant de cette même histoire une histoire finalement différente sur plusieurs aspects. La version de Marguerite arrive enfin, nous permettant d'avoir une vision complète de cette histoire.

Puis la machine juridique et sociale se mettent définitivement en marche, avec des personnages qui agiront chacun selon leur propre comportement, fidèles à eux-mêmes jusqu'au bout (chapeau à Ben Affleck et à Adam Driver d'incarner de si belles têtes à claques). Si le système juridique français du XIV e siècle ne donne guère une image reluisante du Moyen Age (décidément, beaucoup vont encore sortir de la salle en se disant que c'était la pire période de l'Histoire Humaine), le thème du viol, quant à lui, résonne cruellement avec l'actualité. Abordé de manière subtile, dure, froide, et émouvante, les épreuves de Marguerite captent le spectateur jusqu'au bout, permettant au Duel de s'incarner comme le point d'orgue de cette fresque médiévale, qui a su jongler avec brio entre épique et moments plus calmes, gravité et solennité.

Un film que j'ai beaucoup aimé. J'ignore à quel point celui est proche de l'Histoire, que ce soit au niveau de la retranscription historique ou des faits réels, mais le tout (en tant que long-métrage) reste suffisamment convaincant pour être crédible jusqu'au bout. Mon seul léger regret est que le film donne " sa " propre vérité. Ah, et l'absence d'une BO forte, ou d'un thème qui reste en tête. La musique, c'est important. Hormis quelques brefs moments musicaux, Le Dernier Duel ne nous offre aucun son digne de ce nom. Mais bon, il fallait bien quelques menus défauts à cet excellent film.

Voilà un avis qui donne envie, en plus de l’avis de ton VDD.

Le 16 octobre 2021 à 09:41:01 :

Le 15 octobre 2021 à 21:48:35 :
En revoyant Gladiator récemment, je me suis demandé si, un jour, on aurait la chance d'avoir un nouveau film " historique " (l'emploi des guillemets à ici son importance, pour nuancer ce terme d'historicité, sinon je sens que les historiens en herbe vont me tomber dessus) de la même veine et de grande ampleur. Le Dernier Duel me prouve que oui, que le cinéma historique n'a pas dit son dernier mot.

Le film se divise en trois actes distincts, avec le point de vue de Jean de Carrouges (incarné par Matt Damon), de Jacque le Gris (incarné par Adam Driver) puis de Marguerite, ce dernier point de vue étant considéré comme la réalité. Qu'on se le dise, malgré le fait de revoir à trois reprises certaines scènes (mais sous un angle différent, parfois radicalement, parfois plus subtilement), l'ennui ne pointe jamais le bout de son nez. En réalité, c'est tout le contraire. On prend du plaisir à voir, et à revoir le film, en quelque sorte.

Le point de vue de Carrouges est le premier visionnage. Le spectateur se plonge dans la fraicheur de cet hiver médiéval, découvre les personnages et le contexte de l'époque. Puis le viol, immanquablement, a lieu. S'en suis ensuite la mise en place de la machine judiciaire, avant de revenir en arrière, pour nous narrer cette fois-ci la même histoire, mais du point de vue de Jacque le Gris, faisant de cette même histoire une histoire finalement différente sur plusieurs aspects. La version de Marguerite arrive enfin, nous permettant d'avoir une vision complète de cette histoire.

Puis la machine juridique et sociale se mettent définitivement en marche, avec des personnages qui agiront chacun selon leur propre comportement, fidèles à eux-mêmes jusqu'au bout (chapeau à Ben Affleck et à Adam Driver d'incarner de si belles têtes à claques). Si le système juridique français du XIV e siècle ne donne guère une image reluisante du Moyen Age (décidément, beaucoup vont encore sortir de la salle en se disant que c'était la pire période de l'Histoire Humaine), le thème du viol, quant à lui, résonne cruellement avec l'actualité. Abordé de manière subtile, dure, froide, et émouvante, les épreuves de Marguerite captent le spectateur jusqu'au bout, permettant au Duel de s'incarner comme le point d'orgue de cette fresque médiévale, qui a su jongler avec brio entre épique et moments plus calmes, gravité et solennité.

Un film que j'ai beaucoup aimé. J'ignore à quel point celui est proche de l'Histoire, que ce soit au niveau de la retranscription historique ou des faits réels, mais le tout (en tant que long-métrage) reste suffisamment convaincant pour être crédible jusqu'au bout. Mon seul léger regret est que le film donne " sa " propre vérité. Ah, et l'absence d'une BO forte, ou d'un thème qui reste en tête. La musique, c'est important. Hormis quelques brefs moments musicaux, Le Dernier Duel ne nous offre aucun son digne de ce nom. Mais bon, il fallait bien quelques menus défauts à cet excellent film.

Voilà un avis qui donne envie, en plus de l’avis de ton VDD.

Fonce en salles camarade !

Mais c'était mon avis à chaud, je venais de sortir de la séance.

Après réflexion, j'aurai tendance à rajouter un autre point négatif, notamment dans la gestion des lumières. La luminosité est assez terne. Certes, ça peut s'expliquer par la météo, la saison hivernale, mais l'ensemble manque de chaleur (un peu). Ah, et le fait de " revoir " trois fois certaines séquences pourra peut-être en rebuter plus d'un.

J'ai beaucoup aimé le film, une montée en tension progressive (qui a tout de même un peu de mal à décoller lors de sa première séquence. De mon côté, il faut attendre le chapitre dédié au point de vue de Jacques le Gris pour que la sauce prenne), structurée pour aboutir sur un duel final d'une intensité folle et d'une conclusion à la fois grandiose et glaçante. Impossible de cligner des yeux pendant les 20 dernières minutes du film. Magistral.

Chaque chapitre est centré sur la "vérité" vue par les yeux d'un des trois protagonistes, et chaque chapitre fait effet "loupe" sur le viol de Dame Marguerite en se focalisant de plus en plus sur la fenêtre temporelle autours de cet évènement. On se met, au fur et à mesure des chapitres, à scruter de plus en plus les micro-expressions des personnages lors de scènes déjà racontées plusieurs fois, mais sous des angles différents; à porter plus d'attention à des gestes qu'on pensait anodins dans le premier chapitre; bref, chaque partie accentue l'emphase sur tous les micro-détails entourant le viol (je pense notamment au baiser entre Le Gris et Margueritte, ou la manière dont elle "perd" ses chaussures) avant de fusionner pour la dernière séquence.

J'en suis sortis satisfait.

J'ai vu le film à la séance de 18h55.

Ce film est génial je vous conseille d'aller le voir et en avis je recite celui ci, il est très bien

Excepté que je trouve que le film est encore mieux sans musique qui vient (viendrais) déranger le déroulement de l'histoire.

[21:48:35] <Guizmonator>
Le film se divise en trois actes distincts, avec le point de vue de Jean de Carrouges (incarné par Matt Damon), de Jacque le Gris (incarné par Adam Driver) puis de Marguerite, ce dernier point de vue étant considéré comme la réalité. Qu'on se le dise, malgré le fait de revoir à trois reprises certaines scènes (mais sous un angle différent, parfois radicalement, parfois plus subtilement), l'ennui ne pointe jamais le bout de son nez. En réalité, c'est tout le contraire. On prend du plaisir à voir, et à revoir le film, en quelque sorte.

Le point de vue de Carrouges est le premier visionnage. Le spectateur se plonge dans la fraicheur de cet hiver médiéval, découvre les personnages et le contexte de l'époque. Puis le viol, immanquablement, a lieu. S'en suis ensuite la mise en place de la machine judiciaire, avant de revenir en arrière, pour nous narrer cette fois-ci la même histoire, mais du point de vue de Jacque le Gris, faisant de cette même histoire une histoire finalement différente sur plusieurs aspects. La version de Marguerite arrive enfin, nous permettant d'avoir une vision complète de cette histoire.

Puis la machine juridique et sociale se mettent définitivement en marche, avec des personnages qui agiront chacun selon leur propre comportement, fidèles à eux-mêmes jusqu'au bout (chapeau à Ben Affleck et à Adam Driver d'incarner de si belles têtes à claques). Si le système juridique français du XIV e siècle ne donne guère une image reluisante du Moyen Age (décidément, beaucoup vont encore sortir de la salle en se disant que c'était la pire période de l'Histoire Humaine), le thème du viol, quant à lui, résonne cruellement avec l'actualité. Abordé de manière subtile, dure, froide, et émouvante, les épreuves de Marguerite captent le spectateur jusqu'au bout, permettant au Duel de s'incarner comme le point d'orgue de cette fresque médiévale, qui a su jongler avec brio entre épique et moments plus calmes, gravité et solennité.

Un film que j'ai beaucoup aimé. J'ignore à quel point celui est proche de l'Histoire, que ce soit au niveau de la retranscription historique ou des faits réels, mais le tout (en tant que long-métrage) reste suffisamment convaincant pour être crédible jusqu'au bout.

Je regrette seulement que le film nous dise qu'elle est la bonne vérité

J'aurai trouvé ça plus subtil de ne rien dire et de laisser le spectateur avec les 3 versions

Pas un film que j’attendais spécialement mais pourtant un poil déçu.
Les reconstitutions, décors, costumes sont sympas, la mise en scène est plus que correcte mais j’ai eu beaucoup de mal avec le « concept » du film. Les 3 actes qui représentent le point de vue de chacun est complètement inintéressant à partir du moment où tu sais que le film se finit sur le duel et comment ils en sont arrivés là. Revoir les mêmes scènes avec quelques petits changements 2 ou 3 fois m’a plus saoulé qu’autre chose. Surtout que le personnage de Driver a l’air de SpoilAfficherMasquerne pas nier qu’il a commis un viol quand il en parle à Ben Affleck et c’est ce qui est à mon sens le plus important de l’histoire donc que Jean se montre SpoilAfficherMasquersympa avec sa femme alors qu’en fait il l’est pas vraiment j’en avais vraiment rien à foutre et du coup j’ai passé le film à attendre le duel vu qu’ils disent clairement que le dénouement servira de vérité… Heureusement que j’ai pas trouvé les scènes vraiment mauvaise donc le film passe quand même assez vite.
Et côté casting il n’y a que Matt Damon qui est vraiment au niveau (peut être le seul acteur hollywoodien de sa génération qui se bonifie avec l’âge j’ai l’impression) et pourtant j’adore Adam Driver.
Et pour le duel final SpoilAfficherMasquerje pensais que Ridley Scott éviterait les clichés habituels « on croit qu’il va mourrir mais retournement de situation » + suspense forcé avec un combat au sol avec un des 2 personnages qui a le dessus grâce à une petite lame et qui prend son temps pour l’enfoncer etc mais bon, ne connaissant pas l’issue du duel j’avoue avoir été pris par l’enjeu, celui qui connaissait l’histoire a du trouver le temps long.

Le 17 octobre 2021 à 09:39:42 :
Je regrette seulement que le film nous dise qu'elle est la bonne vérité

J'aurai trouvé ça plus subtil de ne rien dire et de laisser le spectateur avec les 3 versions

La verité c'est celui qui gagne le duel, vu que c'est dieu qui décidait à cette epoque.

Le 17 octobre 2021 à 10:10:02 :

Le 17 octobre 2021 à 09:39:42 :
Je regrette seulement que le film nous dise qu'elle est la bonne vérité

J'aurai trouvé ça plus subtil de ne rien dire et de laisser le spectateur avec les 3 versions

La verité c'est celui qui gagne le duel, vu que c'est dieu qui décidait à cette epoque.

Sur le plan religieux, Le Gris est en effet coupable du crime dont il est accusé.

Visiblement, sur un plan strictement pénal et laïc, l'affaire est beaucoup plus complexe que ça. Elle a fait l'objet de nombreux débats, avec des preuves attestant de l'innocence de Le Gris (si j'en crois les articles lus et les vidéos vues sur l'Internet).

Le film aurait tout aussi bien pu prendre le pari de ne rien montrer du viol, de jouer encore plus sur le scénario avec les " trois actes " et de permettre au spectateur de se faire sa propre idée.

C'est parce que le film est féministe, et qu'il l'assume à 200% pour le coup.
J'aurais aussi préféré l'ambiguïté, mais c'est un choix qui est cohérent avec le propos global.