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News archive Call Of Duty 2
Profil de la_redaction,  Jeuxvideo.com
Rédaction Jeuxvideo.com

Call Of Duty 2

Call Of Duty 2
Avec le premier Call of Duty, Activision avait fait une entrée fracassante dans le milieu des FPS gravitant autour de la Seconde Guerre Mondiale. A la fois très réaliste et épique, ce premier volet avait marqué les esprits par son grand pouvoir d'immersion du joueur. C'était notamment vrai dans un niveau se déroulant à Stalingrad où la mort semblait pouvoir frapper à tout instant, obligeant le joueur à rester modeste face à l'omniprésence de la Grande Faucheuse. Après avoir posé la main sur Call of Duty 2 lors de deux récentes présentations, nous sommes en mesure de vous affirmer que cette suite se montrera digne du premier volet.

Le premier niveau auquel nous avons pu jouer est justement un retour à Stalingrad. Sous l'uniforme d'un soldat soviétique, la mission qui nous est confiée se résume à rétablir la liaison entre notre unité et le quartier général. Le fil du téléphone de campagne a été coupé en différents endroits par les Allemands. Le cheminement à travers les ruines enneigées prend rapidement des allures de tir aux pigeons puisque les forces du IIIème Reich attendent de pied ferme les volontaires désignés d'office pour s'acquitter de la sale besogne. Il ne faut pas longtemps pour que les trois points forts de cette suite ne nous sautent au visage : le son, l'intelligence artificielle et le graphisme. Au beau milieu de ce qui reste des bâtiments de Stalingrad, les balles des mitrailleuses ennemies ricochent en sifflant ou font mouche dans un bruit mat, les ennemis et vos compagnons d'armes se lancent des ordres et leurs voix se répercutent avec un rien d'écho... Bref, on est vraiment dedans, sentiment qui est renforcé lorsque qu'un niveau se déroule sous la pluie. Le comportement des adversaires et des alliés est à la hauteur. Personne ne tient particulièrement à prendre une balle perdue et chacun se sert du terrain du mieux possible. Les cibles se font malines et préfèrent vous canarder du fond d'une rue ou de derrière un muret plutôt que de tenter une action soit disante héroïque. De plus, on a parfois l'impression que toute la Wehrmacht s'est donnée rendez-vous à certains endroits et votre peloton paye le prix fort pour gagner quelques mètres. A se demander si on est encore dans un jeu. Enfin, si le graphisme a été amélioré, ce n'est pas seulement parce que la technique a évolué. En fait, les développeurs de cette suite on voulu faire la part belle à une tactique trop souvent oubliée dans les jeux : le rideau de fumée. Parmi les grenades dont vous disposerez se trouveront des fumigènes qui s'avèreront souvent très utiles pour pouvoir traverser un endroit bien gardé sans pour autant mourir d'une augmentation brutale de son taux de plomb. Et pour servir cette exigence du scénario de la plus belle manière, il a fallu affiner les textures et surtout adjoindre au moteur graphique un générateur de particules convaincant. A tous ces niveaux, COD II devrait s'imposer comme un indéniable pas en avant pour la série, que ce soit sur Xbox 360 ou sur PC. Et, qu'on se retrouve sur les plages du Débarquement en Normandie, de nuit dans les petits villages du boccage normand ou sous l'uniforme britannique à tenter de reprendre une ville d'Afrique du Nord des griffes des allemands au prix d'un combat vraiment acharné, on se retrouve immédiatement au beau milieu d'un déluge de feu et de fureur.

La gestion des dégâts localisés au niveau du personnage que dirige le joueur occupera une place prépondérante dans la réalisation de Call of Duty II. Une balle dans la tête ou dans la poitrine se traduira par la mort immédiate. Un coup dans l'une des autres parties du corps n'engendrera "que" des blessures visualisées à l'écran par des déformations brutales de l'image mais passagères (voile rouge, etc.). Le plus intéressant, c'est que selon le niveau de difficulté choisi, les parties les plus fragiles seront plus ou moins larges. Bref, plus on se prendra pour un héros, plus on aura la grosse tête au sens propre (bien que virtuel) du terme et plus on représentera une cible facile et alléchante pour les ennemis. Signalons enfin que, parmi les modes multijoueurs, il s'en trouvera un intitulé "Headquarters" qui exigera une excellente coopération au sein de l'équipe des joueurs puisqu'ils devront tenir des objectifs durant deux minutes face aux vagues de soldats ennemis envoyés par l'ordinateur. Sur ce point, précisons que Call of Duty pourra accueillir jusqu'à 32 joueurs en LAN sur PC. Sur Xbox, ce sont 16 joueurs qui pourront s'affronter mais les développeurs espèrent pouvoir faire monter ce chiffre jusqu'à 32 dès que le Live le permettra.

Grant Collier, le président d'Infinity Ward, a bien voulu répondre à nos questions concernant cette suite.

jeuxvideo.com >

Call Of Duty 2
L'un des points forts de Call of Duty II mis en avant lors de la présentation tient à son graphisme. Faut-il comprendre qu'il sera très gourmand ?

Grant Collier : Pour le faire fonctionner avec tous les détails à fond, il faudra indéniablement une meilleure machine que pour le premier Call of Duty, c'est sûr. Mais le nouveau moteur graphique que nous avons mis au point pour ce jeu fonctionne en utilisant DirectX 7.0 et une carte graphique GForce 2, ce qui le rend quand même très accessible.

jeuxvideo.com > Contrairement à ce qu'on pourra voir sur PS2 avec COD "The Big Red One", ces versions de COD II alignent des missions très disparates dans lesquelles le joueur dirige différents soldats. Vous ne pensez pas être passé à côté de quelque chose en ce qui concerne l'implication du joueur et l'attachement au scénario ?

Grant Collier : Non, absolument pas. Call of Duty 2 parle de l'effort des Américains, des Britanniques et des Soviétiques durant la Deuxième Guerre Mondiale. Cette variété n'empêche en aucun cas d'être précis quant au contexte. En fait, si le scénario passe d'un lieu à l'autre, c'est surtout parce que Call of Duty 2 est un jeu d'action qui se devait donc d'être varié.

jeuxvideo.com > Qu'est-ce qui vous rend le plus fier dans Call of Duty II ?

Grant Collier : Je pense que c'est l'intelligence artificielle qui a vraiment été améliorée depuis le premier volet. Les ennemis réagissent de manière infiniment plus réaliste. Ils peuvent décider de s'enfuir ou de tenter de vous contourner. J'adore voir que, face à 16 joueurs différents, les adversaires vont se comporter de 16 manières différentes. Ca renouvelle sans cesse l'expérience que procure le jeu et c'est une réussite très gratifiante.

jeuxvideo.com > Pensez-vous que la Seconde Guerre Mondiale constitue un bon sujet ? Ne craignez-vous pas de finir par ne plus savoir quoi raconter ? Que ferez-vous le cas échéant ?

Grant Collier : Récemment, nous avions justement une conversation quant à savoir ce qui était le mieux : les guerres contemporaines ou la Seconde Guerre Mondiale. De prime abord, ma réponse a été les guerres contemporaines. Mais, après cette réunion, je me suis rendu compte que la Seconde Guerre Mondiale était le dernier conflit dans lequel on se battait à tous les niveaux : terre, air, mer et à toutes les distances : longue portée, moyenne portée, courte portée, corps à corps. En plus, c'était le tournant d'une époque marquée notamment par la fin de l'intérêt stratégique des cuirassés. Qui plus est, c'est un conflit qui a vraiment concerné l'humanité en entier. Il n'y a aucune guerre récente qui pourrait rivaliser, au niveau "universalité". Contrairement au Viêt Nam, par exemple, la dernière guerre concerne aussi bien les Américains que les Allemands, les Danois ou les Brésiliens.

jeuxvideo.com > Pourquoi ne pas avoir inclus un système d'ordres pour les membres de l'escouade dont fait partie le joueur ?

Grant Collier : Tout simplement parce que Call of Duty n'est pas un jeu tactique mais un jeu d'action. S'il faut s'arrêter pour donner des ordres à tout le monde, l'action s'en trouve ralentie et ce n'est certainement pas ce que nous cherchons. C'est aussi pour Ca que vous n'êtes qu'un membre de votre groupe, pas le chef de votre groupe. A vous de savoir si vous voulez suivre les ordres qu'on vous donne ce qui, parfois, peut être également un bon choix.

jeuxvideo.com > Merci, Monsieur Collier

Les 4 premières images sont issues de la version PC, les autres de la version Xbox 360.

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  • Site officiel de Call Of Duty
PC 360 Infinity Ward Activision Action FPS
Commentaires
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kyle[JV] kyle[JV]
MP
Niveau 10
le 03 nov. 2013 à 10:49

:(

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