Je donne un 20/20 car ce jeu a bercé mon enfance pendant facilement 3 années...je jouais à l'époque sur un 384Hz, le jeu tenait sur 5 disquettes et il fallait un boot-disk... bref une galère à faire marcher mais quel pied ! Et quelle nostalgie quand j'y repense...
Nous sommes ni plus ni moins ici en présence de l'ancêtre de tous les elder scrolls, de Daggerfall à Skyrim. Toutes les races de Tamriel sont jouables et on retrouve les archétypes de tout bon rpg avec les différentes déclinaisons possibles (ex: mage, sorcier, battle mage, rogue,..).
Déjà à l'époque, la profondeur du jeu en termes de possibilités était sans limite...différentes guildes, quêtes annexes (reondantes certes) à chercher dans les tavernes (évident!). Les rumeurs concernant un artefact légendaire et j'en passe. Au dela de la trame principale comprenant de mémoire une dizaine de donjons (1 par province?)avec une énigme pour chacun, et à l'époque internet n'existait pas donc les résoudre n'était pas toujours trivial et en cas de blocage c'était soit les bonnes vieilels revues de jeux-video ou une dague passe-muraille et de la patience,bref il y avait de quoi s'amuser. En effet, la taille de la carte du jeu est tout bonnement démente,les donjons sont par centaines et la diversité des monstres est plus que louable pour l'époque (je me souviens de ma rencontre avec mon premier spectre "Wraith"...j'ai lâchement fui la maison de PEUR, j'avais 10 ans) et la pléthore d'enchantements existants couplée à la possibilité de se créer ses propres sorts permet une diversification des personnages rarement atteinte aujourd'hui, autant dire que pour l'époque c'était une révolution.
Y rejouer aujourd'hui est un peu difficile mais je l'avait émulé il y a de cela quelques années et je n'ai pas pu m'empêcher de refaire les premiers donjons...alors oui ça pique les yeux oui il y a des bugs (j'avais "perdu" un perso car 1.000.000 de potions sont apparues dans mon inventaire = immobilisé, ou encore mon chevalier réparant lui même ses armes (compétence unique de classe), elles ne perdaient ni points de durée ni charges d'enchantements, lolesque) mais à bien y repenser, ce jeu est encore aujourd'hui en avance sur beaucoup d'un point de vue immersion (aidée par le gigantisme du bac à sable qu'était Tamriel).
Arena, c'est un peu comme une sainte relique, c'est mon premier RPG, ce sont des (gros) pixels de bonheurs, c'est des milliers de monstres écrasé avec mon adamantium flail of paralysation et pourfendus avec mon ebony daï-katana...j'ai même progréssé très vite en anglais grâce à ce jeu. Brefs, avec tous ces souvenirs, je ne peux que lui mettre un bon gros 20/20 en or massif.
Pour les jeunes d'aujourd'hui, qui auront probablement des boutons et des plaques rouges à la vue des graphismes (pourtant si glorieux à l'époque), contentez vous de vous souvenir que tout a commencé par là et que vous lui devez ce qui se fait de mieux en rpg à ce jour(Morrowind, Oblivion, SKyrim) et bientôt en mmo-rpg (The elder scrolls Online).
Retour aux sources...
Lorsque l’on se laisse emporter par la richesse et la beauté de titres comme Oblivion et Morrowind, on doit garder à l’esprit que ces jeux n’auraient peut-être pas vu le jour sans le succès rencontré par le premier volet de la série des Elder Scrolls : Arena. Bien entendu, ce titre poussiéreux, désormais devenu un abandonware et donc disponible un petit peu partout en téléchargement légal et gratuit sur le net, ne comblerait plus les attentes des joueurs modernes. Pixellisé au possible, extrêmement bogué si l’on s’y risque sans de nombreux patches, incompatible avec la plupart des systèmes d’exploitation actuels, Arena ne peut plus être testé et coté dans le même esprit que des jeux de rôle modernes. Et pourtant…
L’histoire commence comme souvent dans la série des Elder Scrolls : vous êtes retenu prisonnier sans trop savoir pourquoi et vous croupissez dans un donjon, quelque part dans la cité impériale. Là, une apparition diaphane se dresse bientôt devant vous. Une femme. Elle se dit votre amie. Elle a pris connaissance d’un immense danger pour le monde de Tamriel mais, ne pouvant agir par elle-même, elle a besoin d’un héros pour sauver ce qui peut encore l’être. L’empereur a été fait prisonnier par son propre mage impérial, Jagar Tharn. Celui-ci a pris son apparence et gouverne depuis d’une façon nettement plus tranchante. Le véritable empereur est retenu en Oblivion, l’enfer, mais peut encore être sauvé… La tâche semble immense. Et les apparences ne trompent pas. La sorcière vous libère et vous voilà livré à vous-même dans le premier donjon d’une longue série.
1er volet des Elder Scrolls, Arena pose les bases de la plus grande série de RPG occidental, à savoir une liberté totale et une richesse de possibilités hors-du-commun, permettant au joueur de se projeter pleinement dans l'univers de Tamriel. Le jeu est austère, difficile (difficulté un peu trop mal dosée pour le coup), c'est à ce prix qu'il dévoilera sa richesse. L'aspect désué du titre (surtout d'un point de vue graphique) ne rend pas hommage à l'ambition fabuleuse des développeurs à l'époque, j'en veux pour preuve la taille de la map absolument inhumaine: 8 millions de Km². Bien sur nombre d'extérieurs et de donjons sont générés aléatoirement ce qui donne à cet univers un côté artificiel et impersonnel, bien que le background était déjà plutôt soigné pour ce 1er épisode. A essayer par curiosité, ce que j'ai fait, mais pas à adopter car ce titre a très (trop?) mal vieilli, et n'oublions pas qu'il est bugué plus que de raison, c'est un jeu très instable ce qui nuit au plaisir de jeu, ce qui fait que je ne lui donne "que" 15/20.
Ce jeu m'a beaucoup plus autant au niveau gameplay que scénario, les quetes sont nombreuses et les donjons vastes et périeux comme on les aimes. Seul point négatif, le graphisme. Je sais bien que ce sont les débuts de la 3D a la sortie du jeu, mais je pense que cet opus aurait pu etre fait en 2D.
j'ai trouvé ce jeux très intéressant difficile au début en tant que mage ,déroutant surtout au début a cause des monstres dans les villes la nuits.Sinon j'ai bien aimé les énigmes ce qui le classe parmi mes jeux préférés en tant qu’expérience vidéo ludique unique et déroutante pour moi jeunes de la "nouvelles génération".
Un jeu correct, de bons graphismes pour l'époque, le début d'une longue et grande Saga, un Gameplay facile et une histoire convaincante, l'IA est bonne, pour résumé, The Elder Scrolls : Arena sur PC est un grand jeu de rôle !
Une antiquité certes mais c'est par ce premier opus que la saga des Elder Scrolls prit vie
Les premières minutes sont difficiles mais on s'y fait
La profondeur du Jeu est tout a fait remarquable avec une durée de vie tout simplement énorme et la map n'en parlons même pas
Les graphismes dignes d'un jeu des années 90 mais si ont devait s'arrêter a ça ..... je lui mets un 18 bien mérité a mes yeux
Le début d'une série mythique, The Elder Scrolls: Arena, un concentré d'innovations pour les RPGs ! Maintenant les graphismes sont complètement dépassés mais l'intérêt du jeu est là ( Ce qui est embêtant c'est que les dialogues sont en anglais ! ), la bande-son c'est du son pixelisé donc c'est pas terrible, le gameplay est aussi dépassé que ses graphismes, normal je suis habitué à Oblivion et Morrowind donc forcement ça fait une claque !
Des graphismes de qualité pour l'époque, des donjons tortueux ou l'ont à vite fait de se perdre, pas temps que par leur grandeur mais aussi par leur originalité.
Le gameplay quand à lui est assez réduit certes mais pas très compliquer, ont apprend vite, bien que la visite des donjon reste comme même difficile.
Pas mal de temps seront nécessaire aux jeunes joueurs de Aréna pour pouvoir résoudre les différentes énigme et finir les donjon de la quéte principale, dont le scénario est recherche et très difficile
Aux final Arena montre bien le bon départ de Bethesda !
A découvrir par tout les nombreux fan.
Arena annoncait deja la qualité de la meilleure série de RPG occidentale existante.
Les graphismes sont d'époques, mais on s'y habitue, et on a du mal à le lacher une fois dedans!
Bref, un must à posseder.
Arena est un jeu toujours aussi envoûtant malgré des graphismes très "rétro" de nos jours. Il a un univers énorme et éblouissant (bien qu'un peu superficiel), plus que suffisant pour garder le joueur en haleine de longues heures même après avoir terminé la quête principale. Si Arena avait une histoire et une interaction avec les PNJ mieux développées, ce serait presque parfait.
Même s'il est à l'origine d'une franchise à grand succès TES Arena est surtout notable pour la pauvreté de son contenu et son aspect inutilement prise de tête. Dans ce jeu vous ne pouvez pas rejoindre de faction, acheter de maison ou enchanter votre équipement et les objets que vous pouvez acheter se limitent au strict minimum pour les combats. Vous n'avez en plus droit qu'à 9 quêtes re-jouables, et comme Arena est aussi diversifié que bien pensé les entrées journal les plus récentes sont toujours ajoutées dans les dernières pages vous êtes rapidement obligés de passer de longues minutes à parcourir le journal de quête pour savoir ce que vous devez faire. Quand vous trouvez une potion vous devez vous référer au codex pour découvrir ses effets et si vous découvrez un objet enchanté vous devez vous rendre en ville pour le faire identifier sans oublier que le jeu peut vous empêcher de prendre un objet même si vous n'êtes qu'à la moitié de votre encombrement maximal. Vous devrez aussi composer avec une montée de niveau au compte-goutte. Comme dans tout jeu de Bethesda les bugs sont pléthoriques et un rien suffit pour corrompre votre sauvegarde. Heureusement Arena se rattrape avec la liberté de création du personnage, l'ambiance bien travaillée qui contribue à l'immersion et quelques astuces qui permettent de mieux gérer la difficulté.
Malgré tous ses défauts comparé aux jeux actuels, ce jeu donne toujours envie d'y jouer en 2015 et devient même très prenant une fois qu'on est lancé. Il nécessite néanmoins un ou deux jours d'adaptation pour accepter les graphismes ultra-pixélisés et surtout la bande-son archaïque. Mais une fois ce temps d'adaptation passé on peut profiter d'un jeu déjà assez immersif pour 1994.
La diversité est au rendez-vous. Diversité des paysages, des armes, des armures, des objets, des effets magiques et des monstres. La carte est immense et peu être explorée entièrement bien que certaines parties soient générées aléatoirement.
Les quêtes sont un peu redondantes et l'interface pas du tout ergonomique, certains donjons sont extrêmement tortueux et les classes sont mal équilibrées (les classes privées de "plate armor" sont lourdement désavantagées niveau HP sans vraiment de contrepartie), mais on finit par s'habituer et le jeu a une bonne durée de vie. C'est mon premier Elder Scrolls et Arena m'a donné envie de commencer les autres.
The Elder Scrolls: Arena est un bon malgré les graphismes qui sont vieux. Mais une fois dans le jeu l'histoire est assez prenante. Les bandes son sont pas très bien même un peu nul. Mais ce jeu est moins bien que The Elder Scrolls II.
The Elder Scrolls-arena ,sans doute le meilleur rpg à l epoque, ce jeu est super , les donjons tres vastes ,le nombre de quete, la durée de vie immense.sa fais depuis 1 ans que j'y joue donc je n ai pas aimer les graphismes.Malgres les graphismes sa reste un des meilleurs RPG.
Alors voilà ce n'est pas dans mes habitude mais je vais noter en gardant en tête que le jeu est vieux, donc 13. Les petit boulot que l'ont peut faire, les interaction avec les personnage plutôt réussi, les auberge qui ne sont pas la que pour décorer, la création de sort, et tous sa dans un même jeux gratuit. Maintenant on se réveille, Arena est vieux et le système de combat aussi, donc un bon jeu... Pour son époque.
Pour moi, ce jeu était une révolution à l'époque. Non, je rigole, je l'ai connu très très tard mais je ne regrette pas de le découvrir uniquement que maintenant; Pour un rpg, ce jeu est bien complet et malgré tout (pixel) bien détaille. Le premier jeu d'une série énorme.