Après un premier opus salué pour sa direction artistique chapeautée par les studios Ghibli, mais critiqué pour son game design et son gameplay antédiluvien, Ni No Kuni II : Revenant Kingdom devait convaincre alors qu’il perdait une partie de ce qui faisait la qualité de son prédécesseur. Un mission périlleuse, mais couronnée de succès.
Ni No Kuni II : Revenant Kingdom (16/20
Le jeune prince Evan perd son Royaume à cause d’un coup d’état, ce qui l’oblige à partir à l’aventure pour fonder un nouvel havre de paix. Une longue quête initiatique afin de devenir un vrai Roi aimé du peuple, qui envoie le garçon découvrir le Monde. Ni No Kuni 2 mélange à la fois les codes du J-RPG, de la gestion et du STR dans trois modes à la fois distincts et intrinsèquement liés. Peu à peu, vous fondez un nouveau Royaume tout en aidant vos sujets, qui a leur tour développent des capacités qui vous aident dans votre aventure. Bien plus dynamique que son prédécesseur, le titre du studio Level-5 est une réussite, même s’il faut faire avec quelques quêtes répétitives et une difficulté aux abonnés absents pendant la trame principale. Petit exploit, il s’offre aussi une direction artistique sublime malgré une implication bien moindre des studios Ghibli. Un succès, en somme !
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