Jon Greenberg, graphics programming lead du studio de développement américain, a révélé cette information sur Twitter en réponse à la communauté qui s'évertuait à marquer sur la page Wikipédia du titre qu'il tournait sous l'UE4 - ce qui est le cas depuis récemment de la version mobile, d'où la confusion. Naturellement comme le note Greenberg, NetherRealm manie une version maison, hautement modifiée et améliorée de cette version du moteur. Il reste impressionnant que l'entreprise propose un résultat si bluffant à partir d'un software de 2006, conçu pour la précédente génération de machines et dont la version d'usine ne propose pas tous les ajouts de l'UE4, en termes d'effets de lumière notamment.

Sans doute est-il plus simple pour NetherRealm de poursuivre avec ce logiciel, et le résultat parle de lui-même. C'est peut-être du côté du crossplay, étudié par le studio et pris en charge par l'UE4, que des difficultés pourraient se poser.