Coucou, désolée d'avance si ce topic est dans le mauvais thème mais je savais pas ou le placer
En fait voilà, j'ai remarqué en ce moment que j'aimais pas être heureuse, ou plutôt que j'en avais "peur", et quand quelque chose de bien m'arrivait je me disais que c'est juste "trop beau pour être vrai" donc je déprime. C'est pénible, genre je reçois une bonne note, je me dis que c'est juste un coup de bol et que la prochaine fois j'aurais 0..
Je me demandais si y'a des gens comme moi ou s'ils avaient pas une idée pour "positiver" un peu Je me suis déjà posée la question, mais au final c'est quoi être heureux?.. Parce que même en ayant tout ce que l'on veut, on sera toujours seul.. Voilà, petit coup de gueule, je sais pas trop quoi en penser moi-même.

J'pense pas être sur le meilleur forum, mais y'a surement quelqu'un ici de sympas, qui pourrait donner des conseils? Juste au cas où, je suis pas un troll hein.

Tu positives déjà, la meilleure façon d'être heureux, c'est de partir perdant. Ca crée des surprises et ça évite les déceptions.

va sur le forum "deprime" de doctissimo tu trouveras tout un tas de personne qui se pose ce genre de question. (je ne troll pas)

a part ca si tu es vraiment une fille, je ne pense pas que ca va changer avec le temps.
Des milliers de femmes avant toi ont eu ce genre de probleme et ne l'ont jamais reglé de leur vie.
Du coup moi je te dirais , accepte toi comme tu es et profite comme tu peux ^^
(Il y a des bon coté à etre toujours sur tes gardes, en etant comme ca tu ne sombreras jamais d'un coup dans l'alcool ou la drogue)

Tu penses donc que les femmes sont prédestinées à la dépression ? On lit des thèses fascinantes sur ce forum

Le trouble dysphorique prémenstruel ne sont pas une généralité mais bien une réalité. Alors si l'on ne peut pas dire que les femmes sont "prédestinées" à la dépression, on peut tout de même dire que les femmes ont des prédispositions pour les troubles dysphoriques chroniques.
Ici je copie-colle une partie des symptômes (source Wikipédia) :

Sentiment de profond désespoir ou de tristesse, pensées de suicide possibles

Sentiment de tension ou d'anxiété
Forte sensibilité au rejet et aux critiques
Crises de panique
Humeur changeante, pleurs
Irritabilité ou agressivité durable, forts conflits relationnels
Apathie ou désintérêt des activités et relations journalières
Difficulté de concentration
Fatigue

Ça ressemble à de la dépression, ça a la couleur de la dépression, ça à le goût de la dépression.
Si on va un peut vite un aura vite fait de confondra avec une dépression
SpoilAfficherMasquerle mot "destiné" était peut-être employé un peu vite aussi

On admet donc par le même coup une hypothèse neurobiologique et psychologiste et on accepte de faire du libre-arbitre un concept flou soumis et secondaire aux causes matérielles déclencheurs de décision. Bref, on refonde un déterminisme. Merci du coup, c'était juste pour savoir.

(je ne suis pas d'accord avec cette thèse)

Si on veut jouer à link des articles wikipédia :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Recherches_logiques

Ne me faite pas dire ce que je n'ai pas dit.

J'ai dit que les femmes atteinte de déprime ou de depression avait tendance à ne pas en guerir. Ca n'a rien avoir avec dire que toute les femmes sont predestinés à la depression.
Après oui c'est de la conjoncture hein.
Je pense à ces personnes qui voit le meme psy toute leur vie.
A ces femmes que j'ai connu qui ont BESOIN d'un homme pour les rassurer et se sentir moins triste;

je ne suis pas en train de dire que toute les femmes sont comme ca. Mais de ma propre experience il me semble que les femmes atteinte de ces symptome ne les guerrisse jamais que ce soit après avoir trouvé l'amour, tenté une thérapie ou je ne sais quoi.

L'induction n'est pas un modèle de raisonnement viable.

Le 22 juillet 2016 à 19:40:22 darksmooth a écrit :
On admet donc par le même coup une hypothèse neurobiologique et psychologiste et on accepte de faire du libre-arbitre un concept flou soumis et secondaire aux causes matérielles déclencheurs de décision. Bref, on refonde un déterminisme. Merci du coup, c'était juste pour savoir.

(je ne suis pas d'accord avec cette thèse)

Si on veut jouer à link des articles wikipédia :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Recherches_logiques

Je vois que j'ai affaire à un être parfaitement logique et dont la pensé domine tous les aspects du corps. Jamais il n'aurai une érection inopportune en public, ou une envie de péter à un enterrement.

La décision et le concept de libre-arbitre n'ont rien à voir avec les contingences de cet ordre ci. Il s'agit de penser le concept de choix, et donc d'action.

Bon alors déjà darksmooth un peu de calme avec les termes techniques, on est pas entrain de rédiger une thèse de philo. C'est quoi cette connerie sur la prédisposition des femmes à la dépression? Le cerveau humain est androgyne, il serait temps d'arrêter avec le neurosexime.

Pour en revenir à la question principale, être c'est très compliqué en fait, c'est encore plus dur si tu te pose la question. Tu ne trouvera sans doute pas de réponse ici mais ce que je te recommande c'est de faire des expériences et d'apprendre à te connaitre à travers celle-ci. Attention, expériences ne veut pas dire conneries.

Jusque là j'ai écrit en français tqt

Je ne suis pas adepte du neurosexisme.
Selon moi tout est d'ordre sociologique et educatif.
Par contre est ce que j'ai totalement tort je ne sais pas...

http://www.mayoclinic.org/diseases-conditions/depression/in-depth/depression/art-20047725

'Women are nearly twice as likely as men to be diagnosed with depression. Depression can occur at any age.'

("les femmes ont deux fois plus de chances d'etre dignostiqué depressive que les hommes")

http://www.mentalhealthamerica.net/conditions/depression-women#3

'
"Gender Differences
Women experience depression at roughly twice the rate of men.[3]
Girls 14-18 years of age have consistently higher rates of depression than boys in this age group.[5]"

("les femmes ont deux fois plus de chances de faire l'experience de la depression"
"les filles de 14-18 ans ont de plus grand taux de depression que les homme du meme age")

http://www.femmesensante.ca/centres/mental-health/depression/depression-chez-les-femmes.html

"Taux plus élevés de dépression chez les femmes

La dépression touche les hommes et les femmes, mais davantage de femmes sont diagnostiquées à un moment donné de leur vie. Les différences à cet égard se font remarquer dès la puberté et durent jusqu’à la période suivant la ménopause.

Les femmes sont environ deux fois plus susceptibles de vivre un épisode dépressif.
Une femme sur huit souffrira de dépression à un moment donné de sa vie.
La dépression peut survenir à tout moment dans la vie d’une femme, mais elle est plus courante entre les âges de 25 et 44 ans.
L’âge où la dépression survient est plus jeune chez les filles que chez les garçons.
Les femmes vivent davantage d’épisodes dépressifs au cours de leur vie."

http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/contents/677-hommes-femmes-inegaux-face-a-la-depression

"Comme pour beaucoup d'autres pathologies, les deux sexes ne sont pas égaux face à la dépression. Sous toutes les latitudes et dans tous les milieux sociaux, les femmes ont deux fois plus de risque de connaître la dépression que les hommes.  "

"Facteurs hormonaux

L'origine la plus probable du déséquilibre entre les sexes est de nature hormonale
Les hormones les plus psycho-actives sont les œstrogènes et la progestérone.  "

"Facteurs neurologiques

Par ailleurs, plusieurs études ont mis en avant le rôle de la sérotonine, un neurotransmetteur qui est fabriqué à un taux plus élevé dans les cerveaux masculins que féminins. Les états dépressifs traduisent souvent un déficit sérotoninergique (c'est-à-dire un manque de sérotonine au niveau des neurones). 

Il se pourrait de plus que les hommes et les femmes ne réagissent pas de la même manière à ce déficit, les premiers le traduisant plus souvent en agressivité, les secondes en dépression. "

Bref je suis le premier à me méfier des études scientifique mais puisque "le raisonnement inductif n'est pas un modèle de raisonnement viable" je suis obligé de laisser de coté mes experience personnel et arreter de parler avec le coeur pour balacer des stats.

Le 23 juillet 2016 à 10:52:04 ideation a écrit :
Je ne suis pas adepte du neurosexisme.
Selon moi tout est d'ordre sociologique et educatif.
Par contre est ce que j'ai totalement tort je ne sais pas...

http://www.mayoclinic.org/diseases-conditions/depression/in-depth/depression/art-20047725

'Women are nearly twice as likely as men to be diagnosed with depression. Depression can occur at any age.'

("les femmes ont deux fois plus de chances d'etre dignostiqué depressive que les hommes")

http://www.mentalhealthamerica.net/conditions/depression-women#3

'
"Gender Differences
Women experience depression at roughly twice the rate of men.[3]
Girls 14-18 years of age have consistently higher rates of depression than boys in this age group.[5]"

("les femmes ont deux fois plus de chances de faire l'experience de la depression"
"les filles de 14-18 ans ont de plus grand taux de depression que les homme du meme age")

http://www.femmesensante.ca/centres/mental-health/depression/depression-chez-les-femmes.html

"Taux plus élevés de dépression chez les femmes

La dépression touche les hommes et les femmes, mais davantage de femmes sont diagnostiquées à un moment donné de leur vie. Les différences à cet égard se font remarquer dès la puberté et durent jusqu’à la période suivant la ménopause.

Les femmes sont environ deux fois plus susceptibles de vivre un épisode dépressif.
Une femme sur huit souffrira de dépression à un moment donné de sa vie.
La dépression peut survenir à tout moment dans la vie d’une femme, mais elle est plus courante entre les âges de 25 et 44 ans.
L’âge où la dépression survient est plus jeune chez les filles que chez les garçons.
Les femmes vivent davantage d’épisodes dépressifs au cours de leur vie."

http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/contents/677-hommes-femmes-inegaux-face-a-la-depression

"Comme pour beaucoup d'autres pathologies, les deux sexes ne sont pas égaux face à la dépression. Sous toutes les latitudes et dans tous les milieux sociaux, les femmes ont deux fois plus de risque de connaître la dépression que les hommes.  "

"Facteurs hormonaux

L'origine la plus probable du déséquilibre entre les sexes est de nature hormonale
Les hormones les plus psycho-actives sont les œstrogènes et la progestérone.  "

"Facteurs neurologiques

Par ailleurs, plusieurs études ont mis en avant le rôle de la sérotonine, un neurotransmetteur qui est fabriqué à un taux plus élevé dans les cerveaux masculins que féminins. Les états dépressifs traduisent souvent un déficit sérotoninergique (c'est-à-dire un manque de sérotonine au niveau des neurones). 

Il se pourrait de plus que les hommes et les femmes ne réagissent pas de la même manière à ce déficit, les premiers le traduisant plus souvent en agressivité, les secondes en dépression. "

Bref je suis le premier à me méfier des études scientifique mais puisque "le raisonnement inductif n'est pas un modèle de raisonnement viable" je suis obligé de laisser de coté mes experience personnel et arreter de parler avec le coeur pour balacer des stats.

Te fatigues pas, il pense que la dépression est un choix.

On serait quand même pas en train de caricaturer mes thèses là ? La volonté d'injecter un axe eristique à notre débat est pitoyable de ta part.

Tiens il est là le modo érudit qui prend tout le monde pour de la merde, alors t'as eu tous tes UV et tu es en vacances?
T'aurais du venir avant quand le forum partait en vrille totale (eugénisme, racisme, nazisme, tous les trucs les plus dégueulasses) sous couvert de philo sauce jvc avec les pires nullités trollesques que j'ai vu depuis longtemps.
@ Alestia: c'est vrai que c'est difficile de relativiser et de prendre du recul, mais profite de l'instant en restant sérieuse et ça ira. De ttes façons on ne peut pas tout maîtriser, à quoi bon se prendre la tête?

En personne, j'ai eu tous mes UV merci ! :D

quel tact messieurs

Le modo c'est un sportif, il lit dictionnaire pour transpirer du cerveau. C'est vraiment une caricature.