Ola ! je viens de remarqué que la rédac avais mis un 14 a ce superbe jeux, et la, c'est le choc, qu'est ce qui se passe dans leur tetes ? vu le peu de jeu de ce genre, c'est vraimen,t craché dans la soupe que de descendre ce jeu comme ca... comme cold fear qui sont mes deux jeux préféré sur la x box, il n'on pas été acueilli comme ils se devaient par la presse, ce sont de trés bon jeu, the suffering est juste exellent, le scénar et la flippe, le gamplay et les enemies, la bande son ! touty est exxelent ! et diree qu'aprés ca mets des 17 a resident evil 5 .. ca fait peur..
Un des titres les plus flippants que j'ai pu essayer en 20 ans de jv. L'horreur à tous les étages avec une violence rarement atteinte depuis : au final un jeu très réussi techniquement et à l'ambiance unique. Je transpire encore rien que d'y penser...
Ola ! je viens de remarqué que la rédac avais mis un 14 a ce superbe jeux, et la, c'est le choc, qu'est ce qui se passe dans leur tetes ? vu le peu de jeu de ce genre, c'est vraimen,t craché dans la soupe que de descendre ce jeu comme ca... comme cold fear qui sont mes deux jeux préféré sur la x box, il n'on pas été acueilli comme ils se devaient par la presse, ce sont de trés bon jeu, the suffering est juste exellent, le scénar et la flippe, le gamplay et les enemies, la bande son ! touty est exxelent ! et diree qu'aprés ca mets des 17 a resident evil 5 .. ca fait peur..
Un des titres les plus flippants que j'ai pu essayer en 20 ans de jv. L'horreur à tous les étages avec une violence rarement atteinte depuis : au final un jeu très réussi techniquement et à l'ambiance unique. Je transpire encore rien que d'y penser...
Je joue à The Suffering depuis maintenant 2 ans (voire un peu plus) et il est ma référence en matière d'action tant l'ambiance et l'histoire sont uniques. Le principe de choisir en permanence "le bien ou le mal" est captivant aussi, puisqu'il justifie de multiples tentatives afin de voir les différentes fins du jeu. Le héros, Torque, est grandiose, bien qu'il n'ouvre la bouche que pour se transformer sous l'effet de la frénésie. Pour finir, je recommande ce premier volet de The Suffering en priorité par rapport à son grand frère "Ties that bind".
Un jeu d'action à la troisième personne gore, violent et malsain qui se déroule dans une prison et dans lequel il faut tuer plein de créatures démoniaques un peu comme dans Doom. Le jeu est assez beau graphiquement, le gameplay est bon et jouissif et la durée de vie est correcte.
Ah punaise, j'ai aimé ce jeu! Et pourtant je viens de le faire en 2016 soit près de 12 ans après sa sortie mais je me suis franchement bien amusé. Quel plaisir de revenir à un jeu à l'ancienne, certes pas très joli graphiquement avouons-le mais à l'ambiance diablement glauque et prenante!
L'histoire est bonne et on a toujours envie de savoir la fin de celle-ci tout au long du jeu. Le gameplay est parfois un peu lourdeau mais ne gêne en définitive pas vraiment. On dézingue à tout va et on s'éclate.
Allez, maintenant que j'ai fini le 1, j'enchaîne le 2 dans la foulée! ^^
Enfin un JEU qui a su s'échapper des principales valeurs de la Xbox (le moteur graphique super réaliste, wouuuaah t'as vu ces éclairages dynamiques!!!) hum... Bref, pour dire que ce jeu est tout a fait correct voir parfois même très plaisants dans ses graphismes simples et joliment colorés (et au moins sans aliasing) The Suffering possède ce truc qu'aucun autre jeu à l'heure actuelle ne possède...
Son ambiance, son libre arbitre, son fun, sa simplicité, les messages psychotiques que Tork recoit ainsi que les scènes d'horreur qui se dévoilent sous ses yeux... et surtout cet espèce d'esprit tordu omniprésent dans tout le jeu qui incite Tork à faire le mauvais choix, cet espèce de docteur maboule tout droit sorti d'un asile psychiatrique, tentant d'expliquer les mystères de l'être humain... Non sans une certaine allégorie de l'univers carcéral, où les véritables monstres sont les gardiens, de simples êtres humains...
Cette follie et le poid de la culpabilité que se trimballe Tork le long du jeu, avec sa capacité de se transformer en une veritable créature déchainée, dégage quelquechose de touchant...
Un veritable trip à ne surtout pas louper...
Très bon jeu mais qui perd de son intensité et de son intérêt hors du pénitencier. L'idée est très originale. Jeu horrible et angoissant. Certains monstres sont peu crédibles cependant. Graphismes très réalistes. Le suspense n'est plus le même lors de l'aventure en extérieur.
Le jeu the suffuring est bon grâce à son style qui donne des frissons dans le dos et les montres sont bien faits mais par contre on se lasse d'être toujours dans une prison alors on s'ennuie facilement dans les coridors étroits du jeu et aussi on aimerait voir plus de monstres différents que toujours les mêmes.
Pourquoi 17 ? Pour l'ambiance. Le jeu plonge véritablement le joueur dans le chaos dès les premiers instants de l'introduction. L'univers carcéral tel que nous le redoutons tous. Le pire, celui qui fait plus que froid dans le dos. Les dialogues sont crus, le son d'ambiance est hyper bien restitué. Dans le genre du faux son 3D de Silent Hill 2. Ceci ne gâche en rien l'immertion du joueur dans ce dédale de l'enfer. The suffering est un cauchemard dont vous ne sortirez pas indemne. LE fait de pouvoir changer de vue à volonté et de pouvoir choisir entre FPS et seconde personne est un choix relativement astucieux. Les ennemis, monstres belliqueux, démons dans l'âme ont été créés dans l'optique d'un mélange entre Silent Hill, de Voldo de SOul Calibur, de ce genre de zombies malfaisants et répugnants mais non dénués d'une certaine élégance qui dérange. Non vous ne sortirez pas de la prison de Habott indemne. Vous n'en sortirez carrément jamais. Sauf... les pieds devant lol
Très bon jeu ! Soit il se finit très vite, mais l'ambiance est très bien rendue. On se surprend à sursauter lors de cris d'enfants ou de flashs "cauchemard". Bref que du bonheur ! Il est vrai cependant que le moteur graphique se fait un peu vieux mais l'ambiance relève la sauce !
A conseiller en attendant Doom 3 ;)
The Suffering aaaah ! Enfin un jeu avec un tantinet de sang, beurk. Il arrive même parfois que l'on n'aperçoive plus notre héros tellement il a de sang sur lui. Donc un jeu avec sang, monstre, action, angoisse et la peur au ventre quand on tue, donne un des bons jeux comme : The Suffering !