http://chriskresser.com/naturally-get-rid-of-acne-by-fixing-your-gut
ce caca de roacutane
J'ai arrêté depuis 3 ans maintenant J'en ai pris pendant 9 mois, j'aurai peut-être du en prendre pendant 12 mais je suis pas retourné chez la dermato après, tout allait bien
Y a une poussée d'acné pendant le premier mois, et après ça diminue très vite... Demande à ta dermato histoire d'être sûr mais moi c'est ce qui c'est passé
Ah non c'est sûr c'est pas un traitement anodin, c'est un putain de traitement de choc qui décape hein Mais j'estime que ça vaut le coup
T'as pris des antibios déjà voir si ça marche?
J'ai pris antibio + ethyrogel + rubozinc pendant 2 ans.
Ca a diminué mon acnée de facon consequente mais plus d'amelioration depuis 1 an donc mon toubib veut passer à la vitesse superieure .
Moi c'est surtout l'eventuel collyre qui me fait peur
Comme je te dis, j'ai pas eu à en prendre, en revanche j'ai quelques problèmes sur les taux au début, et sur un manque de vitamine D à cause du soleil, et en général avec le sport. Mais globalement je suis super satisfait du traitement
Ok , c'etait les histoires de gens qui devenaient depressifs et suicidaires qui m'intimidaient un peu , à oui dernière question, l'alcool faut limiter aussi ?
Ah ça j'ai pas limité perso
Ivrogne , elle m'avait dit que c'etait mauvais pour le foie donc c'est pour ca
Ouais, c'est mauvais pour le foie, tout comme le roaccutane, mais bon, on peut pas se priver de tout
Sur ce Doctissimo c'est fini À moins qu'on fasse de la sexo Sans déconner tu tombes vraiment sur des trucs hilarants sur Doctissimo
Un ouvrage de référence sur la colonisation française ?
Les juristes, quelqu'un à accès à doctrinal plus depuis son pc?
Leroy-Beaulieu peut-être?
Je crois y avoir accès depuis ma bib', je check
T'as besoin de quoi neo?
D'une note du professeur bénabent de 1995 paru dans le recueil Dalloz sur un arrêt de cour de cassation .
Civ première,4 janvier 1995 ,D.1995.251 note bénabent
Tu y a accès donc toi?
J'y ai accès ouais
Si tu pouvais me le C/C ou me le screen je te serais si reconnaissant que je demanderais au sorcier africain du coin de faire disparaitre tes derniers boutons sur le dos
Parce que, renversant la formule de Beaumarchais, il n'est pas de blâme crédible sans capacité d'éloge, il est bon de souligner les qualités d'un arrêt, même si l'approbation doctrinale n'ajoute guère à son autorité naturelle (mais peut suppléer à son absence de publication au Bulletin, curieusement non prévue en l'espèce).
Sur la question qui devrait être un peu jaunie de la rupture d'une promesse de mariage, cet arrêt paraît bien redresser un gauchissement apparu il y a une trentaine d'années par le biais de la preuve. Certes, le principe de fond que la promesse de mariage ne lie pas et que sa rupture n'est pas en elle-même source de responsabilité n'a jamais été ouvertement rejeté. Mais c'est de façon plus insidieuse qu'il était dévitalisé par un renversement de la charge de la preuve : des décisions assez nombreuses ont jugé de plus en plus fermement que l'auteur de la rupture devait fournir des motifs et qu'il lui incombait d'en établir l'exactitude et la légitimité, à défaut de quoi il était en faute (Cass. 1re civ., 22 févr. 1972, JCP 1972.II.17111, note Lindon ; 18 janv. 1973, JCP 1974.II.17794 ; 15 mai 1973, Bull. civ. I, n° 167 ; 6 nov. 1974, ibid. I, n° 296 ; 3 nov. 1976, ibid. I, n° 322 ; 29 avr. 1981, ibid. I, n° 143 et 144 ; 15 mars 1988, Gaz. Pal. 1989.1.374, note J.-M.). C'était réduire le principe à l'état d'incantation verbale et un auteur a pu y voir un « fossile » (G. de la Pradelle, L'homme juridique, 1979, p. 199) : s'il faut justifier de motifs légitimes pour se délier, c'est bien qu'on est lié !
Heureusement, l'unanimité ne s'est pas faite en ce sens chez les juges du fond : au terme d'une longue analyse de nombreuses décisions inédites, un auteur a pu estimer plus récemment que la tentation de renversement de la charge de la preuve perdait du terrain (Rubellin-Devichi, RTD civ. 1989.282).
Mais la dispersion demeurait.
Cet arrêt pourrait contribuer à la réduire en ce qu'il casse une décision ayant déduit trop facilement la responsabilité d'une rupture qualifiée de brutale. Ce n'est pas tant parce qu'une mésentente latente ne rendait pas cette rupture imprévisible que l'arrêt est cassé (bien que le soin pris à rappeler cette circonstance puisse en émousser la portée) que parce que l'absence de dialogue préalable ne suffit pas à caractériser une faute.
C'est en cela que l'arrêt, quoique ne parlant pas de preuve, est néanmoins instructif sur ce plan : imposer à celui qui rompt un dialogue préalable, c'est inéluctablement le conduire à avancer des motifs (de quoi « dialoguer » sinon ?) et amorcer par là leur contrôle. Même si son absence peut être frustrante sur le plan affectif, ce dialogue doit rester facultatif sur le plan juridique et, par voie de conséquence, la justification des motifs qui fourniraient la matière de ce dialogue.
Et le parallèle esquissé par certains avec le licenciement (à fonder sur de justes motifs) s'éloigne donc un peu plus, puisque « l'entretien préalable » n'est ainsi pas obligatoire (pas plus qu'il ne l'est en cas de démission dont est plus proche le renoncement à un projet de mariage).
Au moment où le droit de refuser d'acheter est reconnu comme insusceptible de contrôle par l'abus même en cas d'intention de nuire (Cass. com., 5 juill. 1994, JCP 1994.II.22323, note Léonnet), il eût été pour le moins paradoxal que le droit de refuser de se marier fût moins protégé.
L'arrêt appelle donc une franche approbation.
Voilà
Recueil Dalloz 1995 p. 251
Rupture de la promesse de mariage : le dialogue préalable n'est pas nécessaire
Alain Bénabent
Je préférerais un coup de voodoo pour écourter le franc débat que je tiens depuis maintenant une semaine avec fffanatic
Ou la il faudrait une trop puissante magie , on n'a pas ca en France , nombre de topics ont été maintenus uniquement par les échanges de pavés de ffanatic avec un autre.
Tu es etudiant où ?