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News JVTech Oculus Rift Crescent Bay : Le nouveau modèle à l'essai
Profil de Jihem,  Jeuxvideo.com
Jihem - Journaliste jeuxvideo.com

Oculus Rift Crescent Bay : Le nouveau modèle à l'essai

Avec la profusion de casques de réalité virtuelle annoncés un peu partout dans l'industrie, il fallait bien retourner prendre des nouvelles de celui qui a lancé la machine : l'Oculus Rift. Oculus m'a reçu sur son stand de la GDC pour me donner la possibilité d'enfiler le Crescent Bay (nom du dernier prototype en date) pour assister à quelques démos techniques.

Un poids lourd qui joue dans la catégorie poids plume

Avant même de mettre le casque devant mes yeux, il semble important de souligner la légèreté de l'appareil. Quelques minutes auparavant, j'étais sur le stand d'un développeur en train d'essayer le jeu Loading Human avec le DK2 (le modèle précédent de l'Oculus Rift) et la différence de poids est flagrante. Le Crescent Bay est de loin le casque de réalité virtuelle le plus léger que j'ai pu essayer cette semaine (5 casques différents, 6 si on compte le DK2). Hélas, la politique maison d'Oculus interdit mon interlocuteur de me révéler combien pèse le Crescent Bay…

Images 3D pour les yeux, son 3D pour les oreilles

Outre sa légèreté, le nouvel Oculus Rift se démarque du précédent par la multiplication de capteurs à l'avant, mais aussi à l'arrière de l'appareil. Evidemment, plus il y a de capteurs et plus le head tracking sera précis pour reconnaître et suivre les mouvements de tête. Le Crescent Bay abandonne le bandeau élastique "lunettes de ski" au profit d'une armature en plastique dur et réglable. Deux écouteurs sont aussi à noter sur les côtés du casque. Ils viennent tous les deux se rabattre sur les oreilles et peuvent eux aussi être réglés pour se positionner correctement. Evidemment, l'ajout de ces écouteurs facilite grandement la vie de l'utilisateur qui n'a plus à tâtonner pour trouver son casque. Un vrai bon point pour Oculus, d'autant que le son fourni n'est pas mauvais du tout, comme j'ai pu le constater durant l'ensemble de la démo.

Oculus Rift Crescent Bay : Le nouveau modèle à l'essaiOculus Rift Crescent Bay : Le nouveau modèle à l'essai

Le confort avant tout

L'installation est ultra facile, et grâce à son faible poids, son armature et l'apparition des écouteurs, l'Oculus Rift Crescent Bay est certainement l'un des casques de réalité virtuelle les plus simples à enfiler, en tout cas, c'est le plus confortable que j'ai eu le plaisir de porter. Oculus confirme avoir passé beaucoup de temps sur ce point précis puisque après tout, cela ne sert à rien d'avoir toute la technologie du monde si l'objet provoque une gêne. Jusqu'à présent, tous les casques portés sans exception occasionnaient une gêne plus ou moins importante, généralement en écrasant mes lunettes contre mon visage au point de faire mal au bout d'une minute ou deux. Pour certains, ce n'était qu'une question de réglages, pour d'autres, de design foireux. Pour le Crescent Bay la question ne se pose même pas. Le casque est léger et il n'a pas besoin d'être serré trop fort pour rester en place. Encore un bon point pour Oculus.

Démos et merveilles

Oculus Rift Crescent Bay : Le nouveau modèle à l'essai

Plusieurs démos se sont enchaînées devant mes yeux. Il s'agissait exclusivement de démos passives où je n'étais donc invité qu'à regarder le spectacle devant, non pardon, tout autour de moi. J'ai eu droit à tout un tas de choses dont un panorama bucolique. La scène se déroule dans une prairie avec un renard et un cerf qui m'attendent autour d'un feu de camp. Le démonstrateur m'encourage à m'accroupir devant le feu, ce que je fais et l'image bascule brutalement pour me montrer une vue plongeante à me donner le vertige. Tel un Batman au sommet d'une gargouille de Gotham, je surveille la ville en contrebas, et je refuse de faire un pas en avant de peur de tomber. Avec le recul, je me rends compte que je ne pouvais pas bouger de toute manière, je n'avais ni contrôleur, et le Crescent Bay, s'il gère les mouvements de tête, ne permet pas de se déplacer dans l'espace comme le Vive de Valve et HTC par exemple.

Oculus Rift Crescent Bay : Le nouveau modèle à l'essai

Au cours des autres démos, je me suis retrouvé nez à nez avec un alien sur une planète extraterrestre puis à la merci d'un T-Rex vraiment impressionnant. L'animal est venu me renifler, crier à mon visage avant de me laisser tranquille et de continuer son chemin en passant tout simplement au-dessus de moi. Pour mettre en avant la gestion spatiale du son, Oculus avait aussi orchestré une bataille entre deux robots chacun muni d'une baguette magique capable de lancer des sorts qui sifflaient et virevoltaient tout autour de moi. J'ai également pu assister à Lost, un court métrage mettant en lumière ce que l'avenir du cinéma 3D pourrait donner. En trois ou quatre minutes à peine, j'ai ainsi assisté à la touchante histoire d'une immense main mécanique perdue dans une forêt, à la recherche de son maître. Un robot absolument gigantesque, sûrement le cousin germain du géant de fer, est finalement arrivé pour s'asseoir devant moi, récupérer sa main et me remercier d'avoir veillé sur elle. D'accord, le court métrage ne remportera peut-être pas l'Oscar du meilleur scénario, mais il prouve que la réalité virtuelle a très certainement un avenir dans le domaine du film.

Thief

Pour terminer en beauté, Oculus m'a réservé la démo technique réalisée en collaboration avec Epic Games, Nvidia et Weta Digital, la compagnie responsable des effets spéciaux du Seigneur des Anneaux. Le logo du Hobbit apparaît, accompagné de la célèbre musique du film. Il s'efface doucement et me voilà au cœur du mont Solitaire, dans la peau de Bilbon au beau milieu du trésor de Smaug. Le dragon ne tarde pas à se réveiller. Il me cherche et ne cesse de me parler. De sa voix de bariton calme et posée, il m'accuse d'être un voleur, "Thief…" ne cesse-t-il de m'appeler, comme dans le film. Smaug finit par me trouver mais je ne peux pas bouger. Je suis donc à sa merci et le lézard en profite pour jouer avec moi comme un chat jouerait avec une souris. La démo se terminera dans les flammes, avec probablement des paquets de pieds velus au menu du soir du dragon.

Oculus Rift Crescent Bay : Le nouveau modèle à l'essai

L'Oculus toujours au top ?

Je retiens de toutes ces démos techniques la nette évolution du casque par rapport au DK2. L'Oculus Rift Crescent Bay n'est pas seulement plus confortable, il semble aussi livrer une meilleure image et potentiellement aussi un champ de vision accru. Je reste sur le conditionnel car la compagnie ne souhaite partager aucun chiffre sur le nouveau modèle. Il ne s'agit donc que d'un ressenti. Il faut aussi dire qu'avec le support de Nvidia et d'Epic pour la séquence du Hobbit, Oculus propose du lourd en termes d'immersion. Je me suis toutefois attardé sur le rendu visuel pur, en mettant donc de côté les questions de moteur graphique, et là aussi Oculus réalise un vrai bond en avant depuis le DK2. Le screen door effect est beaucoup moins prononcé, au point qu'on l'oublie très rapidement. Pour rappel, il s'agit du maillage que l'on peut voir entre les pixels en observant un écran de trop près. Le principal désagrément du screen door effect est qu'il rend l'image plus sombre qu'elle n'est censée l'être, un peu comme lorsque la 3D est activée sur la 3DS.

Alors qu'aucune date de sortie n'est annoncée pour la version définitive de l'Oculus Rift et que d'autres casques de réalité virtuelle sortiront probablement sur le marché avant le sien, Oculus semble adopter une position de leader serein et confiant sur l'avenir. Environ deux ans après avoir affolé l'industrie en lançant la vague de la réalité virtuelle, et près d'un an après son rachat par Facebook, Oculus projette aujourd'hui l'image d'une compagnie qui sait pertinemment qu'elle a entre les mains un bon produit, mais qui souhaite tout de même prendre son temps pour le peaufiner encore et encore jusqu'à le rendre absolument parfait. L'arrivée officielle de Valve sur le secteur pourrait éventuellement accélérer les choses. Nous verrons bien. Nous verrons aussi si le Steam VR donnera des envies à Oculus de se pencher sur une solution pour traquer les mouvements et les déplacements dans l'espace. Aucune réponse n'a pu être donnée à ce sujet, et ce n'est pas faute d'avoir demandé.

Commentaires
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Pseudo supprimé
Niveau 10
le 09 mars 2015 à 13:43

Sinon...
Ca marche avec des vrais jeux qu on contrôle... ???
Parceque les scene ou on est spectateur autant aller au ciné

Lire la suite...
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