oui je met 15, pour la beauté des graphismes, sourtout les grottes, fantastiques, pour la durée du jeu tout dépend de la façon dont on joue, j'ai pris mon temps, admirant les paysages, essayant de passé là ou je pensais pouvoir le faire, bref, au-dela des petites imperfections Dear Esther est un petit plaisir.
quand au prix je l'ai eu sur Steam pour 3,99€ et il existe un patche vf ici: http://forums.steampowered.com/forums/showthread.php?t=2699583
la marche a suivre pour l'installation est indiquer.
oui je met 15, pour la beauté des graphismes, sourtout les grottes, fantastiques, pour la durée du jeu tout dépend de la façon dont on joue, j'ai pris mon temps, admirant les paysages, essayant de passé là ou je pensais pouvoir le faire, bref, au-dela des petites imperfections Dear Esther est un petit plaisir.
quand au prix je l'ai eu sur Steam pour 3,99€ et il existe un patche vf ici: http://forums.steampowered.com/forums/showthread.php?t=2699583
la marche a suivre pour l'installation est indiquer.
Dear Esther est un mauvais jeu vidéo. En fait, Dear Esther n'est même pas un jeu vidéo. Le noter en tant que tel n'aurait donc aucun sens : son absence totale de mécanismes ludiques le condamnerait au zéro absolu. Il faudrait le juger pour son histoire, mais c'est un critère éminemment subjectif. Au final, il reste l'ambiance visuelle et sonore, dont la réussite est incontestable. Dommage que cette courte nouvelle soit facturée au prix d'un roman.
Dear Esther est avant tout un voyage (promenade, excursion, randonnée, enfin vous voyez l'idée) sur une île rocailleuse, aux herbes folles et sans arbres, parsemée de ruines et d'épaves, et qu'on doit visiter/arpenter/découvrir du sommet jusque dans ses entrailles. Un mélange de Lost et du Projet Blairwitch, pour faire court.
Ce n'est pas la première fois qu'un étrange objet prétendument vidéoludique passe entre nos mains. On pense notamment aux productions du studio Tale of Tales, The Graveyard et The Path, qui tenaient plus du conte vaguement interactif que du jeu vidéo.