Je crois que ce jeu est une exception dans le paysage vidéoludique de la PS2. En effet, son univers est unique et l'on ne peut être qu'émerveilé lorsqu'on voit, par exemple, l'immense château dans lequel on est emprisonné.
C'est de la poésie interactive. De plus, c'est pas con (on enchaîne les enigmes les unes après les autres) et c'est graphiquement superbe.

Emerveillé, je suis tombé sous le charme de ce jeu qui ne peut pas laisser insensible. Bravo aux concepteurs pour l'originalité et la jouabilité de ce titre. Le concept de se déplacer à deux est vraiment un plus qui distingue ce jeu d'autres titres du même genre. J'en redemande !!!

Voilà enfin un jeu original. La première chose que je pourrais dire sur ce jeu, est qu'on ressent des peurs et des sentiments nouveaux. Tout se résume en une phrase : on n'a pas peur pour sois mais pour quelqu'un d'autre. En effet, le but du jeu est de sortir d'une forteresse, accompagné d'une jeune fille nommée Yorda que l'on se doit de protéger. L'absence de barre de vie fait que pendant les combats on ne peut pas mourir. Mais il faut éviter que les ombres enlèvent Yorda et on doit faire tout pour la préserver. Alors, quand elle est capturée, on se jette à corps perdu contre les assaillants et un réel sentiment de peur s'installe. Mais ce qui est vraiment troublant c'est qu'on n'a pas peur pour soi mais bien pour elle. Pour continuer, les graphismes, la bande-son, les personnages, le scénario, enfin tout le jeu en lui-même est différent des autres. Mais pas dans le mauvais sens. Commençons par les graphismes. De couleurs pastels, ils sont très agréables à l'oeil. La forteresse est somptueuse est le fait que la plupart de l'aventure se passe en extérieur rend le jeu encore plus enchanteur. Tout au long du jeu cela nous donne une impression de semi-liberté. Au niveau de la bande-son, quand il y a des musiques elles sont relativement discrètes, mais je pense que cela a été intentionnel car le joueur se sent tout de suite plus immergé car les bruitages sont privilégiés. Les bruits de pas, le chant des oiseaux, le souffle du héros quand il court. Tous les détails y sont. Du côté des personnages, ils reflètent le jeu. Ils sont tout simplement irréels. Yorda paraît tellement fragile ! Pour le scénario, étant au début de l'histoire, je ne peux pas encore vous en dire grand chose, à part que le jeu promet beaucoup de surprises d'après ce que j'ai pu en entendre dire. Un détail qui étonne, il n'y a pas d'inventaire et donc pas d'objets à ramasser. Les armes également sont au nombre de trois, dont une cachée. Visiblement, les producteurs d'Ico n'ont pas voulu faire de leur titre un jeu qui privilégie les combats. Non, il préviligie plutôt les énigmes, l'univers et l'ambiance. Bref, c'est un jeu à posséder absolument. Franchement, (à part si vous n'aimez que les jeux bourrins), ce jeu vous plaira à coup sûr.

RAAAH !! Je suis totalement amoureux de ce jeu !! ICO est une expérience unique !! Un véritable souffle d'air FRAIS ça change radicalement des Metal Gear Solid 2 (que je trouve absolument génial aussi, Bravo Konami !!) et autres jeux de guerre. Non, pas de sang, pas de morts, de violences, ici, tout est calme, apaisant, et stressant à la fois, c'est la première fois dans un jeu vidéo qu'on ressent autant d'amour, de compassion avec les personnages. On est bien loin d'une psychologie "Duke Nukemienne" !! nan, sans rire, ICO, est vraiment génial, et quand on sait que c'est le premier jeu d'une équipe, on ne peut que se réjouir... par contre, ce rêve qu'est ICO s'achève trop vite, et c'est presque les larmes aux yeux qu'on lit le mot "FIN"... vite, ICO 2 !!

Ico est un pur moment de rêve sans la pression des jeux que l'on peut avoir l'habitude de pratiquer. Ici, le seul souci est Yorda. Cette elfe magnifique va attirer toute votre attention par sa présence fragile. La protéger, c'est pour la première fois ressentir des émotions dans un jeu vidéo. Unique et merveilleux...

On connaît la passion des Japonais cultivés pour la peinture française. Avec ICO, Sony semble avoir voulu lui rendre hommage. C'est comme une merveilleuse balade dans une galerie de tableaux. Sauf qu'ici, le relief n'est pas qu'une simple question de trompe-l'oeil et que le jeu vidéo concrétise le rêve de tout amateur de peinture : pénétrer dans l'oeuvre, s'y promener, interagir avec les personnages et les objets et surtout faire varier son angle de vue pour admirer les modifications de l'effet de la lumière non seulement sur la texture des surfaces mais sur les sensations qu'elle produit. La scène finale de l'arrivée en barque sur la plage est de ce point de vue une merveille. Elle peint merveilleusement bien le sentiment de solitude, de résignation et d'hébétude dans laquelle se trouve le personnage et surtout le joueur. Assurément, c'est la plus belle scène qu'on ait vue dans un jeu vidéo. ICO est une tentative pleinement réussie pour convaincre le public que le jeu vidéo est l'art majeur du XXIè siècle. Il est la forme aboutie du cinéma interactif : raconter une histoire, émouvoir le spectateur, lui faire vivre pleinement l'action. Les plus beaux chefs-d'oeuvres de la peinture impressionniste valent des dizaines de millions d'euros. A 60 euros, ICO est une aubaine.

Une merveille, tout simplement. Dès les premiers instants, on se prend au jeu, on est conquis par les décors, les personnages sont plus qu'attachants... Bref, c'est beau, apaisant, agréable, jouable, vaste, sensible, chatoyant et...bon j'arrête les adjectifs dithyrambiques.
J'adore et tous ceux qui s'y essaieront seront forcément séduits. Un jeu à posséder absolument. Une aventure à vivre...je ne l'ai pas fini, loin de là, c'est un avis "à chaud" que je donne, mais qu'est-ce que c'est bon, de tomber sur un tel jeu !

Tout d'abord, toutes mes salutations à vous lecteurs ! Ico, Ico, déjà un nom qui résonnait dans mes oreilles quand je l'ai entendu pour la première fois. Et quand j'ai pu enfin m'y essayer, c'était un bonheur ! Au départ ce jeu me faisait penser à un tableau de Van Gogh. Des couleurs vives en extérieur et plutôt sombres en intérieur : excellente gestion des contrastes et de luminosité. Au niveau du gameplay, on voit bien que l'on contrôle en enfant de seulement 11 ans, sa démarche est hésitante, tout comme celle de Yorda. La symbiose des deux personnages est troublante de réalisme. Bon je vais arréter là mon petit discours, pour que vous puissiez lire les autres qui sont tous aussi bons les uns que les autres. Je dis à tout le monde, jouez bien et amusez vous bien avec Ico, vous ne le regrèterai pas !!! P.S: Je boude le public Japonais et Américain qui n'a pas donné de chance à Ico...

Superbe, envoûtant...Que dire de plus que ce qui a déjà été dit maintes fois ? Enfin un jeu qui sort de l'ordinaire et poétique en plus. Je ne mets pas 20, car rien n'est parfait, qu'on se le dise ;) Mais c'est dommage que des jeux comme ça se vendent si mal juste parce qu'il y a pas de sang. Ahlalala ce grand public(soupir)

Certains diront que mettre 20/20 à un jeu est excessif car rien n'est en tout point parfait. Je suis plutôt de cet avis mais je ferais une exception pour ICO. Le jeu a ses défauts, comme tous les jeux. On peut notamment lui reprocher sa durée de vie trop courte (max 10 heures la première fois) et la caméra souvent trop éloignée.
Cependant ce jeu est le premier du genre et c'est là que se fait la différence. Le jour où un éditeur nous sortira un jeu du même genre (cad réflexion, beauté, tendresse, solidarité...) je changerai peut-être ma note. Mais en attendant, n'ayant pas de point de comparaison et trouvant ce jeu sublime, je ne peux que lui mettre 20.

Un jeu qui fait rêver les amoureux de la nature et le l'entraide fraternelle. Des décors magnifiques, une jouabilité fiable et une atmosphère enchanteresse pour un jeu bourré d'humanité. Il est aussi très bon pour ceux qui aiment réfléchir.

Onirique, unique, envoûtant… ICO est une valeur sûre pour ceux qui cherchent un jeu qui sort de l'ordinaire, et propose un concept de jeu original et prenant. Reste qu'il ne conviendra pas forcément à tous les joueurs, même si je ne saurais trop vous conseiller de tenter l'aventure...

Le jeu est graphiquement bien fait... mais il est vraiment lourd au bout d'un moment, ce qui me motive c'est de pouvoir contrôler Yorda à la fin Dommage que Yorda soit une handicapée... elle n'ose même pas descendre un petit mur...c'est déplorable. Voilà mais sinon dans l'ensemble ASSEZ bon jeu...mais je ne vous le conseille pas !

ICO, un titre qui résonne déjà dans la tête des nombreux joueurs qui ont pu s'y essayer ne serait-ce quelques minutes. Un nom qui marque dès aujourd'hui le monde des jeux vidéo d'une empreinte indélébile, par sa fraîcheur, sa poésie, sa subtilité et son ambiance hors norme. Un OVNI vidéoludique qui n'a pas fini d'être pris pour référence. Ce n'est plus un simple test mais un hommage dédié à une perle rare qui donne tout son sens aux mots "Emotion Engine". Pourtant que nous propose réellement ICO ? Un gameplay archi-simple et hyper-classique consistant à aller d'un point A à un point B tout en contournant des obstacles. Un durée de vie un peu courte (7h30), une quasi-absence de toute forme d'action et un scénario qui n'est conté que par de petites allusions. Mais alors pourquoi je vous recommande ce jeu sans aucune réserve ? Et bien le sentiment d'immersion dans le monde d'ICO est l'une des choses les plus fascinantes que j'ai vues dans un jeu vidéo. Le graphisme, le son et la conception originale des énigmes procurent à ce titre un quelque chose que vous ne trouverez nulle part ailleurs. Vous aurez la sensation qu'un de vos propres rêves se matérialise sur votre écran ; un peu effrayant, beau, intrigant et magique… c'est le propre de tous les rêves, celui-là à un nom : ICO !

Un chef d'oeuvre de plus en ce bas monde...L'architecture des lieux est immense et sublime, les énigmes assez bien pensées, le principe de la protection d'un autre personnage apporte évidemment un plus incroyable, tant il faut repenser les manières de jouer (ne pas laisser Yorda seule trop longtemps, toujours surveiller si des ombres ne rodent pas dans le coin). Une pure merveille !