Biographie

Gamin, j’avais deux passions : les jeux vidéo et l’écriture. Je me suis juré dès le primaire qu’un jour, j’arriverais à vivre de ma plume. Au lycée, j’ai gratté mes premières chansons sur un coin de table et, par chance, ça a bien marché pour moi. Après avoir roulé ma bosse dans le milieu de la musique, j’ai souhaité me réorienter vers un boulot plus classique. Ma seule contrainte : je veux, encore et toujours, écrire, partager des choses. Le métier d’artiste mis à part, il n’y a pas 36 000 boulots qui respectent cette contrainte. C’est donc tout naturellement que je suis devenu journaliste.

Alors pourquoi la tech ? Pour quelqu’un qui possède un master de recherche en sciences humaines, ça n’a a priori pas beaucoup de sens, c’est vrai. Sauf que souvenez-vous : j’ai toujours été un gros joueur et j’ai fait beaucoup de musique. Dans le gaming comme dans le son, on a les fesses posées devant des machines à peu près toute la journée. Ajoutez une bonne grosse dose de curiosité à cet état de fait et vous avez un petit bonhomme qui adore chercher à comprendre comment toutes les machines qui l'entourent fonctionnent.

Vers la fin de l’année 2018, je suis tombé sur… un tweet. JV recherchait un rédacteur qui connaissait sur le bout des ongles un certain jeu mobile. Coup de bol, j’étais assez bien classé sur ce jeu. J’ai donc proposé mes services et puis, voilà, ça l’a fait. Au fil des mois et des années, JV m’a confié de plus en plus de responsabilités. J’ai rédigé pas mal de soluces, gratté quelques tests et news jeu, posté énormément de tweets et posts Insta sur les comptes de l’entreprise… bref, j’ai longtemps été une sorte de freelance couteau-suisse pour toute la boîte. Lorsque JVTECH a vu le jour, on m’a proposé un post. J’ai dit oui. On en est là.

Expertises

Mon premier amour, c’est le son. Quand on navigue dans le monde de la musique pendant quelques années, on a vite envie de décortiquer ce qui se trouve à la racine de tout : le son. Comment comprendre une courbe de réponse en fréquences ? Qu’est ce qui fait qu’un casque est bon ou mauvais ? Ces questions m’ont intéressé assez jeune, donc j’ai creusé.

Vient ensuite l’image. Lorsque j’ai acheté mon premier téléviseur avec mes sous en 2020, je suis tombé dans un drôle de rabbit hole. La technologie OLED m’a mis une claque et, à partir de ce moment, j’ai voulu tout comprendre. Qui construit nos écrans ? Comment ? Qu’est-ce qui le rend compatible ou non avec telle ou telle norme HDR ? Pourquoi mon jeu est plus beau et plus fluide sur cette dalle plutôt que sur celle-ci ? Aujourd’hui, je crois bien que ma passion pour les écrans a égalé ma passion pour le son. Au moins.

Plus récemment, je me suis intéressé au fabuleux monde de la domotique. Au début, je pensais que ce genre de produit était parfaitement inutile. Puis… j’ai acheté des ampoules connectées… et me voici plongé dans une nouvelle spirale de tech. Aujourd’hui, je m’extasie devant le nombre de Pascal d’un aspirateur robot. On en est là.

En bref

iOS ou Android ? : J’ai toujours été team iPhone pour l’écosystème et l’ergonomie, mais iOS 18 m’a un peu dégouté.

PC ou Mac ? : Mac, parce que je ne joue pas sur PC et que devoir appuyer sur Alt+144 pour écrire “É” me rend fou.

Un objet indispensable au quotidien : Mes écouteurs. La réduction de bruit active m’a un peu changé la vie et je me vois mal revenir en arrière.

Un moyen de transport : Je suis un parisien détestable : je prends le métro.

Une application : Philips Hue ! Les ampoules connectées sont les objets tech les plus sous-cotées. Je persiste et je signe.

Un film : Ponyo sur la Falaise. J’ai du mal à savoir pourquoi, mais ce film me touche au plus profond.

Un jeu vidéo : Le jeu de ma vie : Dofus. Je suis de cette génération qui a passé trop de temps à farmer le dj Blop, et ça me suit encore.

Un centre d’intérêt scientifique : J’ai étudié les sciences humaines et je suis prêt à les défendre face aux adeptes des sciences dites “dures”.

Une technologie qui fait rêver : Quand j’étais gamin, je me croyais intelligent en disant que je ne comptait pas passer mon permis parce qu’il y aurait des voitures autonomes partout avant mes 30 ans. J’attends toujours.

Un souvenir d’enfance : Quand j’ai reçu ma (ou mon, je m’en fiche) Game Boy à 5 ans avec Pokémon version Jaune… en espagnol.