Emboîtant le pas à Gunslinger Joe et l’Agent Silent Death, c’est au tour du capitaine Wilkins de chasser le nazi dans ce troisième et dernier DLC de Wolfenstein II. Et oh surprise, la construction est similaire à celle de ses prédécesseurs et récupère de ce fait les quelques qualités des précédents contenus cependant aussi, malheureusement, ses défauts.
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Wolfenstein II : Freedom Chronicles - Les Exploits du Capitaine Wilkins
Far Cry 5 est-il l’épisode du renouvellement ? La question mérite d’être posée après deux opus certes dépaysants, mais qui peinaient à se démarquer d’un Far Cry 3 ayant posé les nouvelles bases de la série. Bonne nouvelle, Far Cry 5 compte justement dépoussiérer l’ensemble en revoyant ses fondamentaux, tout en gardant son style narratif atypique. Suffisant pour en faire le nouveau roi de la saga de FPS d’Ubisoft ?
Il n’y a décidément pas de fin à la fin des temps ! À peine nettoyés des éclaboussures sanglantes des Skavens découpés par dizaine, nos cinq vaillants héros remettent le couvert pour une nouvelle série de missions sous le regard bienveillant du dieu Sigmar. Avec Warhammer : Vermintide 2, le studio Fatshark n’entend pas révolutionner la formule bien rodée du premier épisode : on tranche à tout-va, on serre les dents à de nombreux moments et on se régale toujours autant face à la frénésie brutale d’une expérience à partager idéalement entre amis et en vocal. Le temps de me débarbouiller des traces encore fraîches de combat et je vous explique ce qui fait le charme de cette suite.
Lorsque Turok 2 est arrivé sur Nintendo 64 à la fin de l’année 1998, il était l’un des plus beaux jeux de la machine grâce au nouvel Expansion Pack lui permettant de ne pas se sentir trop à l’étroit. Il faut avouer que pour cette suite, Acclaim avait vu les choses en grand en délivrant plus d’armes, plus de monstres, de vrais objectifs et un mode multijoueur. Considéré comme étant le meilleur épisode de la série auprès des fans, Seeds of Evil griffe aujourd’hui la Xbox One après avoir ouvert la porte du PC. S’il y a bien des dinosaures dans ce parc à dinosaures, il reste à vérifier si cette réédition tient plus du Rex que de la rixe.
Toute cette histoire a commencé avec DayZ. Ce mod reposant sur Arma II, paru en 2012, apportait avec lui une idée toute simple : survivre. Face à la nature, les zombies et tout simplement, les autres joueurs. Avec son succès colossal, ce concept a rapidement été repris par une horde de développeurs bien décidés à lui apporter la petite touche qui fera la différence. En décembre 2013, le studio Facepunch rendait sa copie, ou plutôt son brouillon, avec l’Early Access de Rust. Quatre ans plus tard, nous voici face à la version définitive qu’il est grand temps d’ausculter.
Avant de venir gonfler les rangs des oubliés de la playhistoire malgré un reboot sorti en 2008, Turok a fait les beaux jours de la Nintendo 64 à la fin des années 90. Surfant sur la dino-mania lancée par Jurassic Park, le titre édité par Acclaim mélangeait dinosaures, gros flingues et hémoglobine à foison. C’est pourtant la bande dessinée qui a vu naître le chasseur indien. Après un premier portage “HD” sur PC, Nightdive studios déterre de nouveau les ossements du projet pour les exposer cette fois-ci sur Xbox One. Dans la jungle, terrible jungle, tout le monde vous entendra tirer.
Voilà cinq ans que les braquages, les mises à jour et les sorties sur de nouvelles machines s’enchaînent sur PayDay 2. PlayStation 3, Xbox 360 puis, PlayStation 4, Xbox One, le casse se poursuit désormais avec la sortie du jeu sur Nintendo Switch. Si la récente réussite technique du portage de Doom sur la dernière console hybride de Nintendo démontre qu'il est tout à fait possible de livrer de bons portages de titres que l'on ne pensait pas taillés pour la Switch, le "Braqueur Simulator" d’ Software nous ferait penser le contraire. Pas forcément très beau, peu maniable et surtout amputé de ses fonctionnalités de communication entre joueurs, Padyday 2 Switch est loin d'être le casse espéré...
Après un premier DLC qui n'avait pas vraiment convaincu, Wolfenstein II s'offre une seconde extension s'inscrivant toujours dans le cadre de ses Freedom Chronicles. On troque ici le footballeur Joe contre la belle espionne Silent Death. Mais au delà du changement de héros et d'une ambiance plus «feutrée», que nous offre vraiment cette nouvelle aventure ?
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Wolfenstein II : Freedom Chronicles - Les Carnets de l'agent Silent Death
Après une sortie fracassante au mois d’octobre et des retours très positifs (si l’on oublie les serveurs fragiles au lancement et l’optimisation PC limitée), Call of Duty : WWII nous revient en ce début 2018 avec un premier DLC du season pass, dédié à la Résistance. Voyons donc ensemble ce que cela nous réserve…
En fin d'année 2015, Ubisoft ressuscitait la licence Rainbow Six et la transformait par la même occasion en shooter multijoueur, principalement axé sur le jeu en ligne. Malgré cet important changement et un contexte difficile lors de sa sortie, Tom Clancy's Rainbow Six Siege a fait son petit bonhomme de chemin... jusqu'à devenir l'un des plus gros jeux d'Ubisoft. Alors forcément, deux ans après son arrivée sur les étals, il fallait que l'on se penche à nouveau sur son cas. Autant vous le dire, entre-temps R6S a bien bu sa soupe et il est devenu un sacré gaillard.
Mieux vaut tard que jamais, dit-on. Voilà un adage qui s'applique somme toute assez bien à ce test de Robo Recall, sorti dans le courant du mois de mars 2017 sur Oculus Rift et injustement passé sous silence dans nos colonnes. L'affront est désormais lavé et il est plus que temps de mettre en lumière ce très bon FPS en réalité virtuelle.
Expérience singulière imaginée et choyée par Battlestate Games, un studio russe basé à Saint-Pétersbourg, Escape From Tarkov défend une vision progressiste et exigeante du jeu vidéo. A l'image des nombreux jeux lancés en accès anticipé, ce FPS se dote semaine après semaine des moyens de ses ambitions via une longue phase de Bêta. Mais ce périple survivaliste est-il à l'heure actuelle à la hauteur des attentes des joueurs ? La promesse d'une aventure saisissante et sans concession est-elle tenue ? Réponse le souffle coupé et les mains tremblantes.
Que les amateurs du Loup-Garou de Thiercelieux et autres jeux sociaux où la parole a autant de poids que les actes se réveillent de leur torpeur : le jeu que nous vous présentons aujourd’hui a d’énormes chances de vous plaire. Sorte de mix improbable entre Friday the 13th et Town of Salem, sauce FPS, Deceit a de quoi séduire les foules et briser les amitiés…
Après The Elder Scrolls V : Skyrim VR et Doom VFR, Bethesda tire une dernière cartouche en poussant dans le grand bain de la Réalité virtuelle une autre licence phare de son catalogue, et pas des moindres, puisqu'il s'agit de Fallout 4. Disponible en exclusivité sur le HTC Vive, le titre post-apo, identique au jeu d'origine mais amputé de ses DLC, prend-il une nouvelle saveur une fois le casque VR coiffé et surtout, le portage réalisé justifie-t-il l'achat du soft au prix fort ?
Plus ancré que jamais dans le «cinéma d’action testostéroné», Les Aventures de Gunslinger Joe se situe dans la droite lignée de Wolfenstein II : The New Colossus, trop sans doute. Bien que l'idée de s’attarder sur trois personnages principaux à travers une Freedom Chronicle dédiée soit intéressante, on se rend rapidement compte des soucis que pose un tel concept ne serait-ce qu’en terme de construction ou d'absence de liens avec l’aventure principale et donc les personnages qu’on a suivi pendant plus de 15 heures.
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Wolfenstein II : Freedom Chronicles - Les Aventures de Gunslinger Joe
Trois mois après sa sortie, Destiny 2 accueille sa première extension. Autant dire que le studio Bungie n'avait pas intérêt à se louper puisque les fans hardcore de la série commençaient à trouver le temps long : malgré toutes ses qualités, Destiny 2 souffre d'un manque évident de challenge pour les vétérans et l'arrivée d'une extension était l'occasion rêvée de remettre les choses à plat. De donner de nouvelles raisons aux fans de relancer le jeu et de s'y plonger encore quelques centaines d'heures supplémentaires. Bref, de jouer à Destiny, comme beaucoup le font, non-stop, depuis 2014. On était sans doute trop optimiste.
Revenu des enfers en 2016, Doom nous avait convaincu par son action soutenue et l’ambiance graphique comme sonore démoniaque qui suintait de ses entrailles. Sa grande répétitivité et son level design un peu trop labyrinthique nous avait cependant quelque peu perdu. Le rejeton de Bethesda sonne aujourd’hui les trompettes de l’Apocalypse avec un épisode inédit spécialement dédié à la réalité virtuelle. Armes de pixels dans les bras mais casque bien réel vissé sur la tête, il n’y a plus qu’à vérifier si le billet vers les limbes ne se consume pas à petit feu.
En 2015, le studio DICE, à qui l'on doit la franchise Battlefield, s'attaquait à un monstre sacré en proposant aux fans hystériques Star Wars : Battlefront. Reboot d'une série de deux jeux très populaires chez les gamers amoureux de Star Wars, Battlefront fut sans surprise l'un des plus gros succès de l'année, quand bien même les critiques furent assez tièdes. Avec sa suite, DICE et Electronic Art avaient fort à faire, et se sont donné les moyens de leurs ambitions. On voyait donc mal comment Star Wars : Battlefront II pouvait être autre chose qu'un ''must-have'' absolu pour les fans de Star Wars. Et puis notre enthousiasme s'est pris une loot-box dans le genou.
À son lancement en 1993, Doom est immédiatement devenu un classique en inventant quasiment une formule à lui tout seul, celle du First Person Shooter. Si aujourd’hui ce genre est prépondérant dans l’industrie vidéoludique, force est de constater qu’il n’a plus grand-chose à voir avec ce que nous proposait id Software à l'époque. Pourtant, après un troisième épisode portant plus vers le style survival-horror, le studio texan a créé la surprise en annonçant DOOM, un reboot allant piocher dans les origines de la série. Il est donc maintenant l’heure de savoir si les développeurs ont réussi le pari de faire du vieux avec du neuf, s’il est toujours possible de séduire le public avec des mécaniques vieilles de plus de vingt ans.
Retour aux sources tant attendu, Call of Duty : WW2 nous propose de remettre les pieds sur terre l’espace d’un instant afin de revivre les sensations qui ont fait de la franchise un succès planétaire. Sledgehammer, qui avait amorcé avec succès le triptique futuristico-aérien grâce à Advanced Warfare, reprend donc les commandes de la saga cette année pour nous livrer un épisode maîtrisé de bout en bout, à la fois complet et prenant. Allez, on sait tous que le doux son métallique du M1 Garand vous avait terriblement manqué…