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Test Ghosthunter

Ghosthunter : Cimetière

3 253 vues
Profil de Logan,  Jeuxvideo.com
Logan - Journaliste jeuxvideo.com

Vous avez peut-être à l'heure actuelle entendu parler de comparaisons entre Ghosthunter et Silent Hill ou Resident Evil. Si le titre de SCEE Cambridge peut très bien être catalogué comme un survival horror, je pense pour ma part que Ghosthunter ne joue pas dans la même catégorie que les deux titres susnommés qui eux aussi prenaient des chemins totalement différents quoi qu'on en dise. Le soft de Sony emprunte donc une autre voie pour alpaguer le joueur et si plusieurs défauts entachent le résultat final, nous avons malgré tout affaire à une expérience riche en sensations où le son pourra être apparenté à l'essence faisant tourner cette machinerie de pixels.

Ghosthunter

Pour ne rien vous cacher, certaines critiques que j'ai pu lire sur le soft de Sony m'ont profondément agacé. Certaines mettaient en avant le fait que le soft ne parvenait pas à effrayer le joueur, d'autres des problèmes de gameplay (ce qui est juste soi dit en passant), d'autres encore ne pouvaient s'empêcher de comparer le soft à Silent Hill 3… Soyons clair, Ghosthunter ne joue pas dans la même cour que Silent Hill qui lui-même parvenait judicieusement à s'écarter du hit de Mikami Shinji pour explorer des horizons beaucoup plus torturés où le joueur ne pouvait s'empêcher de réfléchir tout en parcourant le soft. En attendant un Biohazard 4 qui devrait donner un souffle nouveau à la saga et en croisant les doigts pour que Silent Hill conserve toujours cette énergie (maléfique) qui est en chacun des segments qui est parvenu jusqu'à nous à ce jour, Ghosthunter fait office d'oeuvre bien construite, ayant bénéficié de beaucoup de soins et qui devrait retenir le joueur une fois celui-ci plongé dans l'aventure.

Ghosthunter
Une ambiance toute en nuances.
Ce qui saute aux yeux quand on parcourt ce titre, c'est qu'il a été développé par les mêmes équipes que Primal. Alors que les univers différent, on retrouve malgré tout une architecture similaire, la même armature, le même squelette autour duquel le jeu a pris forme. Des énigmes au graphisme en passant par le scénario bien pensé (avec tout ce que cela implique de révélations), Ghosthunter renvoie constamment à Primal. Mais si le dernier bébé de SCEE prend le meilleur de l'ancien jeu de Sony, il hérite malheureusement du pire, à croire que le tout faisait office de véritable bundle : A prendre ou à laisser. Mais pour être franc avec vous, et même si je suis on ne peut plus conscient des gros défauts de Ghosthunter, je n'ai pas pu m'en détacher, passant nuit blanche sur nuit blanche pour poursuivre ce titre, qui semblait m'appeler, me susurrer de relancer ma PS2 pour venir le retrouver, comme si un chant de sirène troublant, profond, hypnotique, avait enveloppé mon esprit.

Ghosthunter
Utilisez votre vision infrarouge pour localiser plus facilement les fantômes.
Tout d'abord, ce qu'on ne peut enlever à Ghosthunter, c'est bien son originalité, dans son approche, son ambiance (fabuleuse) et ses rencontres. Vous allez jouer le rôle de Lazarus Jones, un flic au nom prédestiné, qui pour son premier jour de travail dans la police de Detroit va se retrouver confronté à des événements défiant l'entendement. Sa partenaire et officier supérieur, Anna Steele, se verra kidnappée par un fantôme répondant au nom de Lord Hawksmoor et à partir de là Jones n'aura de cesse de retrouver la trace de sa partenaire guidé qu'il sera par un mystérieux ordinateur. Ce dernier, en plus de lui remettre un équipement destiné à capturer toute sortes d'ectoplasmes lui prodiguera bon nombre de conseils, lui en apprendra davantage sur une histoire qui remonte à des temps immémoriaux et lui ouvrira des portails dimensionnels qui permettront à Lazarus de mener à bien son enquête. Si au premier coup d'oeil le jeu suit une trame pour le moins éculée puisque s'appuyant sur un classique sauvetage de princesse par son preux chevalier, Ghosthunter a bien d'autres ambitions et c'est environ après 7, 8 heures de jeu (en gros avant d'arriver dans le bateau fantôme) que quelques révélations viendront pimenter le tout pour faire décoller l'histoire, dont je me ferai un malin plaisir de ne rien vous dévoiler ici, ne voulant pas vous gâcher le plaisir de la découverte.

Ghosthunter
S'il vous attrape, il vous mange, ce qui serait tout de même dommage.
En parallèle de l'histoire, Ghosthunter est définitivement un jeu d'ambiance et là le travail des développeurs/scénaristes est tout simplement prodigieux. Avant tout si vous recherchez un jeu où l'action prédomine, vous pourrez être déçu. Certes les combats sont nombreux mais entrecoupés de longues plages de repos qui seront caractérisées le plus souvent par des « promenades » dans les vastes niveaux qui composent le jeu. Je pense vraiment que le tout sera question de feeling, certains n'aimeront pas, d'autres se délecteront. J'ai choisi mon camp, à vous d'en faire autant. Ce qui est certain par contre c'est que SCEE a tout compris à la manière de faire monter l'angoisse ou du moins de réveiller des sentiments comme le doute, la plénitude, la sérénité, l'ennui (dirons les mauvaises langues ! ! !). Alors que le jeu est découpé en cinq grandes étapes (les marais/l'école/le bateau fantôme/la prison/la base militaire), on ne cesse de s'émerveiller en passant par des décors très différents au sein d'un même niveau. Les marais est l'exemple le plus flagrant, vous faisant traverser une ville fantôme très Nouvelle-Orléans, des grottes humides, une mine désaffectée, une maison délabrée, etc.

Ghosthunter
Astral cache un grand secret mais se veut une alliée précieuse.
L'autre point fort du jeu est ses références évidentes au 7eme art. Pèle mêle on citera Avalon (pour les teintes Sépia des marais), Massacre A La Tronçonneuse (en rapport à la famille d'autochtones rencontrés au début du jeu), Psychose, Nuit De Terreur, Shocker, Robocop, The Frighteners alias Fantômes Contre Fantômes de monsieur Peter Jackson ou bien sûr Ghostbusters dont le jeu puise énormément d'idées (du conteneur à fantômes au look des hurleurs…). Alors, oui, nous n'aurez pas souvent peur en jouant à Ghosthunter mais il y a définitivement un « je ne sais quoi » propre à ce titre qui irradie votre écran quand vous vous y essayez.

Ghosthunter
Dans le feu de l'action, viser un ennemi devient vitre problématique.
Cela tient bien sûr à la beauté de plusieurs décors et même si le jeu baisse un peu en qualité, ou du moins en recherche graphique au fur et à mesure qu'on avance, Ghosthunter est un jeu superbe avec moult effets de lumière. Ceci dit il faut aussi voir que les graphistes ont d'entrée de jeu posés les bases du soft avec l'environnement des marais qui vaut tout le reste du jeu à lui seul. Les couleurs diffuses sont, comme je le disais plus haut, dignes du chef-d'œuvre de Oshii Mamoru, et si on peut se dire que les bâtiments auraient pu être plus détaillés, on aura tôt fait de ne plus y penser happé que nous serons par l'ambiance magique de cet endroit. Par la suite on tombe un peu plus dans le conventionnel même si plusieurs angles de caméra bien pensés rendront l'aventure plus cinématographique que jamais. Le look des monstres est lui aussi très recherché et tout comme les graphismes, quelques fantômes vous feront glousser de plaisir, le monstre des marais en tête, Hawksmoor, alors que d'autres auront un air de déjà-vu (les revenants de base, les hurleurs, les esprits frappeurs). Pour finir là-dessus, citons aussi des visages plutôt détaillés et quelques petits détails qui font toute la différence comme les douilles de votre arme de base qui, une fois tombées sur le sol, ne disparaîtront pas.

Ghosthunter
Affaiblissez vos ennemis avant de les emprisonner.
Mais si il y a une chose qui m'a marqué dans Ghosthunter c'est bien la bande-son. A ce jour j'ai rarement entendu quelque chose d'aussi peaufiné. Plutôt que d'effrayer ou d'agresser, les musiciens ont décidés de créer des thèmes d'ambiance collant parfaitement avec l'esprit du jeu. On se retrouve ainsi avec une bande-son proche de celle d'un Millennium, d'un X-Files où de simples notes peuvent véhiculer une idée, un sentiment ou annoncer un ennemi. Plus surprenant est le fait de trouver de très nombreux thèmes au sein d'un même niveau et bien plus encore sur l'ensemble du jeu. Une telle variété pour un « simple » survival n'est pas courante et on pourra presque parler de Ghosthunter en temps que survival sonore. Tout ceci est d'ailleurs renforcé par des bruitages réalistes ou exubérants en fonction de l'arme choisie (du Glock 17 en passant par le fusil à pompe, le lance-grenade, le lasso spectral, le fusil de sniper…) et un doublage très professionnel même si certaines répliques de Vincent Cassel sonnent un peu trop théâtrales par moment.

Ghosthunter
Prenez votre temps pour localiser vos adversaires.
Mais alors que le titre était candidat à un bon 18/20, il a fallu que SCEE nous flanque une fois encore, tout comme dans Primal, un gameplay qui a contre lui de très gros défauts, et là franchement je rage rien qu'à écrire ceci !! Ce n'est pas tant la difficulté du soft qui est à mettre en cause puisque de nombreux check-point émaillent le jeu et des réserves d'énergie spectrale vous redonnant du tonus se trouvent toujours aux bons endroits mais bel et bien le contrôle de Lazarus quand ce dernier passe en mode Attaque qui est sujet à de nombreuses critiques. Si je n'en ai pas encore parlé, vous pensez bien malgré tout que notre héros ne va pas rester les bras croisés au cours de l'aventure en cueillant des pâquerettes. Il va ainsi devoir se défaire des nombreux fantômes qui entraveront sa route. Pour se faire, rien de plus simple, enfin si je puis dire. Vous devrez dans un premier temps tirer sur votre ennemi pour que celui-ci s'affaiblisse puis lui jeter une grenade spectrale qui l'aspirera et l'emprisonnera par la même occasion. Chaque ennemi étant plus sensible à tel ou tel type d'arme (à balle réelle ou spectrale) vous devrez jongler entre vos fusils via un menu d'action rapide pour plus d'efficacité. Enfin, une fois anéanti, vos adversaires laisseront derrière eux des sphères d'énergie servant à recharger certaines de vos armes, ou à remonter votre barre de vie.

Ghosthunter
Skynet contre-attaque.
Si dans le principe c'est très accessible, même si vos ennemis sont intelligents et ne se priveront pas pour se cacher, ça devient vraiment très compliqué de diriger Lazarus en pleine action. En fait vous devez utiliser les deux sticks, celui de gauche servant à faire bouger le personnage et celui de droite à viser. Si contre des ennemis massifs c'est très simple, contre des ennemis volants ou quand vous êtes pris en tenaille c'est atroce d'autant que la caméra se plante parfois derrière le personnage et vous empêche de voir qui vous tire dessus. Rajoutons à ceci que votre personnage ne peut que marcher en mode Combat, qu'il ne peut effectuer de roulades pour éviter les tirs et vous comprendrez le problème de ces affrontements. Pire, certains monstres n'étant visibles qu'une fois entourés de fumée, vous devrez donc utiliser dans un premier temps votre lance-grenade, asperger la pièce de fumigènes, passer en vue subjective, utiliser votre vision infrarouge pour mieux situer le fantôme, le viser et lancer sur lui une grenade paralysante. MAIS ce n'est pas tout, puisque le plus souvent, l'ectoplasme s'enfuira ce qui vous obligera à revenir en mode à la troisième personne, à courir derrière lui puis à repasser en mode Attaque pour lui tirer dessus à nouveau. C'est faisable, très faisable même mais dieu que c'est crispant, peu intuitif et bien trop lourd à gérer.

Ghosthunter
Un fantôme crocodile mutant. Eh oui !
On retrouve aussi quelques problèmes de maniabilité avec Astral, l'entité habitant votre corps. C'est une fois déniché un cercle magique que vous pourrez faire sortir la jeune femme de sa tanière et la diriger. Cette dernière acquerra des capacités à mesure que vous avancerez et vaincrez des fantômes et grâce à ses attributs elle sera à même de résoudre plusieurs énigmes, ouvrant par là-même la voie à Lazarus. L'astuce c'est qu'en tant que fantôme, Astral pourra flotter dans les airs mais ce mode de déplacement n'est pas vraiment aisé, Astral ayant tendance à avancer très lentement et la maniabilité n'étant jamais vraiment convaincante, le personnage étant trop pataud. L'idée reste bonne, quelques énigmes étant à ce titre intéressantes par le fait de combiner les talents des deux héros mais une fois de plus un gameplay hésitant viendra faire de l'ombre à cette trouvaille.

Ghosthunter
Astral a beau être un esprit, elle bénéficie d'un physique avantageux.
Voilà, maintenant c'est à vous de voir. Si vous vous fiez à la note générale (qui tient compte des défauts du titre), vous pourrez vous poser des questions sur la valeur de Ghosthunter, c'est sûr. J'ai pour ma part fait mon choix et rien que pour l'ambiance dégagée par le soft, son incroyable bande-son, son scénario ne cherchant point à plagier Resident Evil ou Silent Hill, et son esthétique raffinée, j'estime que le titre de Sony mérite toute votre attention. Je finirai en adressant une grande gifle à SCEE, gifle qui exprimera toute ma frustration de ne pas avoir eu entre les mains un titre majeur, sans réels défauts venant amoindrir le plaisir de jeu. Diantre messieurs les programmeurs, vous aviez là un matériau admirable, comment avez-vous pu laisser passer un tel manque au niveau du gameplay ? ! ! ! Croisons les doigts pour que vous en tiriez les leçons qui s'imposent…Vous avez beaucoup de talent, faites en sorte de ne pas le brider.

Les notes
  • Graphismes17/20

    Si l'aventure commence magistralement dans des marais de toute beauté, la suite est un peu plus classique d'un point de vue environnemental. Nous avons malgré tout affaire à un soft classieux, avec des angles de caméra élaborés, un design d'ensemble fort convaincant (renvoyant à de nombreuses oeuvres cinématographiques), certains monstres surprenants et surtout une atmosphère à tomber par terre. L'action laisse souvent à sa place à des silences induisant la contemplation et franchement c'est si reposant qu'on ne peut qu'apprécier. Notez que vous pourrez jouer aussi bien en 50 qu'en 60 Hz et que le soft gère le progressive scan.

  • Jouabilité12/20

    On ne peut reprocher grand chose aux angles de caméra très étudiés lors du déroulement de l'aventure mais dès qu'on passe en mode Combat, c'est autre chose. Lazarus ne peut courir, ne peut faire de roulades et c'est assez laborieux de diriger le personnage avec les deux sticks. Les combats deviennent pénibles, surtout quand il s'agit d'affrontements contre des ennemis véloces, et on rage souvent devant cette maniabilité perfectible à souhait. Le contrôle d'Astral n'est pas non plus un modèle du genre.

  • Durée de vie14/20

    De nombreux points de contrôles vous éviteront de reprendre tout à zéro si vous n'avez pas sauvegardé et la difficulté du jeu est parfaitement dosée. Les combats sont difficiles de par le gameplay mais on tombe toujours sur des réserves d'énergie quand le besoin s'en fait sentir. Les énigmes sont plus complexes que celles d'un Biohazard mais bien moins ardues que celles d'un Silent Hill. Comptez environ sur une quinzaine d'heures pour terminer l'aventure.

  • Bande son18/20

    Les doublages français collent très bien aux personnages et alors que certaines répliques de Vincent Cassel sont un peu trop théâtrales, notre Jean-François De Morangias à nous s'en est très bien sorti pour sa première collaboration à un doublage de jeu vidéo. Les bruitages sont bien adaptés et les nombreux thèmes musicaux sont sidérants tant ils amènent une atmosphère magnifique propre à chaque endroit traversé. Vous trouverez ainsi des ambiances World Music, des chants grégoriens, des musiques plus orchestrales, de sonorités très Nouvelle-Orléans, de thèmes discrets mais bien présents supportant des passages plus intimistes, et bien plus encore. Les goûts musicaux sont on ne peut plus subjectifs mais on ne peut nier que Ghosthunter a profité de beaucoup de soins à ce niveau.

  • Scénario15/20

    Le scénario est beaucoup plus fin et ambitieux qu'on ne peut le penser au premier coup d'oeil. Quelques révélations arriveront en milieu d'aventure et on saluera une fois encore, après Primal, le travail des scénaristes. Enfin, si le jeu s'accapare beaucoup d'idées issues de Ghostbusters, cela ne l'empêche pas de nous narrer une histoire qui, à défaut d'être effrayante, n'en est pas moins envoûtante.

J'en veux vraiment aux développeurs de m'obliger à ne mettre qu'un petit 15/20 compte tenu que le titre m'a vraiment beaucoup plu. Mais puisque tout ceci est propre à ma personne, je ne peux mettre davantage compte tenu des gros défauts du gameplay qui rebuteront à n'en point douter bon nombre d'entre-vous. Mais si vous parvenez à surmonter cette maniabilité très irritante, qui rend les combats laborieux, vous aurez entre les mains un jeu passionnant, soutenu par des graphismes ravissants, une histoire bien construite, une ambiance envoûtante et surtout une bande-son digne des plus grands. Un vrai survival sonore que ce Ghosthunter ! ! A écouter et à déguster sans modération.

Note de la rédaction

15
16.8

L'avis des lecteurs (22)

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