Zelcher/Daraen(homme)

Soutien C

Zelcher : Oh, celui-là est mignon ! Ou peut-être pas... Celui-là a de jolies cornes, mais ce n'est pas le genre de Minerva. Hmm, c'est plus dur que je le croyais...
Daraen : Zelcher ? Qu'est ce que tu fais ?
Zelcher : Ah, tu tombes bien, Daraen. Je voulais te demander quelque chose.
Daraen : A quel propos ?
Zelcher : Est-ce que tu comptes quelque beaux spécimens de wyvernes parmi tes amis ?
Daraen : Tu est sérieuse ?
Zelcher : Ça ne coûtait rien de poser la question... Je cherche un partenaire pour Minerva. J'ai parcouru des dizaines de portrait et de lettres de présentation. Mais hélas, pas un seul ne convient à ma petite Minerva.
Daraen : Euh... Minerva, c'est bien cet énorme animal que tu chevauches au combat ? Je ne savais pas qu'il y avait des services matrimoniaux pour les wyvernes !
Zelcher : Il n'y en a pas ! C'est pourquoi c'est si difficile de lui trouver un partenaire.
Daraen : Ça alors ! Tu explores de nouvelles voies en matière de relations entre wyvernes !
Zelcher : C'est un pas de géant pour l'homme et un vol d'oiseau pour les wyvernes... Tu veux me donner un coup de main ?
Daraen : Si tu penses que je peux t'être utile. Ah ha ha... ha ? Oh, attends. Tu es sérieuse... ?
Zelcher : Tu entends ça, Minerva ? Daraen va nous aider ! Oh, regarde comme elle a l'air contente !
Daraen : Ce cri assourdissant, c'était de la joie ? Qui l'eût cru...

Soutien B

Daraen : Zelcher, j'ai constitué un long dossier sur de potentiels partenaires wyvernes. Je ne me serais jamais imaginé dire une telle phrase un jour...
Zelcher : Oh, merci ! C'est tellement excitant ! Vite, montre-moi ce que tu as trouvé.
Daraen : Et voilà.
Zelcher : Oh, et tu as inclus des portraits à l'huile de toutes les wyvernes ! Beau travail ! Hmm... non. Non... non... Pff, impossible ! Non... et non... Daraen ? Tu es au courant que... Ce sont toutes des wyvernes femelles ?
Daraen : Euh, oui. Est-ce que c'est un problème ?
Zelcher : Minerva est une fille... qui aime les garçons.
Daraen : C'est... une fille ?
Zelcher : Bien sûr ! N'est ce pas évident ?
Daraen : Je n'avais pas vraiment remarqué...
Zelcher : Pardon ?!
Daraen : Désolé, je n'avais pas fait attention ! Ah ha ! Ha. Bien, je vais recommencer...
Zelcher : On ne dirait pas comme ça, mais Minerva est très exigeante. Choisis bien les plus beaux candidats !
Daraen : D'accord... Euh... Qu'est ce qui rend une wyverne mâle attirante, déjà ?
Zelcher : La forme, la longueur de ses cornes, l'éclat de ses écailles et l'envergure de ses ailes. Pense aussi à la musculature, au volume des rugissements, et à la portée des flammes. Oh, et si par hasard, il s'avère qu'il est riche, c'est encore mieux.
Daraen : Je suis sûr que tu viens juste d'inventer ce dernier point !

Soutien A

Daraen : Zelcher, je pense que j'ai trouvé la wyverne parfaite pour Minerva ! Regarde... Alors ? Qu'en penses-tu ? Magnifique, n'est-ce pas ?
Zelcher : La wyverne représentée sur cette peinture est tout a fait ce qu'il lui faut ! Regarde, Minerva ! Qu'est-ce que tu en dis ? N'est-il pas magnifique ? Oh, elle le trouve irrésistible.
Daraen : Merci ! Si ce n'était pas le bon cette fois, j'abandonnais définitivement les recherches.
Zelcher : Merci Daraen. Nous apprécions tout ce que tu fais pour nous. Tu es vraiment très gentil.
Daraen : Si je réussis, j'imagine que mon nom sera dans tout les livres d'histoire.
Zelcher : En tant que tout premier chaperon d'un rendez-vous wyverne arrangé ? C'est sûr. Tu seras célèbre pendant des siècles.
Daraen : Attends... Je ne veux pas être là quand ils se rencontreront. C'est absurde ! Je n'ai jamais joué les entremetteurs pour des humains, alors pour des reptiles... !
Zelcher : Oh, mais tu apprends vite. Je suis sûre que tout se passera très bien.
Daraen : Je n'en suis pas si sûr ! Si cela peut te rassurer, je serai aussi là. Je suis très au courant des us et coutumes de la romance wyvernale. Alors tu peux y aller sans moi... Tu en retirerais tout le bénéfice, en plus... AAAH ! QU'EST-CE QUE C'ETAIT QUE CE CRI ?! JE N'ENTENDS PLUS RIEN !!! JE SUIS SOURD... ! C'ETAIT UN CRI DE RAGE OU DE JOIE ?!
Zelcher : De rage... Elle s'inquiète que tu veuilles abandonner le projet.
Daraen : QUOI ?! ABANDONNER ROGER ?!
Zelcher : Non, elle est persuadée que tu es la clé de voûte de ce projet !
Daraen : QUOI ?! MAIS QUI C'EST CE ROGER ?! Ah... Attends... Oui, ça va mieux. Mes tympans se sont calmés. Mais par contre je n'ai aucune idée de... Oh et puis tant pis. Au point où j'en suis, autant aller jusqu'au bout... !
Zelcher : Je suis heureuse de l'entendre ! Et Minerva aussi ! N'est-ce-pas, Minerva ?
Daraen : OH NON !!! PAS ENCORE !

Soutien S

Zelcher : Oh, Daraen, je suis désolée que ça n'ait pas marché après tous ces efforts. C'était vraiment un très beau mâle... Je pensais que Minerva l'accepterait.
Daraen : Je ne savait pas à quoi m'attendre, mais certainement pas à un combat ! Ils auraient brûlé tout le village si tu n'était pas intervenue.
Zelcher : Heureusement, une sévère réprimande les a calmés.
Daraen : Je suppose que nous revenons au point de départ, hein ?
Zelcher : Je commence à me demander si Minerva n'est pas un peu trop âgée pour s'accoupler. Je suppose que nous finirons toutes les deux comme un couple de vieilles filles.
Daraen : Est-ce que tu as déjà cherché un mari ?
Zelcher : Oh, oui, mais ça n'a jamais marché pour une raison ou pour une autre. En vérité, ça ne marche pas à cause de Minerva. Elle fait peur aux gens. Certains m'ont demandé de l'abandonner pour eux mais je ne m'y suis jamais résolue. Je suppose qu'une femme avec une wyverne n'est pas une perspective enchanteresse.
Daraen : Alors Minerva a mon éternelle gratitude...
Zelcher : Qu'est ce que tu veux dire ?
Daraen : En chassant mes rivaux, elle m'a permis de t'offrir ceci aujourd'hui...
Zelcher : Un... anneau ?
Daraen : Zelcher, ces recherches m'ont fait réaliser que j'avais aussi besoin de quelqu'un. Et aussi que j'étais déjà tombé amoureux. Si je promets de veiller sur toi et Minerva, est-ce que tu veux bien m'épouser ?
Zelcher : Eh bien, Daraen ! C'est si soudain ! Mais... j'accepte avec joie.
Daraen : Je ne te laisserai pas tomber, Zelcher. Ni toi, ni Minerva, je te le promets !
Zelcher : Quelle ironie que tout ait commencé en cherchant un partenaire pour Minerva. Maintenant, elle est toujours seule, mais moi j'ai trouvé quelqu'un !
Daraen : Quel heureux hasard, n'est-ce-pas ? Enfin, je veux dire... Sauf pour Minerva. Minerva... ? Pourquoi un tel regard ? Attends...Non ! Couché, Minerva, couché !

Daraen/Henry

Soutien C

Henry : ...
Daraen: Henry ? Qu'est-ce que tu fais à genoux ? Est-ce que tu te sens mal ? Oh, mon dieu ! A l'aide ! Henry à été empoisonné ! Henry, tiens bon !
Henry : Salutations, Daraen ! Pourquoi tant d'agitation ?
Daraen : Tu te sens bien ? Vraiment ? Tu étais agenouillé par terre, j'ai cru que tu souffrais...
Henry : Mouah ha ha ! Pas du tout ! Tout va très bien.
Daraen : Ah, bien... Quel soulagement ! Mais alors... qu'est-ce que tu faisais ?
Henry : Quelque chose de vraiment, vraiment amusant ! Tu veux te joindre à moi ?
Daraen : Si c'est amusant, comment refus... AAAAAH !
Henry : Ne t'inquiète pas, tu ne risques rien ! Tu vois ? Raide comme une planche.
Daraen : C'est le bras d'un soldat de l'Armée des Ombres ?! Tu l'as récupéré sur le champ de bataille ?!
Henry : Oui, j'avais envie de savoir comment marchait cette histoire de morts-vivants. Je vais procéder à une petite dissection pour voir ça de l'intérieur... Pourquoi ne pas l'examiner ensemble ? Nous pourrions découvrir leur point faible !
Daraen : Argh ! N'agite pas cette chose devant mes yeux ! Je ne veux pas voir ça !
Henry : Comme tu veux ! Bon... Où ai-je posé ce scalpel... ?

Soutien B

Henry : Badi bada badou...
Daraen : Henry, c'est un cercle magique que tu traces au sol ? Est-ce que je peux savoir à quoi ça sert ? Je dois dire que ça à l'air assez sinistre...
Henry : Oh, Daraen, tu t'inquiètes trop... Ce n'est pas sinistre du tout ! Je vais me servir de ce cercle magique pour invoquer des Ombres...
Daraen : Quoi ?!
Henry : Si ça marche, nous pourrons les faire se battre pour notre compte ! Nous n'aurons plus qu'à nous asseoir bien tranquillement et à compter les points.
Daraen : C'est une idée tentante, sachant qu'elle réduirait nos pertes mais... Il y a juste un tout petit problème... Sais-tu comment nous pourrions contrôler ces guerriers sans âme ?
Henry : Oh, on ne peut pas les contrôler. Ils attaquent tout ce qui bouge. Mais nous sommes en sécurité tant que je trace les cercles assez loin du camp !
Daraen : Nous seront peut-être en sécurité, oui. Mais est-ce qu'ils ne s'attaqueront pas aux villages voisins en y semant la désolation ?
Henry : Oui, probablement. Il serait surprenant qu'ils ne le fassent pas... Mais nous gagnerions la bataille !
Daraen : C'est inacceptable, nous ne pouvons pas sacrifier la vie d'innocents pour la victoire.
Henry : Tu ne réfléchis pas rationnellement, je trouve. Nous avons déjà tué d'innombrables personnes pendant cette guerre... Que pèsent donc quelques âmes de plus dans la balance ?
Daraen : Nous n'avons pas pu faire autrement. Nous avons dû tuer nos adversaires pour survivre. Mais tuer l'ennemi est différent de sacrifier des innocents pour la victoire.
Henry : Cela me semble être une distinction très arbitraire... Mais c'est toi le stratège ! Alors... plus de cercles d'invocation.
Daraen : Merci, Henry.

Soutien A

Daraen: Henry, je voulais te féliciter de cette dernière bataille.
Henry : Oh ?
Daraen: Oui, spécialement quand ces Ombres sont apparues de nulle part. Tu t'es placé devant le village, même quand c'était tactiquement désavantageux. Et en tenant bon, tu as ainsi sauvé la vie de nombreux civils.
Henry : Oui, tu m'as dit de ne pas sacrifier des innocents pour gagner une bataille.
Daraen: Je sais, mais je n'étais pas sûr de t'avoir convaincu...
Henry : Bah, je fais ce qu'on me dit, je suis pas contrariant, moi.
Daraen: Je ne te connaissais pas si obéissant et consciencieux.
Henry : J'obéis toujours aux ordres ! Enfin, à l'exception des ordres insensés comme celui de ne pas combattre. Si quelqu'un me disait cela, je le couperais soigneusement en deux !
Daraen: Je vois... Je ne voudrais pas que ça m'arrive, tu penses bien. Ha ha !
Henry : Hé, tu sembles un peu pâle, dis donc. Est-ce que ça va ?
Daraen : Peu importe, peu importe ! J'ai une autre tâche pour toi... Est-ce que tu veux bien m'aider à organiser mes livres de stratégie ? J'en ai accumulé tant que je ne m'y retrouve plus !
Henry : Volontiers !

Daraen(homme)/Emmeryn

Soutien C

Daraen : Comment vous sentez-vous, Votre Sainte-Grâce ?
Emmeryn : ...
Daraen : Emmeryn ?
Emmeryn : Mmm...
Daraen : Ce n'est peut-être pas le meilleur moment...
Emmeryn : ...
Daraen : Puis-je m'entretenir avec vous un instant ? Je voulais vous dire...Vos paroles et vos actes ont toujours illuminé mon chemin.
Emmeryn : Vraiment... ?
Daraen : Cela pourra vous paraître ridicule dans une situation comme celle-ci. Mais c'est la vérité. Vos désirs de paix sont une source d'inspiration pour moi. Même lorsque la guerre ne pouvait plus être évitée, vous n'avez pas trahi vos principes. Chrom et vous ne partagiez peut-être pas la même vision sur la question... Mais il rêve de paix tout autant que vous. S'il avait trouvé un moyen d'éviter la guerre, il l'aurait fait.
Emmeryn : Je... Je ne comprend pas...
Daraen : Ne vous en faites pas, Votre Majesté. Vous êtes fatiguée et mon discours est décousu. Sachez toutefois que nous parviendrons à bâtir le monde dont vous rêvez. Un monde où la peur et la guerre n'existent pas.
Emmeryn : ...
Daraen : Veuillez me pardonner, Votre Majesté. Je vais vous laisser vous reposer.
Emmeryn : Non, je... Tout va bien.
Daraen : Je reviendrai prendre de vos nouvelles. Prenez soin de vous, Emmeryn.
Emmeryn : Vous aussi...

Soutien B

Daraen : Comment allez-vous en ce moment, Votre Sainte-Grâce ?
Emmeryn : ... Nous... Nous allons quelque part...
Daraen : Non, il ne s'agit que d'une expression... Je souhaite uniquement savoir si tout va bien.
Emmeryn : Oh... Je me porte bien.
Daraen : Très bien. C'est une excellente nouvelle! Si je puis faire quelque chose pour vous, n'hésitez pas à me le demander.
Emmeryn : Quelque chose... ?
Daraen : Si vous avez faim ou si vous vous ennuyez, je suis à votre service. Je pourrais vous raconter ce qui s'est passé avant que vous ne reveniez parmi nous !
Emmeryn : Avant que je... revienne... ?
Daraen : Oui! Chrom a vaincu Gangrel et a mis un terme aux ambitions de l'Empire de Valm ! Notre chemin a été semé d'embûches, mais Chrom a lutté pour la paix à sa façon. Grâce à lui, votre rêve peut devenir une réalité.
Emmeryn : ...
Daraen : Votre frère est un dirigeant charismatique. Il est apprécié par son peuple. Vous avez de quoi être fière de lui.
Emmeryn : Chrom...
Daraen : Mais nous ne sommes pas pressés ! Nous aurons tout le temps de discuter dès que vous aurez récupéré la mémoire.
Emmeryn : Oui... Ma mémoire...
Daraen : Je pense qu'il serait heureux d'apprendre que vous avez retrouvé vos esprits.
Emmeryn : Lui ou vous ?
Daraen : Je... Je serais également ravi de l'apprendre.
Emmeryn : D'accord...

Soutien A

Daraen : Comment allez-vous, Emme... Euh, comment vous sentez-vous?
Emmeryn : Je... vais bien. Merci.
Daraen : Vous êtes sur la voie de la convalescence ! Vos progrès sont remarquables ! Auriez-vous du temps à m'accorder ?
Emmeryn : Vous m'accordez... votre temps.
Daraen : Hmm ?
Emmeryn : Vous avez toujours du temps à me consacrer. Merci...
Daraen : Emmeryn ! N'allez pas croire... Vous n'avez pas à me remercier. J'aime passer du temps avec vous.
Emmeryn : ... Vous...
Daraen : Vous... Vous avez besoin de quelque chose ?
Emmeryn : Vous vous appelez...
Daraen : Si vous avez oublié cela, ce n'est pas grave. Mon nom est...
Emmeryn : Daraen.
Daraen : Qu... Qu'avez-vous dit ?
Emmeryn : Daraen...
Daraen : C'est cela. Il s'agit bien de mon nom. Comment avez-vous fait pour... ?
Emmeryn : Je me rappelle de vous.
Daraen : Vraiment, Emmeryn ?!
Emmeryn : Oui...
Daraen : La mémoire vous revient-elle ? Avez-vous d'autres souvenirs qui refont surface ?
Emmeryn : Je... Je ne suis sûre de rien... Votre nom à résonné dans ma tête...
Daraen : Oh, Emmeryn ! *pleurs*
Emmeryn : Ne pleurez pas.
Daraen : C'est magnifique ! Je ne pensais pas vous entendre prononcer mon nom à nouveau !
Emmeryn : C'est... maintenant fait.
Daraen : Venez tous ! C'est Emmeryn ! La mémoire lui revient !
Emmeryn : Mmmh ?

Soutien S

Daraen : Bonjour, Emmeryn.
Emmeryn : Bonjour, Daraen.
Daraen : Je... Je dois vous faire mes excuses.
Emmeryn : Pourquoi donc ?
Daraen : Lorsque vous avez prononcé mon nom, je... Je me suis laissé emporté par l'émotion. Je n'aurais pas dû appeler tout le monde, alors que vous aviez besoin de repos. Je vous présente donc mes excuses. Cela n'arrivera plus.
Emmeryn : N'ayez point d'inquiétude. Ça ne m'a pas dérangée.
Daraen : Tant mieux. Je suis heureux de vous voir en si bonnes dispositions.
Emmeryn : Je sais... Cela me rend heureuse également.
Daraen : Il faut continuer à avancer pas à pas. Laissons le temps agir.
Emmeryn : ...
Daraen : Quelque chose ne va pas ?
Emmeryn : Je finirai par retrouver la mémoire.
Daraen : Je n'en doute pas !
Emmeryn : Vous avez fait preuve d'une grande bienveillance à mon égard. J'aime vous sentir près de moi. Allez-vous rester à mes côtés ?
Daraen : Hmm ?
Emmeryn : J'aimerais que vous restiez avec moi. Pour toujours...
Daraen : Emmeryn ! Bien... Bien sûr ! Pour rien au monde, je ne manquerai un seul instant de votre convalescence.
Emmeryn : Merci...
Daraen : Et un jour, lorsque vous serez guérie et que je serai digne de vous, nous pourrions... Nous pourrions reste ensemble pour toujours.
Emmeryn : Vous êtes déjà digne de moi.
Daraen : Je n'en suis pas si sûr...
Emmeryn : Je vais... mieux... mais je ne suis pas encore guérie... Êtes-vous prêt à m'accompagner d'ici là ? Êtes-vous prêt à m'attendre ?
Daraen : Je vous attendrai jusqu'à la fin des temps s'il le faut...

Daraen(homme)/Inigo

Soutien C

Inigo : Salutations, Daraen. Je vous dérange ?
Daraen : Non, pas vraiment. Tu as besoin de quelque chose ?
Inigo : Ha ha ! Non, rien du tout. Je me disais qu'il serait bon de passer un peu de temps avec mes compagnons.
Daraen : Ha ! Passer du temps avec tes amis plutôt que l'employer à courir les jupons ?S'accorder une pause de temps en temps est certes une bonne chose.
Inigo : En parlant de bonnes choses, j'ai mangé dans une magnifique auberge récemment. Elle était magnifique, mais ce n'était rien en comparaison de la serveuse !
Daraen : Si j'ai bien compris, tu veux seulement arrêter de pourchasser les filles pour... ? Prendre le temps de les regarder ?
Inigo : Elle a rougi quand je l'ai saluée. N'est-ce pas mignon ? Ne me dites pas que vous refuseriez de partager une tasse de thé avec elle. Si elle rougit, ça veut dire qu'elle est troublée. Hmmmm !
Daraen : Tu... as peut-être raison. Que s'est-il passé ensuite ? Vous avez vraiment partagé une tasse de thé ?
Inigo : Hélas ! Elle a anéanti mes espoirs. Je lui ai demandé quand elle finissait son service. Elle m'a répondu « Une fois que tu seras dans ton lit. » Ha ! Quel esprit ! Quelle langue habile ! Ha ha ! Ha ha ! ... Ha.
Daraen : Elle doit recevoir tant de propositions. Peut-être qu'elle s'en lasse.
Inigo : Ou peut-être que je dois prendre confiance ! Les femmes aiment la confiance.
Daraen : Hé hé, tu ne te laisses pas abattre, j'espère ?
Inigo : Je ne peux rester sur un refus alors qu'il reste tant de femmes à courtiser! Merci pour tes encouragements, Daraen !
Daraen : Quels encouragements ?

Soutien B

Inigo : Hééé, Daraen !
Daraen : Inigo, tu sembles ravi.
Inigo : Rien ne déplaît plus aux filles qu'un visage renfrogné. Je souris tout le temps !
Daraen : On en revient toujours à cela, n'est-ce pas ?
Inigo : Au fait, avant que j'oublie... Vous vous rappelez de l'auberge où j'ai mangé ? Celle avec la serveuse mignonne ?
Daraen : Laisse moi deviner: tu as rencontré une autre fille là-bas ?
Inigo : Elle était attablée comme moi et sa beauté surpassait celle de la précédente !
Daraen : Tiens donc...
Inigo : Quand nous avons fini de manger, au moment où j'allais laisser agir le charme... Ce gigantesque chevalier s'est dressé et m'a jeté un regard furibond ! Il a commencé à me parler dans une langue étrange et a agité son épée vers moi.
Daraen : Tu l'as échappée belle.
Inigo : Ha ! Je sais ! J'ai déployé mes ailes et j'ai filé telle une hirondelle de printemps. Je ne suis pas assez fou pour courtiser la promise d'un autre.
Daraen : C'est peut-être une bonne leçon. La prochaine fois, tu réfléchiras à deux fois avant d'aborder n'importe qui.
Inigo : Plus qu'une leçon, une expérience qui me mènera dans les bras d'une autre! En parlant de ça, il y a cette jolie rousse...
Daraen : Inutile d'essayer de le raisonner. Bah, si c'est son passe-temps, après tout. J'espère seulement qu'il ne finira pas empalé au bout d'une lance...
Inigo : Daraen ? Daraen, est-ce que vous m'écoutez au moins ?

Soutien A

Inigo : Oh, Daraen ! Est-ce que vous avez une minute ?
Daraen : Bien sûr, qu'y a t-il ?
Inigo : Il faut que vous écoutiez cette histoire !
Daraen : Qu'est-ce qui se passe cette fois ? Laisse moi deviner...
Inigo : J'ai entendu de bons échos sur une auberge non loin d'ici. J'y suis allé. Et c'était excellent ! Absolument divin.
Daraen : Il faut que tu me donnes le nom de l'enseigne ! C'est surprenant de t'entendre parler d'autre chose que de filles.
Inigo : Après le repas, je suis entré dans la cuisine pour faire mes compliments au chef... C'était une vraie beauté!
Daraen : Je me disais aussi...
Inigo : Je lui ai dit à quel point j'ai aimé le menu, et son visage s'est illuminé ! Nous avons parlé de nos plats préférés et la conversation s'est envolée !
Daraen : Bonne nouvelle. Mais... quelque chose s'est mal passé ?
Inigo : J'ai fini par lui dire à quel point elle était belle. Un compliment innocent, n'est-ce pas ? Pourtant, elle s'est mise dans une colère ! Je me suis excusé mais rien n'y a fait. Elle m'a rétorqué que j'étais plus intéressé par son visage que par ses recettes... Je voulais juste lui faire un compliment. Et elle s'est envolée... comme une hirondelle de printemps...
Daraen : Elle voulait sûrement être reconnue pour son talent et pas pour sa beauté.
Inigo : Vous pensez qu'elle a cru que je la courtisais ? C'est sûrement ça. Vous méritez votre réputation de fin stratège ! Quand on parvient à défaire une armée, séduire une femme doit être un jeu d'enfant.
Daraen : Est-ce que... Est-ce qu'il t'est déjà arrivé de prendre une gifle... ?
Inigo : Un peu, oui ! Et encore, quand je ne reçois pas de coup de genou dans... hem... Mais j'étais sincère lorsque je la complimentais pour sa cuisine !
Daraen : Donc, tu as complimenté son apparence par... réflexe ?
Inigo : C'est cela... par réflexe ! C'est pourquoi je pars m'excuser de ce pas.
Daraen : Ne me dis pas que c'est une autre tentative pour la séduire.
Inigo : Bien sûr que non ! Il faut juste que je lui dise que j'aime sincèrement sa cuisine. Et que je l'aurais trouvée délicieuse, même si elle était laide à faire fuir une wyverne !
Daraen : Je ne crois pas que ce soit une bonne idée...
Inigo : Si je courtise les femmes, c'est parce que j'ai beaucoup d'estime pour elles ! Je n'ai en aucun cas envie de les blesser !
Daraen : Mais peut-être que dans ton intérêt, tu devrais arrêter de toutes les accoster...
Inigo : Quoi ? Ne dites pas de sottises ! Il serait cruel de laisser cet incident ruiner les chances de toutes les autres !
Daraen : Cela m'aurait étonné. Je respecte votre passion. Même si elle est extravagante.
Inigo : Je prendrai cela comme un compliment, Daraen !

Cordelia/Severa

Soutien C

Cordelia : Parle-moi de ton époque, Severa.
Severa : Pourquoi est-ce que ça vous intéresse ? Rien de tout ça n'arrivera !
Cordelia : Non, mais un futur qui s'en rapproche pourrait arriver, n'est-ce pas ?
Severa : Comment le saurais-je ?
Cordelia : Est-ce que quelque chose te contrarie ?
Severa : Non, je ne suis pas énervée ! Arrêtez de me harceler, mère !
Cordelia : Peut-être que c'est ton visage contrarié qui m'a induite en erreur...
Severa : C'est votre faute ! A vouloir déterrer des souvenirs du futur ! Je ne veux pas que ça arrive encore, et je ne veut pas y penser ! Est-ce que ça vous ira comme ça ?!
Cordelia : Je suis désolée, ma chérie... Je n'ai pas réalisé à quel point ça pouvait être dur pour toi d'en parler. J'ai été indélicate. Tu me pardonnes ?
Severa : Très bien. Tant que vous vous en rappeler à l'avenir...
Cordelia : Alors, parlons d'autre chose, veux-tu ?
Severa : Je n'est absolument rien à vous dire...
Cordelia : Vraiment ? Moi j'ai une montagne de question pour toi ! Allez, essaye de supporter ta mère. Juste un instant...
Severa : Bon, d'acooord...
Cordelia : Magnifique ! Merci, ma chérie.
Severa : Si vous voulez vraiment me remercier, offrez-moi donc votre dessert au dîner !
Cordelia : C'est d'accord...

Soutien B

Cordelia : Et voilà, mon dessert est pour toi.
Severa : Merci. Bon qu'est-ce qu'il y a, aujourd'hui ?
Cordelia : Hmm, il y a quelque chose que je voulais te demander... Pourquoi est-ce que tu n'as pas choisi de devenir chevalier pégase ?
Severa : Je préférerai encore boire de la poix bouillante que de suivre vos pas...
Cordelia : C'est un peu dur, ce que tu dis...
Severa : Ce n'est pas plus dur que de vivre dans l'ombre d'une personne parfaite en tout. Croyez-moi, c'est un vrai cauchemar ! Tout le monde vous aime, vous respecte et vous trouve élégante, intelligente et forte. A côté de vous, je ne suis qu'un genre d'épouvantail...
Cordelia : Ha ha ha, merci pour c'est compliments ! Je suis flattée, Severa.
Severa : Je ne fais que répéter ce que les autres disent ! Ce n'est pas ce que j'ai dit, moi !
Cordelia : Alors qu'est-ce que tu pense de moi ? Quel genre de mère... j'étais ?
Severa : Parfaite, bien s.. Ahem ! Je veux dire, vous étiez une brute froide et égoïste qui avez abandonné votre fille !
Cordelia : Severa, je suis désolée... *snif*
Severa : Non, ne pleurez pas ! Ce n'est pas juste. Ce n'est pas ce que je voulais dire ! Vous étiez gentille et élégante et forte et parfaite ! D'accord ?! Vous êtes contente, maintenant ?!
Cordelia : Ah... Je suis désolée, mais en fait : oui. Cela me réchauffe le coeur de l'entendre.
Severa : Pff... Cause toujours ! Adieu !
Cordelia : Elle est plutôt rapide pour détaler... Plus rapide que moi, certainement. Mais elle n'a pas besoin de savoir que je suis devenue chevalier pégase parce que... parce que je ne sais pas courir...

Soutien A

Cordelia : Oh, pas de chance. Pas de dessert dans la ration d'aujourd'hui.
Severa : Non ?
Cordelia : Je n'aurai pas mon petit moment avec toi apparemment.
Severa : Bon, je suppose que je pourrais faire une exception... Juste pour aujourd'hui. Si vous insistez...
Cordelia : Oh, mais j'insiste.
Severa : *soupir* D'accord, d'accord... De quoi voulez-vous parler ?
Cordelia : Aujourd'hui, je pensais plutôt faire une promesse à la place.
Severa : Moais... Pas très intéressant... 
Cordelia : C'est la promesse que nous bâtissions un futur heureux, ensemble. Une promesse afin qu'il n'y ait pas d'adieu triste, entre nous.
Severa : Et si vous rompez cette promesse ?
Cordelia : Pas cette fois-ci. C'est une promesse absolue.
Severa : Absolue, absolue ?
Cordelia : Absolument !
Severa : ... Je suppose que c'est suffisant... Je crois que je vais vous faire confiance.
Cordelia : Bien sûr, ma chérie ! Mais... Tu ne me faisais pas confiance ?
Severa : Je l'ai toujours voulue ! J'ai toujours voulu... tout vous dire. Mais je pensais que j'allais vous perdre à nouveau et... Je ne peux pas ! Je ne peux pas être seule à nouveau !!!
Cordelia : Et donc, tu as gardé tes distances... Ah, ma pauvre fille...
Severa : Je suis désolée, mère ! Je suis désolée ! Je ne voulais pas être cruelle, mais je pensais que vous disparaîtriez...
Cordelia : Je suis heureuse que tu sois ouverte à moi. Merci, Severa. Tu as écouté ton coeur, mais tu n'as plus rien à craindre. Tu peux avoir confiance en moi, et cela sera réciproque. D'accord ?
Severa : Oh, mère ! Je vous aime tant !

Bon, je vais m'y remettre, j'étais en train de faire ceux de The Sacred Stones. Et je les ai finis.

IL est revenu.

Tu veux pas servir à quelque chose pour une fois et m'aider un peu, Seo ?

Je me disais que j'allais te faire quelques soutiens pour ton retour mais vu comment tu as osé me traîter, u can dream.

Pas grave,tu te vexes parce que tu sais que c'est vrai ce que je viens de dire. Mais je retirerais mes propos si tu m'aides, cela va de soi.

"Pas grave,tu te vexes parce que tu sais que c'est vrai ce que je viens de dire "

Je me vexe pas, si y a bien quelqu'un qui risque pas de me dire ce que je dois faire/si je sers à quelque chose, c'est toi.

Et t'es pas en position de force, donc tu retires ce que tu as dit tout de suite.

Say'ri - Daraen (F)

Soutien C

-Say'ri ? Bonjour... Je... J'avais une question à vous poser.
-Je suis sous ma tente, Madame. Entrez donc, je vous prie.
-Eh bien, voilà, je voudrais vous demander... Oh ! Mes excuses ! Je ne savais pas que vous vous changiez. Je... Je sors de ce pas.
-Nous sommes toutes deux des femmes. Et je n'ai point honte de mon corps. Mais je ne souhaite aucunement vous mettre mal à l'aise. Aussi, accordez moi un instant.
Je regrette de vous avoir fait patienter. Ainsi donc, vous aviez une question...
-En effet, je dois dire qu'à présent, vos dessous m'intriguent davantage... S'il s'agissait toutefois bien de cela... Ces tissus d'un blanc immaculé ?
-Tout à fait. De nombreux aspects de ma culture diffèrent de la vôtre. Nos dessous ne font pas exception.
-Ce ne sont que de simples bande enroulées autour de votre poitrine et vos hanches. Vous n'avez pas peur qu'à tout moment, elles puissent se détacher et tomber ?
-Je suis honorée que ma culture suscite chez vous cet intérêt. Peut être pourrais-je vous en dire davantage à une autre occasion.
-Avec plaisir. Je suis très intéressée... Et cela s'avérera peut être utile. Le destin pourrait nous emmener sur des terres mystérieuses. Il serait bon pour moi d'en découvrir plus sur les différents cultures de ce monde.
-Ce serait un honneur de vous faire découvrir Chon'sin, Daraen !

Soutien B

-Bonjour, Say'ri.
-Ah, Daraen.
-Pourriez vous me parler plus en détail de Chon'sin et de sa culture ?
-Avec plaisir ! Quel sujet souhaiteriez-vous aborder, aujourd'hui ? Puis-je vous inviter à goûter un thé préparé à la manière de Chon'sin ?
-ça ne ressemble à aucun thé que je connaisse.
-Nos feuilles, notre mode de préparation et notre façon de le boire diffèrent des vôtres. A Chon'sin, le thé est une forme d'art. Il existe même des écoles consacrées au thé.
-Vraiment ? Cela semble un peu exagéré, non ?
-Peut être. Mais les inconditionnels estiment que toute une vie d'étude ne suffit pas. Mais point d'inquiétude, je n'en fais pas partie. Je vais donc faire bouillir de l'eau...

-...
-Vous pouvez boire à présent. Mais prenez garde, la tassse est bouillante.
-Je vous remercie ! Je suis intriguée... Très bien, allons-y... C'est amer... C'est fortement amer... Est ce que c'est normal ?
-Oui. Quand vous vous y serez habituée, tout le reste vous paraîtra insipide. Ce thé se marie bien aux bonbons et aux gâteaux.
-Peut-on ajouter du sucre comme nous avons coutume de le faire chez nous ?
-Vous pouvez, si vous le souhaitez. Mais à Chon'Sin, le thé se boit tel quel.
-Il faut avoir un palais fort robuste... Enfin, vous avez de l'entraînement, vous.
-Dois-je en conclure que vous n'appréciez guère notre thé ?
-C'est une question d'habitude ! Je n'avais jamais goûté quelque chose d'aussi amer ! Mais il a un arrière-goût agréable. Le tout est de s'y habituer...
-J'apprécie malgré tout que vous ayez trouvé cette dégustation digne d'intérêt. Si le temps le permet, je vous reparlerai de Chon'sin à l'occasion.
-Avec grand plaisir !

Soutien A

-Bonjour, Say'ri. Je vous remercie pour le thé que vous m'avec offert l'autre fois. Je me demandais si vous aviez le temps de me parler d'autres aspects de votre culture.
-Bien sûr ! Que diriez vous d'aborder un aspect plus ésotérique, peut être ? Oh, je sais ! Je pourrais vous parler de notre art ! Les artistes de Chon'sin apprécient avant tout les objets anciens et usés.
-Vraiment ?
-Tout à fait ! Nous yeux s'illuminent face à l'éclat que confère le passage du temps. C'est une forme d'esthétique singulière.
-Je n'avais jamais associé la beauté à l'usure et à la vétusté.
-Permettez-moi dans ce cas de vous expliquer notre point de vue. Un objet ancien et usé dégage une certaine forme de beauté. En quelques mots : celle liée au déclin et à la pauvreté.
-Il n'est pas aisé pour moi de comprendre une telle philosophie.
-Cela exige de votre part de considérer les choses sous un autre angle. Avec le temps, vous apprécierez le charme de la rouille et l'odeur de la moisissure !
-Je conçois plutôt l'art comme une forme de pureté et de luminosité.
-Et, de mon point de vue, cette forme-là me paraît terriblement superficielle et terne. Je préfère l'honnêteté pauvre d'une oeuvre sobre et raffinée.
-La pauvreté... C'est la seconde fois que vous employez ce mot.
-La pauvreté joue un rôle essentiel dans notre culture. Elle nous détourne des vanités de ce monde comme le prestige et la matérialité... et nous enseigne la valeur de la bonté d'esprit et de la générosité.
-Oh. Un enseignement digne de louanges. Ceux qui deviennent trop riches sont aveuglés par leur goût du faste. Jamais ils ne parviennent à assouvir leur soif de richesse.
-C'est la raison pour laquelle ma culture s'intéresse autant à l'âge et au déclin. Il est question d'apprécier ce que nous possédons déjà.
-C'est une philosophie formidable ! Je comprends mieux certaines choses. J'ai toujours admiré la sérénité et la grâce que vous dégagez lorsque vous combattez. Vous semblez... Impénétrable. Comme si rien ne pouvais vous atteindre. Je comprends mieux à présent.
-Je me sens honorée, Dame Daraen.
-C'est pourtant la vérité. Il y a beaucoup de choses que vous pouvez nous apprendre.
-C'est un grand plaisir de vous entendre parler de la sorte.
J'espère que vous aurez l'occasion de visiter un jour mes terres.
-Oui, j'en ai vraiment envie...
-Encore une bonne raison pour finir cette guerre et rétablir la paix !
-En effet !

Gregor/Severa

Soutien C

Severa : Hé, je crois que c'est la journée idéale pour un petit rendez-vous avec votre fille !
Gregor : Un... quoi ? Pourquoi ?
Severa : Est-ce qu'une fille a besoin d'une raison pour passer du temps avec son père ?! La plupart des père seraient comblé à l'idée que leur fille veuille les voir !
Gregor : Tu as raison, je d'vrais être heureux comme un pinson sur son arbre. Alors ? On va où ?
Severa : En ville ! J'ai vu des boutiques avec de très belles robes en vitrine !
Gregor : Des robes ? Bah, c'est bien d'ton âge...
Severa : Mon âge ? Ohé ! Dans cette dimension, vous êtes à peine plus âgé que moi, père !
Gregor : Hmm... Oui, t'as raison.
Severa : La plupart des gens penseront que nous sommes frère et soeur.
Gregor : Bah, c'est étrange quand on y pense...
Severa : Étrange ? Est-ce une mauvaise chose ? Est-ce que vous êtes embarrassé à l'idée qu'on nous voie ensemble ?! Vous préféreriez être avec mère, n'est-ce pas ?
Gregor : Pas du tout ! T'es jolie comme un coeur.
Severa : Vraiment ? Merci ! C'est si mignon ! Bon ben, c'est parti ! Il y a quelque chose en ville que je veut vraiiiment beaucoup ! Est-ce que vous me détesteriez si je vous demandais de me l'acheter ? Est-ce que mère serait furieuse... ?
Gregor : Je pourrais jamais te détester, Severa. Et j'suis sûr que ta mère s'en moque. T'es notre fille. Tu peux avoir c'que tu veux.
Severa : Oh, merci, père ! Je vous aime tant !
Gregor : Hé hé ! Je t'aime aussi, Severa.
Severa : (Tsss... Trop facile...)

Soutien B

Severa : Merci encore, père ! Vous m'avez gâtée comme une princesse, vous avez acheter tous ce que je voulais !
Gregor : J'ai englouti le budget d'une armée dans c't'histoire...
Severa : Père, est ce que vous m'écoutez ?
Gregor : Quoi ? Oh ! Oui, bien sûr, je t'écoute.
Severa : Vous savez... J'aimerais tant avoir un autre rendez-vous avec vous ! J'ai repéré un petit accessoire magnifique dans une ville voisine, l'autre jour...
Gregor : Ah ben non... Désolé, p'tite.
Severa : Pourquoi ? Est-ce que j'ai fait quelque chose de mal... ? Vous êtes en colère ?
Gregor : Me fais pas ces yeux de chien battu. J'ai dit non. J't'ai déjà acheté plein de choses.
Severa : D'accord, d'accord... J'irai acheter des haillons, si c'est comme ça !
Gregor : Quelle caractère ! Écoute, je dit pas que je t'achèterai plus rien...
Severa : Oooh, vraiment ?!
Gregor : Je dit juste qu'il faut le mériter. Si t'aides au camp, je t'achèterai quelque chose.
Severa : Vous comptez m'offrir de l'argent de poche ?! Je ne suis plus une enfant !
Gregor : Alors prouve-le. C'est pour ton bien, Severa. Un peu de difficulté te forgera le caractère.
Severa : J'ai eu suffisamment de difficultés comme ça dans le futur, merci !
Gregor : Je changerai pas d'avis. J'te gâterai plus comme je l'ai fait, point. Si tu veux quelque chose, il va falloir travailler pour l'avoir.
Severa : D'accoooord... Très bien ! Je ferai vos corvées... Mais j'attends des cadeaux en retour, c'est compris ?!
Gregor : *soupir* J'ai mal à la tête...

Soutien A

Severa : Alors... J'applique la pierre à aiguiser sur l'angle de la lame comme ça... Encore raté ! C'est la cinquième fois que ça se brise... ! Tout va toujours de travers avec moi !
Gregor : Severa ? Qu'est ce que tu fais ?
Severa : J'aiguise ces armes stupides mais ça ne marche pas ! Vous m'avez dit de vous aider, alors je vous aide...
Gregor : Hmm... C'est pour ça qu'il y a cette pile d'épées brisées, derrière toi ?
Severa : Ce n'est pas de ma faute si elles sont défectueuses ! Elles tombent en morceaux ! Désolée de ne pas être parfaite en tout point comme ma mère ! Pff... Je suis si stupide. J'ai compris... Je suis si inutile ! Je suis à jeter aux oubliettes...
Gregor : Severa, j'crois que tu réagis un peu...
Severa : Je brûle tout ce que je cuisine ! J'ai presque décapité un cheval en coupant du bois... Je suis un véritable fardeau pour tout le monde ! Un véritable boulet... ! Mère est si parfaite, vous devez être déçu que je ne réponde pas à vos attentes...
Gregor : ...
Severa : Hé bien ?! Si vous voulez dire quelque chose, dites-le !
Gregor : J'suis pas déçu, Severa. J'suis au contraire très fier de c'que tu es devenue.
Severa : Oh, s'il vous plaît ! Est-ce que vous vous moquer ? Vous me croyez si stupide ?! Chaque fois que j'échoue à chaque chose, on me compare à ma mère ! Et vous êtes plus proche d'elle que quiconque ! Je sais ce que vous pensez !
Gregor : Je te compare à personne, Severa. T'es ma fille, mon trésor l'plus précieux, et j'sais qu'ta mère pense la même chose.
Severa : Quoi ?!
Gregor : Je t'aime, et je serai toujours là pour toi. Et puis fini les discours de déception ! J'ai l'impression d'avoir été un mauvais père.
Severa : Quoi ? Non ! Père, je... snif ! Je suis désolée ! *sanglots*
Gregor : Tout va bien. T'es passée par beaucoup d'épreuves, mais tout va bien... Je suis désolé d'avoir dit qu'tu avais besoin d'plus de difficultés. J'avais pas réfléchi... Je ferai tout c'que je peut pour t'empêcher de souffrir, tu sais. Et tu m'as aidé pour mes corvées. Tu veux ta récompense maintenant ?
Severa : Non ! Je n'en ai pas besoin. J'ai seulement besoins de vous, père ! Mais si vous mouriez, je ne vous le pardonnerais jamais !
Gregor : Je te quitterai pas cette fois. J'te le promets.

Gerome/Lucina

Soutien C

Lucina : Gerome ?
Gerome : Ah, Lucina.
Lucina : J'espère ne pas vous importuner. Vous souhaitez peut-être vous reposer...
Gerome : Tout va bien. En quoi puis-je me rendre utile ?
Lucina : Oh, je venais uniquement pour vous remercier.
Gerome : A quel sujet ?
Lucina : Vous m'avez donné votre masque, vous vous en rappelez ? Vous m'avez dit qu'il me permettrait de cacher mon identité en cas de besoin.
Gerome : Ah, oui. Je m'en rappelle vaguement.
Lucina : Eh bien, vous aviez vu juste. Ce masque s'est révélé fort utile. Je vous réitère donc toute ma gratitude.
Gerome : C'est sans importance...

Soutien B

Lucina : *soupir*
Gerome : Quelque chose ne va pas, Lucina ?
Lucina : Oh, bonjour, Gerome..
Gerome : Que se passe-t-il ?
Lucina : J'ai égaré mon pendentif.
Gerome : Quelle sorte de pendentif ? 
Lucina : Ce pendentif m'est très cher. Il porte la gravure du visage de ma mère.
Gerome : Quand l'avais-tu sur toi pour la dernière fois ?
Lucina : Je l'avais au moment de nettoyer ces mau... mes armes de rechange dans l'armurerie.
Gerome : Je suppose que tu y as donc déjà jeté un œil... ?
Lucina : A plusieurs reprises.
Gerome : Alors il faut que nous retracions le chemin que tu as fait entre temps pour le retrouver.
Lucina : Vous êtes donc disposé à m'aider ?
Gerome : Tu as dit que ce pendentif avait une valeur sentimentale...
Lucina : Oui, je... je vous suis très reconnaissante.
Gerome : Tu ne me remercieras que lorsqu'on l'aura retrouvé.

Soutien A

Lucina : Ah, Gerome. Vous tombé à point nommé !
Gerome : Pourquoi cela ?
Lucina : Chrom veut tenir un conseil de guerre. Il serait tout indiqué que vous y participiez.
Gerome : Désolé, mais je n'aime pas trop les réunions.
Lucina : Quel dommage ! Vous exposez toujours des points de vue calmes et pondérés. Nous pourrions également tirer parti de votre talent pour le combat. Je ne tiens néanmoins pas à vous forcer la main.
Gerome : Je regrette de te décevoir. Mais je sais reconnaître mes limites. Je ne suis pas homme à ourdir un plan, mais plutôt un loup solitaire qui sème le mort.
Lucina : Nous avons donc un point commun.
Gerome : Non. Toi, tu es une meneuse. Tu inspires les autres par tes paroles et tes actes. Même si nous nous battons ensemble, nos rôles sont distincts.
Lucina : Vous êtes bien sévère avec vous-même.
Gerome : Chacun sa fonction. Tu es une source d'inspiration et une fine stratège. Et moi je balaie tout ceux qui se mettent en travers de notre chemin.
Lucina : Vos paroles ne manquent pas de sagesse
Gerome : N'est-ce pas ? Bien, j'ai des armes à réparer, et tu as un conseil qui t'attend.
Lucina : Très bien, Gerome. Nous nous reverrons sur le champ de bataille.
Gerome : Je serai toujours prêt a me battre à tes cotés.

Soutien S

Gerome : Lucina ? J'aimerai te parler.
Lucina : Que ce passe-t-il ?
Gerome : Je regrette de ne pas avoir pris part au conseil de guerre. Je suis désolé.
Lucina : Vous n'avez point à vous excuser. Vous n'avez commis aucune faute, Gerome. Comme vous l'avez souligné vous-même, chacun sa fonction. Nous avons tous un rôle à tenir qu'il nous faut exercer au mieux.
Gerome : Ce sont mes paroles, mais j'ai eu tort de les prononcer.
Lucina : Tort ?
Gerome : Je dois me rendre utile de façon la plus large possible. Je veut t'aider.
Lucina : Je... Merci, Gerome.
Gerome : Je t'admire depuis de nombreuse années. Je suis prêt à mourir pour toi. J'ai pourtant lâchement refusé de m'aventurer en terrain inconnu. J'espère que tu ne m'en tiendra pas rigueur.
Lucina : Mais absolument pas ! Je pense qu'il est tout à fait absurde de vous excuser ainsi. Vous avez été tout temps un fidèle compagnon. Et je ne permettrai à personne à part vous de vous qualifier de lâche !
Gerome : Merci, Lucina.
Lucina : Vous êtes peut-être un loup solitaire... mais je m'en remet entièrement à vous sur le champ de bataille. La confiance que vous inspirez vaut autant qu'un beau discours ou qu'un plan élaboré !
Gerome : Assez, Lucina !
Lucina : Pardon ?
Gerome : Je ne suis pas un poète qui te murmurera des mots doux à l'oreille. Je n'ai pour moi que ma franchise, et je ne puis m'exprimer autrement qu'avec ceci... Je t'aime.
Lucina : Oh, Gerome...

Lucina/Inigo

Soutien C

Inigo : Quelle pagaille ! Je devrais vraiment ranger plus... souvent... AAAAAAAAAAAAAAAAARGH !
Lucina : Grands dieux, je n'ai jamais vu Inigo courir si vite, que se passe-t-il, on nous attaque ?! Inigo ! Est-ce que tout va bien ?
Inigo : Lu... Lucinaaaaa ! 
Lucina : Respirez, Inigo. Calmez-vous et dites-moi ce qu'il s'est passé. Vous n'avez plus rien à craindre maintenant que je suis là !
Inigo : Un b... bestiole ! Une sale bestiole !
Lucina : Vous parlez d'un insecte ? 
Inigo : Je parle d'un gros truc affreux et terrifiant avec des pattes velues... HORRIBLES ! 
Lucina : Ne me dites pas que tous ces cris et cette agitation sont dus à un INSECTE ? J'ai cru que l'armée des ombres arrivait... Ça aurait pu créer un branle-bas général.
Inigo : AAAAAH! Ça vole ! Ça vole ! Arrière ! Ne t'approche pas de moi ! 
Lucina : HIII! 
Inigo : Ah, vous voyez ! C'est un cauchemar ! Alors hâtez-vous et tuez-le! Il faut le brûler vif !
Lucina : Pas question de m'approcher de cette chose ! C'est trop ÉNORME !
Inigo : QUOI ?! Je croyais n'avoir plus rien à craindre maintenant que vous étiez là ?! Et vous prétendez sauver le monde du futur, alors qu'une simple bestiole vous effraie ?
Lucina : Les deux choses ne sont aucunement liées ! Et puis, la même remarque vaut pour vous !Comment comptez-vous séduire une femme avec une telle phobie des insectes ?
Inigo : Je préfère vivre seul et renoncer à l'amour, plutôt que de toucher cette bête affreuse ! Écoutez, c'est vous l'ainée... Alors allez-y, tuez-la ! Père vous a bien demandé de toujours protéger votre petit frère, non ?
Lucina : Euh... Je suppose, oui... Très bien, je... je vais arranger ça.
Inigo : Je savais que je pouvais compter sur vous! Gloire à la sainte-Lignée !
Lucina : Vous avez du sang royal aussi, vous savez ? Vous pourriez montrer un peu de courage...
Inigo : Saisissez votre chance ! La bestiole vient de se glisser dans un coin, derrière l'étagère !
Lucina : C'est trop sombre. Je n'y vois rien...
Inigo : Faites briller Falchion ! Comme ça, quand vous l'apercevrez, COUIC !
Lucina : Mais Falchion n'est pas faite pour éliminer les nuisibles, voyons ! 
Inigo : Ha ha ha, d'accord, d'accord. Oubliez ça... Je...
AAAAAAH ! Il s'envole encore ! Il vole !
Lucina : Ah, ce drôle d'insecte a fière allure, il faut bien le reconnaître ! Mais il ne posera aucune de ses pattes velues sur vous. J'en fais le serment !
Inigo : Bien parlé, Lucina ! Je suis avec vous ! Allez-y, du courage ! ALLEZ, TUEZ-LE !
Chrom : Dites-donc, vous deux ! On peut savoir ce qui se passe ici ?!
Lucina : Père ?
Inigo : Père !
Chrom : Tout ce vacarme pour un insecte... ? Vous n'êtes pas sérieux !
Inigo : Désolé...
Lucina : Veuillez nous pardonner, père...
Chrom : Je vous demande simplement de ne pas recommencer... D'accord ?
Inigo : Pas étonnant qu'il s'en soit occupé. Lui qui est toujours si imperturbable...
Lucina : C'est vrai. Même s'il était beaucoup moins calme quand il nous a réprimandés...
Inigo : Cette histoire vous affecte toujours autant ? C'était amusant, au final. Je ne me souviens pas qu'on ait déjà eu des ennuis pareils ensemble... C'est curieux... L'ombre d'un instant, on était comme une famille normale... 
Lucina : Je reconnais que c'était une sensation agréable...

Soutien B

Lucina : Inigo...
Inigo : Hmm ?
Lucina : Devinez donc ce que j'ai à vous dire...
Inigo : Hem... Ne pas oublier de nettoyer Falchion après avoir fini de couper cette pomme ?
Lucina : N'utilisez PAS Falchion pour couper cette pomme ! Êtes-vous devenu fou ?!
Inigo : Oups! Par... Pardon ! Je suis désolé !
Lucina : Être désolé ne suffit pas ! Cette épée est un trésor national d'Ylisse en même temps que celle de notre père ! Oseriez-vous utiliser le dernier souvenir laissé par lui pour couper un FRUIT ?! La lame colle, maintenant! Vous avez déshonoré l'arme qui a bâti votre patrie !
Inigo : Oui, mais la pomme était trop grosse pour être croquée et c'était le seul couteau... Et puis, je ne l'avais presque jamais touchée. Je sais pas, je... j'étais curieux.
Lucina : ...
Inigo : Alors, ahem, vous ... ? Oui, vous m'en voulez...
Lucina : Vous n'avez encore jamais tenu Falchion ?
Inigo : Non, pas vraiment. Dans le futur, vous la gardiez toujours avec vous. Et depuis que nous sommes ici, j'ai du la changer de tente une fois ou deux.
Lucina : Alors nous ne savons pas si vous avez le potentiel pour la manier ?
Inigo : Vous voulez dire qu'il n'y a qu'un individu particulier qui puisse l'utiliser ?
Lucina : Je vois qu'il y a bien des choses que vous ignorez. Cette lame a été forgée grâce au pouvoir de Naga, puis a été liée à la lignée royale. Seuls quelques élus peuvent la manier, même au sein de la famille royale d'Ylisse.
Inigo : Eh bien, quel élitisme... Euh, mais ça ne me surprend pas que vous en fassiez partie, Lucina.
Lucina : Peut-être que vous aussi, Inigo. J'ai honte que nous n'ayons toujours pas fait le test malgré tout ce temps.
Inigo : Ce serait formidable si je pouvais aussi la manier... Occire les ennemis d'une épée mystique... ? Aucune fille ne pourrait me RÉSISTER !
Lucina : J'ai surtout honte de n'avoir jamais pris le temps d'y penser. Si vous faites partie des élus choisis par Falchion, nous devons le savoir. Un jour viendra peut-être où vous n'aurez d'autre choix que de vous en servir.
Inigo : Vous voulez dire si vous êtes occupée ?
Lucina : Si je suis morte, Inigo. Si quelqu'un pouvait l'utiliser même après ma mort, ce serait un atout majeur. Nous devons utiliser tous les moyens à notre disposition pour protéger le futur. Allons faire le test, maintenant.
Inigo : ...
Lucina : Inigo ?
Inigo : Oh, oubliez ça. Il n'y a aucune chance pour que l'épée choisisse quelqu'un comme moi.
Lucina : Vous ne pouvez pas l'affirmer avant d'avoir essayé. Vous avez dit vous-même que vous aimeriez pouvoir l'utiliser. Alors allons...
Inigo : J'ai dit NON ! Je ne le ferai pas ! Ne m'obligez pas... Ne m'obligez pas à m’entraîner pour le moment où vous ne serez plus là, Lucina !
Lucina : Je comprends ce que vous ressentez, mais regardez la vérité en face. Nous ne pouvons pas perdre cette guerre. Qu'importent les événements et les deuils.
Inigo : Vous croyez que je ne sais pas ?! Mais... Ce n'est pas si facile pour moi, d'accord ?! Vous avez prévu de m'abandonner, aussi ? D'abord mes parents et ensuite vous?
Lucina : Pas par choix, Inigo. Jamais par choix. Mais la guerre n'offre aucune garantie...
Inigo : Et vous pensez que ça me remonte le moral, vos histoires ?! Si ça implique votre mort, je ne veux rien avoir à faire avec Falchion! Et même si je POUVAIS la manier, je ne m'en servirais que pour couper un fruit. Cette conversation m'énerve. Je m'en vais.
Lucina : Inigo... Vous êtes vraiment déterminé à l'utiliser comme un couteau à légumes...

Soutien A

Inigo : Lucina, est-ce que, euh... Est-ce que vous avez une minute ?
Lucina : Que se passe-t-il, Inigo ? Pourquoi cet air grave?
Inigo : Je veux que vous m'aidiez à savoir si je peux utiliser Falchion ou pas.
Lucina : Vous aviez pourtant l'air résolument contre. Qu'est-ce qui a changé ?
Inigo : Moi, je crois. J'ai repensé à tout ce que vous avez dit. Au fait que nous devions gagner cette guerre par tous les moyens... Je fuyais la réalité ainsi que mon devoir. J'appartiens à la lignée des Saints-Rois... Comme vous l'avez dit, je dois regarder la vérité en face... Acceptez-vous de m'aider ?
Lucina : Si c'est votre décision, je n'ai aucune raison de m'y opposer. Je vais immédiatement prendre les mesures nécessaires. Très bien. Je veux que vous attaquiez cette bûche comme un ennemi. Si vous n'avez pas le potentiel pour manier Falchion, sa lame sera émoussée... ... et vous pourrez à peine retirer l'écorce. En revanche, si vous faites partie des élus, la bûche se fendra en deux.
Inigo : ...
Lucina : Là. Empoignez Falchion.
Inigo : D'accord... C'est parti... Attendez, que vais-je faire si cela FONCTIONNE vraiment... ?
Non... Je m'inquièterai de cela plus tard. Plus de doutes. Cela fait partie de moi ! C'est parti ! GnnnaaaAAAH ! … Hein ? Je n'ai rien senti.
Lucina : La bûche est indemne... Je suis désolée, Inigo. On dirait bien que vous ne pouvez pas utiliser Falchion.
Inigo : ...
Lucina : Ne vous en faites pas. Cela ne change pas qui vous êtes. Vous êtes toujours mon frère, fils de Chrom et prince d'Ylisse. Ne vous laissez pas...
Inigo : Pfff... Hé hé ha ha ha ha ha !
Lucina : Inigo ?!
Inigo : Ha ha ha ha, dé... désolé, mais... j'étais si inquiet que j'ai... Je suis passé à côté ! J'ai raté la bûche ! Ha ha ha, c'est tellement ridicule !
Lucina : Hé hé... Euh, oui. Ahem. Essayez de rester sérieux, enfin. Vous me faites rire. Mais on dirait que nous sommes tous les deux trop excités pour cette histoire. Notre relation s'est dégradée comme si nous nous étions disputés. Je préférais de loin la nuit où nous avons eu des ennuis à cause de cette grosse bestiole.
Inigo : Oh, moi aussi ! Même si cela m'aura au moins aidé à renforcer ma détermination... Ne pas agir par peur de perdre ceux que j'aime n'est que... de la couardise... Si quelque chose devait vous arriver, je fais le serment de me battre jusqu'au bout. Mais je suis déterminé à ce que ça n'arrive pas. J'en souffrirais beaucoup trop... Alors laissez moi vous protéger. C'est le moins que votre frère puisse faire !
Lucina : J'ai bien peur d'avoir fui, moi aussi... J'avais peur de vous faire cette promesse. Mais plus maintenant. Je vous jure ici et maintenant que je survivrai à cette guerre. Je refuse de vous laisser seul, mon frère, ou qu'il vous arrive quoi que ce soit. Nous survivrons ensemble. Nous créerons notre propre futur.
Inigo : C'est promis !
Lucina : C'est un serment fait sur Falchion. Oh, zut ! J'avais complètement oublié, mais je suis de corvée de cuisine, ce soir. Désolée, je dois y aller.
Inigo : Ah, attendez ! Lucina, vous avez oublié Falchion ! C'était bien la peine de me dire qu'elle me laisserait pas seul... Ah, bien. On n'est plus que tous les deux, Falchy... Un dernier pour la route, vu le grand risque que j'ai de ne plus jamais te toucher ? Gnn... YAAAAAH!  … Non... Pas la moindre éraflure. T'as intérêt à très bien protéger ma sœur, c'est compris ? Si elle meurt, tu seras rétrogradée au rang de couteau à légumes royal. Et je le ferai ! Bon... Allons voir Lucina.
Chrom : Mmh... ? C'est quoi cette bûche... ? Quelqu'un était-il en train de s’entraîner ? Elle est parfaitement coupée en deux...

Noire/Inigo

Soutien C

Inigo : Aaah ! Au secours ! A l'aide ! C'est Noire ! Elle essaie de me tuer !
Noire : Di dou di, di dou da... La la la la...
Inigo : Argh ! Pff ! Gnnh ! Noire ! Allez, posez cet arc, maintenant ! On rigole bien, mais quand même, quelqu'un pourrait se faire m...AAAL !
Noire : Ne t'inquiète pas. Je manie très bien l'arc. C'est mon arme de prédilection. Il y a donc vraiment peu de chances que je te touche accidentellement.
Inigo : Ha ha... Hé hé... Vous savez quoi ? JE NE SUIS PAS PLUS RASSURÉ ! J'allais réussir mon coup avec cette fille, jusqu'à ce que VOUS la preniez pour cible ! C'était follement amusant, mais je dois y retourner...
Noire : Allons... Tu sais ce qu'on dit... Telle mère, telle fille.
Inigo : Hmm... Quel est le rapport avec Tharja ? Je ne vois pas...
Noire : Comme elle, je ne lâcherai jamais une proie. C'est dans les gènes. C'est peut-être un peu obsessionnel comme comportement, mais bon. Donc, j'irai où tu iras. C'est comme ça.
Inigo : Aaah ! Aidez-moi ! A l'aide ! Au secours !
Noire : Mais pourquoi tu me fuis, toi d'abord ? J'ai promis de ne pas te faire de mal, non ? J'ai promis... promis... *sanglots*
Inigo : C'est VOUS qui vous mettez à pleurer ? Alors que c'est VOUS qui me pourchassez !
Noire : Snif... Tu ne me fais pas confiance ?
Inigo : Non, ça n'a rien à voir avec ça...
Noire : Alors, quel est le problème ? Je fais simplement ce qu'on me demande. Je m'assure que les hyènes restent à distance.
Inigo : Les hyènes ? Attendez un peu ! De quoi parlez-vous ? Qui vous a demandé ça ?
Noire : SILENCE ! TU POSES BIEN TROP DE QUESTIONS ! Maintenant, reste tranquille. Ne bouuuge surtout paaas.
Inigo : Hein ? Non! Arrêtez ! Pensez à toutes ces jeunes filles à qui je vais manqu...Hééé ! Aaaah ! Au secouuuurs !

Soutien B

Inigo : Hmm... Je vais peut-être retourner au marché... Il doit bien y avoir des jolies f...
Noire : Où vas-tu comme ça, Inigo ?
Inigo : Hiiiii!
Noire : Tu vas au marché pour chercher quelque chose en particulier... ? Ou devrais-je dire... quelqu'un ?!
Inigo : Quo i? Ha ! Je n'ai pas l'intention de courir après les filles, si c'est ce que vous pensez. Enfin, peut-être plus tard dans la journée, qui sait...
Noire : Eh bien, puisque tu pars en balade, je vais t'accompagner... Di dou da, da da... La la la...
Inigo : Euh, Noire... ? Pourquoi êtes-vous en train d'encocher une flèche ?
Noire : Oh, ne fais pas attention à moi ! Fais donc comme si je n'étais pas là !
Inigo : Ce n'est pas si évident, quand vous pointez une flèche dans ma direction.
Noire : Je n'ai pas l'intention de te toucher, idiot ! Je tiens les hyènes à distance ! C'est... l'ordre qu'on m'a donné.
Inigo : Mais QUI vous a donné cet ordre ?!
Noire : Euh... Je... Oh, je suis désolée, Inigo... Mais j'ai promis de ne pas t'en parler ! En tout cas, je suis vraiment celle qu'il fallait pour cette mission. Car je suis bien la fille de ma mère ! Hiii hiiii hiiiiii !
Inigo : Il faut vraiment arrêter avec ça ! Et c'est quoi, cette histoire de hyènes ?
Noire : Tu n'as pas à t'en soucier... N'y pense pas.
Inigo : Je vais de ce pas ignorer votre conseil... Sérieusement, pourriez-vous m'expliquer ce qui se passe ici ?!
Noire : ...
Inigo : Il n'y a pas de hyènes dans les environs... Même pas un pauvre petit chien errant !
Noire : ARRÊTE DE JACASSER, OU JE T'ARRACHE LA LANGUE !
Inigo : Hiiiiiiiii !
Noire : Inigo ! Attends ! Ne cours pas ! Je risque de ne plus te rater si tu t'agites de cette façon !
Inigo : Auuuuuu secouuuuuurs !
Noire : PETIT INSOLENT ! REVIENS ICI SUR-LE-CHAMP !

Soutien A

Noire : Inigooo ! Où es-tu ?! Tu as beau te cacher, je finirai par te retrouver ! Hmm... il doit encore être en train de faire la cour à une donzelle... J'espère simplement que ça ne finira pas comme la dernière fois...
Inigo : Que s'est-il passé la dernière fois ?
Noire : HIIIIII !
Inigo : Ha ! Ça surprend, pas vrai ? Surtout quand on ne s'y attend pas ! Je me suis dit que j'allais vous rendre la pareille, d'où cette petite embuscade.
Noire : C'est horrible... Tu es horrible ! *sanglots*
Inigo : Oh, allez ! Arrêtez de pleurnicher ! C'était les filles, n'est-ce pas ? Les « hyènes » dont vous parliez ? Chaque fois que je parle à une fille, vous la faites fuir à coup de flèches ! Vous avez déjà semé la terreur dans plusieurs villages différents !
Noire : ... Je devais m'assurer que tu ne te fasses plus escroquer... C'était un ordre de Chrom.
Inigo : Quoi ?! CHROM vous a donné cet ordre ?!
Noire : Oui, si on veut. Enfin, j'ai aussi pris quelques libertés... On n'en serait pas là si tu ne t'étais pas laissé prendre au piège, la dernière fois !
Inigo : Un piège ? La dernière fois ? Je ne...
Noire : Tu te rappelles, cette voleuse qui t'a invité à prendre le thé... ... et qui a dérobé la moitié de nos armes ? Quand Chrom a appris ce qui s'était passé, il m'a demandé de te surveiller.
Inigo : Ah... je vois.
Noire : Tu es trop naïf, Íñigo. Selon Chrom, ça fait de toi une proie facile...
Inigo : Eh bien... A vous entendre, je suis un cas désespéré. Je ne suis pas non plus un benêt ! Cela ne s'est passé qu'une fois... ! Enfin, il y a eu cette voleuse à la tire, une fois. Celle qui portait un œil de verre. Oh, et puis une autre fois, avec cette bande de jeunes pyromanes... C'était chaud ! Mais ce n'est pas une raison pour mettre ma vie en danger de la sorte !
Noire : J'étais inquiète pour toi... On s'inquiétait tous pour toi.
Inigo : Il faut dire que j'avais un peu oublié ces histoires... Je pensais que tout le monde avait oublié, à vrai dire.
Noire : PETIT IMPERTINENT !
Inigo : Aaaaaah !
Noire : Tu cherches des excuses, mais te rends-tu compte de la gravité de tes actes ?! Tu es un poids pour notre capitaine et une perte de temps pour moi ! Alors, je te le demande... tes excuses sont-elles à la hauteur de tes méfaits ?! PARLE ! RÉPONDS ! OU JE FERAI PARLER MES FLÈCHES !
Inigo : Aaah... Oui, oui ! Pardon... Honnêtement, je pensais que personne ne faisait vraiment attention à moi.
Noire : COLÈRE ! DESTRUCTION !
Inigo : Aaaah ! Je suis désolé ! Je regrette terriblement ! Je ferai plus attention !
Noire : Oh ! Formidable ! A plus tard, alors. Si on s'inquiète pour toi, c'est qu'on tient à toi, Inigo. Alors fais attention à toi.
Inigo : Pfiou... J'ai bien cru que j'allais y rester, cette fois-ci. Heureusement qu'elle n'avait plus son arc dans les mains quand elle a éclaté de rage !

Soutien S

Inigo : Ah, vous voilà ! Je vous cherchais, justement.
Noire : Qu'est-ce qui t'amène ?
Inigo : Si on prenait le thé ensemble ? Qu'est-ce que vous en dites ?
Noire : Euh... Pourquoi ? Il y a un problème ?
Inigo : Ce n'est pas très poli de mentir, vous savez.
Noire : Je ne vois pas de quoi tu parles.
Inigo : Toute cette histoire de hyènes, et cet ordre venant de Chrom, soi-disant.
Noire : Je n'ai pas menti ! Il m'en a donné l'ordre !
Inigo : Mais vous ne disiez pas entièrement la vérité, si ? Je crois bien que vous vouliez être... l'une de ces hyènes, justement.
Noire : Hmm ? Qu'est-ce qui te fait dire ça ?
Inigo : Ha ! Disons que j'ai un don naturel pour lire dans le cœur de ces dames.
Noire : Tu as fait la cour à toutes les filles, sauf à moi ! Tu as même tenté de séduire l'enseigne du boulanger ! Et moi, je me sentais... exclue. Triste. J'étais... mhhm... *marmonne*
Inigo : Comment dites-vous ?
Noire : J’ÉTAIS FOLLE DE RAGE ! Colère ! Destruction ! Tu ne peux pas me piétiner le cœur de cette façon ! ALORS MAINTENANT... FAIS-MOI LA COUR !
Inigo : Hmm... Je ne pense pas... euh... être dans les meilleures dispositions... maintenant...
Noire : Un don inné pour lire dans le cœur de ces dames ? Pff ! La bonne blague. Je crois plutôt que tu es profane en la matière ! Pas étonnant que tu sois toujours éconduit par toutes les femmes que tu accostes. Snif... J'aurais aimé avoir la chance de t'éconduire, moi aussi.
Inigo : Noire ! Si je ne vous ai pas fait la cour, c'est parce que... vous faites un peu peur. J'étais effrayé à l'idée de me prendre une flèche dans le postérieur.
Noire : Oh... Je vois. Mais ce n'est pas comme si... je le faisais exprès ! Je n'y peux rien, moi ! *pleurs*
Inigo : Ah non ! Ne pleurez pas ! J'ai peut-être été un peu insensible, c'est vrai. Mais reconnaissez tout de même que vous m'avez bien lancé une centaine de flèches ! Et si on décidait d'oublier le passé et de repartir sur de bonnes bases ? Hein ?
Noire : Mais je... J'étais obligée... Les hyènes...
Inigo : Je sais, et j'apprécie vos efforts. Je ne saurais nier que je craignais de vous mettre en colère... Mais je vous trouvais aussi différente des autres femmes. Un peu... aérienne. Comme si vous étiez inaccessible au commun des mortels... C'est pourquoi j'ai tant hésité. Mais tout cela, c'est terminé. Et maintenant, j'aimerais vous poser une question qui me taraude... Voulez-vous m'épouser ?
Noire : Quoi ?! Ce ne serait pas un peu soudain ?!
Inigo : Je n'ai plus envie de tourner autour du pot ! C'est ce que j'ai toujours voulu !
Noire : Mais, je... je... Je suis flattée... Mais c'est si inattendu !
Inigo : Ha ha ! Vous êtes adorable quand vous rougissez.
Noire : Si on se marie... tu devras arrêter de courir après les filles comme tu le fais !
Inigo : Euh, oui, bien sûr... Bien sûr.
Noire : Quand tu répètes « bien sûr » comme ça, on dirait que tu n'es pas si sûr, en fait.
Inigo : Si vous ne pointiez pas une flèche sur moi, j'aurais peut-être un ton moins hésitant!
Noire : Je croyais t'avoir donné une bonne leçon, mais on dirait que non.
Inigo : Aaaah ! Arrêtez ! Nooon ! Pardonnez-moi ! Pardonnez-moiii ! Attendez... « Donné une leçon »... Je parie que Chrom ne vous a jamais rien demandé ! Vous m'avez menti ! Toute cette histoire de hyènes n'était qu'un stratagème !
Noire : Moi, mentir ? Peuh. J'ai un charognard en ligne de mire, c'est tout ce que je sais.
Inigo : Vous... Vous parlez de MOI ?!
Noire : Hii hii hii ! Je vais te passer l'envie de jouer les coureurs de jupons !
Inigo : Aaah ! Non, pitiééé ! Pardonnez-moi ! Je ne le ferai pluuus !

Kjelle/Inigo

Soutien C

Kjelle : Hyaaa ! Grah ! Hiyaaah !
Inigo : Comment se passe l'entraînement, Kjelle ? Toujours aussi en forme... Si vous voyez ce que je veux dire...
Kjelle : Huff... Hah... Qu'est-ce que tu veux ?
Inigo : Pourquoi ne pas faire une pause ? Amusons-nous un peu !
Kjelle : Qu'est-ce que tu entends par : amusons-nous ?
Inigo : Quelles viles intentions me prêtez-vous ? Je n'avais en tête qu'un innocent thé accompagné d'un chaste gâteau au miel... Après l'effort, le réconfort !
Kjelle : C'est tout ce que tu avais à me dire ? Je dois reprendre mon entraînement. Tu devrais en faire autant.
Inigo : Quel dommage... Il faut savoir se détendre de temps en temps, Kjelle... A force de vous tuer à l'entrainement, vous allez finir par exploser !
Kjelle : L’entraînement me détend. T'écouter m'énerve. Si je t'entend trop, c'est là que je vais exploser.
Inigo : Alleeez, je vous laisse choisir le gâteau !
Kjelle : Non ! Va-t'en, maintenant ! C'est compris ?
Inigo : Ça va, ça va... Mais je n'abandonne pas pour autant ! Rendez-vous demain !
Kjelle : Quel pot de colle !

Soutien B

Inigo : Kjelle ! Vous êtes prête ? Allons nous amuser !
Kjelle : J'ai déjà quelque chose de prévu aujourd'hui: m'entraîner. Va-t'en.
Inigo : La persévérance est mon plus beau défaut, vous savez !
Kjelle : Ton plus gros défaut.
Inigo : Ha ha ! J'aime votre sens de l'humour !
Kjelle : Je ne plaisantais pas.
Inigo : Je finirai bien par percer votre carapace. Un jour, vous ne serez plus que tendresse.
Kjelle : Tu es vraiment impossible.
Inigo : Est-ce que ça va ? Vous avez l'air fatiguée. Peut-être devrions-nous faire... une pause ?
Kjelle : Je ne suis pas fatiguée, je suis énervée. Et c'est de ta faute! Mais d'accord. Je veux bien prendre une pause. Mais à une condition.
Inigo : Oh, on progresse ! Quelle est la condition ?
Kjelle : Tu devras me battre pour ça. Si tu arrives à me vaincre en combat singulier, j'accepterai. Je te laisse même choisir l'arme.
Inigo : Ce n'est pas très réglo, tout ça... Vous êtes la personne la plus forte que je connaisse !
Kjelle : Alors tu abandonnes. Très bien. Disparais de ma vue, insecte.
Inigo : N... non, attendez ! C'est d'accord ! Je me battrai ! Je vous ai dit que la persévérance était mon plus beau défaut ! Bien que j'aurais aimé que la force soit mon point fort. L'épée est mon premier amour, alors je me battrai avec elle !
Kjelle : Choisis l'arme qui te chante. Ça ne changera strictement rien.
Inigo : Gloups ! Je veux dire, hum... Ne soyez pas surprise quand vous me verrez danser autour de vous l'épée au poing !
Kjelle : Je vais te réduire en poussière à la première ouverture. Cela promet d'être amusant... Hé ! Ha ha ha ! Ha ha ! Ha ha ha ha ha ha !
Inigo : Kjelle, vous êtes vraiment terrifiante !

Soutien A

Inigo : J'espère que vous êtes prête, Kjelle ! Aujourd'hui, c'est le bon moment, je le sens bien !
Kjelle : Quoi, encore ? Combien de fois cela fait-il ?
Inigo : J'ai arrêté de compter. Dix ? Vingt ?
Kjelle : J'ai arrêté de compter à trente. Une personne normale aurait abandonné à l'heure qu'il est.
Inigo : Ah, merci, Kjelle !
Kjelle : Ce n'était pas un compliment ! Qu'est-ce que tu fais encore ici ? Quelle motivation peut te pousser si loin ? C'est proprement déroutant. Tu es pathétique.
Inigo : Je veux juste qu'on sorte ensemble, c'est tout. Histoire de se changer les idées. Peut-être même arriverai-je à vous faire sourire.
Kjelle : C'est tout ce que tu veux ?
Inigo : Il s'agit uniquement de se détendre ! Quelle autre raison pourrais-je avoir ?
Kjelle : La bêtise ? La démence ? La vengeance ?! Il y a certainement quelque chose, personne n'irait jusque là pour un rendez-vous !
Inigo : Que dire d'autre sinon que... Je suis prêt à obtenir ce rendez-vous même si cela me coûte des cicatrices... Vous avez toujours un sourire sanguinaire quand nous nous battons. C'est comme un vrai rendez-vous ! Le sang et la douleur en plus.
Kjelle : J'en ai assez entendu.
Inigo : Je ne dirai plus rien ! Reprenons le combat. En garde !
Kjelle : Approche un peu.

Soutien S

Kjelle : ...
Inigo : Qu'est-ce qui ne va pas ? Vous avez l'air bien sérieuse.
Kjelle : Hein... Non, je réfléchissais.
Inigo : Vraiment ? Vous n'êtes pas malade ? Nous devrions peut-être annuler le combat...
Kjelle : Non, ça ira. Nous n'allons pas nous battre en duel aujourd'hui. tu vas obtenir ce que tu veux.
Inigo : Quoi ? Comment ?
Kjelle : Disons que tu as gagné.
Inigo : Je n'avais pas remarqué ! Pourtant j'ai fait attention.
Kjelle : C'est une façon de parler, imbécile... Ta persévérance a payé. Je suis prête à sortir avec toi. Allons-nous amuser un peu...
Inigo : Vraiment ?! Mais c'est magique ! Comme j'ai eu raison de persévérer ! Je promet que vous ne le regretterez pas !
Kjelle : Tout cela n'a ni queue ni tête... Tu es un baratineur de la pire espèce. J'étais persuadée que tu abandonnerais au premier coup sur la tête... Et pourtant, tu es toujours là...
Inigo : Puis-je vous demander une faveur ?
Kjelle : Je t'y autorise.
Inigo : J'aimerais que ce rendez-vous soit quotidien.
Kjelle : Oh, vraiment ?
Inigo : Depuis que j'ai vu votre sourire exalté, je suis comme hypnotisé. Je veux plus. Pendant les prochaines années au moins.
Kjelle : Les prochaines années ?!
Inigo : Aussi longtemps que je survivrai. Qu'est-ce que vous en dites ?
Kjelle : Est-ce vraiment ce que tu veux ?
Inigo : Peut-être. J'ai beaucoup souffert pour en arriver là.
Kjelle : Mais... pourquoi moi ?
Inigo : Pourquoi pas ? Il y a quelque chose dans votre expression. Quand j'ai vu votre sourire maniaque après une de mes défaites... Ça a déclenché quelque chose. C'est peut-être aussi les coups sur la tête qui affectent mon jugement, qui sait... Mais je me sens bien à vos côtés. Je crois que je... je vous aime.
Kjelle : Hum... Moi aussi, en vérité...
Inigo : Vraiment ?
Kjelle : Je suis content que tu ressentes la même chose. Nous nous amusons tellement ensemble. J'ai encore de nombreuses corrections à t'infliger ! Si nous arrêtions maintenant, tu insisterais pour continuer.
Inigo : Ha ha ha, vous voyez clair dans mon jeu ! Merci, Kjelle. J'ai de la chance de vous avoir rencontré.
Kjelle : Ha ha ! De la chance ?! Ton cerveau est encore plus atteint que je ne le pensais. Quoi qu'il en soit, reste toujours derrière moi. Je ne laisserai à personne le soin de te découper à ma place pendant cette guerre.

Inigo/Cynthia

Soutien C

Inigo : *soupirs*
Cynthia: Oh... Qu'y a t-il, Inigo ? Non, attends ! Laisse-moi deviner ! Tu as encore été éconduit par une jolie fille ?
Inigo : Non... Elle n'était pas jolie... Elle était MA-GNI-FIQUE ! Vraiment fantastiquement belle ! Et son crochet du gauche n'était pas mal non plus. Je crois que j'aimerais rester un peu seul. Ah, et j'aurais besoin de glace, aussi...
Cynthia : Peut-être qu'un jour, tu sauras faire la cour correctement... Mais avec tout cet entraînement, ça m'étonne que tu ne sois pas déjà meilleur !
Inigo : Ha ha, très drôle. Vous allez voir. J'ai appris de mes erreurs. La prochaine fois sera la bonne !
Cynthia : Oui, parfait ! J'aime te voir enthousiaste ! Tu es bien moins drôle quand tu te plains.
Inigo : Je sais bien qu'une donzelle finira par tomber sous mon charme... Après tout, je suis jeune, espiègle et follement attirant... N'est-ce-pas ?
Cynthia : Oui, bien dit ! Wouhou! Heu, attends... On dirait que c'est moi que tu essaies de convaincre, là...
Inigo : Hein... ? Ah, tiens...
Cynthia : Houlà ! Euh... Je ne suis pas intéressée ! Non, non, ça va aller, merci ! Enfin, je suis contente que tu ne perdes pas courage, en tout cas. Reste ici et entraîne-toi à sourire... Je reviens avec de la glace.

Soutien B

Inigo : Aaah, mes oreilles bourdonnent encore... Certes, les coups de pieds dans les tibias était justifiés, mais les cris, par contre... !
Cynthia : Youhou ! C'était une bonne journée ! Je n'en ai jamais... Ah, tiens, Inigo. Ça va ? Ton opération séduction s'est bien passée ?
Inigo : Vous m'avez bien regardé, Cynthia... ? D'après vous...
Cynthia : Ouille. Ah oui, il y a un beau bleu, en effet. Hmm, on ne gagne pas à tous les coups. Mais remarque, le proverbe est imprécis, car certains ne gagnent pas du tout...
Inigo : C'est ça, retournez le couteau dans la plaie. J'aimerais me lamenter en privé, si possible.
Cynthia : Oh, désolée, Inigo, je ne voulais pas me moquer, pas du tout...
Inigo : Bon, bon, ça va. Parlons un peu de vous. Que transportez-vous là ?
Cynthia : Hmm... Des gâteaux, surtout. Enfin, je crois. J'ai rencontré des jeunes filles en ville qui m'ont donné ces cadeaux... Je n'ai pas encore tout regardé, mais il y a des gâteaux, c'est sûr.
Inigo : Des filles ? Des gâteaux ? En ville ? Des cadeaux ? Des FILLES ?!
Cynthia : C'était vraiment étrange ! Je marchais et elles se sont mises à courir vers moi ! Elles m'ont souhaité bonne chance et m'ont dit que j'étais leur idole... C'est fou !
Inigo : Oui, oui, c'est fou... Des gâteaux et des filles qui tombent du ciel, comme ça. VOUS VOUS RENDEZ COMPTE DE LA CHANCE INOUÏE QUE VOUS AVEZ ?!
Cynthia : Hii hi hiii ! C'était plutôt agréable, j'en conviens.
Inigo : Hmm... Je peux comprendre pourquoi vous leur avez tant plus. Vous avez le charme d'une grande héroïne, ça saute aux yeux...
Cynthia : Hmm... Peut-être ? J'en sais rien...
Inigo : Toutes ces filles... qui se jettent sur vous... J'aimerais tellement que ça m'arrive à moi.
Cynthia : Ah non, ne recommence pas à pleurnicher ! Sois un homme et garde la tête haute ! Tiens, prends un gâteau. Ça ira mieux.
Inigo : Hmmfrfrf... Merci, Cynthia. Je me sens toujours assez pathétique, mais un peu moins qu'avant.
Cynthia : Et voilà ! Rien de tel qu'un apport en sucres pour oublier une petite déconfiture !

Soutien A

Cynthia : Eh ben... Mon panier est bien rempli. Pas sûr que j'arrive à tout manger toute seule !
Inigo : Bonjour, Cynthia.
Cynthia : Hé, Inigo ! Tu repars à la chasse aux demoiselles ?
Inigo : Euh, non, j'en reviens, en fait. Et je n'ai pas spécialement envie d'en parler... Vous portez un beau panier de victuailles, je vois. Encore des admiratrices en délire ?
Cynthia : Qu'est-ce que j'y peux... Elles m'adorent. Un petit gâteau ?
Inigo : Hmm, non, ça va aller, merci. Bon, quel est votre secret ? Pourquoi les filles vous trouvent si irrésistible ? Je sais pas, moi aussi, je suis sympathique, et pas moche du tout...
Cynthia : Tu affiches peut-être un peu trop ton manque d'affection... Ça peut rebuter. Mais pourquoi y accorder une telle importance ?
Inigo : Comment ça ?
Cynthia : Pourquoi sens-tu ce besoin irrépressible de charmer les demoiselles ? Tu as peur de mourir si les filles ne se jettent pas sur toi, ou un truc comme ça ?
Inigo : Non, c'est... Hmm... Ce n'est pas vraiment logique... Disons que c'est plus... C'est... C'est instinctif, voilà.
Cynthia : Hi hi hi ! Instinctif ?! D'accord... Bon, je ne sais pas pour les autres filles, mais moi, je te trouve plutôt sympathique. Tu es un bon ami à moi, et ce depuis notre plus tendre enfance... Je t'aime beaucoup. Et je sais que tu as bon cœur, malgré ton côté un peu... libidineux. Donc voilà, c'est déjà ça...
Inigo : Non, bien sûr, mais...
Cynthia : Je ne suis pas la seule, tu sais. Plein de gens ici t'aiment beaucoup ! Donc, ne te laisse pas miner autant quand une fille refuse tes avances, d'accord ?
Inigo : Oui... euh... je... Vous avez raison. Merci. Je ne plaindrai plus, c'est promis.
Cynthia : Très bien ! Allez, un petit sourire, là !
Inigo : Vous réussissez toujours à me faire sourire. Et je vais en profiter dès maintenant ! Il doit bien avoir une jolie demoiselle à qui sourire dans le coin !
Cynthia : Hi h i! Vas-y, sors-lui le grand jeu !

Soutien S

Inigo : Bonjour, Cynthia. Vous... Vous auriez un moment pour discuter ?
Cynthia : Tiens, Inigo... Quelque chose ne va pas ? Tu es malade... ?
Inigo : Désolé, non, je... Je voulais savoir si... Euh... vous savez, il y a quelque temps, vous m'avez dit que vous m'aimiez beaucoup... Vous disiez ça simplement parce qu'on est des amis d'enfance, hein ?
Cynthia : Ah, oui, j'imagine... Mais attends... Pourquoi tu me demandes ça ?
Inigo : Je n'arrête pas d'y penser... A ce que vous m'avez dit, ce jour-là, vous savez... Je crois bien que... Hmm... Je crois que je suis amoureux de vous, Cynthia. Et je ne suis pas dans un jeu de séduction, là... Ce que j'exprime... est réel.
Cynthia : Oh...
Inigo : Je sais bien qu'il doit être difficile de me prendre au sérieux, vu mon passif. Mais il fallait que je vous le dise... Parce que... Je veux passer le reste de ma vie avec vous ! Tout partager avec vous !
Cynthia : ...
Inigo : Hmm... D'accord... C'était pourtant évident... Pourquoi seriez-vous intéressée ? Je me plains toujours à vous à propos d'autres filles...
C: Euh... Pourquoi pas, en fait.
Inigo : Je suis... Attendez, quoi ?!
Cynthia : Je t'ai toujours bien aimé, Inigo. Depuis l'enfance. Et ça me fait de la peine de te voir triste. C'est pour ça que j'essaie toujours de te remonter le moral par rapport... aux filles.
Inigo : Oh, ah... vraiment ?
Cynthia : Bon, ça m'a pas mal énervée que tu essaies de séduire tout le monde sauf moi. Mais je préférais être énervée que de te voir triste... Enfin, c'est ce que je pensais.
Inigo : Cynthia, je suis désolé ! Je me suis montré si insensible... Je n'avais pas conscience de ce que je vous faisais endurer... J'ai vraiment été aveugle, en fait !
Cynthia : Hi hii ! Alors, commençons un nouvel avenir ensemble, toi et moi !
Inigo : Un avenir où nous serons tous les deux heureux, l'un avec l'autre !
Cynthia : Un avenir où tu ne parleras plus à aucune fille, à part MOI !
Inigo : Euh, oui... Bien sûr ?
Cynthia : Hmm, tu viens de faire une phrase interrogative, là ?
Inigo : Euh... non, je ne crois pas ?
Cynthia : Là ! Tu viens de le refaire ! Et pourquoi es-tu en train de t'éloigner... ?!
Inigo : Euh... La nature... L'instinct de survie... Un réflexe... ?
Cynthia : Inigo ! Reviens ici TOUT DE SUITE !
Inigo : Désolé, mon amour ! Vous aurez toujours la première place dans mon cœur... ... mais il y a tant de place dans mon cœur, et tant de jolies filles !