Derniers tests de jeux vidéo - page 192

Presque six mois après Kingdom Hearts 1.5 HD Remix, Square Enix nous propose un nouveau remake d'une de ses séries phares : Final Fantasy. Cette fois, ce sont les épisodes X et X-2 qui bénéficient d'un portage sur PS3, plus de dix ans après leur sortie. L'occasion pour l'éditeur, outre un lifting graphique et sonore réussi, de nous faire découvrir du contenu entièrement inédit jusqu'à présent en Europe. Et autant vous dire qu'il y a du lourd, du très très lourd !

Après s'être fait la main avec The Curse en 2012, le studio Mojo Bones est de retour avec 100 nouvelles énigmes. Ce n'est plus l'inquiétant Mannequin qui mène la danse, mais un vieux pirate bougon lancé dans une chasse au trésor.

Second couteau Nintendo préféré de nombreux joueurs, Yoshi vole parfois la vedette au bedonnant qui le chevauche quand il en a l'occasion. Yoshi's New Island vogue directement sur les eaux de Yoshi's Island avec un jeu de plates-formes à l'ambiance bon enfant. Mais 20 ans après, la magie opère-t-elle toujours ?

Si les jeux de réflexion et d'adresse sont si nombreux sur mobiles, c'est que le support se prête particulièrement bien au genre. Dès lors, il arrive fréquemment de tomber sur un titre qui ne paye pas forcément de mine mais qui nous scotche par un concept ultra simple. C'est le cas de TripTrap, un "petit jeu" bien décidé à mettre vos méninges sens dessus dessous en compagnie d'une souris affamée.

Sache, jeune joueur, qu'il existe une licence te permettant d'assouvir pleinement tes penchants masochistes. Avec la série des Souls, le jeu de rôle prend un malin plaisir à associer la notion d'immersion à celle de challenge. Maintenant tu es prévenu, tu vas souffrir et tu risques même d'aimer ça. Une fois que tu y auras touché, tu risques fort de trouver les autres jeux insipides. Ecraser la concurrence ne suffit pas, il faut aussi qu'une telle licence parvienne à se renouveler. La question est justement de savoir si le plaisir est toujours intact avec ce Dark Souls II.

Attendu comme le messie par beaucoup de joueurs un peu usés par les désormais classiques Battlefield et Call of Duty, Titanfall débarque en ce début d'année sur PC et consoles Microsoft. Si le jeu est clairement une grosse claque au niveau de son gameplay, le constat n'est malheureusement pas le même lorsqu'il est question du contenu ou de la durée de vie globale du titre.

Attendu comme le messie par beaucoup de joueurs un peu usés par les désormais classiques Battlefield et Call of Duty, Titanfall débarque en ce début d'année sur PC et consoles Microsoft. Si le jeu est clairement une grosse claque au niveau de son gameplay, le constat n'est malheureusement pas le même lorsqu'il est question du contenu ou de la durée de vie globale du titre.

Sache, jeune joueur, qu'il existe une licence te permettant d'assouvir pleinement tes penchants masochistes. Avec la série des Souls, le jeu de rôle prend un malin plaisir à associer la notion d'immersion à celle de challenge. Maintenant tu es prévenu, tu vas souffrir et tu risques même d'aimer ça. Une fois que tu y auras touché, tu risques fort de trouver les autres jeux insipides. Ecraser la concurrence ne suffit pas, il faut aussi qu'une telle licence parvienne à se renouveler. La question est justement de savoir si le plaisir est toujours intact avec ce Dark Souls II.

Alors que les vieilles légendes du point'n click ressuscitent des licences cultes (Broken Sword 5 pour Charles Cecil) ou en créent de nouvelles (Broken Age pour Tim Schafer) après des années de silence, certains acteurs de l'ombre n'ont jamais baissé les bras face à la baisse de popularité du style. Daedalic est de ceux-là. Fort connu pour la qualité de ses jeux en 2D (la trilogie Deponia en tête), le studio allemand aime les paris et soutient de nombreux projets, dont ce 1954 : Alcatraz, que les fervents défenseurs du jeu d'aventure à l'ancienne attendaient de pied ferme, face à la promesse d'une double intrigue, d'une atmosphère envoûtante et de choix ouvrant la porte à des fins multiples.

Alors que les vieilles légendes du point'n click ressuscitent des licences cultes (Broken Sword 5 pour Charles Cecil) ou en créent de nouvelles (Broken Age pour Tim Schafer) après des années de silence, certains acteurs de l'ombre n'ont jamais baissé les bras face à la baisse de popularité du style. Daedalic est de ceux-là. Fort connu pour la qualité de ses jeux en 2D (la trilogie Deponia en tête), le studio allemand aime les paris et soutient de nombreux projets, dont ce 1954 : Alcatraz, que les fervents défenseurs du jeu d'aventure à l'ancienne attendaient de pied ferme, face à la promesse d'une double intrigue, d'une atmosphère envoûtante et de choix ouvrant la porte à des fins multiples.

Sorti en 2010 sur PS3, le dual-stick shooter Dead Nation nous revient cette année dans une mouture PS4. Comme vous vous en doutez, le concept reste le même (on avance, on tire) mais au-delà des performances graphiques légèrement meilleures, on profitera également d'un contenu un peu plus important puisque cette version dispose de base du DLC Road of Devastation.

La vie est parfois rude. Injuste. Cruelle. Quand le sort s’acharne, il est difficile de se relever, et de ne pas finir au fond du trou. D’un point de vue psychique du moins, car il existe bien pire encore. Imaginez qu’un sortilège ancien vous prenne subitement pour cible et vous réduise en l’objet même de votre dégoût : perspective intéressante, n’est-ce pas ? C’est précisément ce qui risque de vous arriver si vous vous aventurez dans le sillage de Bad Mojo, un titre unique à plus d’une raison. A commencer par l’objet de votre transformation.

Nants ingonyama bagithi Baba, Sithi uhm ingonyama… Si vous arrivez à comprendre ces quelques mots, soit vous êtes un fondu du Roi Lion dont ce sont les premières paroles, soit vous avez fait swahili deuxième langue. Quel que soit le cas, vous connaissez l’Afrique. Le soleil doré sur fond de ciel rouge sang, troupeaux d’éléphants fourrageant au petit jour… Ca vous tente ? Oubliez alors les billets d’avion hors de prix et la crème solaire : Afrika (Hakuna Matata pour la version asiatique) vous offre cette opportunité unique. Il suffit de faire chauffer la PS3 en guise de 4X4 et c’est parti pour un safari inoubliable, garanti sans malaria !

Quand y en a plus, y en a encore. Ce pourrait être la devise de Gearbox qui, après de nombreux DLC riches en contenu, poursuit sur sa lancée en misant sur "Chasseur de têtes", des extensions plus modestes mais plus accessibles. Pari gagnant ? Réponse pour le premier d'entre eux : La Récolte Sanglante de T.K. Baha.

La vie est parfois rude. Injuste. Cruelle. Quand le sort s’acharne, il est difficile de se relever, et de ne pas finir au fond du trou. D’un point de vue psychique du moins, car il existe bien pire encore. Imaginez qu’un sortilège ancien vous prenne subitement pour cible et vous réduise en l’objet même de votre dégoût : perspective intéressante, n’est-ce pas ? C’est précisément ce qui risque de vous arriver si vous vous aventurez dans le sillage de Bad Mojo, un titre unique à plus d’une raison. A commencer par l’objet de votre transformation.

Attendu, redouté, le reboot de Thief par le studio qui avait brillamment relancé Deus Ex n'a cessé de semer le trouble. Aujourd'hui, les fans de Garrett vont enfin être fixés sur le sort réservé à l'un des pères de l'infiltration.Thief

Attendu, redouté, le reboot de Thief par le studio qui avait brillamment relancé Deus Ex n'a cessé de semer le trouble. Aujourd'hui, les fans de Garrett vont enfin être fixés sur le sort réservé à l'un des pères de l'infiltration.Thief

L’Afrique a toujours attiré les chasseurs de trésors. Que cela soit pour les mines de diamants ou les cités perdues, bien des explorateurs sont allés se perdre dans la brousse, la tête pleine d’images de richesses incommensurables. Pour autant, difficile de dire combien sont revenus. Car si la jungle ralentit les expéditions, les lieux perdus depuis des millénaires le sont souvent pour une bonne raison… Congo : Descent into Zinj vous rappelle cette mise en garde, reprenant le contexte du film du même nom pour vous plonger dans une forêt vierge où l’homme n’a pas sa place. En effet, ici, c’est vous qui êtes en voie d’extinction…

Quand y en a plus, y en a encore. Ce pourrait être la devise de Gearbox qui, après de nombreux DLC riches en contenu, poursuit sur sa lancée en misant sur "Chasseur de têtes", des extensions plus modestes mais plus accessibles. Pari gagnant ? Réponse pour le premier d'entre eux : La Récolte Sanglante de T.K. Baha.

Quand y en a plus, y en a encore. Ce pourrait être la devise de Gearbox qui, après de nombreux DLC riches en contenu, poursuit sur sa lancée en misant sur "Chasseur de têtes", des extensions plus modestes mais plus accessibles. Pari gagnant ? Réponse pour le premier d'entre eux : La Récolte Sanglante de T.K. Baha.