Borderlands 3
Nous parlions de néons et d’apocalypse dans la récompense précédente, Borderlands 3 fait justement partie des amateurs du genre avec son post-apo baigné dans un cell-shading à la palette de couleur riche. C’est pourtant sur un autre point qu’il se distingue le plus, à savoir une légère propension à enchaîner les blagues au mieux très vaseuses, au pire de mauvais goût. Très solide sur ses bases - loot, nervosité des gunfights - et bourré de qualités, il se perd toutefois sur son écriture en demi-teinte qui parvient certes à amuser par un cynisme bien amené, mais peut également déclencher quelques facepalms lorsqu’elle s’acharne à nous bombarder d’humour tournant autour de nos fluides corporels ou… des moustaches. Et vous connaissez le dicton : après l’heure, c’est plus Movember.
■ Notre test de Borderlands 3
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