« Ils sont fous ces romains! »
~ Sacha Guitry à propos des irréductibles romains.

Sommaire

Situation Géographique

Les romains sont un peuple assez mystérieux. On a longtemps situé leur pays, la romanie, en Italie, alors que la Romanie, on sait aujourd'hui que c'est entre l'Ukraine et la Hongrie. Parce que tout le monde sais que le seul pays d'Italie, c'est l'Italie, d'abord !

Mœurs

Les romains ont beaucoup de distractions qui leurs sont propres: les combats de gladiateurs, les courses de char, les orgies, repousser des invasions barbares, faire des complots, prendre des bains entre garçons, etc... etc... Les romains ont une organisation militaire très structurée. Leur armée est principalement composée de légionnaires, qui ne sont pas très efficaces, car ils se battent au pilum. Alors évidemment quand les types en face envoient des chars ayant bu de la potion magique, ça fait un jolie bain de sang. Les légionnaires romains aiment jouer au morpion, dresser des camps en bois comme les scouts et faire des coups d'état.

Les empereurs sont des modèles de sainteté. Un gars comme Néron, grand admirateur de brocolis, de Paris Hilton et d'emos est reconnu comme étant un modèle de vertu! C'est pas tous les jours que tu croises un gros qui fout le feu à sa ville, merde. Bah oui, yavait des chrétiens dans le tas...

Les romains sont aussi de brillants batisseurs : Colisée, routes, autoroutes, aqueducs, aqueprinces,Disneyland Paris, Auschwitz, la chatte de ta mère.

Histoire

La Romanie fut fondé par Romuluszjky, qui dressa la capitale a un endroit où il avait vu des oiseaux. Ses contemporains affirmèrent que ce sont les dieux qui envoyèrent les oiseaux pour indiquer l'endroit où construire la ville. En réalité Romuluszjky aimait juste beaucoup les oiseaux, alors il construisit la ville à côté parce que les chants d'oiseaux, et ben c'est joli. Un jour, alors que des Gaulois tentèrent d'assiéger la ville de nuit pendant que les soldats dormaient, quelques oies entendirent les Gauloirs grimper aux murailles. Les "oies se rassemblèrent, s'armèrent puis repoussèrent les Gaulois. Non satisfaites d'avoir seulement repoussé l'assault, les oies se réorganisèrent et boutèrent les Gauloirs hors de Romanie. Une oie appellé Jules César se mit en tête de conquérir la Gaule, ce fut donc la guerre des Gaules de laquelle César sortit victorieux. Ce fut également le début du règne des oies. Alors que César dominait Rome, le sénat, qui avait un peu la honte qu'une oie domine le pays, complota (un peu plus que d'habitude), avec le fils même de césar : oieman, le héros mi-homme, mi-oie. Un jour, les sénateurs poignardèrent César et oieman lui infligea le dernier coup de couteau. Avant de mourrir, César lui addressa cette phrase "Tu quoque, Pussi" (toi aussi, mon poussin ). Ce fut la fin du règne des oies. Plus tard, ce fut les terribles guerres pudiques, où le général carthaginois Hannibal Lecter dévora en civet un bon nombre de Romains. Les romains en sortirent tout de même vainqueurs en aspergeant du sel sur ces terribles et intelligents gastéropodes; Désechées et ne trouvant plus rien a bouffer (la sallade n'aime pas le sel) ils moururent tous de désespoir. La fin de Rome vint avec les invasions barbares. Un flot d'immigrés clandestins qui eu finalement raison de la supériorité de la Romanie. Aujourd'hui la Romanie n'est qu'un petit pays d'Europe, et beaucoup d'immigrés romains immigrent en France et volent les boulots des honnêtes citoyens. Ils volent aussi des voitures, diraient les mauvaises langues.

« Alors que le Soleil brillait sur la Terre des Hommes, et que les Hommes vivaient en paix en leurs diverses sociétés, et que le fil du temps s'écoulait comme le ruisseau s'écoule entre les pierres, et que la parole des prophètes avait perdu son emprise sur le cœur des Hommes, alors que le Cosmos était encore réglé dans un ordre parfait et défini, s'exécuta la prophétie de Krustikk-Rhab. Les Hommes l'avaient oubliée, mais cette prophétie portée aux sens du prophète Krustikk-Rhab bien avant que la civilisation fut faite civilisation, prévoyait l'arrivée du crabe géant démoniaque aux millions de pinces en diamant noir, l'horreur tapie du fond des mers qui vomit le désespoir et les cauchemars, la manifestation démoniaque d'une volonté supranaturelle gardienne du destin des Hommes, l'abomination à la carapace lisse comme de l'acier et impénétrable comme la porte des enfers, l'organisme grouillant du désir de mort de de désespoir, la créature que l'on avait nommée le Cancer. Sorti des plus profondes et noires eaux de l'océan le plus dense, il fit trembler les berges du monde des Hommes lors de son apparition. Son apparition rendit fou tous ceux qui posèrent le regard sur lui, leurs âmes comprenant en un instant l'inéluctabilité de la volonté absurde de Dieux démoniaques tapis dans l'obscurité la plus pure de la dimension la plus sombre. Alors que les citoyens de la ville maudite aux deux millions de vices s'enfuyaient, eux-mêmes qui se réclamaient comme "Les membres et citoyens de St-Tropez", les pieds de la Bête immonde firent trembler la Terre. Dix millions d'âmes s'éteignirent alors dans la folie la plus pure, condamnés à errer sans fin dans la dimension du Vide. Le Cancer, en faisant claquer ses innombrables pinces noires comme l'ébène, emporta six cent millions d'âmes supplémentaires, les cerveaux de leurs enveloppes corporelles éclatés par la force du message lancé par les Dieux fous. En moins de temps qu'il ne faut à l'Homme pour compter jusqu'à six, le crabe géant avait réduit le nombre de vies sur Terre au milliardième de ce qu'il avait pu être. Puis, emportant avec lui les milliards de cadavres fumants et nauséabonds, dont les corps témoignaient encore par spasmes de la folie la plus pure dans laquelle les âmes dont ils étaient autrefois propriétaires erraient, le monstre gravit la plus haute cime de la plus haute montagne du plus haut pays, et, dans une impulsion dont la folie ne peut être comprise par une âme mortelle, déclara ces mots aux Dieux, aux vivants, aux morts, et à ce qu'il restait d'humain dans l'Univers : -AU TROISIÈME TOP IL SERA SEIZE HEURES, VINGT-QUATRE MINUTES. TOP ! TOP ! TOP ! »

pfff ça marcha pas

Contrairement à ce que montrent les films de guerre se déroulant au Moyen Age, lors du siège d'un château, les défenseurs ne jetaient pas d'huile bouillante sur les assaillants du haut des remparts. En effet, c'était un aliment rare et cher à l'époque, et la poix, le soufre ou l'eau bouillante étaient préférés.

À la mort d'un pape les cardinaux se réunissent pour en élire un nouveau, comme ce fut le cas avec l'élection de Benoît XVI en 2005. Mais en 1271, l'élection fut interminable, français et italiens ne parvenant pas à se mettre d'accord. Cela dura 2 ans et 9 mois. Exaspérés, les romains firent murer le palais épiscopal où se tenait l'élection avec les cardinaux à l'intérieur.

Le résultat ne se fit pas attendre : le pape fut rapidement choisi. Celui-ci, Grégoire X, décida de généraliser cette méthode. À l'avenir, les cardinaux seraient enfermés à clef dans une chambre. En latin, "à clef" se dit cum clave, ce qui a donné le mot conclave. Mais comment une fois enfermés, informer le reste du monde du déroulement du vote ? Aujourd'hui, après chaque tour de scrutin, les bulletins sont brulés dans un poêle dont la cheminée est visible depuis la place Saint Pierre. En y ajoutant un produit qui rend la fumée soit blanche soit noire, les cardinaux indiquent si le nouveau pape est élu ou non.

François Lacenaire fut un criminel français du XIXe siècle qui devint célèbre dans la presse de l'époque suite à sa personnalité singulière et à son sens de la repartie, transformant son procès en pièce théâtrale où il réclama pour lui-même la peine de mort. Condamné à être guillotiné, il aurait déclaré avant son exécution, qui était un lundi : « La semaine commence mal. »

Toutes les planètes ne gravitent pas en orbite autour d'une étoile ou d'un autre corps stellaire. En effet, il existe des planètes errantes qui se déplacent dans l'univers de façon libre. Encore peu étudiées, car découvertes récemment, on ne sait pas de manière certaine comment elles se forment.

Il existe 2 hypothèses au sujet de leur formation. La première avance que ces planètes ont gravité par le passé autour d'une étoile et se sont donc formées comme toute autre planète "normale" avant d'être expulsées. La deuxième, radicalement différente, avance qu'elles se seraient formées de leur propre chef à partir de nuages de particules très denses.

Si l'on parle beaucoup de la Corée du Nord, il existe un autre pays fermé : l'Érythrée. Ce pays africain est dirigé par le président Afeworki depuis son indépendance en 1993. Un service militaire est imposé à tous les citoyens de 17 à 50 ans, qui en pratique correspond à des travaux forcés. Le pays est régulièrement en dernière place du classement de Reporters Sans Frontières sur la liberté de la presse, et 20% des habitants auraient fui le pays sur les 10 dernières années.

[Coruscant - Proche de la Base Mandalorienne]

« Gev ! M’écriais-je tandis qu'à l'aide de la Force je désarmais les Mando. N'en avez vous pas luubid haar tal'galar haar tal be gar'vod ?!
— Basai, j'ai réussi à avoir Laskar. Intervint Redd après avoir tué les derniers "obstacles" tout en gardant sa main proche de son sabre laser, le regard méfiant envers les différents individus.
— Enfin une bonne nouvelle. Soufflais-je pour moi même. Et qu'a t'il dit ?
— Il a dit qu'il mobilisait tout les F.I.I. afin d'attaquer les principales structures Sith afin de faciliter l'invasion tandis qu'une équipe viendra pour nous supporter...
— Ils n'arriveront jamais à les prendre.
— Certes, mais ils arriveront à gêner suffisamment les Sith pour épargner la vie de plusieurs centaines de milliers de personnes... Sinon, concernant les Mandaloriens, on fait quoi ?
— À eux de nous le dire...» Terminais-je en regardant tour à tour Djal, Hondo et les autres Mandos désarmés.

[Coruscant]

La flotte était arrivée peu après que le message soit envoyé, ils attendaient le signal à moins de 10 minutes en saut hyper-spatial.
Contrairement à ce que nous pensions, les défenses de Coruscant ne furent pas surprise une seule seconde, limite c'est comme s'ils nous attendaient.

Les destroyers Dragon furent la plus mauvaise surprise, même la technologie Vong était dépassée.
Malgré le choc, les forces de défenses perdaient du terrain, pliant sous la supériorité numérique temporaire des coalisés., au prix d'énorme pertes dans nos rangs.

Heureusement, les Dragons, aussi puissants soient-ils, étaient trop occupés par nos vaisseaux lourds pour se concentrer sur les vaisseaux de débarquement. Plusieurs centaines de transports et leur escorte filaient vers la surface, prêt à déployer des milliers d'hommes à proximité du temple Sith et de la tête de pont. Enfin s'il y a toujours une tête de pont.
Cela dit, nous perdons beaucoup d'hommes avant qu'ils ne puissent apercevoir le sol, les nouveaux chasseurs Sith se font un malin plaisir à faire un carton avec, malgré la couverture aérienne qui avait été mise en place pour limiter les pertes lors du débarquement...

Après un rapide briefing, je pris place dans une canonnière pour escorter le convoi et rejoindre les troupes qui n'allaient pas tarder à rejoindre la surface.

- Contrôle, ici le commandant Vaneu à bord de la canonnière GS-1992, demande l'autorisation de décoller.
- Autorisation accordée, bonne chance et bon vol commandant.

Coruscanta : 

Heureusement que Lara les avaient désarmés ! D'ailleurs ces mandos avaient tous au moins une tête de plus que nous ! Ils étaient imposants. Il avaient l'air féroce et très puissants !...
« Heu... hésita l'officier. Je ne comprends plus...
— Pour vous dire la vérité, c'était un coup fourré. Vous venez de trahir vos propres hommes et Dark Rigid, répondis-je calmement.
— Oh... seigneur... dit-il tirant d'une main molle le col de sa veste d'officier. Je suppose qu'il va nous falloir quitter nos rangs si nous ne voulons pas être exécuté...
— Sûrement.
— Tant mieux, j'ai toujours rêvé quitter ses monstres imbéciles sans cœur. »
Les stormtroopers eux n'avaient pas l'air de partager cette avis, mais comme lui, ils avaient trahis leur camp, voulu ou pas.
« Donc soit vous resté avec nous pour livrer bataille, soit vous déguerpissez avant.
— Nous resterons à vos côtés, dit l'officier solennellement.
— Très bien, et pour les mandaloriens, continua Hondo, du moins ceux qui sont avec nous – il regarda les mandos devant nous – nous continuerons de nous battre jusqu'à la fin... »
Alors qu'Hondo parlait avec Lara et l'autre Sith sur la suite des événements, je regardais les mandos ennemies devant moi.
« Pourquoi rester avec eux ?
— Ils nous promettent prospérité et pouvoir, répondit l'un d'eux d'une voix caverneuse.
— Vous avez été aveuglé...
— Aveuglé ? Ce n'est pas ce que rêve tous mandaloriens ? Respect, pouvoir ? Puissance ?... dit un autre.
— J'en avais rêvé, mais c'était avant que je me rende compte que mes jugements obscurcissaient mon esprit au point de commettre des erreurs et actes qui n'étaient pas du tout voulu.
— Alors tu es faible. » conclua un troisième.
Ces mandaloriens se comportaient vraiment de façon très étrange.
« Qu'allons nous faire alors ? Se battre pour savoir qui a raison ? Ou alors parce qu'on est pas dans le même camp ? Nous sommes frères ! Ner vod !
— Même les frères en viennent aux armes. »
Il disait vrai...
— Même des pères meurent des mains des fils... – et ce que dis le cinquième me perturba, savait-il ce que j'avais fait ?
— C'est la loi de la nature, grogna le dernier. Lorsque celui-ci lui a appris le nécessaire, la progéniture se doit de le tuer. C'est un test, l'ultime passage au sommet de la puissance. Par sa puissance il gagne le pouvoir... par le pouvoir il a la victoire... il brise ses chaînes... et alors... La Force... le libérera. »
J'étais presque hypnotisé par ces paroles.
Je ne me rendis même pas compte que les six mandaloriens s'étaient animé en même temps, et en quelques mouvements m'avaient projetés par terre et nous avaient encerclé, moi, Hondo, Tes, Ca'Al, les deux Sith, ainsi que les soldats avec l'Officier.

                                [Coruscant]

Quelques minutes s'écoulèrent après la fin du bref combat duquel les derniers Stormtrooper jurèrent allégeance à l'Empereur Fel. Durant ce laps de temps, Hondo vint s'immiscer dans ma conversation avec Redd, non sans contrarier ce dernier.
Nous devions non seulement attendre les renforts, mais aussi mettre en place une stratégie groupé entre le commandement des forces coalisées et ceux de la résistance de Coruscant.

« L'assaut à commencé. Constata Dark Tirak en levant les yeux, observant les différents explosions.
— Tant de mort... Déplora Ca'al sur un ton triste. Cela ne finira donc jamais ?
— Hélas, tant que des hommes tels que Krayt seront en vie il y aura toujours des conflits. Répondis-je en remettant sur ma ceinture mon sabre laser, échangé à Djal à la place de l'un des Sith décédé.
— Me'copaani ?Demanda Hondo à mon égard, attendant la suite de l'opération.
— En doit tenir jusqu'à ce que soit les troupes débarquent, soit que nos renforts arrivent. M'exclamais-je en passant ma main dans mes cheveux, trop souvent négligés pour une femme me dira-t-on.
— Noval. Demanda Redd avant que je ne lui coupe la parole.
— Je te l'ai déjà dit, appelle moi par mon nom d'adoption. Répliquais-je sur un ton lassé avant de le laisser parler.
— Peu importe, tu n'as rien ressentie avec ces Mandaloriens ? Demanda t'il en fixant le groupe vers Djal.
— Si, évidemment mais le fils d'Uliris non. Examinais-je tandis qu'ils se mirent à parler avec Djal. Laissons les se débrouillez entre eux, cela ne peux lui faire que du bien.
— Pardon ? S'exclama Hondo, indigné par mes paroles alors que les Mandaloriens venaient de pousser Djal vers nous avant de nous encercler.
— Redd, laissons le jeune Mando s'occuper de ça pour le moment et contentant nous de protéger les autres. Déclarais-je sur un ton neutre, repoussant les assaillants à l'aide d'un seul geste de la main.
— Ne t'inquiète pas, c'est à peine si ils ont un niveau de padawan... Déplora t'il déçu.
— Djal ! M'écrias-je à l'intention du frère de Vaneu. Si tu expose trop ton esprit non seulement ils vont en profiter pour te déstabiliser mais aussi pour prévoir tes coups ! Bloque ton esprit comme te l'a montré Vaneu !
— Pfff, on dirait Discord quand il me faisait des leçons ! » Se plaignit le Zeltron en repoussant un Mando téméraire qui s'approchait trop du groupe, leur faisant comprendre qu'ils devront tuer Djal en premier.

[Coruscant]

La flotte venait d'arriver et était en plein combat avec les défenses de Coruscant.Il voulut prendre place dans une canonnière mais... la place était déjà prise.

Il bailla et attendit.

Dat foutage de gueule.

Moins motivé que ça tu meurs.

Bha ouais

[Coruscant, espace aérien à proximité de la tête de pont]

Ayant pris la tête d'un convoi de troupes vers la surface, il fut logique que l'ennemi prit pour cible mon vaisseau.
ça aurait pu être désastreux, mais c'était sans compter une solide escorte qui les obligea à revoir leurs priorités. Mais des pertes vinrent quand même salir notre descente, pertes acceptables d'un point de vue militaire.
Arrivant à portée de tir de la tête de pont, j'ordonnai aux canonnières de lancer une pluie de missiles sur les positions ennemies, histoire de ramollir un peu leur engouement à faire feu lors du débarquement de mes hommes. Celui-ci une fois amorcé, je restai en vol stationnaire pour veiller à ce que l'ennemi reste tranquille encore un moment.

Chapeau

[Coruscanta]

— Djal ! s'écria Nova. Si tu expose trop ton esprit non seulement ils vont en profiter pour te déstabiliser mais aussi pour prévoir tes coups ! Bloque ton esprit comme te l'a montré Vaneu !
— Merci du conseil !... »
Les Mandaloriens Sith avaient allumé leur sabre-laser rouge et nous divisèrent en plein combat pour nous rendre plus faible.
« Je sens en toi un grand pouvoir petit. Tu pourrais nous rejoindre ! Nous rejoindre pour prendre la place de notre Mand'alor déchu.
— Pour être corrompu comme vous ? Aveuglé par la haine et le pouvoir ?
— Ne nous confond pas avec ces dik'ut de Darjetiisse ! Nous avons peut-être le pouvoir et la puissance, mais nous ne les laissons pas nous contrôler, nous sommes maître de notre âme... »
Il finit ça phrase en me mettant un coup de genoux dans la cuisse alors que mon sabre crochetait avec le sien. Je perdis l'équilibre.

« Ce qu'il faut que tu comprenne Djal, c'est que sans la volonté de vouloir être grand et fort, tu perdras chaque combat, toutes les guerres. Tes sentiments encombrent ton esprit à un point qui te rend faible... sans but... gagner ou perdre te rends indifférent, la seule chose qui te soulage, c'est de savoir que cette douleur qui est au fond de toi va bientôt disparaître... tu es un lâche ! Tu t'échappe quand l'occasion se présente, quitte à mourir dans le déshonneur et la honte ! Tu fais honte à ton peuple !
— Djal'ika n'écoute pas cet aruetii, il essaye de t'embrouiller, tu es plus fort qu'il ne le dis, me lança Hondo alors qui tirait et esquivait la lame rouge de son adversaire.
— Dar'Manda ! hurla le Mando Sith comme pour contrer les dire de mon ami.
— Je n'ai... jamais réussis ne serait-ce qu'un objectif... je finis toujours par perdre...
— C'est ton manque de volonté, tu n'y crois pas car tu n'as pas la puissance... nous pouvons t'aider à te rendre plus fort ! Tu deviendrais un homme ! Un vrai guerrier, comme le rêve n'importe quel Mando.
— Je n'ai pas besoin de votre pouvoir, j'ai déjà le mien. !...
— Tu n'as QU'UNE partie du pouvoir. Sans l'autre tu n'es rien.
— L'autre ne sert qu'à la destruction, au chao, à la violence.
— Comment crois-tu que les Jedi essaye de rependre la paix ? En tuant ces ennemies. Il ne mérite pas plus de respect que les Sith, ils ont chacun une facette de la Force, mais ce qu'ils ne comprennent pas, c'est que pour avoir LE pouvoir, et connaître toute la vérité, il faut savoir maîtriser les deux côtés. Il faut une nouvelle faction, une nouvelle tribu, celle qui mettra un terme absolu à cette guerre vieille depuis des millénaires ! Une armée ramenant la paix dans cette galaxie meurtris, elle a déjà trop souffert !...
— En la détruisant ? demandai-je sur le ton de la défense. Autant le faire tout de suite comme ça on n'en souffrira plus.

— Tu es si naïf et endoctriné par les principes de ces foutu Jetiisse... En fin de compte, je comprends pourquoi tu es si faible... Par ton manque de volonté, tu te renferme sur toi même, à geindre sur ton sort... tu ne crois plus en rien... tu n'as plus une seule parcelle d'espoir... tu es dans un gouffre sans fond, et tu t'y enfonce de plus en plus...
— Je...
— Nous aurions pu réaliser ton rêve. Tu ne voulais pas mettre un terme à cette guerre ? Et ainsi venger ton père ? Tu vois, même ton objectif ultime t'as abandonné...
— Mon père est mort de mes propres mains ! »
J'essayais de lancer sur le mandalorien une poussée de Force, mais il ne fit que reculer de trois pas. Je lançais alors mon sabre-laser et je me mis courir vers lui. Il arrêta de justesse mon sabre d'un coup de lame, et se prépara à ma charge. Il lâcha son sabre et tendis les bras pour se préparer à un combat à main nu.
Le choc fut violent, les plaques de nos armures créaient une symphonie de clic et de clac sur le sol. Nous roulâmes pour essayer de prendre l'avantage, mais mon adversaire était deux fois plus fort que moi.
« Tu vois Djal, si j'étais aussi corrompu, pourquoi ne pas t'avoir tué ? Tu ne comprends pas que j'essaye de te sauver ?
— Tu ne fais ça que pour que je te serve !
— Mais réfléchis bon sang ! Je n'ai pas besoin d'un apprenti ! D'un serviteur, aucun n'est maître de l'autre nous sommes tous égo, nous sommes frères !
— C'est pour ça que vous tuez ceux qui ne vous ont pas suivit ?
— Tu fais erreur, ils s'entre-tuent, car certains ont été aveuglé et entrainé par les idée de Yagga et celles des Sith. Nous, nous ne voulons que stopper cette hémorragie ! Trop des nôtres sont mort pour ces crétins ! Il faut que ça se termine, on donnerais notre vie ! C'est le devoir de chacun des Chevalier-Mandaloriens ! »
Il arrêta de me frapper, et se leva.
« Notre but, notre vie, mourir pour réussir.
— Alors pourquoi nous attaquer ? Vous voyez ? Vous mentez !
— Si tu regardes bien, tu verras que personne n'est tombé et a mordu la poussière. Nous sommes obligé pour l'instant de cacher notre jeux car leur chef nous surveille. Yagga nous a vendu à Dark Krayt pour qu'il nous élève et nous forme avec leur idaux. Pendant toute ces années nous n'avons pas arrêté de croire et espérer. En fusionnant ensemble nos connaissances et expériences nous pourrions devenir tellement plus que de simple animaux pour la science.

— Je suis désolé... Mais vous n'êtes pas nombreux, comment allez vous...
— Les Mandaloriens, plus les Chevaliers-Mandos, nous serons nombreux. Tu sais il y a des milliers d'années les mandaloriens, nous, avons tenu tête à ces manipulateurs de la Force. Nous étions une grande armée, unis et puissante. Nous voulons refaire la même chose.
— Mais si vous voulez mettre un terme à cette guerre, vous allez tuer des Jedi innocent.
— Les Sith seront une priorité. Ils mourront car il le méritent. Les Jedi, peut-être pourrions-nous avoir une entente... peut-être même que nous pourrions unir nos forces... Mais nous verrons cela plus tard. Nous n'avons plus beaucoup de temps. Si tu n'étais pas là nous serions déjà partis, imagine le risque que l'on prend. »

Si tu expose trop ton esprit non seulement ils vont en profiter pour te déstabiliser... La Sith avait peut-être raison...
« Comment me prouver que vos intentions sont bonnes.
— Comme ça. »
Tout d'un coup le mandos paru... s'illuminer de l'intérieur, et il s'ouvrit à moi.
« Mon esprit t'es ouvert. Libre à toi de regarder. »
Djal n'avait pas la notion de ce qu'était un esprit sain, ou mauvais, mais ce qu'il y vit était surprenant. Aucune haine, aucune peur, tout y était clair. De l'amour, de l'espoirs. Djal ce perdit dans ces pensés, comme hypnotisé !
« Tu le vois Djal ? Cette volonté ? Celle qui nous fait vivre ? Qui nous donne notre force ? En toi tu as ce même pouvoir, mais il faut que nous t'aidons à le ressentir.
— C'est impressionnant... Mais si je viens avec vous, je dois abandonner tout ce que j'ai, mes amis...
— Si tu viens avec nous Dal, c'est parce que tu y crois, pas parce que c'est un devoir, ou une obligation. Si tu ne veux pas avoir confiance en nous, nous partirons sans toi.
— Je... je crois en vous. Mais... je ne peux partir maintenant, j'ai... une dernière chose à accomplir... »
Le mandalorien me tendit la main.
« Alors nous t'attendrons. Nous pouvons t'aider si tu le souhaite. Haat, ijaa, haa'it.
— À accomplir seul... Haat, ijaa, haa'it. »
J'attrapais sa main pour qu'il me lève.
« Burc'ya vaal burk'yc, burc'ya veman.
— Gar serim... Mais c'est vraiment important que je sois seul.
— Très bien. Nous t'attendons sur Mandalore mon frère. Gev ner vode ! »

                                 [Coruscant]

Tandis que le jeune Mandalorien affrontait ce qui semblait être à première vue le leader de ces adeptes de la Force, je m’efforçais avec Redd de tenir en respect le reste du groupe, particulièrement hargneux après le Zeltron, sans nul doute à cause de ses tatouages Sith.
Et pourtant, aucun n'osait vraiment prendre le risque de nous attaquer de plein front, préférant tenter de vaines feintes n'ayant que pour but de nous fatiguer... Inutilement bien entendu, leurs lourdes armures ne devaient pas faciliter la tâche à vrai dire, nul doute que leur stratégie se retournera contre eux, du moins si c'est vraiment le cas...

« Fufu, qu'ils sont collant ces types ! Se plaignit l'ancien disciple de Discord tout en manquant de décapoter un Mandalorien trop téméraire. Ils n'ont toujours pas saisis qu'ils n'étaient pas de niveau ? Alors qu'ils viennent se battre une bonne fois pour toute !
— Ce sont des Mando, jamais ils ne s’avoueront vaincus par des Darjetii comme vous ! Rétorqua Ca'Al qui n'hésitait pas à tirer sur les chevaliers adverses, bien que ses tirs ne les atteignaient tout simplement pas à cause de leurs réflexes dopés par la Force.
—Ce ne sera plus un problème dans quelques secondes.» Déclarais-je tout en levant les yeux.

Tout mes compagnons levèrent également les yeux, sauf Djal et l'autre Mandalorien...

Djal, décidément tu est remplit de bonté... Mais aussi de naïveté, ça en devient presque inquiétant... Pensais-je tandis que les diverses embarcations aériennes, notamment des Canonnière de Police modifiées, firent feu sur les diverses forces ennemies nous encerclant, faisant enfin cesser les hostilités.

Plusieurs hommes en descendirent, armés pour la plupart d'anciens modèles de blaster, certains datant même de la Guerre des Clones ! Leurs équipements étaient assez variés, allant de la simple cuirasse maison à l'armure sophistiqué que seuls les personnes de riches familles ou d'anciens mercenaires ayant gardés leurs armures.
Seule une minorité d'entre eux portaient l'armure standard des Stormtroopers, à un détail près : Chacun des hommes avaient peint certaines parties de leurs armures en bleu afin de se distinguer des Stormtroopers loyaux aux Sith. (http://image.noelshack.com/fichiers/2015/38/1442519084-stormtrooper-501eme.jpeg)

Rapidement, les renforts se mirent en position, encerclant les Chevaliers Mandaloriens, prêt à tirer sur eux. Bien que plus puissant, les Mando savaient pertinemment qu'ils ne pouvaient vaincre autant d'adversaires à la fois, ce qui n'était d'ailleurs apparemment pas leur but initial...

« Djal ! M'écriais-je à l'attention du jeune homme naïf. Dit à tes nouveaux amis qu'ils seront libre de faire ce qu'ils veulent si ils jurent sur leur honneur de nous aider à nous débarrasser des Sith sans qu'ils ne s'en prennent à nos alliés !
-Je serais d'avis qu'on s'en débarrasse. Souffla Dark Tirak.
-Kandosii ! Sa bic gar liser mhi kyr'amur pakod ! Pesta Ca'Al dans sa langue maternelle.
-Il suffit ! Interviens-je avant que les deux hommes n'en viennent aux mains. Toute aide est bonne à prendre, ne l'oubliez jamais car c'est grâce à cela que nous en sommes là aujourd'hui, unis pour vaincre notre ennemi commun ! »

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