T'as pas compris la corruption jeune gomme?

Ha si ça y est

Journal de Tolbac, Entrée 0007:
Passé la nuit à me souler à l'alcool synthétique. Me souvient plus pourquoi. Penser à ranger cette tente.
Les rapports arrivent régulièrement mais la qualité varie grandement.
Qui vole tout les soirs du PQ? Préparer une enquête pour livrer le fautif au Superviseur.
Quelqu'un arrive, remettre les lunettes. Vite.

Un jeune homme d'une vingtaine d'année entra dans la tente mal éclairée et malodorante de Serge. Il annonça rapidement au documentaliste que le Superviseur (loué soit il) tenait à le rencontrer pour une affaire de la plus haute importance puis s'eclipsa rapidement, ne voulant pas rester longtemps dans la même pièce que cette épave asociale et arrogante.
Serge pesta donc contre une jeunesse qui se dégradait de plus en plus et se rendit donc à la tente du Superviseur (loué soit il).

Celui ci n'affichait pas son air de supériorité et de triomphe mais semblait très préocuppé. Cependant, dès que Serge entra, il retrouva le sourire et s'adressa à lui d'un air qui se voulait amical:
"Ah Serge, vous tombez bien!! Nous avons besoin de vos....talents (bien que je doutes de leur existence) afin d'accomplir une tâche de la plus haute importance!!
Comme vous le savez sans doute notre Abri (gloire à lui) n'est pas unique et de nombreux autres ont été construits par le gouvernement des IouEhhSeye.
C'est avec une grande joie que j'ai appris qu'un Abri situé à quelques kilomètres au sud vient de s'ouvrir. Cependant la seule communication que nous avons reçues de leurs parts était un message de détresse pour le moins....obscur.
(Tend un holodisque à Serge)
Je vous ai fait préparé une escorte de 5 officiers de sécurité armés de Springfield (sans lunettes bien entendu).
Rendez vous sur le champ à l'Abri 53 et découvrez ce qui tourmente nos frères.
Vous êtes notre seul espoir.... (Tout les autres spécialistes sont occupés, ne vous imaginez pas que vous êtes important).
Maintenant partez. Partez faire régner l'Ordre et la Justice!!"

Serge alla donc s'emparer d'un pistolet 9mm et de 3 chargeurs, ainsi que de provisions en eau et nourriture pour 3 jours et alla à la rencontre de son escorte.
S'était tous des gorilles barraqués, incapable d'aligner deux phrases et dont les visières noires avaient été rabattues afin de cacher leurs regards profondément stupide.
L'Officier Flurtz cependant, semblait différent. Il ne portait pas de casque mais un kepi d'un noir mat et sur son gilet pare balle flamboyait l'insigne du corps des Inspecteurs de Loyauté envers l'Abri (expert en vol et crochetage à la botte du Superviseur.). Il semblait être tout autant satisfait d'être là que Serge et ne témoignat aucune marque de camaraderie à personne.
"4 primates analphabètes et une crapule au service du Superviseur, génial. Si j'en sors vivant...." pensait Serge en quittant le camp avec son sinistre cortège.

Si quelqu'un veut se joindre à l'expedition, qu'il le fasse. Sinon, la suite vers 14-15 heures.

Enrique avait choisi d’établir les premiers contacts commerciaux avec des étrangers, la Crimson Caravan Company. Une bonne économie est la base d’une ville forte, après tout.
Deux de ses représentants bivouaquaient à une centaine de mètres du modeste campement, et avaient proposé une rencontre avec leur supérieur. Mais avant de partir, le sud américain alla s’équiper à la tente de matériel.

Le garde à l’entrée, qui somnolait à moitié, reprit ses esprit et marmonna :
-...b’zoin d’quoi ?
-J’pars pour la journée en mission, j’demand’rais simplement un couteau, à boire et à manger, s’iouplait.
L’homme partit fouiller la tente et en ressortit avec un couteau de combat (reste 2 ) ,une bouteille d’eau purifiée (reste une vigtaine) et un ragout de griffemort (reste 13) dans une petit baluchon qu'il tendit à Enrique. Il en sortit directement le couteau et l'accrocha à sa ceinture.
-Merci bien...
-Oué oué c’est ça...

Le cuisinier mexicain partit donc à la rencontre des marchands.
-B’jour, j’m’appelle Enrique et je viens pour la proposition commerciale.
Il serra la main aux deux qui se présentèrent à leur tour.
-Moi c’est Georges, dit l’homme grand et brun.
-Et moi Louisia ! C’était une petite femme blonde à l’air joviale qui venait de parler.
On se met en route ? Ca prend une heure et demie ou deux d’aller voir Bryant, notre chef.
-C’parti.

Suite en cours d’écriture !

Journal de Tolbac, Entrée 0008:
Parti depuis trois heures.
Suspecte les officiers de sécurités d'être trisomiques.
Pas de preuves suffisantes pour les faire executer, Hélas!!
Flurtz me regarde avec attention, épiant chacun de mes gestes, guettant le moindre faux pas. Faudra s'arranger pourqu'il se prenne une balle dans le dos lors de la prochaine fusillades.
Nombreux Canines Tolbacus rencontré mais ils n'attaquent pas. Attendent surement la nuit. Se méfier. Les officiers de sécurités me prennent pour une sorte de sorcier et me vouent presque un culte. Désespérant. Puissant Vault-Tec, Qu'ai je fais pour mériter ça?

La petite troupe progressait difficelement au milieu des dunes de sables brûlants. L'Officier Grimmer en particulier, n'arrêtait pas de tomber dans des fossés, au plus grand bonheur de ses camarades qui riaient au éclats. Serge se contentait de les observer avec un profond mépris tout en surveillant du coin de l'oeil l'Officier Flurtz qui écrivait frénétiquement dans un petit carnet à spirales.
Le voyage se déroula ainsi pendant quelques heures, et alors que la nuit approchait, le groupe se retrouva devant une petite cabane, à l'ombre d'un vieux chène mort depuis longtemps.
Alors que Serge s'apprétait à ordonner à ses hommes d'aller voir ce qu'il y avait dans cette baraque, un viel homme usé, s'appuyant sur un bâton, s'adressa au groupe:
"Holà voyageurs!!
Serge:Bonjour à vous.
Frultz: (écrit frénétiquement dans son carnet)
Soldats: (Attendent qu'on leur donne quelqu'un à tuer)

-Que venez vous faire sur le territoire du vieux Gildas?
-(Serge)Feh!!Eh bien...
-(Officier Armstrong) Cé ki???? Cé ki le veuil Guildasse, crétin des alpes??
-Il est en face de vous en c'moment même!
-(Officier Bryan) V .. ous .... voulez...ddd..irr...que...c'est...v...ous??
-"A part" Ce jeune homme ira très loin....
-(Serge) Feh!!!Nous pensions que cette cabane était abandonné....
-(Flurtz) Et nous comptions l'annexer à notre territoire!!
-Ah... Mais non, Mais non... c'est la maison du vieux Gildas!!
-(Serge) Feh!!! Et vous ne pouvez pas nous abriter pour la nuit, Feh?
-Hélas!! Je ne suis qu'un vieil ermite et je ne cherche pas la compagnie des humains, cependant...."

L'Officier Will se mit soudain à hurler et tira. Il y eu un "bang" assourdissant, puis la tête de Gildas éclata comme une pastèque qu'on écrabouille d'un coup de super-masse.
Serge se mit à hurler contre le fautif:
"Mais t'es con? Pourquoi t'a fait ça?
-Sa canne contenait surement une arme. Il l'a levé pour tous nous tuer, c'est Bouh qui me l'a dit!! (Bouh est un radhamster receuilli par Will)"
Flurtz s'empara de la canne et constata,amusé, que ce n'était qu'un bout de bois innofensif. Il souriait déjà à l'idée du rapport sur Will qu'il remettrait au Superviseur à son retour. Il tenta cependant de désamorcer la situation:
"Bon au moins, on a récup' la barraque du vieux, c'est pas si mal que ça!!
-(Officier Grimmer) Et pis on pourra prendre ses jambes pour nos provisions, non?"
Le regard noir de Serge le réduisit au silence pour tout le reste du trajet.
Le groupe alla donc s'installer dans la cabane, maintenant vide, du vieux qui fut renommée Avant-Poste 00AB

Les deux nouveaux compganons d’Enrique le menèrent à leur charette de marchandises.
Et quelle ne fût pas sa surprise lorsque il aperçut la vache à deux tête ! Il avait bien lu le rapport de Serge Tolbac qui en parlait, mais en voir une réellement, pour la première fois était vraiment étrange.
Il eut tout d’abord un mouvement de recul mais se reprit vite. Après tout, si ces archands vivaient avec cette crétaure quasi-constamment, c’est qu’il ne devait pas y avoir de danger.

Le chef engagea la conversation :
- Vous pourriez m’parler un peu d’là Crimson s’iouplait ?. On sait trop peu d’choses sur vous.
Il se mit à pianoter sur son Pip Boy pour noter d’éventuelles infos.
C’est Georges qui débuta les explications.
-La Crimson est une société commerciale dont le souhait est de s’étendre le plus loin possible tout en faisant du profit. Les caravaniers et gardes sont liés à la société par un contrat de travail. Ce contrat dure un certain temps et l’on est payé à la fin. La paye est pas toujours géniale, mais pendant ce temps, on est nourris et logés. Si on a bien travaillé, on peut renouveler le contrat.
Louisia rajouta :
-Nous avaons plusieurs types de caravanes : des caravanes d’objets divers, d’armes, d’armures qui sillonent les Terres Devastés (A l’évocation de ce nom, Enrique compris que c’était le réel nom de l’Extèrieur). D’autres sont des caravanes régulières d’équipement, de vivres ou d’eau qui vont toujours au mêmes communautés, après un accord commun.

Enrique pensa à discuter avec le superviseur de la possibilité de mettre en place de ces caravanes régulières. Mais il ne réfléchit pas a autre chose car des hurlement savages venant de la gauche se firent entendre.

-Des Raiders !! avertit Georges. A couvert derrière le chariot !

Les pillards firent de mème derrière des rochers. Il n’y avait pas de garde de caravane ici, et les commerçants étaient de piètres guerriers, armés uniquement de petits 9mm. Et Enrique lui, n’avait qu’un couteau.

Ces étranges pillards étaient vêtus d’armures de cuir avec des morceaux de ferreailles, mais qui ne recouvraient pas entièrement le corps. Ils étaient deux armés de fusils, un autre avec une barre de fer et les trois déterminés à tuer. Ils avaient aussi d’étranges coups des cheveux, et étaient complètement shootés.

Suite plus tard !

Dail, tu as lu le background que j'ai posté en page 1 ou 2?(mais faut lire la page en entier)

J'ai lu tout le topic, pourquoi, il y a un problème ? J'ai zappé quelque chose ?

Je crois qu'il parlait de la nappe de pétrole sous l'Abri qui peut servir au commerce.

Oui ça j'étais au courant, je comptais en faire parler dans la rencontre avec Bryant !

Pour l'inventaire oui désolé, je me suis basé sur celui de Cartman, désolé j'avais pas vu celui de pparlement...

Oui, sauf que normalement, le pétrole n'a pour l'instant aucune utilité, mais dans un futur proche ...

Je ne vous en dis pas plus

mais juste que sa se passe dans le Colorado en l'an 2252, juste pour rappeler.

Le fou armé d’un bout de métal fonça vers les trois, mais, étant à découvert, il fût rapidement abattu par Georges. Un râle horrible se fit entendre.
La fusillade dura plusieurs minutes, et Enrique ne pouvait rien faire. Puis une Raider, sûrement à court de munitions, lâcha son fusil, sortit une truelle de sa poche, la prit comme un poignard, et fonça du côté du mexicain.
Celui ci attendit le dernier moment. A l’instant ou la junkie allait abattre son arme sur lui, il saisit son couteau et le planta dans la coude, juste à l’endroit où il y avait le nerf. Ce geste stoppa net la droguée, mais elle ne devait quasiment rien ressentir avec toutes les substances qu’elle devait avoir avalé.
Il retira son couteau, poussa d’une main la Raider qui tomba à terre, et lui planta le couteau dans la gorge. Là, c’était fini pour elle.
Enrique retourna derrière la chariot. Le pillard survivant commençât à hésiter, puis s’enfuit carrément. A la grande surprise du cantinier, Louisia bondit par dessus le chariot, pleine de rage, en hurlant des calomnies et poursuivit l’ennemi jusqu’à l’abattre.

Georges parla :
-On s’en est pas mal tiré. Mais ceux là n’étaient pas très coriaces par rapport à ceux qu’on peut voir des fois.
Enrique réagit en palissant et répondit d’une petite voix :
-Ah bon ?
Le grand brun hocha la tête gravement.
-Les dangers des Terres Dévastées, vous savez... Bon, allons voir si ils ont quelques petites choses intéressantes. On partagera.
L’ancien habitant d’abri nota soigneusement la description des Raiders sur son Pip-Boy tout en se dirigeant vers les cadavres. Il prit la truelle sur la femme, ce pouvait être un outil utile. Cette femme avait également sur elle, une boite de cachets nommés Mentats, et une seringue remplie d’un liquide inconnu.
Sur les autres corps, il prit un des deux fusils (dont il ne connaissait pas la nature) et deux boites de munitions. Il récolta aussi une bouteille d’eau. Il en but en peu.
Les Crimsoniens prirent le reste des possessions.
Par chance, la vache à deux têtes («Brahmine» comme disait les autres) n'était pas touchée et ils purent reprendre la route sans encombre.

Sur la suite du trajet, le centre Américain posa plusieurs questions :
-C’quoi ces cachets ?
-Une drogue douce qui renforce le charme et les capacités cérébrales.
-Et c’te s’ringue ?
-Et bien surement une autre drogue, mais je ne saurai pas vous dire de quoi il s’agit.
-Et vous connaissez c’te arme ?
-On n’est pas expert en armes, alors non.
Il continua de noter les informations dans son journal de bord.

La petite blonde prit ensuite la parole :
-Bon, je vais vous donner un petit conseil. Soyez respectueux envers Bryant, il ne se laisse pas marcher sur les pieds.
-Il est aussi très charismatique, HEIN LOUISIA ? enchérit Georges.
Cette dernière ne répondit pas et baissa le tête en rougissant. Georges s'esclaffa.

Une demi heure de silence plus tard, le petit groupe arrivait devant le quartier local de la Crimson.

Après que la vigie ait ouvert la grande porte, les marchands et le cuisinier entrèrent à intérieur. George partit s’occuper de la Brahmine et du chariot tandis que Louisia l’amena au bureau du responsable.
-Bon, nos chemins se séparent ici. Nous ne partirons pas avec vous. Au plaisir de vous revoir !
Elle s’éloigna pour rejoindre Georges.
Enrique tapa à la porte, et un grand «Entrez !» retentit. Il entra.
Un homme en costume d’avant guerre, comme on en voyait sur certaines photos dans l’abri, très bien coiffé, déclara :
-C’est pour quoi ?
Enrique s’appliqua à bien articuler.
-Bonjour, je m’appelle Enrique Martinez je suis l’envoyé de San Unesco.
Immédiatement, un grand sourire qui sonnait faux s’afficha sur le visage de Bryant.
-Haaa oui ! Bonjour, bonjour ! Je suis Bryant, Adam Bryant, enchanté. annonça-t-il en lui serrant la main. Asseyez vous, je vous en prie.
Le cuistot prit un siège.
-Vous voulez à boire ? J’ai du whisky. Le voyage jusqu’ici ne devait pas être de tout repos, je me trompe ?
-J’accepte volontiers. En effet, des fous on voulu nous tuer.
-Oh, vraiment ? Je suis désolé de ce désagrément.
Bryant lui servi un verre de whisky et ajouta :
-Bon, parlons affaire. Mais d’abord, il faut que je vous montre la Crimson Caravan Company ! Vous n’allez pas commercer avec des quasi-étrangers tout de même !
Il fit mine de pouffer de rire.
-Venez, prenez votre verre et allons visiter ces locaux.
Ils firent le tour. Bryant présenta les principaux acteurs de ce lieu : les responsables de caravanes, le trésorier...Il montra les quartiers des hommes, ceux de femmes, les enclos à Brahmines tout en donnant d’amples explications sur la compagnie.
Ils retournèrent au bureau.
-Bien, maintenant que je vous ai expliqué, souhaitez vous conclure un accord ?
-Sûrement, surement. Je pensais peut-être à des caravanes d’eau et de nourriture. Nous n’avons ni pompe, ni puits, ni cultures... Et cela nous serait très utile pour nous étendre.
-Qu’avez vous à nous offrir ?
-Et bien...vous connaitriez un liquide noir s’appellant «pétrole» ?
-"Pétrole» ? J’ai lu dans un livre d’avant guerre que les gens de l’Ancien Monde s’en servait beaucoup, et c’est tout ce que je sais, mais nous n’en avons pas l’utilité.
-Et bien nous avons aussi beaucoup de ferraille, à récupérer dans notre ancien lieu de vie.
-Non...non plus. Écoutez, nous ne voulons pas laisser des gens mourir de faim et de soif (*perdre des clients plutôt* pensa Enrique), alors disons qu’on vous offre le premier chargement ! Ainsi vous aurez de quoi tenir le temps d’avoir une source régulière de revenus ! sortit Bryant.
-Et bien, rédigeons le contrat alors. L’offre me parait bonne.
Bryant tapa la page deux fois sur une machine à écrire. Il les relut, Enrique aussi. Ce dernier signa, après s’être assuré qu’il n’y avait pas d’entourloupe. Il signa par «San Unesco».
Bryan, en tendant une des copies à Enrique, dit aussi :
-Et en gage supplémentaire de notre bonne faveur, nous vous offrons une escorte jusqu’à chez vous !
-Merci bien. répliqua Enrique en s’autorisant un sourire.

Enrique ressortit de la Crimson. A l’entrée, un gorille à l’air idiot l’attendait.
«Ses muscles ont du bouffer son cerveau à lui. Tiens, bouffer du cerveau, faudra essayer ça sur les radcafards.» songea le chef, toujours prêt à penser cuisine.
-S’lut...Z’êtes le type de Sane...San...Unesco ?
-Oui ç’bien ça.
-J’dois vous z’amner dans vot’taudis.
-...Alons y alors...
L’amoire à glace ne fit aucun commentaire de tout le trajet. Même après avoir éliminé (à coup de matraque) deux gros insectes volants qui lançaient des dards, et qui ressemblaient vaguement à des mouches radioactives croisées à des guèpes dans le même état.. Enrique arracha la tête des cadavres, et les accrocha à sa ceinture. C’était peut-être comestible ? Il n’osa pas le demander, de peur que le garde devienne fou après un effort de réflexion.

Le reste du trajet se déroula sans rien d’autre de notable. Quand ils arrivèrent, l’escorte fit demi tour sans même dire au revoir.

Enrique se dirigea vers la tente du Superviseur et fit son rapport :
-Re-b’jour m’sieur l’Superviseur.
Ce dernier leva le nez de ses papiers et annonça, sur un ton d’indifférence notable :
-Re-bonjour le Mexicain. (c’était son surnom ici)
-J’ai accompli ma mission. Je suis allé voir la CCC et ai conclu un accord avec eux.

• Il sort le contrat et le tend. Le Superviseur l'examine attentivement.*

-Bien, ça ira pour le moment. Mais on pourra encore le dévellopper par la suite.
-J’ai aussi noté quelques infos sur l’Extérieur. J’les transfère sur vot’ Pip Boy ?
-Allez y.
L’opération faite, Enrique ajouta aussi :
-Et j’ai trouvé un peu’d’matériel. J’en fais quoi ?
-Donnez le au village. Et n'oubliez pas votre récompense.
-Bien. Merci.

Enrique sortit et se rendit à le tente logistique, en se disant qu’une arme à feu, au final, ne lui serait pas très utile, il ne savait pas s’en servir. Il donna la bouteille d’eau pas encore entamée, le fusil (qui se révela être un fusil Springfield), la truelle et les Mentats.
En revanche, il garda la seringue (il fallait d’abord savoir de quoi il s’agissait) et les insectes pour les cuisiner.

[HRP]Je rajoute un Springfield et 2 chargeurs, des Mentats et une truelle à l’inventaire.
En ce qui concerne ce que contient les chargement de la Crimson, je laisse pparlement voir ça, sauf si tu veux que je le fasse.

Maintenant que j'ai finis cette mission, je m'en vais (pour la journée je pense)[HRP/]

Bon, j'aimerai vous demander une faveur, c'est de marquer dans un post se que vous avez utilisé depuis le début de ce jeu et se que vous avez ramené(sauf la caravane de la CCC)

Nous allons refaire vivre ce topic!

Pardon du double, mais moi j'ai juste ramenée un coyote pour mangé.

Skaraher, ton perso aurais pas la perk "Terres Dévastées du Monty Python" par hasard ?

Et moi j'ai ramené un Fusil Springfield et deux de ses chargeurs, une boite de Mentats, deux ragouts de mouche bouffie. (et une bouteille d'eau mais ça compte que pour le RP, comme il n'y pas de nombre précis de rations)

Et j'ai enlevé un PPSH, un chargeur Camembert et 4 chargeurs normaux. (ma récompense de mission)

Et j’ai aussi retiré une ration de viande de rataupe !
Petit texte hors mission :

Après toute cette marche, Enrique était éreinté. Il se rendit dans la tente où il logeait. Il était contrait à la partager avec trois autres personnes, mais à ce moment là, elle était vide. Les autres devaient surement vaquer à leurs occupations.
Il posa sur son lit de camp son petit sac de toile qui contenait ses maigres possessions.
Il mangea tranquillement la viande de rataupe et finit la bouteille d’eau. Voilà. Tout ce qu’il lui restait était ses habits et son couteau de cuisine (qui avait déjà fait une victime !).
Il fit le bilan de sa journée, bilan positif. *Ça y est, j’ai accompli quelque chose !* pensait-il sûrement.

Bien que fatigué, le cantinier voulait faire encore autre chose d’utile ! Il songea donc à faire...ben, heu...de la cuisine.

• Des épices !* Oui c’est vrai que sans assaisonnement, les plats des Terres Dévastées n’étaient pas fameux.

Il se rendit alors à quelques mètre du village. De la végétation inconnue y poussait. Il ramassa des graines, des petits fruits, quelques fleurs. Puis devant un feu de camp, il fit chauffer tout ça pendant longtemps, pour éliminer un éventuel poison, une possible bactérie. Mais il fallait tout de même voir si tout ces végétaux étaient vraiment bons. Il les gouta un par un. La plupart étaient écœurants, infects et dégoutants. Mais les pétales d’une petite fleur violettes se révelèrent vraiment...divines. Il se mit en quête d’en récupérer d’autres. Il se constitua ainsi sa petite réserve assaisonnement, qu’il mit dans son sac en tissu.

Le nuit commençant à être vraiment noir, Enrique se traina tout de même vers son lit de fortune. En essayant de dormir, Le cuisinier eut l’idée que, dès son retour, il signalerait à Serge Tolbac que ces vaches bicéphales s’appelaient Brahmines, et qu’elle devait être délicieuses, et puis d’abord pourquoi c’était lui qui choisissais le nom...zzzz...

Quelqu'un vas chercher à manger?