Ce jeu m'a marqué, tant pour ses personnages, en particulier April, ses graphismes somptueux, sa bande sonore, son scénario qui, personnellement m'a complètement immergé dans le jeu.

J'attends la suite avec beaucoup d'impatience.

Pour ceux qui n'ont pas encore testé le jeu, je vous le conseille vivement !!

L'heroic fantasy, vous connaissez ? La SF dystopique, vous connaissez aussi ? Alors préparez-vous à être déstabilisés, car ce jeu prend un malin plaisir à bouleverser et tourner en dérision tous les poncifs de ces deux types d'univers. The Longest Journey, c'est avant tout un univers de fiction plein d'âme et d’humanité, loin de toute rigidité et artifices faciles. April Ryan, l'héroïne dynamique et narquoise que nous incarnons, introduit en effet un regard décalé sur ce long voyage à travers deux mondes parallèles. D'abord Stark, monde "bas, matériel et corporel" où l'enclave artistique d'un Venice languide baigné par le soleil se heurte à l'industrie crasseuse de la ville futuriste de Newport. Puis Arcadia, monde de la magie où les prophéties innombrables et les voyages épiques aboutissent sans arrêt à des conclusions surprenantes et à des rencontres loufoques (ah, Crow...). D'ailleurs, presque tous les personnages s'avèrent attachants, et il est difficile de les oublier. Le scénario haletant est rythmé par un dosage parfait entre des énigmes originales et accessibles d'une part et des dialogues riches et vivants d'autre part. On ne s'ennuie jamais et on découvre toujours de nouveaux aspects de ce monde. Pardon, de ces mondes... Le résultat est un mélange étourdissant d'humour caustique, de finesse et de poésie. Seule la fin aurait pu être meilleure, ou du moins avoir plus d'amplitude, car tout s'enchaîne un peu vite sans véritables surprises et en laissant quelques intrigues secondaires (et le sort de personnages importants) en suspens. Mais elle reste belle et touchante, à l'image du reste de l'aventure. Ce jeu possède donc une vraie fraîcheur, une vraie légèreté, et ne donne jamais une impression de déjà-vu, car tout ce qui paraît familier devient vite quelque chose de nouveau sous la plume géniale des concepteurs. Cela en fait une vraie histoire.

Et bien voilà, finalement, je prends le temps d'évaluer ce jeu. 17 est pour moi une excellente note. Ce jeu m'a comblé. Durée de vie, onirisme, décors, intrigue, scénario. Au début, les dialogues, sincèrement, ils m'ont saoulé. Mais en avançant, ils donnent toute la force à cette histoire. En fait, je me suis surpris à ne pas me concentrer sur les énigmes mais sur le plaisir de suivre l'histoire ponctuée par mes interventions. C'est grace à ce jeu que j'ai fais la connaissance de tant de monde sur les forums. Ce jeu à généré de vrais passions. Pas aussi beau qu'un Syberia, c'est vrai, mais quel jeu! Je conserve un souvenir ému de ces moments passés devant mon PC avec April. Je pense y avoir passé au moins 50 heures. Et le final...découvrez-le!

Ne vous laisser pas refroidir par la date de sortie du jeu. The Longest Journey est un très bon jeu de point&click à la prise en main facile et doté d'une intrigue bien tournée. Une réference en la matière, si comme moi vous avez aimé la saga des Syberia.

tres bien réalisé bien que très long et il faut beaucoup réfléchir. Bref ce jeu n'est pas à prendre à la légère et ne comptez pas dessus pour le finir en 2 jours. Si l'on est pas très intéressé par ce jeu il devient lassant mais est assez éblouissant coté graphisme.

The Longest Journey est vraiment un très bon jeu d'aventures, un des meilleurs, une expérience où j'ai pris beaucoup de plaisir.

Ce qui va être le plus mémorable pour moi c'est l'univers du jeu. On en a même deux pour le prix d'un : Stark, un futur dystopique dans une ville énorme, et Arcadia, un monde plus approprié à des contes fantastiques et des récits d'aventures. Chaque monde est assez détaillé, on les voit sous beaucoup de facettes, on en rencontre beaucoup de personnages, et ils ont tous deux l'impression d'être très vivants - l'immersion n'en est que plus forte.

Cette immersion est aussi renforcée par une très bonne direction artistique. Même si les personnages en 3D ont pas mal vieilli, car ils sont faits de peu de polygone, les décors, et les "toiles de fond" sont vraiment beaux, c'est un plaisir de les voir.

L'immersion est aussi renforcée par une histoire très intéressante, et de nombreux dialogues, enrichissant beaucoup le contenu du jeu. Chaque moment est assez travaillé, et rien n'est bâclé. L'histoire est prenante, avec de multiples enjeux, et si la progression vers le but final est lente, ce n'est que pour s'immerger encore plus dans l'univers. On ne se plaindra donc pas de la durée de vie, très conséquente (j'ai mis 27h), surtout en comparant à des jeux récents.

Le gameplay est très basique : il se prend très vite en main, et a très peu de défauts. C'est un point and click classique : on ramasse des objets, on interagit avec l'environnement, on discute, et on résout des énigmes. Le jeu n'est pas toujours facile (2-3 passages m'ont bloqué), mais souvent c'est parce qu'on a pas assez observé l’environnement.

Enfin, une des grandes forces du jeu (si pas la plus grande), ce sont d'excellents personnages, et surtout un excellent personnage principal. C'est déjà cool de jouer une fille pour changer, mais c'est vraiment excellent quand on a l'impression de jouer une vraie fille, qui parle et réagit comme une fille l'aurait fait. Le personnage est attachant, a ses défauts, mais sait trouver son courage comme toute héroïne. D'autres persos sont tout aussi mémorable, comme Crow qui fait rire à chaque apparition.

Bref, un excellent point and click, à l'univers très riche, à l'histoire prenante, et en tout point mémorable.

Je n'ai pas joué au jeu à sa sortie et pourtant, 10 ans après je me suis laissé séduire par The Longest Journey, son ambiance chaleureuse et son héroïne ô combien charismatique. La difficulté est au rendez-vous sans être frustrante, le scénario est à la hauteur de nos espérances et la durée de vie est conséquente. Les graphismes ont certes vieilli mais le rendu reste agréable à l'oeil. Dans l'ensemble The Longest Journey reste un très bon jeu, même pour ceux qui ne sont pas des nostalgiques de la première heure. Une expérience à vivre.

TLJ est vraiment un jeu d'aventure point & click dans la plus pure tradition du genre. Même si ce jeu a près de 10 ans déjà il conserve un charme étonnant. D'une part le scénario est vraiment très recherché et la durée de vie est très bonne pour un jeu d'aventure (facilement 15-20 heures si je me souviens bien). On pourra déplorer la qualité graphiques des personnages mais cela est essentiellement dû à l'âge du titre et les environnements sont plutôt pas mal. Ensuite, on peut déplacer April (l'héroïne du jeu) dans de nombreux endroits et le système du métro rappelle un peu les premiers Baphomets (un bon souvenir). TLJ est un MUST dans les jeux d'aventure au même titre que les premiers Baphomet et ce titre mérite amplement son 17 car c'est l'un des seuls jeux d'aventure que j'ai pris du plaisir à refaire récemment sous Vista, une fois patché bien sûr.

Un jeu de toute beauté. Une histoire originale, une musique envoutante et un corbeau clownesque (ceux qui n'ont pas fait le jeu ne me comprendront pas mais croyez-moi c'est un pilier du scénario). Que regretter sur ce jeu?De l'avoir fini déjà mais plus objectivement, on pourrait se plaindre de la modélisation des personnages qui est la seule chose qui soit moche. De toutes manières, quand on vit une telle aventure, on pardonne et on met 17 à cette petite merveille.

Voilà un jeu d'aventure qui marque les esprits ! Je précise que j'ai d'abord découvert le 2ème opus, Dreamfall avant de me lancer dans the longest journey, et si Dreamfall m'a ravie, The Longest Journey m'a bien fait rire. Le monde inventé est plein de créativité, les créatures sont attachantes et les perso aussi. Côté gameplay, rien à dire sur le bon vieux point&click...tout ce qu'on peut espérer, c'est qu'ils continuent la série !

Une note complètement subjective pour un jeu qui m'a offert la plus belle histoire et le personnage le plus attachant de mon expérience video-ludique. La seule fois où terminer un jeu m'a laissé le même sentiment que celui que l'on ressent lorsqu'on referme un livre pour la dernière fois. D'ailleurs, c'est autant un livre qu'un jeu tellement il y de dialogues et autres phases de lecture.
Sur le plan ludique il assure l'essentiel avec des énigmes qui ne m'ont pas laissé de souvenirs particuliers par leur complexité ou originalité. Le jeu a évidemment techniquement vieilli mais garde son charme par son ambiance qui alterne cyberpunk et fantasy.
Un jeu à fuir si la lecture vous donne de l'urticaire. En ce qui me concerne, il forme avec Baldur's Gate 2 et Vampire: Bloodlines ma sainte trinité du jeu vidéo.

pour nous "vieux gamer" c'est le FF7 du point and click !!!!! les énigmes sont quand même un peu capilotracté pour certaines, les graphismes sont toujours aussi enchanteurs et l'ambiance générale nous fait vraiment ressentir un dépaysement complet ! plus on y joue plus on est impliqué dans ce monde onirique qui, à force, nous paraîtra tellement cohérent !!
un must have qui s'achéte une poignée de moules sur steam et qui se patche en français en un clic !!
une référence !

Dans le Point & Click, il existait à l'époque de son âge d'or plusieurs catégories. Les jeux avec un univers sérieux, ceux avec un univers loufoque et ceux avec un univers fantastique, digne des plus beau romans.

The Longest Journey fait partie de cette catégorie. Ce jeu fait partie de ceux qui ont été l’apogée de ce genre. Un jeu qui peut sembler classique au premier abord, mais qui se démarque par la richesse et la profondeur de son univers. Un univers dont la beauté et la complexité n'ont d'égale que la trame narrative du jeu.

Alors certes le jeu a très mal vieilli visuellement, et il est assez compliqué à faire fonctionner de nos jours (Merci à Steam qui permet de profiter des magnifiques musiques du jeu, qui ne fonctionnent malheureusement pas avec la version boîte sur les OS récents), mais ce jeu a la capacité d'emporter un joueur dans une aventure dont il ne décroche qu'avec difficulté.

Peu de jeux vidéos peuvent prétendre avoir une telle qualité.

PS : Il existe un patch FR disponible dans la section "Guides" du jeu sur Steam. Donc ceux qui rechignent à le tester à cause de l'absence de VF, elle est disponible pour peu que vous la téléchargiez. ^^

J'ai découvert les jeux d'aventure il y a 11 ans et apres tout ce temps et avoir joué à presque tous les jeux de ce genre, "the longest journey" reste mon jeu préféré. A la fin, j'en ai eu des frissons et la larme à l'oeil. Alors, si vous découvrez le genre, précipitez vous, vous ne le regretterez pas.

The Longest Journey nous transporte dans deux mondes que tout oppose : en premier lieu dans un futur que les développeurs ont rendu cohérent. Cet univers de science-fiction, logique et sans surprise est néanmoins rattrapé rapidement par des éléments fantastiques perturbateurs. Puis ce monde de technologie et familier à April Ryan, la protagoniste, cède la place à un monde médiéval, de contes de fées et d'heroic fantasy, bouleversant la jeune fille. Ce vaste mélange de genres paraît trop confus pour que l'histoire tienne debout et pourtant... elle se révèle attachante, claire.
April, à qui on s'identifie de suite, porte le jeu à elle seule et son innocence la rend très humaine, sa voix française transpose à merveille son tempérament.
Les cinématiques, assez nombreuses, sont bien travaillées pour l'époque et confèrent un rythme à l'ensemble.
Certains lui ont reproché ses tartines de dialogues mais ils sont destinés à crédibiliser l'histoire. De plus, l'aventure prendra bien des heures : sa durée de vie dépasse celle de la moyenne du genre "Point and Click".
Pour conclure, je dirais que, des années après sa sortie, alors que les écrans fixes et la modélisation des personnages sont complètement dépassés, The Longest Journey a su garder un charme puissant qui nous pousse à achever l'aventure.