Le game director de Stellar Blade, qui avait expliqué avoir apporté un soin tout particulier au dos de l’héroïne, recommande cette fois aux joueurs de porter “le plus de vêtements possibles”.
Plus connu pour l’arrière de son héroïne que pour ses qualités en tant que jeu d’action, Stellar Blade refait parler de lui par l’intermédiaire de son réalisateur, Hyung-Tae Kim. Dans une récente accordée à Famitsu, l’homme recommande aux joueurs de porter “le plus de vêtements possibles” lors de leur partie… Le développeur fait ici référence à la combinaison Skin Suit de Eve, le personnage principal, qui augmente les dégâts reçus au prix d’une tenue encore plus légère. “La difficulté du jeu augmente drastiquement” dans cette configuration, affirme le game director.
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Une défense… discutable
Prévu le 26 avril 2024 en exclusivité sur PS5 : Stellar Blade a récemment fait l’objet d’une démo qui laisse présager du bon. Dans notre aperçu, nous avons évoqué une “expérience prometteuse” avec une nervosité “dont peu de titres peuvent se vanter” | un gameplay “intuitif et ravageur”. Cependant, ces bons points continuent d’être occultés par les qualités plastique de l’héroïne - Eve - au cœur de discussions tantôt sordides, tantôt polémiques. En février, chez GamesRadar, Hyung-Tae Kim avait rajouté de l’huile sur le feu, expliquant que l’équipe avait apporté un soin “tout particulier” à l’arrière (back en anglais) du personnage : “Le joueur fait toujours face au dos du personnage lorsqu’il joue, c’est ce qu’ils voient le plus (...) Je ne veux pas voir quelque chose de normal, je veux voir quelque chose de plus idéal. Je pense que c’est très important dans une forme de divertissement”.
Des polémiques passées
Des arguments qui laissent songeurs, surtout quand on connaît les polémiques qui ont récemment touché Shift Up, studio qui développe Stellar Blad (où Hyung-Tae Kim officie en tant que réalisateur). L’année dernière, selon des témoignages publiés sur X, la société aurait licencié des développeuses pour avoir tenu des propos féministes. Un cas similaire serait survenu en 2022. Dans ce dernier cas, c’est l’utilisation du hashtag Megalia, groupe activité féministe en Corée du sud, qui serait en cause.