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1 
12/20
GrandSephiroth
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Niveau 10
Posté le 15 nov. 2016 à 19:43

Jeu indépendant entièrement développé par Matt Gilgenbach, Neverending Nightmares est un survival horror en side scrolling à profondeur avec une patte artistique fortement marquée dans lequel on suit les cauchemars successifs d’un jeune-homme lambda qui croit toujours se réveiller alors qu’il se retrouve sans cesse dans des lieux glauques comme un hôpital psychiatrique ou sa propre maison qui semble le hanter au plus haut point. L’auteur lui-même ayant souffert à de nombreux reprises, il a créé ce jeu afin d’exorciser ses angoisses et cette approche auteuriste a donné lieu à une magnifique esthétique en noir et blanc souvent brouillée par de petits traits crayonnés horizontaux (à la manière de l’album jeunesse Max et les Maximonstres) ainsi que des dessins assez carrés et arrondis façon Paint. Le synopsis rappelle fortement Silent Hill avec un monde de plus en plus terrifiant qui semble reprocher quelque chose au héros, le meurtre de sa sœur étant largement suggéré au tout début avec du sang rouge vif qui, comme tout au long du jeu, provoque un contraste puissant avec l’absence de couleurs. Ajoutés à cela des bruits inquiétants et des cris de couleur précédés de coupures explicitement sanglantes, et on obtient une superbe ambiance qui fait toute la qualité du titre.

Malheureusement, les bonnes surprises ne vont pas vraiment plus loin, le jeu ne se terminant qu’en une heure ou deux et avec un gameplay bien trop limité. Se réveillant sans cesse brusquement dans le lit le plus proche, on ne fait qu’avancer dans des pièces et des couloirs de moins en moins linéaires mais toujours plus répétitifs et labyrinthiques. Les interactions se limitent à l’ouverture des portes, à l’examen d’images suggestives sur cadres et l’utilisation de rares objets comme la lampe-torche ou une bougie qu’on obtient de temps en temps pour y voir un minimum dans le noir. Le personnage est assez lent mais peut courir en maintenant R, avec une fatigue qui le fait vite s’essouffler, indispensable à bien gérer quand on se fait poursuivre par notre double sanguinaire sur la fin. On croire également des créatures difformes à fuir absolument, et pas très intelligentes car on peut se cacher dans une armoire sous leur nez. La narration est intéressante, notamment avec ses courtes cut scenes et ses quelques dialogues, mais le scénario reste bien trop flou et on n’a pas forcément envie de s’y reprendre pour voir les trois fins du jeu étant donné les chemins bordéliques des derniers cauchemars. N’arrivant pas à la cheville d’un Lone Survivor, Neverending Nightmares vire vite vers la simple expérience narrative et on le retient surtout pour son esthétique très marquée et son ambiance réussie.

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