Le mois de novembre 2020 est chargé en actualité jeu vidéo et en nouvelle génération de consoles. Les communications se multiplient pour tirer son épingle du jeu, que l'on soit du côté des titres comme des machines, mais une guerre fait rage quoi qu'il arrive : celle des exclusivités.

Si nous vous parlions avant-hier, dans Le Journal, des exclusivités de la PlayStation 4 , afin de revenir sur l'anniversaire des 7 ans de la console de Sony, il est temps de considérer un aspect plus business.

Car, derrière la volonté de proposer une exclusivité, il est un argument avant tout marketing, celui de paraître plus attirant pour le consommateur afin que ce dernier procède à l'achat de son produit plutôt que celui du concurrent. Un objectif de vente que chacun de ces titres spécifiques à une plateforme porte en lui.

Vous allez le voir, certains ont réussi haut la main dans le suivi de cette directive marketing, mais d'autres n'ont pas eu cette chance...

VENDRE OU NE PAS VENDRE, TELLE EST LA QUESTION

La vente semble toujours être un concept simple dans la théorie, mais qui se révèle bien complexe dans la pratique.

TiTavion revient sur les exclusivités qui n'ont malheureusement pas du tout fait vendre et n'ont pas su trouver les arguments pour séduire les joueurs. On vous garde le suspense, mais donnons quelques indices pour vous guider : ça parle de dinosaures, de Sangoku et d'humanité !

Dans chacun de ces cas, il est possible que vous ne vous souveniez plus du nom de ces titres, oubliés depuis pour certains, ou retenus pour les difficultés qu'ils ont rencontré. Un destin tragique aux raisons diverses : mauvais timing, mécaniques peu satisfaisantes, univers difficile d'accès, etc.

Et vous, y a-t-il des exclusivités qui vous reviennent, mais qui n'ont pas séduit votre coeur de joueur ? Pas forcément avec chiffres à l'appui, simplement du point de vue du souvenir.

Découvrez notre revue dans cet extrait du Journal de Jeuxvideo.com, diffusé chaque jour de la semaine sur LeStream.fr de 12h30 à 14h30.