pour cette blague

Par contre vous m'avez appris un nouveau mot

En parlant de nouveau t'as pas un ptit chapitre ?

• Ouvre un pan de son manteau*

Si bien sûr, mais je ne l'ai pas encore relu et j'ai un peu la flemme

Mais quelle insolence...

• Referme rageusement son manteau et laisse l'auteur ensanglanté dans la ruelle *

Je crois que je ne pourrais pas poster, le temps de me rétablir

Heureusement je me rétablis rapidement

Chapitre 18

Trois jours après l'attaque les trois compagnons étaient enfin arrivé dans un village du nom de Fortracine. Le lieu portait ce nom en raison de son fort aménagé à même une énorme racine creuse. Le village s'étendait en dessous du fort, du balcon Ismeril avait une vue imprenable sur toutes les petites habitations. Il y avait principalement des chasseurs, le jeune homme pouvait apercevoir des groupes de personnes s'enfonçant dans la forêt, leurs arcs dans le dos, et d'autres groupes revenir en portant toutes sortes de gibier. Le village était en réalité plus proche d'une petite ville que d'un village, en effet il devait y avoir ici aux alentours d'un millier d'habitants. Au moins Ismeril avait moins de chance d'être remarqué ici, même si son physique ne jouait pas en sa faveur. Il avait donc acheté une chemise qu'il portait en dessous de sa tunique, ainsi son tatouage était camouflé. Il avait aussi acheté une paire de bottes de chasseur, le cuir était souple et robuste à la fois. Elles étaient beaucoup plus adaptées et confortable que ses chaussures qu'il avait pu échanger contre quelques provisions.

- Le seigneur Avral est prêt à vous recevoir. Suivez moi je vous prie.

Ismeril se retourna, la femme qui avait parlé était l'hôtesse. C'était une Elfe des Bois qui devait avoir dans les quarante ans, malgré l'âge elle gardait cependant une beauté hypnotisante et un sourire à faire craquer bon nombre d'homme.

- Très bien nous vous suivons, répondit le jeune homme.

Ils retournèrent dans le hall d'entré, une simple salle décorée de tapisseries et meublée de bancs. L'hôtesse leur fit traverser une grande porte et ils se retrouvèrent dans une grande salle en longueur. De grandes tables étaient disposées à droite et à gauche, toutes portaient des couverts en argent et des bougeoirs en or. Les tapisseries, les tableaux, les meubles et tout ce qui se trouvait dans la salle respirait le luxe.
Je ne savais pas que la chasse rapportait autant, songea Ismeril. En regardand du coin de l'oeil il aperçut que Luu fixait aussi les ornements de la salle avec un regard suspicieux. Elle le regarda puis chuchota.

- Même dans le palais du Roi il n'y a pas autant de richesses.

Ismeril sourit puis haussa les épaules. Après tout, qu'est-ce que cela pouvait-il lui faire ? Le chasseur de prime venait ici simplement pour son travail.

Au bout de la salle le seigneur Avral était affaissé sur un trône en argent massif. Des pierres étaient incrustées sur les accoudoir et au dessus de la tête du seigneur. Le regard d'Ismeril se posa enfin sur celui-ci. C'était un Bosmer au cheveux grisonnant et au dos voûté, cependant son visage témoignait de sa force et de son autorité. Il portait une couronne d'or représentant des bois de cerfs, elle aussi était incrustée de pierres précieuses, de même que ses nombreux bracelets, colliers et bagues. Ismeril reconnut la soie dans laquelle était faite sa robe, c'était de la soie de Topal en Cyrodiil, l'une des plus chères de Tamriel.
Le vieil homme posa ses yeux jaunes et froids sur eux.

- Bienvenue voyageurs, que puis-je pour vous ? Demanda-t-il d'un air désintéressé.
- Bonjour seigneur, commença le jeune homme en s'inclinant légèrement, je me nomme Ismeril et je suis chasseur de prime. Je viens donc chercher la récompense pour trois bandes de bandits et un meurtrier solitaire.
- Je ne me rappelle pas avoir mis quelconque prime sur qui que ce soit, répondit froidement le vieil homme soudain plus concerné.
- C'est une prime qui a été placée par la Couronne, il est donc du devoir de chaque seigneur ou duc de verser la récompense à quiconque vient la récupérer. La capitale étant désormais trop loin je suis obligé de venir ici.
- Je n'ai pas besoin que l'on me rappelle mes devoirs ! cracha le seigneur énervé. Et puis quelle preuve ai-je que vous avez bien tué ces hommes ?
- Celle-ci, répondit Ismeril en se tournant vers Sajiar.

Les deux hommes posèrent chacun un sac à terre et enelevèrent la ficelle. Luu resta à l'écart, préférant ne pas s'imposer la vue d'une dizaine de têtes. Le seigneur parut destabilisé mais il se reprit.

- Ne laissez pas traîner ça ici ! hurla-t-il. Vous aurez votre récompense mais dégagez moi ça d'ici ! Voyez le reste avec mon conseiller.

Les deux hommes refermèrent les sacs et suivirent l'hôtesse qui leur avait fait signe de les suivre. Elle les mena dans une pièce adjacente où un vieil Impérial les reçut. Il vérifia chaque tête et le ordonna de patienter.

- Merde, souffla Ismeril, j'aurais dû m'en douter en entrant.
- Qu'est-ce qu'il y a ? s'enquit Sajiar.
- C'est un seigneur corrompu, Ko'Nrad, mon ami assassiné, a fait une liste des seigneurs honnête mais apparemment il y a eu du changement ces temps-ci. Il faudra être plus prudent.
- Mais qu'est-ce que ça fait ? L'important c'est qu'ils nous paient, et ils le feront.
- Certes, mais le seigneur Arval va probablement les avertir et ils tenteront maintenant de nous empêcher de nuire à leurs activités.

Le vieil Impérial revint et posa des bourses sur la table en lançant un regard froid sur les trois compagnons.

- Voici des pierres pour une valeur de douze milles septims, et une bourse de trois milles deux cents septims.

Ils rangèrent les bourses dans leur sacs et sortir de la salle, le vieux conseiller les interpella.

- Messieurs vous oubliez les têtes !
- Gardez les ! Elles ne nous servent plus, répondit Sajiar.

Faril était furieux, comment avaient-ils pu tous les avoir ? Il lui restait certes un groupe de bandits mais il ne lui rapportait que très peu, les autres rapportaient trois-quarts des bénéfices que se faisait Faril chaque mois.

- Que fait-on seigneur ? demanda Partius gêné.
- Qu'est-ce qu'on peut faire de toutes façons ? On va compenser en augmentant les taxes, répondit Faril.
- Bien, et par rapport aux chasseurs de prime ?
- Ton cousin est toujours en service ?
- Toujours, répondit Partius.
- Envoie lui un message, dis lui que j'ai besoin de ses services. Dis lui aussi de faire appel à ses dix meilleures connaissances et lance la chasse.
- Mais Seigneur, les tueurs à gages sont souvent très chers, s'inquiéta Partius.
- Il me reste des ressources, et je suis prêt à mettre n'importe quel prix pour avoir ces fumiers, tu as vu avec quelle insolance il me parlait ?! Je ne peux pas me laisser insulter de la sorte. Mais ça ne le dis pas à ton cousin sinon il va en profiter pour demander une somme énorme.

Partius s'inclina et fit demi-tour quand Faril le rappela.

- J'allais oublier, envoie aussi un message à chaque seigneur avec qui j'ai des relations, raconte leur et insiste bien sur le fait qu'il va venir sur leurs terres et les nettoyer aussi. Ce n'est peut-être pas vrai mais au moins ils s'en inquièteront un minimum. Demande leur de participer à l'effort et d'envoyer des hommes à la chasse.

Partius s'inclina encore et retourna dans son bureau.

L'Auberge du Chasseur Egaré était, selon les dires, la pire auberge de la ville. L'endroit idéal pour ne pas se faire remarquer. Ismeril aurait bien dormi dans un bon lit mais il fallait aller dans les endroits les plus discrets possibles.
Arrivé à l'intérieur, la première chose qui frappait était l'odeur de poussière et de renfermé. L'air était lourd et le mélange d'odeurs de bière, de sueur et d'huile n'était pas vraiment agréable. Ils s'installèrent donc à une table assez isolée et Sajiar se dévoua pour aller commander puisque l'aubergiste ne semblait pas enclin à venir prendre commande. Ismeril en profita pour observer la salle, il y avait cinq personnes : un groupes bruyant de quatre chasseurs Bosmers fauchés et un Nordique solitaire apparemment trop saoul pour se lever de sa chaise. Sajiar revint enfin avec trois chopes de bière.

- Elles sentent la pisse, fit remarquer Ismeril.
- Vu la couleur, ça ne m'étonnerait pas que l'aubergiste ait confondu le tonneau avec son pot de chambre, déclara Luu en observant sa bière.
- Heureusement qu'il n'a pas fait la grosse commission, enchaîna Sajiar en rigolant suivi de Luu et Ismeril.

Ils commencèrent à boire le breuvage lorsque la porte s'ouvrit une nouvelle fois. Trois hommes entrèrent dans l'auberge. Ce n'étaient pas des chasseurs puisque chacun portait une armure Bosmer. Deux archers et un bretteur. Au moment où les hommes balayèrent la salle du regard Ismeril remarqua que, mis à part quelques cicatrices, les trois Bosmers avaient exactement la même tête. Lorsque le regard du chasseur de prime croisa celui du Bosmer de droite, celui-ci écarquilla les yeux puis tourna vivement la tête faisant mine de ne pas l'avoir vu. Ce dernier pressa ses camarades pour aller s'assoir à une table à l'autre extrémité de l'auberge.

- Il se passe quoi ? s'enquit Sajiar visiblement alerté par le visage d'Ismeril.
- Il se passe qu'on va avoir des ennuis, répondit calmement le jeune homme.

LA BAGARRE !!! LA BAGARRE !!!

Chapitre 19

- Pourquoi t'es aussi agité Esrael ? s'enquit Elior en s'asseyant sur une banquette.
- Regarde en face ! répondit ce dernier.

Elior tourna la tête et écarquilla les yeux.

- Voyez vous ça ! délcara-t-il en souriant, et pourquoi es tu si angoissé ? On tombe sur notre proie par hasard, ça veut bien dire que la chance est avec nous non ?
- Oui mais il nous a vu !
- Bien sûr qu'il nous a vu, avec cinq clodos dans la taverne tu crois qu'on peut passer inaperçu ?
- J'ai croisé son regard, j'en ai eu froid dans le dos, avoua Esrael, c'était comme s'il essayait de sonder mon esprit, je te le dis il n'est pas normal ce type !
- Il te fait si peur que ça ? Jamais je ne t'ai vu aussi effrayé, t'en penses quoi Erias ?
- J'en pense simplement qu'il va goûter à ma lame, répondit le troisième frère en dévoilant un sourire carnassier.

Elior retint la main de son frère qui s'approchait du pommeau de son épée.

- Pas maintenant, si l'on se bat ici on a perdu d'avance. En plus il ne sont pas que deux, la fillette n'a pas l'air dangereuse mais on ne sait jamais. Tu avais bien vu Esrael. Erias, va donc nous chercher à boire et à manger, puisque ce foutu tavernier ne connaît pas son métier.

Erias se leva et partit en direction du bar, son sourire carnassier trônant toujours sur ses lèvres.

- On fait quoi alors ? demanda Sajiar en observant l'un des Bosmers marcher en direction du bar.
- On évite de leur prêter de l'attention déjà, ils risquent de penser que nous angoissons et prendrons confiance en eux, répondit Ismeril, il faut leur faire perdre leur assurance.
- Et comment ? s'enquit Luu.
- En faisant ce que l'on était venu faire, nous prendrons notre repas et nous louerons une chambre ici.
- T'es sûr de ton plan ? s'inquiéta Sajiar.
- Je sais comment gérer ça ne t'inquiète pas, il y en a déjà un qui a faillit se faire dessus juste en me regardant, ricana le chasseur de prime. Et puis s'ils avaient voulus nous attaquer ici ce serait déjà fait. Bon attendez moi là, je vais commander.

Ismeril se leva et s'installa au comptoir, à moins d'un mètre du Bosmer. Luu aperçut la main de celui-ci se poser sur le pommeau de son épée.

- Dis-moi, commença-t-elle à l'intention de Sajiar, ton ami aime jouer avec sa vie ou il est simplement fou ?
- Franchement, je trouve que les deux propositions lui correspondent bien, répondit le Khajiit en souriant.

La prêtresse soupira, cet homme allait la faire tuer. Malgré leur folie apparente elle s'était attachée à ses deux compagnons, en effet elle n'avait désormais plus aucun endroit où aller et la voix ne lui avait pas vraiment laissé le choix. Elle n'avait pas d'autres alternatives.

- Trois plats du jour tavernier, commanda Ismeril.

Le jeune homme sentait la tension mêlée à l'excitation du Bosmer à côté de lui, du coin de l'oeil il avait aperçu sa main se poser sur son épée. Ismeril jubilait, il adorait jouer avec les nerfs de ses ennemis. Du coin de l'oeil encore une fois, il remarqua que l'homme tourna la tête en direction de ses deux camarades puis il sentit son excitation se calmer. Ils n'oseraient donc pas les attaquer de front. Ismeril sourit, puis le tavernier posa les trois assiettes sur le bar. Le jeune homme les prit et retourna à sa table.

- Tu es un malade, soupira Luu déconcertée.
- Mais non, tu aurais dû venir, sentir son stress et son envie débordante de me planter c'était génial. Il a vraiment dû faire preuve de force pour résister.
- En tout cas ce repas est aussi mauvais que les bières, se plaignit Sajiar en remuant son assiette.
- C'est pas faux, répondit Ismeril.

Lorsqu'Erias revint, il tremblait et de la sueur coulait sur son front.

- Ne me dis pas que toi aussi tu as peur ? demanda Elior.
- Non.. C'est de résister à l'envie de le saigner qui me fait ça, répondit Erias en buvant de grandes gorgées de bières.
- Je crois qu'on les a sous-estimé.. murmura Esrael.
- Pourquoi ça ? l'interrogea Elior.
- Regarde les, ils rigolent et se permettent même d'aller commander leur repas en se plaçant juste à côté d'Erias. Ils s'en foutent complètement de nous, ils ne nous considèrent même pas comme un danger.
- Si c'est le cas, on leur fera vite changer d'avis, répondt Elior, qu'est ce que la bouffe peut être immonde ici.
- On n'avait pas les moyens de se payer une meilleure auberge répondit Esrael dépité.

Après un long repas, Elior observa les trois compagnons se levant pour aller régler leur addition.

- Préparez vous, je suis sûr qu'ils vont détaler comme des lapins à la sortie de l'auberge, affirma-t-il.

Il vit l'homme aux cheveux rouges tendre des pièces aux tavernier qui se retourna et leur tendis des clés.

- Oh les fumiers, souffla Elior énervé, on se les fait cette nuit !
- Enfin des paroles plaisantes, accorda Erias en s'humidifiant les lèvres.

Les trois compagnons commençèrent à grimper les escaliers, mais au moment de monter la première marche, l'homme nommé Ismeril tourna la tête en direction des Bosmers. Elior croisa ses yeux bleu foncé, son regard était plus froid qu'un vent de Bordeciel et plus tranchant qu'une lame affutée. Il eu la sensation que l'homme avait pénétré son esprit jusqu'au plus profond et y avait déposé un souffle de peur. Le Bosmer frissona et se détourna. C'était une mise en garde.

Au loin, un corbeau volait droit vers la cité.
Encore un contrat, pensa l'homme en s'étirant. Les os de sa nuque craquèrent, puis ceux de son dos. Le corbeau arriva en quelques secondes, se posa sur le bord de la fenêtre et toqua à la vitre avec son bec.

- Qu'est-ce que tu m'amènes de beau ? lui demanda l'homme de sa voix rauque.

Il ouvrit la fenêtre et attrapa le corbeau. L'homme détacha le petit rouleau accroché à sa patte et servit un bol de graines à l'oiseau qu'il posa sur le bureau de la chambre.

Le petit mot s'avérait être en provenance de son cousin en Val-Boisé. L'homme sourit, Partius payait toujours bien.

" Cher Laurel

Si tu lis ce mot c'est que je ne te dérange pas, tant mieux puisque j'aimerais que tu te mettes en route pour Val-Boisé tout de suite après avoir lu ce mot. J'ai besoin de tes services pour éliminer un chasseur de prime du nom d'Ismeril. Il voyage accompagné d'un Khajiit et d'une jeune femme probablement Brétonne dont nous ne savons pas les noms. Au moment où je t'envoie ce mot ils sont probablement toujours à Fortracine.
Je te demande aussi de contacter les dix meilleurs tueurs que tu connaisses afin de chasser avec toi. Je sais que tu es solitaire mais nous ne t'obligeons pas à faire équipe avec eux. Votre prix sera le notre.
Nous savons aussi qu'il a sur lui des pierres et des pièces pour un minimum de 15000 septims, celui qui les trouve pourra les garder.

P.A."

Intéressant, songea Laurel. Il prit ensuite un petit morceau de parchemin et écrit sa réponse dessus.

" J'accepte, pour dix milles par personne."

Il enroula le morceau et le plaça dans le petit étuit sur la patte du corbeau avant de le renvoyer.

Il se dirigea ensuite vers un miroir et entreprit de se rincer le visage, il mouilla une petite serviette et se frotta la face. En relevant la tête il observa son reflet dans le miroir sale, ses longs cheveux bruns commençaient à griser, des rides apparaissaient sur son visage et ses muscles perdaient de leur volume. Ses yeux marrons avaient perdus leur éclat d'antan.

- Tu commences à te faire vieux Laurel, se dit-il à lui même, il faudrait que tu songes à la retraite.

Il ricana en s'imaginant assit sur un siège à bascule, sur la terrasse de sa ferme en Bordeciel.
Non cette vie n'est pas pour moi, ma vie à moi se résume à prendre celle des autres.

Laurel enfila son pantalon noir, puis ses jambières de cuir noir, ensuite il laça ses bottes grises. Il boutonna ensuite sa chemise de coton grise et enfila sa cotte de mailles noire et sa veste de cuir noir. Il termina en attachant ses gantelets de cuir noir et sa capuche noire elle aussi.

- Non je ne suis vraiment pas fait pour la ferme, affirma Laurel en souriant.

Il attacha ensuite son baudrier où pendait un sabre de verre, forgé par l'un des meilleurs forgerons Orque, puis il attacha deux ceinturons contenant une dizaine de couteaux de lancer chacun. Même s'il les avait entretenu la veille au soir il vérifia l'état de chaque lame puis sortit ensuite de la chambre en remontant minutieusement le bandeau cachant le bas de son visage. Très peu de gens avaient vu son visage, et la plupart étaient morts.

Laurel marcha ensuite à travers de nombreuses petites ruelles et arriva enfin à destination. Une petite porte verte avec un anneau hérissé de pointe peint dessus. Il s'avança et frappa, quelques secondes plus tard une voix s'éleva.

- Oui ?
- De ce lieu, je respecte le secret. De mon arme, je ne ferai pas usage, répondit Laurel.

Il y eut quelques cliquetis et la porte s'ouvrit dévoilant un long et fin couloir.

- Je connais le chemin, déclara Laurel au Khajiit gardant l'entrée.

Il avança jusqu'au bout du couloir et tourna à droite, puis à gauche pour descendre un escalier et se retrouver dans une pièce similaire à une taverne. En effet il y avait un bar servant des boissons plus ou moins légales, des personnes jouant à des jeux plus ou moins légaux et marchandant des objets plus ou moins légaux. Laurel aimait les endroits comme ceux-ci, les gens n'ouvraient pas de grands yeux en le voyant et les produits étaient beaucoup plus variés et moins chers que chez un forgeron.

Laurel balaya la salle du regard et repéra l'homme qu'il cherchait, un Argonien aux écailles claires. Il s'avança et s'assit sur la chaise face à lui. Les deux jolies femmes qui lui tenaient compagnie se levèrent et partirent sans un mot.

- Jushi-Lah ? demanda Laurel.
- Lui-même ! répondit l'Agonien en souriant, je peux t'aider l'ami ?
- J'ai besoin de tes services.
- Au nom de qui ?

Laurel exhiba l'épingle maintenant sa capuche, celle-ci représentait deux couteaux croisés dont le pommeau était un crâne. Stupéfait, Jushi-Lah ouvrit grand ses yeux de reptile.

- Laurel le Faucheur d'Âme ?!

Less'read

Pas mal comme chapitre, je pense que ca va péter dans tous les sens !!! Et j'espère que Sajiar va mourrir Nan je déconne je commence d'ailleurs a le trouver fort sympathique.

non c'est pas un bon chapitre, dans un bon chapitre y aurais eu le combat !

Mon VDD a tout dit

Laissez les donc se reposer un peu voyons

non je veux le combat, c'est non négociable.

Par contre je me suis acheté TESO donc le chapitre ne sera pas là avant au moins ce week end

sur quelle console? ou le pc peut etre?

Oui sur PC Je ne joue presque plus aux consoles maintenant

Graphismes en hight ou en ultra ?

Au fait une fic dans le style TESO genre avec des prises de fort et des combats contre les daedra ca serait sympa je pense. En tout cas si ca existe ou si tas prévu de le faire, met le sur ce forum (2x + de post, 2x+ de lecteurs, 2x+ de swagg )

Quand j'aurais terminé celle-ci ce sera déjà pas mal C'est vrai que la période de TESO peut être pas mal, mais si jamais j'écris une autre fic ce ne sera pas pendant cette période (j'ai déjà quelques idées)