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Les avis les plus utiles

19/20
G7K
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Niveau 10
Posté le 23 oct. 2020 à 15:18

Super Castlevania IV possède un titre trompeur car il ne s'agit pas de la suite de Castlevania III. En effet le titre de Konami est un Remake du premier épisode de la saga et utilise les capacités techniques de la 16 Bits de Nintendo, notamment le mode 7. Bien qu'il ne soit sorti qu'en 1991, Super Castlevania IV propose une aventure longue et variée tant sur le plan de l'esthétique que du Level Design mais il faut surtout souligner l'excellente OST du titre qui reprend avec maestria les principaux thèmes de la licence de Konami. Néanmoins le jeu n'est pas parfait et on ne pourra que pester devant la trop grande facilité des boss, la censure pour les versions occidentales et les divers ralentissements qui le parsèment. Pas de quoi bouder son plaisir cependant puisqu'il s'agit d'un des meilleurs volets old school, véritable ode à l'exploration et à l'aventure gothique. Assurément un must have de la Super Nintendo.

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Tous les avis lecteurs (2)

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1 
19/20
G7K
Alerte
Niveau 10
Posté le 23 oct. 2020 à 15:18

Super Castlevania IV possède un titre trompeur car il ne s'agit pas de la suite de Castlevania III. En effet le titre de Konami est un Remake du premier épisode de la saga et utilise les capacités techniques de la 16 Bits de Nintendo, notamment le mode 7. Bien qu'il ne soit sorti qu'en 1991, Super Castlevania IV propose une aventure longue et variée tant sur le plan de l'esthétique que du Level Design mais il faut surtout souligner l'excellente OST du titre qui reprend avec maestria les principaux thèmes de la licence de Konami. Néanmoins le jeu n'est pas parfait et on ne pourra que pester devant la trop grande facilité des boss, la censure pour les versions occidentales et les divers ralentissements qui le parsèment. Pas de quoi bouder son plaisir cependant puisqu'il s'agit d'un des meilleurs volets old school, véritable ode à l'exploration et à l'aventure gothique. Assurément un must have de la Super Nintendo.

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15/20
Pseudo supprimé
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Niveau 1
Posté le 30 avr. 2022 à 12:35

Castlevania. Une saga qui alterne l’excellent (Symphony of the Night, Aria of Sorrow,…), le passable (Harmony of Dissonance,…) et l’apocalyptique (Mirrors of Fate,…). On est donc à chaque fois potentiellement devant une perle, mais aussi potentiellement devant une crotte de chauve-souris qui sent la décomposition anale des fesses. J’étais donc bien content de voir ce jeu dans la sélection de la SNES Mini, mais je n’en faisais pas une priorité, d’autant qu’il présageait d’être pensé pour l’arcade et donc probablement stupidement difficile afin de sucer les pièces comme Dracula suce le sang.

Dans l’ensemble, j’en suis très satisfait. Les graphismes sont un peu limités, mais la bonne utilisation des couleurs et le design de la plupart des ennemis le rend plutôt agréable à regarder. En pleine mode du Mode 7, on en fait des caisses avec un effet de profondeur saisissant (mention spéciale pour la salle qui tourne). L’ambiance fonctionne à merveille, certains boss sont franchement intéressants (les danseurs, le paladin, la momie,…). La musique est sublime, bien qu’un peu répétitive, entraînant le dépôt de paroles sur des thèmes qui s’en passeraient bien.

Je ne vais citer qu’un réel défaut, mais pas des moindres : la difficulté est cassée. On alterne entre de l’essentiellement très facile, quelques passages plutôt difficiles et des moments à la limite de l’infaisable. A trois reprises, j’ai la quasi certitude que la RNG est seule maîtresse et que, si le jeu ne le veut pas, tu ne passeras pas sans perdre toutes tes vies. A titre d’exemple, vers la fin du jeu, on doit traverser un gouffre en s’attachant avec son fouet à une plate-forme mouvante et effectuer un saut sans visibilité. Problème : sur la plate-forme de réception, un ennemi impossible à apercevoir avant le saut est présent et décide aléatoirement de marcher vers la gauche ou la droite : s’il va à droite, on saute, on le tue à coups de fouet et on continue le parcours mais, s’il va à gauche, on est obligé soit de s’arrêter et tomber dans le trou, soit de sauter et de le percuter occasionnant un mouvement de recul : dans les deux cas, c’est une vie perdue. Les derniers boss de l’avant-dernier niveau s’enchaînent beaucoup trop tard dans la progression et ont du péter des manettes (coucou le lézard qui peut te bloquer contre une colonne et vider toute ta barre de vie en quelques secondes). Dracula en lui-même n’est absolument pas marrant à affronter.

En réalité, la majorité des points négatifs sont communs à beaucoup de plate-formers de l’époque. Pour les amateurs, on retrouve souvent des reproches concernant la simplification du genre avec le temps et, si je comprend le problème, il me semble important d’offrir différents niveaux de difficulté, ne serait-ce que par un système avec une quête principale facile, la complétion des niveaux un peu plus corsée et des niveaux facultatifs difficiles, comme ce qui se fait chez Mario. Dans le cas présent, sans savestates, l’expérience s’avère vite frustrante et ne va chercher qu’un public de niche.

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