Les prémices de l’hiver offrent toujours l’occasion de récompenser les perles de l’année en repensant aux nombreux de titres de qualité qui l’ont parcourue. Meilleur jeu, meilleure bande-son, classement par genres et autres récompenses bien connues émaillent ainsi les colonnes des sites et magazines spécialisés, y compris le nôtre.
Depuis quelques années, nous vous proposons donc un autre type de récompenses, moins classiques. S’y côtoient ici des titres aux propriétés curieuses, aux incohérences qui peuvent faire sourire, ou plus simplement les mauvais élèves que nous avions envie de taquiner une dernière fois avant de refermer la page de l’année 2019. Le tout sans se prendre au sérieux, mais en gardant pas mal de légèreté et un peu de mauvaise foi.
Sommaire
- Le jeu ou tu peux tout détruire, même le CD et c'est peut-être une bonne idée
- Le jeu qui te prouve que les décors de bureau, c'est pas que pour les Walking Simulator
- Le jeu qui aurait dû être sponsorisé par une entreprise de travaux publics plutôt que par Monster
- Le jeu qui est plus proche d'un rassemblement "Star 80" que de la reformation des Guns'n Roses
- Le jeu ou tu es du côté du bien, mais tu extermines quand même toute la faune locale
- Le jeu ou le chaos règne, mais y'a des néons et des couleurs donc c'est cool
- Le jeu dont les joueurs ont grandis, mais pas l'humour
- Le jeu dans lequel les rats ne sont plus en bas de la pyramide du bestiaire
- Le jeu qui rend les russes beaucoup moins drôles que dans les vidéos YouTube
- Le jeu dont les ennemis sont de gros fainéants
- Le jeu dont on n'aurait pas osé faire le Press Tour, par peur de finir en prison
- Le jeu qui a claqué la moitié de son budget en Botox pour les PNJ
- Le jeu que tout le monde confond avec The Outer Worlds
- Le jeu auquel les français n’ont pas joué car ils sont nuls en anglais