Pfeuh, moi mes nains ils démolissaient des titans à coups de pied.

Bon ok c'était un blob mais géant quand même.

Et moi, mes humains, ils se font décapiter par des oiseaux de la taille d'un lion.

Et tu es marrant avec ton blob, j'ai trois giant sponges au dernier niveau de la chute d'eau. Deux chiens sont déjà morts, et mon fermier n'ose plus s'approcher de la rivière.

Trop cool ! Du moment que tu, comme tu l'as dit, ne spoil pas la bloodline (que je commence dès demain, ce soir je rassemble tout, je fais la présentation et je trouve un embark), je suis preneur !

En plus c'est parfait, tu sers de bêta-testeur, pour voir si tout marche, c'est parfait !

Bon, maintenant je lis

Asseg aux Couleurs Brillantes

Je suis le seul à avoir lu "Asseg aux Couilles Brillantes" ?
Oui ? Zut

Oh et...

Fear the giant keas

Giant keas...
Giant keas...

GIANT KEAS ?

Oh, mon bon ami, tu vas en chier

Il me tarde ce soir alors, pour savoir à quoi ressemblera le site.

Franchement, je crois que j'ai passé trop de temps à faire des créatures étranges capables des pires abominations. J'avais oublié à quel point de simples oiseaux pouvaient être dangereux. Bon après c'est vrai que ce ne sont pas vraiment de simples oiseaux, mais des monstres de la taille d'un lion.

Sinon, oui, entre eux et les giant sponges, j'ai les deux kings of beasts de la version 34.11 sur mon territoire. Je pense que cela va être intéressant.

(Non tu n'es pas le seul, j'avais écris ça à la base, avant de me relire. J'ai même vérifié une seconde fois pour en être certain.)

Bon, j'ai terminé de rédiger la deuxième saison de Rempartfair. Mais avant tout, voici un screen de la map:


Vous pouvez voir mon canyon et la rivière qui s'y jette. Avec un peu de chance, je survivrai assez longtemps pour faire quelque chose d'intéressant avec.
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6 Hématite de l'an 90 :

Il y a eu un accident aujourd'hui. Edri, un des mineurs qui aidaient à la construction du Hall, a fait preuve de maladresse en marchant dans un bureau en travaux. L'imbécile s'en est tiré avec de simples bleus, mais il me tarde vraiment que le Roi m'envoie des hommes compétents.

15 Hématite de l'an 90 :

Enfin, des migrants ! Nous sommes désormais douze. Apparemment, ce groupe devait partir avec nous, mais a été retardé. Ils sont partis le plus vite possible, mais ne sachant pas où nous chercher, il leur a fallu des mois pour nous trouver. Plutôt ironique lorsqu'on pense que ce site est destiné à devenir un phare à la gloire de notre Maison.

Il faut que je réfléchisse à un moyen de tirer le meilleur parti de leurs compétences limitées.

Trois des nouveaux arrivants faisait partie de la même famille, dirigée par Hok
Roue-Vendue. Je ne sais que dire de lui. A première vue, il n'est qu'un bûcheron
un peu plus frêle que la moyenne, mais il y a quelque chose en lui de dur, comme s'il avait vécu sa part d'aventure. Il me rappelle certains de ces vétérans qui revenaient parfois des expéditions organisées par le Roi pour chasser les grand monstres de ce monde.

Hok est venu avec sa femme, sa tante, et son neveu respectivement poissonnière, assistante de forge, et inutile. Il n'y a pas grand chose à dire d'elles, quelqu'un capable de pécher et de préparer le poisson nous sera fort utile, et je suis sûr que l'autre pourra trouver à s'occuper jusqu'à ce que nous ayons besoin de travailler le fer. Je lui dirais que nous avons besoin d'une cuisinière. Je ne pense pas que qui que ce soit proteste contre l'idée de manger autre chose que plats à base de baies. Quand au neveu, un certain Shem Bateau-Troué, il affirme pouvoir tirer des objets de qualité des os que nous lui procurerons. C'est ridicule, les hommes des Gardes-Principes ne sont pas des charognards, et nous n'avons pas encore vu d'animaux, au grand dam de notre chasseuse.

Le dernier est Ilre Page-tournée le joaillier. Un vieillard calme et renfermé qui m'a foudroyé du regard aussitôt qu'il a été mis au courant de mon noble lignage. Un original qui ne nous servira pas à grand chose dans l'immédiat.

16 Hématite de l'an 90 :

Avec cette nouvelle main d'oeuvre, j'ai décidé que nous pouvons commencer la construction de dortoirs pour les basses classes. Les plans ont étés montrés à Osp, qui m'a assuré que cela se ferai vite. Si tous se passe bien bien, nous dormirons derrière des murs de pierre avant l'hiver.

3 Malachite de l'an 90 :

Angir a vu des créatures étranges dans la rivière. Des sortes d'éponges … mais plus grandes qu'un cheval de trait. Elles ne semblent pas agressives, mais un de nos chiens à cru bon de les attaquer. La pauvre bête ne marchera sans doute plus jamais.

15 Malachite de l'an 90 :

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/e/eb/Nestor_notabilis_wiki13.png/320px-Nestor_notabilis_wiki13.png

« Architecte, venez-voir, il y a des choses dans les airs, je ne sais pas ce que c'est mais c'est plutôt gros. »

Coni était un mineur, un homme fort, et les années qu'il avait passées à échapper à d'innombrables catastrophes minières lui avaient appris que si sonner l'alarme sans raison valable pouvait attirer des ennuis, la prudence était toujours la meilleure option.

« Attends un peu … non, c'est trop loin. Maîtresse Roc-troué, vos yeux de chasseuse peuvent-ils distinguer quelque chose ? 
-Laissez voir, Gouverneur. Il semblerait que ce soit des oiseaux. Des kéas, je dirais, c'est une bête exotique. De vrais pestes, ces fichus bestiaux. Ils sont attirés par tout ce qui brille, et sont connus pour voler ce qui les intéresse. En dehors de ça, rien à dire, ce sont juste des oiseaux, votre Honneur.
-Vos kéas sont peut-être de simples oiseaux, mais ceux-là semblent particulièrement gros. Sommes-nous en danger ?
-Je ne saurais dire, Gouverneur.
-Et bien, chasseuse, je vous suggère d'aller chercher votre arbalète, au cas où. Bon, le dortoir ne va pas se construire seul ! Oiseaux ou pas, nous avons une tâche à accomplir, messieurs, la Couronne compte sur nous ! Reprenez le travail.

Ces derniers mots avaient été prononcés avec une telle certitude que les maçons se dirent que de simples oiseaux, si gros qu'ils soient, ne feraient pas reculer les nobles hommes de la Maison Garde-Principes. Tous reprirent leur travail, à l'exception d'Olith Roc-troué, qui scrutait le ciel en se mordant la lèvre inférieure.

Plus tard dans la matinée, alors que le soleil pesait de plus en plus sur les hommes des Justes Remparts, un cri se fit entendre. Un cri qui suait la surprise et la peur. Inquiets, les travailleurs épuisés arrêtèrent leur labeur pour regarder autour d'eux, à la recherche de ce qui avait pu pousser ce cri.

Comme souvent, le mal vint du nord. Les maçons, rapidement rejoints par les autres, eurent tôt fait de trouver la source de ce qui était devenu des hurlements. Olith les vit la première. Ils volaient, quatre formes bariolées poussant des cris perçants tandis qu'un cinquième taillait en pièce un des chiens. A une dizaine de mètres se trouvait Angir la fermière, dont la bourse était pleine à craquer d'herbes. Elle était figée, la fermière, paralysé par l'incongruité de cette situation, son esprit incapable d'assimiler cette horrible scène, incapable d'accepter la fureur avec laquelle ce perroquet monstrueux s'acharnait sur un chien immobile depuis longtemps.

Un des monstres fit le premier mouvement. Ouvrant le bec, il fondit sur Angir avec la vélocité d'un oiseau de proie. Celle-ci lâcha son sac, et se mit à courir, courir de toutes ses forces. Elle couru comme si son âme en dépendait, mais malgré cela, elle n'aurait jamais pu distancer le monstre si Olith n'avait pas surgi, armée de sa fidèle arbalète, pour le tenir à l'écart.
Hélas, cette acte de bravoure mis le feu aux poudres. Comme éveillés après une transe sordide, les autres animaux attaquèrent, et le chaos commença.

Deux des montres s'attaquèrent à une Olith désarmée. La femme était une chasseuse expérimentée, mais son carquois désormais vide, elle ne pouvait plus qu'essayer de se mettre à l'abri. Par malheur, elle se trouvait sur le plateau du nord-ouest, et son seul chemin vers la sécurité l'obligeait à faire demi-tour. Poussant un profond soupir, elle se prépara à charger.

Après l'attaque initiale, les autres habitants avaient fuis, poursuivis par ceux des monstres qui n'avaient pas voulu d'Olith. Bientôt, leur course effrénée les mena jusqu'au chantier. A la vue des murs de pierre étincelants, il sentirent à nouveau l'espoir, et entreprirent de se cacher dans le bâtiment dont la construction était la plus avancée, qui était la mairie. Ayant semé leurs chasseurs, ils se cachèrent là, fermèrent les portes, et se firent tout petits au milieu des blocs de marbre.

Là, ils se crurent saufs pour un temps et se rassemblèrent pour évaluer la situation. Il semblait que tous étaient là sauf Olith. La plupart d'entre eux n'étaient que légèrement blessés, et ils se dirent que la situation pouvait s'arranger. Après tout, ces oiseaux ne pouvaient rester longtemps, il n'y avait rien à chasser aux alentours.

Leurs pensées fébriles furent interrompues par un cri. « keee-aa ! »
L'instant suivant le cri, l'enfer se déchaînait à nouveau sur les hommes de la Palissade
des Principes. Les cinqs monstrueux perroquets se jetèrent sur les malheureux qui avaient baissé leur garde et s'étaient enfermés dans un bâtiment sans toit, et la confusion l'emporta. Dans la mêlée qui s'ensuivit, les portes furent ouvertes, et neufs survivants émergèrent de cette boucherie.

Ils furent bientôt suivis par les oiseaux tueurs. Alors qu'ils commençaient à se diriger vers l'autre bâtiment en construction, les fuyards entendirent une voix qu'ils pensaient ne plus jamais entendre.

« Pas par là imbéciles, vous n'avez toujours pas compris ? Ils aiment ce qui brille. Ce sont les blocs qu'ils veulent. »

C'était Olith. Nul ne pouvait imaginer par quel moyen elle avait pu échapper aux monstres, mais elle y était manifestement parvenue. Elle était couverte de sang, il lui manquait un pied, mais elle avait survécu et leur donnait un conseil qui pouvait s'avérer salvateur.
Rassérénés par cette apparition, ils coururent le plus loin possible dans le désert. L'un d'eux pris Olith sur le dos, et ils coururent, emplis d'une peur panique, préférant braver l'inconnu des terres du sud que les démons volants qui s'étaient emparés de leur avant-poste.

Leur errance dura dix jours. Dix jours durant lesquels ils ne mangèrent pas. Dix jour durant lesquels Olith serra les dents tandis que Ilre, le joaillier rebelle qui avait quelque expérience dans la médecine, s'efforçait de traiter sa blessure sans eau ni outils pour la soulager. Dix jours durant lesquels tous craignaient de revenir et de découvrir ce qui était arrivé au campement.

Au onzième jour, ils retournèrent à Justes-Remparts. Le camp était désert, seul le cadavre d'une mule gisait là, grouillant de vers. Le spectacle n'était pas agéable, mais les survivants ne pouvaient s'empêcher d'espérer. Se pouvait-il que les satanés perroquets soient partis ? Qu'ils aient pris leurs maudits blocs de marbres blancs et qu'ils soient retournés dans leurs nids ? Allaient-ils pouvoir reprendre une vie normale ?

Il semblait que ce soit le cas. Tout à l'extérieur était calme. Pas un seul bruit ne déchirait le jour. Mais il restait une dernière vérification à faire, un dernier lieu à fouiller pour s'assurer du départ des monstres et pour, peut-être, trouver des survivants. Le cœur gros, ils s'approchèrent de la mairie.

L'intérieur du bâtiment était pareil à une scène que l'on aurait crue tirée des récits les plus sordides des conteurs de la capitale. Le sol était recouvert d'une substance rouge et poisseuse dont l'origine ne faisait aucun doute. Certains d'entre eux s'arrêtèrent là, incapables d'aller plus loin, mais un petit groupe se détacha pour explorer l'étage supérieur.

Coni, Ilre, Hok, et un charpentier nommé Tequil furent ainsi les premiers à découvrir ce qu'il était advenu de ceux qui n'avaient pu quitter l'endroit. Devant eux se trouvaient les morceaux éparpillés et mélangés de la famille de Hok. Shem, Innah, et Coni la pêcheuse, tous trois avaient été mis en pièces par la fureur de cinq démons ailés qui les avaient ensuite dévorés.

Les quatre hommes n'eurent pas le temps de se recueillir, ni même celui d'amorcer un geste. Un cri strident se fit entendre, provenant de l'escalier inachevé menant au toit. Un kéa. Le seul kéa à ne pas avoir trouvé son bonheur dans les maigres stocks du camp. Ce kéa-ci préférait-il le goût de la chair humaine au brillant du marbre ? Avait-il pensé se faire un nouveau nid dans cet endroit douillet après avoir mangé les anciens occupants ? De telles questions étaient vaines, et ils ne se les posèrent pas tandis que la bête fondait sur eux. Ils commencèrent à courir, mais le sol spongieux ne permettait pas une course efficace, et il était clair qu'ils seraient rattrapés avant d'avoir pu rejoindre les autres.

Et finalement, alors que le gigantesque oiseau s'apprêtait à déchirer le vieux Ilre, dont le souffle se faisait court et qui traînait derrière, il fut là. D'un coup d'épaule, il repoussa Ilre, qui s'écroula par terre pour ne plus bouger. Il aurait alors été une cible facile si le kéa n'avait pas eu d'autre choses en tête. Car Hok Roue-Vendue, bûcheron malingre de son état, s'était interposé entre Ilre et la bête, armée de l'énorme hache qu'il utilisait dans son métier. Et l'homme qui avait perdu sa famille aux becs de ces oiseaux maudits était autre. Il se tenait là, droit devant l'animal, et les trois autres comprirent que Hok Roue-Vendue n'était plus, qu'il avait laissé sa place à un autre être, un autre Hok né de la rage et du sang et qui s'exprimait maintenant avec fureur.

Hok Roue-Vendue. Hok Sans Famille. Hok à la Hache.

Le kéa n'eut pas l'occasion de faire quoi que ce soit. Même la fuite fut refusée au coloré animal passé en un instant de chasseur à serpillière. Malgré sa taille, celui-ci n'était qu'un perroquet et il était désemparé devant la tempête barrant sa route.
Après un combat aussi court que violent, le poing de Hok vint fracasser le crâne du kéa, et tout fut calme à nouveau dans les Justes-Remparts.

1 Galène de l'an 90 :

Je ... je ne sais qu'écrire. Nous avons enterré les morts, ils reposeront pour toujours aux côtés d'Asseg. Mais tout de même, tant de morts ... si seulement j'avais ordonné à tout le monde de s'abriter. Si je n'avais pas eu que notre mission en tête, tout cela aurait pu être évité.

Olith a été soignée, sa jambe va mieux et Tequil lui a taillé un morceau de bois pour qu'elle puisse se tenir debout. Je suis allé la voir, elle a l'air de tenir le coup. Elle m'a demandé d'ordonner aux mineurs de chercher du métal, que l'on puisse faire des armures et des carreaux qui soient efficaces contre de telles créatures. Elle m'a aussi assuré qu'elle tuerait la moindre de ces choses si elles revenaient.

Hok ne parle pas. Il n'était déjà pas loquace avant le drame, mais j'ai peur pour lui. De temps en temps, il regarde étrangement les airs, et son visage se voile de tristesse.
Dans un de ces courts moments où il ne semble pas ailleurs, il m'a annoncé qu'il se portait volontaire pour former et entraîner une milice de fortune, si je leur procurais des armes. Je crois que c'est l'avis de tout le monde. Ces terres sont remplies de créatures hostiles, et nous devons nous préparer au pire.

La fin de l'Automne sera consacrée à la mise en place d'une milice à plein temps. Nous manquons de main d'oeuvre, et cela va ralentir les travaux, mais nous n'avons pas le choix. Je suis sûr que le roi comprendrait. Et s'il ne comprend pas, je n'en veux pas comme roi.
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Je ne suis pas mort, finalement. Je sens que cette forteresse sera fun.
J'ai aussi regardé l'histoire d'Hok en Legends Mode, ce mec est assez badass. Il a échappé deux fois à un minotaure, et a blessé une créature de la nuit.

il y a quelque chose en lui de dur

Faut qu'j'arrête faut qu'j'arrête faut qu'j'arrête....

Sinon, Hok qui va passer Berserk au prochain épisode, ça va être rigolo

J'espère pas, j'ai des plans pour lui. Il doit devenir mon barbare légendaire +80 en toutes les compétences de combat. Même biter, je veux un legendary biter.

A ce propos ...

La version 40.xx a quand même des bon côtés, non ?

 :cute:

 *commande plus de pop-corn*

T'utilise quoi comme tileset? C'est CLA?

J'utilise à peux près n'importe quoi allant de l'ASCII à Gemset en passant par Duerer. Actuellement c'est CLA.

édit: Merde, va falloir que j'attende des progrès sur la Bloodline. J'ai touché le premier spoiler.

Hehe

Dit moi en MP ce que c'est, je te dit si c'est bon

J'ai trouvé un tileset idéal pour la Bloodline.

Fun garanti.

J'en ai trouvé d'autres, mais il n'ont pas cette pureté dans le design.

Et voila c'était la fin de Skybrass ma forteresse tombée à cause d'un ingénieur débile (Ok c'était moi mais chuuut...) qui avait eu l'audace de faire ça:

Le problème c'est que je m'en suis justement rendu compte après que la vague de morts vivants se soit mit à déferler à l'intérieur de ma forteresse, faisant chuter la population de 80 nains à 0 en moins de 2 minutes IRL.

En plus elle était classe ma forto... Je la reclaimerais peut être un jour...

D'ailleurs j'apprends également que mon groupe était APPAREMMENT en guerre (Même le jeu ne sait pas pourquoi):

Et donc ça s'est terminé bah... Là dessus: (Oui oui y a même un zombie gobelin qui a tué un autre zombie nain, même dans la mort ils peuvent pas s'encadrer)

En faite je crois que j'aurais dû buter cet humain qui trainait; je ne sais pourquoi, près des remparts depuis un moment sans attaquer alors que le jeu le considérait comme hostile. A mon avis quand les zombies sont partis ils ont posés sur les cadavres pour prendre une photo souvenir et se proclamer envahisseurs de l'endroit.

Saloperies.

Et euh... What ?

Ça vaut pas les forgotten beast qui tuent tes nains à la chaîne avec une chaussette qu'elles ont trouvé par terre

Si elle a été portée par la moitié de la forteresse sur trois générations c'est compréhensible.

C'est une forme d'arme chimique naine bien connue