Voici mon début de roman...dites moi sérieusemen ce ke vous en penceez! bon daccor c´est 1 peu compliqué mé c´est normal c´est la mise en place de l´intrigue^^:

1

Flou. Des courbes se dessinent, et finalement des formes apparaissent. Les couleurs sont de plus en plus nets. La clarté revient peu à peu, les formes deviennent silhouettes, le flou n’existe plus. Maintenant je distingue un visage, puis un buste. Soudainement, le son me revient. Pas très clair tout d’abord : j’ai l’impression d’écouter un vieux disque mal enregistré. Mais ce n’est pas de la musique, ce sont des voix. Comme victime d’une surdité légère, je ne distingue que les sons graves, et bientôt les aigus. Les sons se transforment en mots, et à présent, ma vision est presque normale.
Je me trouve dans une pièce blanche, allongé sur ce qui est, à mon avis, un lit. Je me rends compte que c’est un lit d’hôpital. Quand j’étais en vie, j’avais une phobie des hôpitaux et plus précisément des médecins. Je ne leur faisais pas confiance ; je crois que c’était dû à ma tendance paranoïaque. Et justement, cet homme assis devant moi, j’en ai conscience à présent, a tout l’air d’un…médecin. Peut-être un chirurgien. J’essaye de ne pas paniquer quand je m’aperçois qu’il n’y a pas qu’une personne dans cette pièce. J’arrive à voir des individus au fond de la salle. Ils sont trois, ou quatre.
« Il…a lui !! Rega… Mais …ardez donc !! ! »
Aïe !! Ma tête! Cela fait une éternité que je n’ai pas entendu de bruit, et encore moins un cri. Les voix ne sont pas encore très nettes, mais maintenant mes yeux fonctionnent parfaitement. Les trois individus qui s’approchent ne sont autres que Julien, Marsha et Pierre, les trois seuls amis que j’ai pu avoir de mon vivant.
« Eh bien ! Il n’a pas changé d’un poil !
- Malheureusement il faudra patienter une heure ou deux avant qu’il puisse retrouver l’usage de la parole.
- Alors là je suis bluffée. Est-ce qu’il nous entends docteur ?
- Bien sûr ! Il vient juste de reprendre conscience.
- Allez Pierre, dis lui quelque chose pour voir ! »
Je n’en crois pas mes oreilles ! Mes amis ! Mes bons amis !
« Bon euh… salut Michaël. »
Ah Pierre ! Que c’est bon d’entendre ta voix ! Mais que faîtes vous là Julien, Marsha et toi ? Vous avez fini par mourir vous aussi ?
« Regarde Julien ! On jurerait qu’il essaye de me dire quelque chose !
- Je vous l’ai dit, il vous comprend mais ne peux pour l’instant ni vous répondre, ni faire le moindre geste.
- Oui nous comprenons docteur. On m’a déjà parlé des débuts difficiles de la… résurrection. »
Que veut-il dire ? Résurrection ? Je suis donc revenu parmi les vivants ? Mais je ne veux pas être ressuscité ! J’exige d’être mort !! Vous entendez ? LAISSEZ MOI MOURIR !! !
« Euh … Docteur ? On dirait qu’il panique…
- Les retours dans la vie sont toujours un peu surprenants pour l’ex-défunt. Laissez-lui le temps de se reposer et de reprendre ses esprits. Vous devriez revenir demain, il sera apte à vous parler.
- Vous avez raison docteur. Eh bien, à demain Michaël !
- Bon retour parmi nous !
- Allez viens Marsha… Laissons-le se reposer.
- A demain docteur Van Kaper ! »
Non ! Ne partez pas ! Pierre ! Marsha ! Julien !! Dîtes moi au moins pourquoi je suis ici !! Pourquoi ?? POURQUOI ?? ?
2

« L’accusé a donc été jugé et reconnu…coupable ! »
Cette phrase résonne dans ma cervelle.
« Il sera condamné à la réclusion criminelle à perpétuité ! Mr Johnson Michaël sera transféré à la prison de Astorga Meels où il écoulera sa peine. Je déclare maintenant la séance terminée ! »
Coupable… Oui, j’ai tué mon chien. Il avait la rage. J’ai tué mes guppys. Leurs actes de cannibalismes m’horripilaient. J’ai tué ma femme. Elle était devenue folle.
Voilà les derniers mots que je gravai sur le mur de ma cellule avant de me pendre avec des lacets.
Il faut savoir que l’an 2023 a été une année particulièrement néfaste, bien que ce mot semble un peu léger vu ce qui va suivre : montée en puissance du parti ultra conservateur en Europe notamment en Grande Bretagne et en France, une guerre nucléaire appelée G.H.D. a éclatée, délocalisation massive d’entreprise et suppression d’emplois se comptant par millions…
Et derrière le mécontentement général, les anarchistes se frotte les mains, attendant impatiemment que le peuple se tourne vers eux.
Je n’ai bien sûr pas cité les problèmes de pollution qui sont maintenant classés au rang de « faits-divers ».
L’humanité est comme une taupe : elle est aveugle ; à présent elle s’enterre.
La folie des hommes est devenue obsolète car nous avons passé depuis peu le cap que l’on pourrai nommer celui de la paranoïa absolue. C’est un paradoxe car l’Homme est une espèce qui aime vivre en société. La préférence a tournée en faveur de la société policière et celle de la surconsommation.
N’allez pas croire que mon suicide ait pour cause une dépression face au devenir de l’humanité (car je suis de nature égoïste comme la plupart de mes contemporains), ni ma condamnation à vivre en prison jusqu’à la fin de mes jours que j’aurait voulut brusquement abréger. L’idée du passage à l’acte venait plutôt de mon compagnon de cellule, qui n’était pas n’importe qui : il se qualifiait comme un ressuscité.
Au premier abord on aurait cru un fou. Un fou qui est rapidement devenu mon mentor.
Ce personnage singulier vivait dans le culte de la mort et de la réincarnation humaine. Selon lui lorsqu’un être humain mourrait, si son désir de vivre était très intense, la force de l’esprit permettait la résurrection. Il avait soi-disant vécu cette expérience spirituelle.
Je le croyais ancien gourou d’une secte cherchant de nouveaux fidèles, et je n’étais d’ailleurs pas le seul à lui porter ce regard. Mais il y avait dans ses paroles une telle conviction, un tel charisme qui rendait ses propos presque crédible, même pour le plus cynique des prisonniers.
Jour après jour, il a essayé de me convaincre, affirmait que la mort serai plus qu’une expérience extrême : ce serait une étape vers la sagesse.
A l’époque je n’avais plus rien à perdre, mais je ressentais toujours cette envie de vivre ancrée dans le cœur de tout homme de raison. Une raison que je perdit aussitôt une fois que j’eu volé les lacets des chaussures d’un gardien.
Je n’ai donc pas suivi la recommandation de mon maître : celle de vouloir vivre tout en se tuant.
Au dernier moment, je n’eu plus envie de vivre. Une pulsion a effacée ma raison.
Je suis donc resté bien mort ; du moins c’est ce que j’espérais.

personne ne va le lire
comme moi

C´est dommage j´aimerai bcp savoir ce que vous en pensez...bon dac c´est 1 pe long mé faites 1 effor

la flemme de lire

essaye le forum ecriture

sfQVYHVBBZFUIBFQVvhf oups scuz a force de lire jme sui endormi et ma tete est tombé sur le clavierg activer plin de touch du clavier

trop long

Moi j´ai pris la peine de lire, j´aime bien, c´est bien écrit, par contre fait gaffe à l´orthographe.

Trop trop bien

Vraiment avec ce passage dans le futur super réalisme et l´intrigue bien alléchante sa donne envie

A quand la suite ?

je lirais dans 10 ans.

merci bocou!! en tout ça m´encourage je vais continuer...

A part les nombreuses fautes d´orthographe, heu léger léger...
Mais il faut mettre ta fic sur le forum écriture et surtout pas ici

lol dsl pour les fautes... je viens de remarquer ke jen avé fait pas mal...dsl^^

ah wi je veux bien une suite, c´est assez bien écris mais trop de faute

Bah.. Ça aurait aisément pu être pire.. :haP;

*

J´ai tout lu, c´est plutot un bon débuts, j´ai juste répéré quelques fautes :

Les couleurs sont de plus en plus nets. => Nettes.
les anarchistes se frotte les mains => frottent.

merci pour le repérage de fautes^^ non mais jvais les corriger et merci ou merci d´avance pour ceux qui ont eu le courage de lire!

Hey mon pl =) Jme sui inscri rien que pr toi ;) mm si tu m´avais dis de pas le faire...
Dc jte redis cke jté dja dis : bravooo!! ^^ Mon avis n´est p-e pas très objectif puisque tu es un de mes meilleurs amis, mais nempeche que j´aime ^^ alors continu, jveux lire la suite moi! ;) bisouuuuuuu jtadooor

J´ai pas envie de lire

trop bien un suite pliz

je déconne pas j´ai adoré on dirait un vria écrivain