Le titre est une éloge à la poésie. Malgré des graphismes beaux mais sans plus, le jeux nous entraine dans un univers émouvant et palpitant. Les musiques sont magnifiques et les combats bien gérés. Seul bémol, le titre ne touche pas un public large à cause de son style poétique très particulier. Cependant, il est un des jeux apportant le plus d'émotions.

La réputation d'ICO n'est plus à faire : titre onirique et poétique, à l'histoire débordant de métaphores et de symbolisme, visuellement bluffant, au gameplay simple mais non moins efficace. Un excellent jeu, en résumé.

Malgré une histoire réellement touchante et une ambiance unique, quelques défauts viennent, hélas, entâcher ce tableau qui aurait pu être un chef d'oeuvre de la PS2. En premier lieu, défaut le plus gênant, la gestion de la caméra est catastrophique. On passe son temps à se repositionner pour espérer voir ce qu'il y a devant soi et le chemin à suivre. Cette caméra, la plupart du temps "simplement" embêtante, devient carrément handicapante lors de certaines phases de plate-forme. Une frustration d'autant plus grande qu'elle nous empêche de réellement profiter des décors et de l'univers du jeu.

Deuxième point noir : la courte durée de vie et le peu de replay value qu'offre le jeu.

Ces quelques défauts ne doivent pourtant pas vous empêcher de vous lancer dans cette aventure unique et de découvrir l'histoire mélancolique qu'elle a à vous offrir.

Envoûtant est le premier mot qui me vient à l’esprit pour décrire ICO. Ayant fait SotC avant je m’attendais à un jeu fort en ambiance et épuré, je ne suis pas déçu ! Pour parler un peu du jeu je vais commencer par ses défauts. Essentiellement 2 choses. La plus évidente c’est sa durée de vie. Le finir en 7h dès la 1ere fois sans aide c’est maigre. L’autre chose qui m’a parfois agacé, c’est cette caméra inconfortable. Elle empêche notamment de pouvoir admirer les environnements dans leur ensemble et peine à centrer l’action lors des combats, pas évident pour savoir où se barre Yorda. Ceci étant dit, tout le reste c’est du bonheur. Les énigmes ne sont pas trop compliquées mais parfois perverses, on avance sur un bon rythme. Les animations des personnages y compris des ombres sont vraiment fluides, tout en souplesse. L’atmosphère est juste sublime, un mélange de mélancolie, de solitude et d’abandon dans cette forteresse immense, le tout renforcé par des sonorités de courants d’air et d’échos de nos pas. Peu d’éléments pour le scénario mais il puise sa force dans une sorte de création mythologique et des destins tragiques. Bref c’est vraiment une pure réussite de la part de Ueda.

Deux points de moins que SOTC. En effet l'ambiance est au rendez-vous et le scénario est même plus prenant que sa magnifique suite. Par contre le jeu est réellement redondant malgré des énigmes avec une difficulté bien dosée. Le graphisme est toujours aussi splendide et on ne peut qu'être impatient de voir ce que l'on nous réserve sur ps3.

A tout les Imbéciles qui ne conscidèrent pas les jeux videos comme un Art.
Ico sur playstation 2 en est la preuve, de même que shadow of the colossus, Okami, la série des Final Fantasy, voir même Bioshock.

Ico c'est l'histoire de d'un jeune garçon qui est bani de son village car il a des cornes, emprisonné dans un chateau puis abandonné. Voué à mourrir, il parvient tout de même à s'échapper de sa cellule. Il tente alors de trouver la sortie du chateau. Sur son chemin, il rencontre Yorda, une jeune fille elle aussi prisonière. Il ne parlent pas la même langue mais vont tout de même s'entraider. Enssemble il tenterons d'échapper à la "sorcière" à qui le chateau appartient...
Ya pas de mots pour décrire la beauté de ce jeu.

Ico est une expérience étonnante, originale et un jeu excellent : des environnements grandioses, des énigmes logiques et compliquées mais pas impossibles, une aventure intéressante et Yorda, le point le plus original et le plus intéressant à mon avis. On se prend vite au jeu du "donne moi ta main et prend la mienne et tombe pas dans ce trou".
Sinon le jeu n'est pas exempt de tout reproche : certains environnements sont vraiment trop sombres et le scénario n'est qu'un vague prétexte à une suite d'énigmes au final.

Acheté le 09/08/02 grâce au Game One de l'époque !

Pas d'armes ou de zombies casual à la con comme aujourd'hui !

Vous êtes Ico et vous devez sortir du château ou on vous a enfermé parce que les villageois ont peur des enfants à cornes !

Après quelques minutes vous tombez sur Yorda mais aussi sur les ombres qui ne pensent qu'à une chose, choper Yorda !
A vous de la protéger à coup de bâton mais ça sera pas facile tous les jours, ils ont tendance à vous taper et si vous laisser tomber Yorda, vous perdez !

Pour progresser, vous devez activer les portes avec Yorda, sauvegarder avec Yorda, les sauvegardes font aussi office de point de contrôle !

Pour la musique, elle est discrète, ça sera surtout à base de cui cui, de vents et de la musique des ombres, celle-là, vous l'entendrez souvent !

La maniabilité, y'a rien à dire sauf que j'ai modifié les commandes X pour sauter et Triangle pour lâcher !

La version Pal comporte plus de choses que ses soeurs NTSC !
A savoir, un mode 2 joueurs, terminez le une fois et faites la partie à 2 !

C'est très pratique pour les ombres, votre coéquier bougera facilement !

Un jeu absolument magnifique. L'histoire est réellement passionnante, on est emporté par ce sublime jeu qui est la perle de la PS2. Des sons très réalistes et une prise en main facile. Il est un peu court, mais on prend du plaisir à le recommencer.

ICO fait partie des jeux à avoir, jeu rare, très différent des autres, très particulier, poétique, aux graphismes magnifiques. S'il est étrange, cela en fait son originalité et ne lui enlève en rien son intérêt. Loin des jeux de gueguerre classiques, il est fait pour ceux qui cherchent autre chose...

Un jeu poétique dans un monde du jeu vidéo brutal. Ico dispose d'un univers particulier(come son successeur) et d'un gameplay qui lui est propre. Amusant et original, mais pourtant il manque, pour moi, de quoi redonner envie de s'y remettre une fois finie. Peut être est-ce sa particularité auquel je n'ai pas totalement accroché.

tout simplement une pure bombe comme on en fera jamais!
Le jeu est splendide assez long
L'histoire est adorable et les personnages attachants
.le fait de pouvoir manipuler yorda est assez agréable...
Le meilleur du monde et ne sera jamais dépassé

Je trouve ce jeu vraiment excellent. J'ai adoré!
Je l'ai fini deux fois et je suis en train d'y jouer une troisième fois en ce moment.
Il est vraiment extra ; franchement, j'adore !
Les graphismes sont magnifiques, il y a des moments un peu difficiles, mais on ne reste pas bloqué trois heures, on se débloque assez facilement après quelque réflection.
Mais enfin, bref, j'adore ce jeu ! J'aimerais en trouver un autre aussi bien.

Un commentaire simple : tout simplement le meilleur jeu de tous les temps. Une atmosphère et une poésie inégalée jusqu'à aujourd'hui. Une difficulté parfaitement dosée et une bonne durée de vie (personnellement, les jeux répétitifs genre FF à 100h de durée de vie c'est pas la panacée...). Seul défaut : sa suite qui n'est (encore ?) jamais sortie.

Quand on joue à ICO, le temps passe vite. On ne fait pas gaffe, on regarde les décors, on zoom sur les personnages, on tape les ombres avec son baton. Niveau graphique les textures se répètent mais c'est encore très beau pour son âge. Je le recommande, mais peut être pas neuf à 60 € quand même.

Jouer à Ico, c'est retrouver des sensations que l'on croyait perdues depuis plus de 15 ans, avec des jeux comme Prince Of Persia ou Another World... ces jeux uniques où l'on avait vraiment la sensation d'être presque seul dans un monde étrange et complètement immersif. Ico est incontestablement de cette race-là, sublimé en plus par des environnements saisissants de beauté, la vieille forteresse en ruines au beau milieu de la nature appelle à la poésie et au recueillement, cette sensation étant accentuée par des sons et bruitage parfaitement en accord. Le principe du jeu a beau être minimaliste, il n'en est pas moins redoutable d'efficacité, et on ne s'ennuie pas une seconde tant on est impliqué dans notre tentative d'évasion, ainsi que dans la protection de Yorda qui constitue notre seul espoir de sortie. Les concepteurs ont également eu le génie de rendre le jeu accessible aux débutants, on meurt très peu dans Ico, d'ailleurs aucune jauge de santé n'est affiché, il faut juste éviter de prendre trop de coups d'affilée ou de tomber de trop haut, et bien sûr, il faut impérativement empêcher Yorda d'être aspirée dans un trou d'ombre... le rythme du jeu est donc fluide, et il est très rare d'être frustré devant une situation, on ne cesse d'avancer dans Ico, chacun à son rythme, mais on avance. La réalisation du jeu est somptueuse, les environnements sont magnifiques, on pourrait presque respirer l'air frais émanent du jeu lol, les protagonistes aussi bénéficient d'un design très réussi, et le tout est animé à merveille.
Finalement, il n'y a que deux petites ombres au tableau la première étant l'aliasing qui empêche de savourer pleinement la beauté du jeu (un mode d'affichage en progressif aurait également été plus que bienvenu), la seconde ombre étant la faible durée de vie du titre, moins d'une dizaine d'heures en prenant bien son temps, et l'aspect volontairement minimaliste du titre (pas de quête secondaire, rien à débloquer etc) fait que l'on y rejouera pas plus d'une fois (histoire de faire le jeu à deux, et de comprendre ce que dis Yorda) ou deux. Malgré ces défauts, je mets un bon 18/20 à Ico, qui constitue une des expériences vidéoludique les plus intenses qu'il m'ait été donné de vivre depuis fort longtemps.