En fait, je suis débile, j'avais mal compté: on est 22 participants en comptant tout le monde.
J'ai fait un screen
Ça fait une page que je suis des inscrit mais bon
Ça mérite une punition
Bon, vous êtes prêts? Je lance le tirage?
Il me semble que tu es en règle Trik.
Oui vas-y lance.
Nan j'ai vu tout les films de Trik, et Aro a vu les films d'Assu.
Trikmoumoutte
- Tourments - Mikio Naruse - 1964 : on connait Ozu, Mizoguchi... mais on oublie souvent Naruse. La vie d'un village et plus précisément celle d'une famille bouleversée par l'ouverture de supermarchés. Un mélodrame coup de poing, entre conservatisme et modernisme.
- L'Ange rouge - Yasuzo Masumura - 1966 : une jeune infirmière au sein d'un hôpital de fortune en temps de guerre. La femelle au milieu de mâles mutilés, les horreurs de la guerre, les pulsions sexuelles des soldats...
- Bonus : Lovesong - Stan Brakhage - 2001 : court-métrage suggestif très abstrait. Une poésie sur la vie vraiment fascinante.
StanleyVonLynch
- A Hole In My Heart de Lukas Moodyson (2004): 3 personnes décide de tourner un porno dans un appartement en Suéde.
-Trash Humpers de Harmony Korine (2009): Un film où 3 personnes passsent leur temps à baiser des poubelles Blague à part, c'est superbe comme film, une sorte de Eraserhead mais version white thrash.
- Bonus : Lola , Une Femme Allemande de Rainer Werner Fassbinder (1981): Le seul Fassbinder que j'ai vue mais c'est du très très bon !
RunMyMind
- The Lost Weekend (Billy Wilder): Un alcoolique abstinent doit partir à la campagne avec son frère pour le week end mais replonge dans l'alcool. Ce film est très noir et réellement pragmatique, pour l'époque, quant à sa vision non complaisante de l'alcoolisme. (dans le même genre: le jour du vin et des roses)
- Les diaboliques (Henri Georges Clouzot): La femme d'un homme, ainsi que sa maitresse, décident d'éliminer celui-ci. Des phénomènes étranges surgissent alors. Pour ceux qui ne connaitraient pas, Clouzot mérite vraiment que l'on s'attarde sur sa filmographie.
- Bonus : The last Picture show (Bogdanovitch): Sonny et Duane, deux adolescents texans, passent leur temps entre le café et le cinéma, seules distractions possibles dans leur petite ville perdue aux confins du désert. Mais lorsqu'une fille provoque une dispute entre eux, Sonny décide de s'engager pour la Corée.
Waho
- Lucky Star de Frank Borzage (1929) Une histoire d'amour
- Nuit d'été en ville de Michelle Deville (1990) Une histoire de sexe
- Bonus : The Thin Man de W.S. Van Dyke (1934) Une histoire de détective!
Mordechaille
- Détruire, dit-elle, de Marguerite Duras - France – 1969 :Parce que j'ai déjà proposé Le camion durant ces échanges et que cet autre film de Duras est tout aussi bien (mais moins facile d'accès) et parce que Nicole Hiss est simplement magnifique.
- Laurence Anyways, de Xavier Dolan - Canada – 2012 : Parce que j'ai une passion bizarre pour Dolan et que ce film est grand sur bien des points. Je trouve que l'histoire est top et osée et que les expérimentations visuelles de Dolan passent super bien (et c'est pas toujours le cas ). En plus y'a le plus beau rôle chez Dolan de Suzanne Clément donc le film vaut d'être vu quoi qu'il arrive (même si un certain Assurance vous soutiendra mordicus le contraire ).
- Bonus: Pourquoi Bodhi-Dharma est-il parti vers l'Orient ?, de Yong-Kyun Bae - Corée du Sud – 1989: C'est un film que j'ai vu il y a longtemps au cours d'une séance sur CL et que j'aime énormément parce que c'est calme. Ça parle de bouddhisme et ça le fait avec une économie de mots et de moyens remarquables. Par contre je ne suis pas sur qu'il y ait des sous-titres français de disponible (VOSTEN donc) alors je préfère le mettre en bonus. Mais clairement ça vaut le coup.
WalterBurns
- Ames perdues (Dino Risi, 1977 - Italie)
Une fois de plus, une exemplaire réussite à mettre sur le compte de Dino Risi. L'ambiance dans une Venise crépusculaire et mystérieuse, est particulièrement soignée et l'intrigue questionne des thèmes profonds, comme la proximité de l'amour et la mort et le danger de vivre en permanence dans le passé. Et surtout, la performance du génie Vittorio Gassman est proprement hallucinante.
- L'Air de Paris (Marcel Carné, 1954 - France)
Carné n'a rien perdu de son talent de conteur et de metteur en scène dans ce beau drame poétique sur fond de boxe où il retrouve le fameux couple du Jour se lève Jean Gabin et Arletty, réunis cette fois dans un ménage vieillissant. En prime, la jolie chanson éponyme chantée par Montand.
- Bonus : La Terre éphémère (George Ovashvili, 2014 - Géorgie)
Un film naturaliste et contemplatif, presque sans dialogues, où la beauté des paysages n'éclipse pas une mise en scène inventive et audacieuse, à travers le parcours d'émancipation d'une jeune fille sur fond de guerre entre Abkhazie et Géorgie.
W_Wenders
- Glissements progressifs du plaisir, Alain Robbe-Grillet , 1974
Parce que je savais pas du tout à quoi m'attendre en lançant le film et que ce trip poético-érotique avec des belles femmes nues de partout m'a bien mis sur le cul. Et parce qu'un film qui ose toutes les idées de cinéma possible pour être le moins cher possible, ça donne un résultat génial.
- Les Roseaux sauvages, André Téchiné, 1994
Parce que le mal-être adolescent est superbement bien transcrit avec tout le trouble sur l'orientation sexuelle, et que la réflexion sur la guerre d'Algérie y est d'une rare justesse. Extrêmement touchant.
- Bonus: Les Ailes du désir, Wim Wenders, 1987
Apparemment, pas grand monde l'a vu donc je le mets dans les bonus si jamais. Clairement mon film favori de la sélection (et tout court d'ailleurs). C'est poétique, doux, touchant, beau... L'allemand est plus beau que jamais. Et que de moments de grâce, d'instants parfaits. De l'émotion pure.
Melaine
- Chacun cherche son chat, de Cédric Klapisch, 1996 (1h31)
Parce que Klapisch est le maître du cinéma léger et pétillant et que ce film, bien que loin d'être son meilleur, sonne comme un véritable hymne à la vie et appelle à la bonne humeur.
- Oseam, de Sung Baek-Yeop, 2003 (1h15)
Parce que ce film réussi à être extrêmement triste et touchant tout en étant accessible à un public enfant. Il a été le film préféré de mon petit frère alors qu'il n'avait qu'une dizaine d'années lorsqu'il l'a vu pour la première fois.
- Bonus : Chatroom, de Hideo Nakata, 2010 (1h37)
Parce que c'est un film que j'ai vu en pleine adolescence et qu'il m'a renvoyé à mes propres craintes et à mon propre mal-être de l'époque. Ce n'est pas un grand film, mais il est quand même intéressant à regarder (l'acteur principal est très bon d'ailleurs), et d'un point de vue personnel il m'a marqué.
DoctorZoidberg
-Le Fils Unique - Yasujirō Ozu, 1936 (1h27min) :
Plongée dans l'univers d'Ozu, avec son premier film parlant (dialogues synchrones) qui arrive une dizaine d'années après le début de sa carrière. Le thème est bien cher au cinéaste. Il s'agit de la famille, et plus précisément d'une mère qui, par amour pour son fils, travaille son éducation pour qu'il puisse étudier à Tokyo plus tard, et avoir une vie aisée dans le futur.
-Elvira Madigan - Bo Widerberg, 1967 (1h31min) :
Découvert lors de la rétrospective du réalisateur au cinéma, Elvira Madigan conte la romance entre un soldat qui a choisi de déserter et de quitter sa famille pour une artiste de cirque dont il tombe passionnément amoureux. Tiré d'une histoire vraie, le film de Widerberg se propose comme une aventure lyrique et bucolique que les compositions de Mozart viennent magnifier. On penserait presque à du Terrence Malick.
-Bonus: Bend of the River - Anthony Mann, 1952 (1h27min) :
L'un des quelques Western réalisés par Mann, avec un James Stewart assez bluffant. Les Affameurs (en français) est un excellent western, que le traitement Technicolor Trichrome vient embellir avec triomphe. Mais au-delà de ça, en plus de traiter d'un aspect historique majeur (la colonisation des terres de l'ouest), on se retrouve avec des personnages très intéressants, tiraillés entre le bien et le mal, sans pour autant qu'un manichéisme lourd vienne plomber le film.
Patate_negative
- O fantasma, João Pedro Rodrigues - Portugal - 2000
- Querelle, Rainer Werner Fassbinder - Allemagne - 1982
- Bonus : Le jour de la bête : Alex de la Iglesia - Espagne - 1995
TodBrowning
-La salle d'attente de Joe Stelling (1996)
-La Station-service de Joe Stelling (2000)
-Bonus : La Galerie marchande de Joe Stelling (2003)
Yin007
- The Breakfast Club : (John Hughes)
Un huit-clos qui met en scène 5 lycéens , là le réal joue avec les archétypes (L'athlète , le bon à rien , la fille à papa..etc)
- Gentleman Braqueurs
- Bonus : 12 hommes en colère
Snake qui vient faire chier juste quand je m’apprête à lancer le tirage.
oh bon je vais remplir la liste sc avec vos films
Pas "juste", je l'avais dit juste après la liste de Trik
Trik Vu aussi
Et faut en changer au moins deux.
Bon, j'ai fait le tirage et à priori il n'y pas de soucis de déjà vu entre les participants. (Sauf Yin quoi )
Le 14 février 2015 à 23:29:52 Hecate-spartaN a écrit :
oh bon je vais remplir la liste sc avec vos films
Bonne chance.
Met les commentaires avec.
Ah ben évidemment JVC commence à buguer sur cette page...
Merci Respawn
Comme par hasard , je suis dernier dans le recap'
Premier couple d'amoureux : Patate_Negative et Yin007
Deuxième couple d'amoureux : Dionysos et TodBrowning
Troisième couple d'amoureux : DoctorZoidberg et Trikmoumoutte
Quatrième couple d'amoureux : SnakePlisken59 et Broulalaradine
Au pire , tu peux piocher chez les autres participants , Patate