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Sujet : Lost in Translation

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Zoomatt Zoomatt
MP
Niveau 10
21 août 2015 à 21:31:21

Ce lapsus révélateur. En fait le vicelard ici c'est pas moi :hap:

Haha c'est pas un lapsus tu viens de m'apprendre que j'ai toujours fait la faute. :hap:

Vomit-Crush Vomit-Crush
MP
Niveau 10
21 août 2015 à 21:31:54

Le 21 août 2015 à 21:28:38 Melaine a écrit :

Le 21 août 2015 à 21:25:23 Zoomatt a écrit :

je n'ai pas ressenti de sensualité, mais au contraire beaucoup de naturel.

Pour moi ça va de paire.

Pareil. La sensualité et le charme sont des choses très naturelles qu'on peut difficilement travailler je trouve. D'ailleurs Kristen Stewart en a beaucoup. :hap:

Bah après c'est peut être subjectif mais j'ai pas l'impression que Coppola voulait faire ressortir ça concrètement :hap:

Le 21 août 2015 à 21:27:35 Melaine a écrit :
In the Mood For Love c'est celui que j'aime le moins de WKW. J'ai eu l'impression d'être devant un chef d'oeuvre, mais sans avoir le droit d'y entrer complètement. Bon ce n'était pas une déception pour autant. Puis c'était mon premier WKW aussi, si je le revoyais maintenant je l'aimerais plus je pense.

Je crois l'avoir vu y a longtemps, je m'en souviens très peu, si ce n'est que j'étais très distrait à ce moment là. Raison de plus pour le voir sérieusement, je connais mal WKW en plus.

Vomit-Crush Vomit-Crush
MP
Niveau 10
21 août 2015 à 21:33:01

Le 21 août 2015 à 21:31:21 Zoomatt a écrit :

Ce lapsus révélateur. En fait le vicelard ici c'est pas moi :hap:

Haha c'est pas un lapsus tu viens de m'apprendre que j'ai toujours fait la faute. :hap:

OTAN pour moi :hap:

EIectricWizard EIectricWizard
MP
Niveau 10
21 août 2015 à 21:34:57

Le 21 août 2015 à 21:30:03 Zoomatt a écrit :

Naturel = sensualité pour toi ?

Pour moi il n'y a pas sensualité sans naturel oui.

Ah oui dans ce sens là d'accord.

Melaine Melaine
MP
Niveau 10
21 août 2015 à 21:35:17

Oui non en fait t'as raison, j'étais d'accord avec Zoomat pour dire qu'il n'y a pas de sensualité sans naturel, par contre dans Lost in Translation il n'y a pas la volonté de vouloir faire ressortir une quelconque sensualité, ni même une tension sexuelle je trouve.

EIectricWizard EIectricWizard
MP
Niveau 10
21 août 2015 à 21:35:53

Et In the mood j'ai trouvé ça excellent seulement au deuxième visionnage. :hap:

Message édité le 21 août 2015 à 21:39:47 par EIectricWizard
Zoomatt Zoomatt
MP
Niveau 10
21 août 2015 à 21:37:59

La sensualité ressort naturellement encore une fois. :hap:

Vomit-Crush Vomit-Crush
MP
Niveau 10
21 août 2015 à 21:41:20

Le 21 août 2015 à 21:35:17 Melaine a écrit :
ni même une tension sexuelle je trouve.

C'est ça que j'ai adoré, ça joue avec les clichés et les canons, et ça joue subtilement, sans dire grassement "hé! ils s'embrassent pas et ils baisent pas, swagg non? envoyez l'oscar!". Je crois que plus je pense à ce film plus je l'aime, je devrais le revoir.
(Amazon fdp fais ta promo sur les blurays stp)

Le 21 août 2015 à 21:37:59 Zoomatt a écrit :
La sensualité ressort naturellement encore une fois. :hap:

Ok y a un gros cadrage sur ses fesses mais... :hap:

Message édité le 21 août 2015 à 21:41:56 par Vomit-Crush
Melaine Melaine
MP
Niveau 10
21 août 2015 à 21:48:15

Le 21 août 2015 à 21:41:20 Vomit-Crush a écrit :

Le 21 août 2015 à 21:35:17 Melaine a écrit :
ni même une tension sexuelle je trouve.

C'est ça que j'ai adoré, ça joue avec les clichés et les canons, et ça joue subtilement, sans dire grassement "hé! ils s'embrassent pas et ils baisent pas, swagg non? envoyez l'oscar!". Je crois que plus je pense à ce film plus je l'aime, je devrais le revoir.
(Amazon fdp fais ta promo sur les blurays stp)

Le 21 août 2015 à 21:37:59 Zoomatt a écrit :
La sensualité ressort naturellement encore une fois. :hap:

Ok y a un gros cadrage sur ses fesses mais... :hap:

Exactement. De toute façon ce film c'est vraiment la subtilité incarnée. Rien n'y est grossier. D'ailleurs je ne pense pas qu'un tel film aurait pu être réalisé par un homme. Non pas que nous sommes moins subtils, mais Lost in Translation possède quelque chose de très féminin.

Pareil, plus j'y repense et plus je l'adore. D'ailleurs il est actuellement aux portes de mon top 50 (51e sur le top 100 que j'ai constitué il y a quelques jours) et devrait y rentrer si je le revois.

El_medusor El_medusor
MP
Niveau 6
15 mars 2016 à 10:08:10

J'ai vraiment un soucis avec la filmographie de Sofia Coppola, loin d'être une réalisatrice que j'admire j'ai quand même vu (il me semble) la totalité de sa filmographie (surtout grâce au diffusions tv), il me restait plus que ce film. Je me disais avant de le voir qu'avec Bill Murray et Scarlett Johansson dans Tokyo et principalement la nuit (oui je suis envoûté par les mégapoles filmés de nuit) je ne pouvais pas passer à côté. J'ai apprécié le film mais c'est loin d'être un chef d'oeuvre, les acteurs sauvent un peu le tout, même si je trouve que Scarlett Johansson est bien moins envoûtante que dans certains films tout en restant naturel (du à son jeune age sans doute). On est quand même transporté dans la relation quasi platonique des protagonistes et on les suit avec plaisir.
Après on retrouve l'éternel thématique de l'ennui que je trouve beaucoup mieux traité dans ce film que dans le reste de la filmographie de Sofia Coppola.

Yoshishiphoque Yoshishiphoque
MP
Niveau 7
15 mars 2016 à 10:33:42

film raciste de merde

Zoomatt Zoomatt
MP
Niveau 10
15 mars 2016 à 10:41:51

.#JeSuisJaponé

Melaine Melaine
MP
Niveau 10
15 mars 2016 à 12:22:54

Sympa notre dialogue de sourd plus haut, je ne me souvenais pas de ça. :hap:

Cabolodge Cabolodge
MP
Niveau 10
16 juin 2016 à 18:49:49

Lost in Translation, quel film ! Mise en scène et scénario très intelligents et peu communs. Le film nous livre une fresque humaine et sentimentale. Il aborde les tourments humains, les réflexions, les angoisses d'une génération : de la jeunesse à l'âge mûr, les déroutes, les incertitudes, les choix et les rêves de l'homme dans une société en mouvement qui semble être trop uniforme et conformiste pour l'expression de l'homme qui est multiple et idéalisée, une société qui lui est étrangère dont l'expression humaine est presque prisonnière.

Nous avons deux personnages que Sofia Coppola a choisi de mettre en scène et en relation :

Une jeune femme aux portes de l'âge adulte qui entre dans une période de sa vie où elle doit faire des choix, elle doit assurer son avenir par ses décisions, ses fréquentations et ses perspectives futures. Elle est à l'entrée du chemin de l'existence, celui qui sépare l'enfance insouciante et servile de celle de la vie adulte. Ce chemin qui impose de définir ses choix personnels, où trouvent au carrefour : la liberté et la conscience de soi-même. Elle est en face à face avec son destin, avec elle-même. Johansson est diplômée de philosophie, petit clin d'oeuil à la réflexion existentielle qu'elle entame avec Bill Murray sur le monde qui les entoure. Jeune diplômée, elle doute de sa voie professionnelle, du chemin à suivre pour s'épanouir. Son petit-ami est photographe et ne s'intéresse qu'à sa passion, la délaissant durant ce séjour. Ses fréquentations sont déplorées par Johansson qui les trouve ennuyeuses et superficielles. En témoigne la fille blonde jouant l'idiote de service. Son métier de mannequinat a été choisi avec soin par Coppola afin de refléter l'idéalisme superficielle de la société, la beauté physique s'oppose à l'absence de réflexion de la jeune femme, à l'expression et aux conversations remarquablement stupides, volontairement exagérées par la réalisatrice. Créée de toute pièce pour susciter l'envie, l'apparence promotionnelle des publicités du mannequinat dévoile le faux semblant, l'illusion, de notre société. La relation cordiale qui existe entre son petit-ami et la fille blonde est complémentaire car, en tant que photographe, il participe aussi à ce monde de l'imaginaire et de l'idéal physique de la mode. La photographie arrangée, mise en scène, peu naturelle pour ainsi dire, va de paire avec le mannequin, s'opposant à la réflexion de nos deux personnages incarnés par Johansson et Murray. Aux corps physiques, s'opposent la pensée. On retrouve cette dualité durant tout le film. A aucun moment ou à de rares exceptions (scène du lit ou de fin), ni Johansson ni Murray ne se touche physiquement. Leurs rapports physiques sont dominés par leurs personnalités dont l'un et l'autre se nourrissent. En somme, c'est d'abord la séduction par l'identitaire et non pas par les sens qui prime, contrairement à la publicité et la mode.

Un homme dans la force de l'âge, mûri par son expérience de la vie, marié et père, dont l'existence semble toute faite, tracée et immuable. A la jeunesse de notre héroïne, s'oppose l'âge avancé de notre héros. Deux personnages à des extrémités différentes de la connaissance de la vie. Murray est au Japon pour son métier d'acteur de publicité ! Il est lui-même un archétype de la société de consommation. Lors des séances de shoot, il simule évidemment un personnage confiant, serein, tel un agent 007, imitant une panoplie d'acteurs célèbres. Murray doit susciter le désir, l'envie des consommateurs d'acheter ce Whisky. Pourtant, notre héros n'est rien de cela. Un décalage flagrant s'opère sous les yeux du spectateur entre l'illusion de la mode et la véritable vie du personnage. Un père de famille comme les autres, faisant son métier pour gagner sa vie, dont la femme appelle pour choisir la couleur des moquettes du domicile familial ! On est loin du Roger Moore, du Sean Connery ou du beau gosse buveur de whisky qu'il incarnait durant son travail ! Loin de l'idéal qu'il incarnait aux yeux du public. Si chez Johansson, c'est son petit-ami et sa copine au téléphone qui symbolisent sa vie quotidienne aux Etats-Unis. Chez Murray, ce sont les appels téléphoniques avec sa femme. Hors du métier de mannequin, dans un retour à la réalité, Murray s'ennuie de son mariage. A maintes reprises, il décroche le téléphone pour avoir des conversations froides et banales avec son épouse. En témoigne les « je t'aime », « moi aussi » balancés sans une once de chaleur, par habitude, par lassitude...les conversations monotones et impersonnels avec sa femme trahissent un sentiment d'apathie dans la vie de notre héros ou l'indifférence à la routine est de règle.

Nos deux personnages se rencontrent avec la société japonaise pour toile de fond. Entre modernité et tradition, ce Japon est cette translation dans laquelle les deux héros se perdent. Coppola a choisi brillamment ce pays, à la fois proche et si loin de la culture occidentale, pour y faire vivre ses personnages. Mettre les Etats-Unis en toile de fond n'aurait pas accentué ce contraste entre le destin des protagonistes et la société qui les entoure. Pour ainsi dire, le Japon représente la société occidentale dans laquelle nos héros ne se reconnaissent pas. Le spectateur n'aurait pu discerner ce malaise entre personnage/société si le film aurait l'Amérique, l'Occident en arrière-plan, société trop familière du spectateur et trop proche des personnages. Avec l'univers tokyoïte, c'est un monde complètement différent qui s'ouvre à eux et en somme aux spectateurs pour y faire ressortir un contraste saisissant. Une langue incompréhensible, un mode de vie particulier, une culture unique mais difficile à imprégner : les innombrables remerciement des hôtesses de l'hôtel, la prostituée simulant le masochisme salace, le jeune japonais jouant aux arcades en fumant, la traduction comique du japonais à l'américain entre Murray et sa traductrice, l'expression burlesque du metteur en scène japonais, la religion des moines de l'arrière-pays... Que ces clichés soient véritables ou faussés, peu importe car avec un œil bienveillant plus qu'autres choses, Coppola appuie sa mise en scène pour saisir le contraste et ce désarçonnement que les personnages ressentent avec le monde qui les entourent. En somme, ce Japon représente la société occidentale en générale, mais il a été plus intelligent de choisir ce pays pour montrer que les personnages ne se sentent pas bien dans la société qui les entoure, qu'elle soit japonaise ou américaine. Ainsi, ce mal-être existentiel qui est le leur au Japon, l'est aussi bien lorsqu'ils sont en Amérique...

La majorité des spectateurs, sinon les Occidentaux, se représentent le Japon tel que le film le montre : jeux d'arcade, religion différente, une culture loufoque à première vue, et finalement exotique. Le spectateur peut aussi avoir conscience de l'idéalisme extravaguant de son imagination et il peut avoir conscience que le stéréotype dont sa pensée est imprégnée peut être exagéré. Cependant, la force d'un stéréotype est aussi cet idéal de l'Autre, de l'étranger qui est différent de moi, pas seulement une vision erronée et négative. Finalement représenté dans ce film le Japon par les grands stéréotypes occidentaux ne peut que faire recentrer l'histoire sur les deux Américains par un contraste foudroyants des cultures, certainement exagéré mais admis dans les pensées. Ce contraste fait ressortir ces deux personnages par rapport à ce qui les entoure : la différence qui s'harmonise avec ce qu'il ressente dans leur vie : l'indifférence.

La longueur fait partie intégrante du film, vu que les acteurs sont perdus à Tokyo mais surtout dans leur vie tout court. La longueur c'est la représentation de cette lassitude sur soi même, leur questionnement, leur ennuie, leur manque d'espoir. Leur rencontre est une étincelle qui revitalise l'espoir d'une vie meilleure, passionnée, insouciante, idyllique, presque celle du retour à l'enfance naïve qui exonère l'individu de choix difficile. Les faux-semblants, les apparences, les contraintes de la société sont anéantis quelques temps avec la rencontre de nos deux personnages. Le temps d'une semaine, nos héros apprennent à se connaître, s'amuse, se séduisent. Ils trouvent dans l'un et l'autre le remède à leurs angoisses et l'espoir d'une vie passionnée et enchanteresse, loin du conformisme et de l'hypocrisie de la société.

:banzai:

Jerry_Kissinger Jerry_Kissinger
MP
Niveau 30
16 juin 2016 à 19:38:53

Oui Johansson incarne la jeunesse, l'espoir de vie, les possibilités. Alors que Murray incarne la stabilité, l'expérience, la sagesse de l'âge. Johansson a besoin de Murray pour se sentir stable et sereine. Murray à besoin de Johansson pour se revigorer et se soustraire de l'apathie d'une existence scellée. Les deux sont complémentaires par leurs âges. Au travers la relation intime, on pourrait alors parler du retour au père pour la femme (stabilité qui manque à l'héroïne) et du retour à la jeunesse pour l'homme (fougue de la jeunesse perdue). Néanmoins, ils ne couchent pas ensemble, c'est supposé :-p ce qui confirme un échange purement philosophique, au sens de réflexion sur la vie.

Cabolodge Cabolodge
MP
Niveau 10
09 janvier 2018 à 12:31:06

Je ne suis pas un gros cinéphile mais je dois dire que c'est encore le film le plus intelligent que j'ai pu voir, ce qui ne veut pas dire que je le regarderai souvent... C'est un poil déprimant même si il y a de l'espoir dans la trame. Etonne que personne ne le remarque plus que ça!!

truedetective truedetective
MP
Niveau 25
02 juin 2020 à 19:06:36

Revu récemment et j'ai encore plus aimé que la première fois !
Très poétique, très humain et très subtil dans la représentation des relations humaines.
Un cadre dépaysé pour des âmes perdues et une musique planante s'échapper de l'ennui.
Des personnages entiers, qui se réconfortent un moment avant d'errer seuls à nouveau...
Une ode à l'espoir
9,5/10

Slimshadly Slimshadly
MP
Niveau 9
03 juin 2020 à 10:29:40

Un de mes films préférés perso

seth_2015 seth_2015
MP
Niveau 6
03 juin 2020 à 19:55:50

Mon film préferé pour ma part :coeur:

concelhaut concelhaut
MP
Niveau 10
30 septembre 2020 à 13:47:57

Le 21 août 2015 à 21:15:01 Melaine a écrit :
D'ailleurs je sais pas si vous êtes d'accords avec moi, mais j'ai toujours trouvé que Lost in Translation c'est un peu un In the Mood for Love, mais avec un regard occidental et féminin.

bah elle remercie justement Wong Kar Wai et Antonioni dans son discours des Oscars. Bref elle ne fait que copier

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