N’oublie pas qu’a l’epoque l’esperance de vie n’etait pas la même, la mobilité aussi, de plus les guerres successives ont décimé la population mâle, avoir un homme était rare ...
L'espérance de vie était restreinte pour tous le monde, y compris pour les femmes qui subissaient une forte mortalité en couche. Les guerres restreignaient la population masculine c'est vrai, mais le problème se résolvait en une génération et toutes n'ont pas subi la guerre.
Enfin bref faut vivre à son époque et avec soi même, il n’y a pas de crise de la masculinité.
Concernant les Incels, je parlerais plutôt de crise de la fragilité. On a des hommes qui ne plaisent pas et qui plutôt que de voir ça comme un objectif à atteindre, comme un prétexte pour s'améliorer, préfèrent haïr d'autres personnes pour leur manque de compétitivité. Si un homme ne veut pas finir avec une femme moche, vieille et chiante, une femme ne veut pas non plus d'un homme pauvre, moche et sans caractère.... ou on s'impose une discipline pour s'améliorer, ou on reste sur le carreau, c'est la vie.
C'est un problème très moderne de ne pas vouloir s'adapter à sa société et de chercher à ce qu'elles s'adapte à nos exigences par la victimisation à outrance "je suis obèse mais je veux qu'on me considère comme sexy, sinon c'est grossophobe... je suis un homme, je ressemble à un homme, mais je ne veux pas qu'on m’appelle comme tel, sinon ça va mal partir...."
Message édité le 27 décembre 2018 à 13:31:25 par Niflheim11ban