Plutôt sympa ! pour 15 euro j'ai passer un moment agréable quoi qu'un peu rébarbatif et surtout rapide, mais pour moi Infamous est vraiment juste un jeu de lancement pour sony donc rien de transcendant mais Fletch fait passer le temps pour une somme raisonnable ^^

"Ou est passé le système de Karma ? "
C'est un peu du troll ce genre de remarque. Techniquement, son histoire est déjà écrites. Et c'est un peu incohérent de laisser une grosse liberté dans une histoire antérieur au risques de trouver des contradictions.

Enthousiasmé par l'excellente qualité que inFamous : Second Son nous avait livré un peu plus tôt dans l'année, j'ai décidé de garder un oeil sur ce DLC stand-alone qui était intelligemment proposé en format physique en plus de la version dématérialisée (de quoi aguicher les collectionneurs)

Ce DLC nous plonge dans l'histoire des origines de Abigail aka. "Fetch", la porteuse du pouvoir du néon que nous RENCONTRIONS en tant que personnage non-jouable dans le jeu principal.

Nous avons accès à une partie de la ville de Seattle que nous pouvons parcourir à la vitesse de la lumière (littéralement) grâce à un pouvoir du néon encore plus puissant que celui dont Delsin sera plus tard doté. Divers missions annexes de collecte sont disponibles en plus d'une campagne scénaristique un peu décevante car un poil courte.

Ajout inédit : le mode arène. Très classique mais efficace et également ludique grâce aux différents défis.

De quoi passer un peu de bon temps pour une somme modique. Le résultat est bon sans plus.

J'aime ce genre de jeux. Une diversité dans la manière de jouer est possible, les graphismes sont aux rendez-vous. Le gameplay est bien pensé et cela rend le jeux plaisant à jouer. Une diversité est présente dans l'environnement parcourus, ce que j'aime particulièrement. Je recommande donc cet opus si vous êtes un gamer qui aime les bonnes choses ..!

Très déçu par ce dlc:

Mais " OU est passé le système de Karma ? "

Il y a énormément incohérence dans ce dlc qui ne dure pas très longtemps et assez chère faut l'avouer. Sinon techniquement et graphiquement c'est super beau mais j'en attendais beaucoup de cette épisode. " Pa UNIQUEMENT des graphismes ".

Verdict: pas du tout intéressant, je regrette.

excellent jeu en tout point graphiquement très beau et techniquement impeccable gamplay plaisant ost et doublage de qualité bonne durée de vie et scénario vraiment convaincant en bref un excellent jeu a recommander

Bon jeu ! Dommage qu’il sois si court…(je comprends c’est une extension de Second Son). Histoire et Gameplay toujours aussi sympathique, on ressent la patte de l’univers InFamous et c’est agréable. Le jeu ne prends pas spécialement de risque par rapport à la licence mais jeu très bon dans l’ensemble.

Excellent jeux graphiquement superbe ambiance incroyable durée de vie convenable scénario vraiment plaisant ost excellente en bref j’ai grandement apprécié

excellent stand alone graphiquement superbe ambiance incroyable ost sublime durée de vie convenable pour le prix scénario intéressant en conclusion c’est excellent

Très bon jeu graphiquement très beau gamplay efficace ost de qualité scénario accrocheur durée de vie convenable en bref un excellent jeux a faire je recommande vivement

Joué sur PS4 Slim.

J'ai décidé de faire ce standalone avant inFAMOUS: Second Son, car il s'agit d'une préquelle. On y incarne Fetch, une punkette à cheveux roses, qui veut sauver son frère Brent, un punk à crête iroquoise bleue. Alors déjà, la sociologie des personnages ne m'a pas emballé. Il faut bien l'avouer. Ensuite, le scénario ne m'a pas transcendé non plus : tous les deux sans-abri (ah ?) et anciens toxicos (non !), le frère et la sœur avaient pour projet de s'enfuir au Canada pour échapper aux autorités du DUP traquant les "porteurs", dont Fetch. Sauf que Brent se retrouve kidnappé par Shane, un méchant blond arrogant et libidineux avec les cheveux plaqués en arrière (on les connait, ceux-là). Pour sauver son frère, Fetch sera alors contrainte de servir les intérêts de Shane dans une guerre de gangs contre des Russes (qui d'autre ?), faire ses basses besognes, avant l'inévitable confrontation finale. Une histoire qui sert surtout de prétexte à l'action, pourquoi pas, mais malheureusement le rythme s'effondre totalement et le jeu devient ultra linéaire lors du dernier acte, dans les montages enneigées. La toute fin nous oblige même à faire preuve de sadisme, car cet épisode ne reprend pas le système de karma propre à la série. Et le peu de sympathie que j'avais pour le personnage principal s'est envolé.

Le gameplay est bien nerveux, avec une grande liberté de mouvement. La course permet d'arpenter les rues à toute vitesse, de monter le long des parois et de sauter un peu partout avec aisance et fluidité. Passer au travers d'anneaux électriques permet même de dasher, si cela ne suffisait pas. Seul soucis, la caméra est parfois mal placée, trop proche du personnage. Il est difficile d'évoluer dans des espaces réduits, au contact d'obstacles, le jeu n'est clairement pas fait pour cela. Les combats se font au corps-à-corps ou à distance, en utilisant les éclairs lumineux. La visée ralentit le temps quelques secondes et met en surbrillance les points faibles des ennemis, la stase les éjecte, les "missiles" téléguidés les poursuivent, et un super-pouvoir nommé "singularité" les engloutit dans une sorte d'énorme vortex. On recharge son pouvoir en drainant les néons, c'est du inFAMOUS pur jus. Les fonctionnalités de la Dualshock 4 sont par ailleurs exploitées pour le meilleur (haut-parleur et pavé tactile) et pour le pire (faire des tags au sixaxis, c'est pénible).

Bien que sorti en 2014, inFAMOUS: First Light parvient toujours à flatter la rétine. On pourra toujours déceler un peu d'aliasing et quelques textures manquant de finesse, mais dans tous les cas on ne reste jamais longtemps en place. Les visages sont plutôt bien rendus, avec des animations faciales convaincantes. Il est possible d'opter pour un framerate limité à 30fps, ou dit "illimité", qui n'atteint que très rarement les 60fps. Dans les deux cas, cela manque cruellement de constance. Chacun choisira à sa convenance, sachant par ailleurs que le jeu tourne parfaitement à 60fps sur PS5. Mais au-delà de ces considérations techniques, c'est surtout la direction artistique qui fait forte impression. Seattle est un terrain de jeu urbain et portuaire doté d'un caractère unique, avec notamment son monorail et sa tour Space Needle. Sa météo pluvieuse constelle de reflets son bitume et ses toits, sa brume crépusculaire lui confère une atmosphère dense et oppressante. Tout cela est contrasté par de nombreux néons, des effets de particules, et bien sûr de magnifiques trainées de lumières saturées qui viennent fendre le décor, rappelant le "light painting" en photographie. Cette esthétique, véritable feu d'artifice visuel, peut cependant nuire à la lisibilité. La taille modeste de la carte ne pose elle aucun problème, car elle correspond aux ambitions du jeu. Par ailleurs, le sound design et les musiques rock sont au diapason (rappelons que Seattle est le berceau du grunge). Le choix nous est laissé entre VF ou VOST, avec des doublages de qualité, mais hélas les sous-titres sont trop petits.

Il m'a fallu environ 6h pour terminer l'aventure, en complétant les activités de la carte à 100%. C'est court, mais je ne me suis jamais ennuyé, sauf sur la fin comme évoqué plus haut. J'ai ensuite consacré environ 4h aux épreuves en arène (survie et sauvetage d'otages), dont la difficulté est réhaussée, sans être non plus insurmontable. Addictif bien que répétitif, ce mode additionnel permet de rallonger la durée de vie du titre. Il sera également nécessaire de compléter d'autres défis pour décrocher le trophée platine, ce que j'ai fait sans déplaisir.

Positif :
+ déplacements hyper dynamiques
+ super-pouvoirs grisants
+ magnifique direction artistique

Négatif :
- personnages peu inspirants
- scénario quelconque
- épilogue à côté de la plaque
- problèmes de caméra
- parfois confus
- frame-rate instable

J’ai eu l’idée de prendre ce titre pour tester la série. Honnêtement, c’est peut être l’effet fin de gen, mais j’ai pas trouver de gros points positifs à ce titre. Le mode arène pour débloquer les high score m’on fait bosser mais pas rager.
Une petite histoire basique qui ne m’a pas passionné. Le gameplay est pas nul mais ne m’a pas trop éclaté.
En gros : jeu moyen mais j’ai testé la série je suis content.

J’ai adoré mais TROP COURT. Et l’arène d’entraînement complète l’histoire pour améliorer ses pouvoirs mais elle devient inutile une fois l’histoire finie, je n’ai pas eu envie d’y combattre. Pas assez de variantes dans le jeu.

First Light nous permet de redécouvrir avec plaisir la cité pluvieuse de Seattle et le gameplay toujours aussi nerveux et jouissif de la série.

Portée par un personnage principal attachant, l'histoire demeure un peu courte et ne parvient pas à être sublimée par les missions annexes recyclant les mécanismes de l'épisode original, malgré l'intégration plutôt intelligente du mode Arène... dont vous ferez rapidement le tour.

Si vous ne cherchez qu'un moyen de prolonger l'aventure de quelques heures supplémentaires ou que la possibilité d'affronter des vagues d'ennemis en faisant parler la poudre vous attire particulièrement, l'expérience proposée a de quoi vous séduire. Dans le cas contraire, pas sûr que le tarif demandé parvienne à vous satisfaire pleinement.

❤ Public visé ❤

☑ Débutant
☑ Joueur occasionnel

☑ Joueur normal

☑ Expert

☼ Graphismes ☼

☐ Mauvais

☐ Passables
☐ Très correctes
☑ Beaux

☐ Fantastiques

♬ Musique et doublages ♬
☐ Aucune

☐ Mauvaise

☑ Passable
☐ Bonne

☐ Très bonne
☐ Fantastique

☠ Difficulté ☠

☐ Facile

☑ Moyenne
☐ Facile à apprendre / Difficile à maîtriser
☐ Difficile

☐ Totalement injuste

§ Bugs §


☐ Ruinent l’expérience

☐ Nombreux
☑ Quelques-uns

☐ Aucun rencontré

☯ Ecriture ☯

☐ Aucune

☑ Mauvaise (vu et revu, aucune originalité)
☐ Correcte
☐ Très bonne
☐ Incroyable

⚔ Gameplay ⚔

☐ Frustrant

☐ Pauvre

☐ Lourd

☐ Original

☑ Fun (le pouvoir des Néons était le plus agréable à jouer parmi ceux du jeu original, c'est déjà ça...)
☑ Accessible

۞ Durée de vie ۞

☑ Très courte (0-3 heures)
☑ Courte (4-9 heures) (si on farfouille pour le 100%)
☐ Quelques heures (10-25 heures)

☐ Longue (30-60 heures)
☐ Très Longue (61-100 heures)

☐ Gigantesque (100+ heures)

☐ Présence d'un mode multijoueur

$ Rapport qualité/prix $
☐ Achetez au prix fort
☐ Attendez les soldes

☐ N’achetez pas

☑ Non évaluable à ce jour
☐ Gratuit

Commentaire :
Une vaste blague. Ce stand-alone est comme Second Son, mais en plus court. Après, est-ce vraiment un mal ? C'est au moins du foutage de gueule.