Choix XIII
- Arsi Pelmo II, héritière de la précédente
- Josselin d’Evron, roi de France
- Valerios Kauleas, comte de Bacs
- Galind Shujahidid, sultan d’Andalousie (oui j’ai changé le nom de famille en rajoutant un –id pour ne pas confondre avec les anciens Shujahid qui existent toujours )
Josselin le roy de France ! Un beau challenge en perspective
Pareil, le Roy de France, voyons comment il va s'en sortir !
Le Roi de France, bien sûr
Effectivement ce fut bref
J'hésite...vu le nombre de comtés déjà occupé chez le roi de France, je suis étonné de voir qu'il lui reste plus de 7000 hommes!
La révolte chez le sultan semble bien dangereuse aussi...à moins que ce ne doit pour une connerie du genre accroître le pouvoir du conseil...
Allez va je vote quand même pour le sultan.
Bon je suis resté sur ma faim hier et j'ai envie de jouer, vu que j'ai un peu de temps libre je vais partir du principe que le choix qui s'impose sera celui du chauvinisme et partir avec Josselin qui mène 3 à 1
Le 21 décembre 2017 à 12:34:04 Pipu06 a écrit :
Effectivement ce fut brefJ'hésite...vu le nombre de comtés déjà occupé chez le roi de France, je suis étonné de voir qu'il lui reste plus de 7000 hommes!
La révolte chez le sultan semble bien dangereuse aussi...à moins que ce ne doit pour une connerie du genre accroître le pouvoir du conseil...
Allez va je vote quand même pour le sultan.
J'ai été voir, bingo c'est bien pour le pouvoir du conseil
Le 21 décembre 2017 à 15:47:54 Bigrat a écrit :
Bon je suis resté sur ma faim hier et j'ai envie de jouer, vu que j'ai un peu de temps libre je vais partir du principe que le choix qui s'impose sera celui du chauvinisme et partir avec Josselin qui mène 3 à 1Le 21 décembre 2017 à 12:34:04 Pipu06 a écrit :
Effectivement ce fut brefJ'hésite...vu le nombre de comtés déjà occupé chez le roi de France, je suis étonné de voir qu'il lui reste plus de 7000 hommes!
La révolte chez le sultan semble bien dangereuse aussi...à moins que ce ne doit pour une connerie du genre accroître le pouvoir du conseil...
Allez va je vote quand même pour le sultan.J'ai été voir, bingo c'est bien pour le pouvoir du conseil
je vote le sultan!
Jouer cinq ans in game et galérer un peu avant de réaliser qu'on a une armée bonus de 5000 hommes qui attend sagement dans le nord de l'écosse
Ah! Je me dissait qu'il y avait un truc qui clochait avec le nombre de troupes!
Bon j'espère que celui là ne mourra pas trop vite
Roy se France
Bon bah j'allais voté pour le Chiite juste pour le fun de confondre les deux dynastie... Mais du coup va pour le Roy
Mais j'ai vraiment l'impression que la plupart des femmes que tu joues ont une courte espérance de vie, paradoxalement
Le topic est mort?
Non, j'ai juste parfois autre chose à faire que jouer
Mais je viens de mourir et le résumé ne tardera plus !
Chapitre XIII : Josselin d’Evron (1026 – 1087)
Fondateur de sa lignée et de sa Maison, Josselin est à l’origine un roturier issu d’Evron, dans le comté du Maine. Né sous la domination Irlandaise de la France, qui débuta en 968 lorsque les Irlandais catholiques conquirent le pays des Français taoïstes par croisade, Josselin faisait partie d’une famille de bons catholiques – le taoïsme ayant été éradiqué de France par les Irlandais et n’étant alors plus pratiqué, en Europe, que par le roi d’Aquitaine.
Malgré sa foi, Josselin n’appréciait pas la domination des Celtes sur son peuple, aussi commença-t-il très jeune à fomenter une grande rébellion. S’alliant aux Hollandais, qui avaient réussi à obtenir leur indépendance en 1005, il épousa Ide van de Weluwe, fille du duc Emmo de Gueldre (994 – 1037) et sœur aînée du roi Emmo de Frise (1034 – 1040). Flattant le chauvinisme bien connu des descendants des Francs, il les poussa à se soulever contre l’envahisseur celte, un peu comme leurs ancêtres l’avaient fait jadis en affrontant les Gallo-romains pour conquérir ces terres qui étaient légitimement les leurs. Brillant stratège, Josselin permit aux Français d’emporter une grande victoire qui sonna le glas de la France celte. Les Irlandais se retirèrent d’une grande partie du pays – conservant malgré tout le Berry, Orléans et Rouen – et Josselin, acclamé par ses suivants, se fit couronner Roy de France en 1047, un titre qui n’avait plus été porté depuis un demi-siècle, et qui n’avait plus été porté par un bon catholique depuis la mort du roi Adaloald en 900. Ce fut son décès qui avait permis aux Nibelungin de s’emparer de la couronne, famille maudite s’il en est, puisqu’après quatre rois de France chiites, la famille avait donné au pays cinq rois taoïstes et, pire encore, une reine taoïste.
Mais c’en était fini et Josselin de France, que l’on acclamait sous le surnom du Libérateur, entendais bien rendre à la France catholique son pouvoir d’antan. Il lui fallait d’abord lutter contre les traitres internes, qui tentèrent de profiter de la naissance de ce nouveau royaume pour s’en approprier des parties. Les Parisiens réclamaient l’indépendance de Paris, entrainant avec eux le Vexin qui réclamait la sienne. Au sud, les paysans de Saintonge et de Lusignan, Occitans, réclamaient leur propre état.
Josselin engagea des mercenaires suisses pour venir à bout des rebelles français, ce qui fut fait sans grande difficulté. Il parvint miraculeusement à mater les Occitans bien supérieurs en nombre à la Bataille de Châtellerault du 12 décembre 1052.
Matant les insurgés, Josselin pensait pouvoir enfin consolider son pouvoir… Mais c’était sans compter le pape qui, après que Josselin ait refusé de rétablir l’investiture papale en France, décida d’excommunier le Roy !
Afin de prouver au pape qu’il est malgré tout un bon chrétien, Josselin entreprend de marcher vers le sud de de prendre le Poitou, ce qui est fait à l’automne 1055. Ce faisant, Josselin prive le roi d’Aquitaine de ses derniers fiefs et détruit de facto les reliquats de ce royaume dont le titre était porté depuis un quart de millénaire. Cela ne fait aucun effet au pape qui, impopulaire, est bientôt chassé de Rome par des paysans ! Josselin estime qu’il y a là un coup à jouer : il marche sur Rome, exécute les paysans à la tête de la révolte, et rend au pape les clefs de la ville. Ce dernier n’a alors d’autre choix que de lever son excommunication. Peu après, lorsque le pape décède, Josselin parvient à faire élire un Français, son ancien vassal et ami.
En 1059-1060, Josselin reprend les hostilités avec les Irlandais, qu’il chasse d’Orléans. En 1060 également, il entreprend de récupérer les Flandres, détenues par la famille Wintaling, anglo-saxonne. Alors que son épouse hollandaise décède et qu’il se remarie avec une princesse lombarde, sa guerre au nord est un succès et il s’empare des Flandres.
En 1063-1064, il envahit la Bretagne et prend Nantes, Rennes et Vannes, puis fait assassiner le roi d’Irlande afin de déstabiliser les Celtes et de pouvoir reprendre le Berry. En 1066, il apprend que les chiites entrent en djihad contre les nestoriens du Bahreïn.
En 1067-1069, Josselin profite d’une invasion des Danois sur le nord de la Germanie pour envahir l’Orléanais, détenu par les Allemands, et réintégrer ces terres au Royaume de France.
En 1070, la mort sans héritier mâle de l’Empereur du SERG place sa fille aînée sur le trône. Or la seconde et dernière fille de l’Empereur, Helchen – qui devient duchesse de Champagne – est fiancée au second fils de Josselin… Le Roy de France se met à comploter pour assassiner la sœur aînée afin de voir son fils épouser la future Kaiserin d’Occident. La Providence lui vient en aide et, quelques mois plus tard, Kelchen devient Impératrice et accepte de forger une alliance avec son futur beau-père. Mais cela est loin d’être gagné, car l’Empire subit deux guerres civiles concomitantes, dont l’une qui vise à le transformer en théocratie impériale aux ordres du pape…
L’une des deux guerres civiles prend fin en 1071 par la mort du prétendant, Ansfrith, beau-père de Josselin – qui n’y est pour rien, voyons, ce serpent est arrivé là par hasard. Josselin, lui, aide sa future bru en amenant dix mille hommes en Italie puis, lorsque les rebelles se rendent enfin, assiste au mariage entre son fils Gaucher de Cholet et l’Impératrice Helchen. Ce mariage ne fait pas que des heureux, et Josselin doit de nouveau aider sa bru alors que ses troupes ne sont même pas encore rentrées en France.
Les années suivantes, Josselin tente de vassaliser les Anglo-saxons en envahissant Albion, mais la contre-attaque est fulgurante : l’ennemi prend le Vexin et fait prisonnier plusieurs membres de la famille du Roy. Celui-ci n’abandonne pas et retourne sur le continent récupérer ses terres, mais les Anglais ont désormais de nombreux otages… Le pape, lui, essaie de calmer le jeu en lançant une croisade sur l’Andalousie, espérant que les chrétiens cesseront de se battre et s’uniront sous la Croix.
Le 28 février 1076, la duchesse de Flandres, une Wintaling, est tuée au combat par le duc de Mercie, un Rose. En mars, l’arrivée des renforts impériaux sur le sol anglais pousse le roi d’Angleterre à capituler et à se faire vassal du roi de France… mais non sans un dernier baroud d’honneur : avant de capituler officiellement, il fait exécuter tous ses prisonniers ! L’héritier de la couronne de France, le prince Josselin, meurt à Londres sur le bûcher anglais tandis que ses frères cadets Frédéric et Marnix sont lapidés avec leurs sœurs Douce et Anne et leur mère Waldrada, la Reine de France. En représailles, Josselin fait assassin le roi d’Angleterre quelques semaines plus tard.
Fou de chagrin suite à la mort de la moitié de sa famille, Josselin se lance à corps perdu avec toutes ses forces dans la croisade, espérant par cet acte saint obtenir la rémission des péchés de ses enfants et de son épouse, lâchement exécutés. C’est aussi à cette époque que l’imbécile d’Helchen cède sous la pression des vassaux impériaux et abdique en faveur de son oncle Grimoald, chassant les espoirs de la famille d’Evron de monter sur le trône impérial.
Malgré cela, Josselin se démène comme un lion en Andalousie et, après dix-huit mois de croisade, est reconnu comme le principal artisan de la victoire des Croisés et reçoit l’ancien royaume d’al-Andalus en récompense – ainsi que la vassalisation de l’ancien sultan, ce qui lui permet de récupérer également la Bretagne musulmane et une partie du Maroc.
Josselin divise l’Espagne entre ses fils survivants : l’aîné, Gaucher, est fait duc de Séville et de Fès ; Charles est fait duc de Grenade et de Murcie ; Philippe est fait duc de Tolède et reçoit tous les fiefs du duché de Cordoue ; et Arnoul est fait duc d’Algarve et de Badajoz. Il récompense également ses loyaux serviteurs : Guiges, un roturier qui sert comme Maréchal de France depuis dix ans, est fait duc de Béja ; Pulad, un Ouïghour de Chine au service de Josselin depuis vingt ans, est fait duc d’Aragon en échange de sa conversion au catholicisme.
Josselin se met alors à envahir les terres musulmanes qu’il reste en Espagne, apportant un soutien à sa belle-fille lorsqu’il l’estime nécessaire. Hélas, en 1082 Helchen meurt de la dysentrie, et avec elle les espoirs de voir la Maison d’Evron régner sur l’Empire. L’aîné de ses fils, Josselin, hérite malgré tout de ses titres et se retrouve à la tête de la révolte. Le roi Josselin, lui, parvient à christianiser l’émir de Porto.
En 1085, Josselin chasse les derniers Irlandais du continent. Célébrant sa victoire et sa puissance, il se fait couronner Roi des Bretons, Roi de Portugal et Roi d’Aragon.
En 1086, la grande guerre civile impériale prend fin par la mort de l’Empereur Grimoald. Son fils Gumpert lui succède et accepte de pardonner aux insurgés en échange de l’arrêt du conflit. En Orient, la Chine connaît de graves troubles et la dynastie Wei est attaquée par de puissants ennemis.
En 1087, Josselin – qui se fait couronner Roi de Castille la même année – se lance dans une guerre contre les Germains, cherchant à récupérer les comtés flamands d’Eu et de Bruges. Hélas ! Le 30 août 1087, à la Bataille de Gisors, alors qu’il affronte une armée allemande pourtant trois fois inférieure en nombre, Josselin est mortellement blessé par Agiprand, un commandant lombard au service du roi allemand.
À sa mort, son vaste royaume fut scindé en deux : son fils aîné Gaucher devint roi de France, et le plus jeune de ses fils, Guillaume, âgé d’à peine quatre mois, devint roi d’Andalousie. Les sept fils de Josselin étaient titrés, puissants et ambitieux, et nul ne pouvait encore prévoir les conséquences de la mort du Libérateur.
Pendant ce temps, dans le reste du monde…
- Le sultanat nestorien d’Irak éclate après la mort du sultan Murad : les Najibides prennent le Hedjaz, les Radhi prennent Nefoud, les Jamilides prennent le Bahreïn, les Seljoukides conquièrent les possessions des chrétiens en Perse. Les Isavides d’Irak se replient sur quelques comtés autour de Bagdad mais leur royaume est détruit par les Turcs en 1082, alors que les Arabes chiites reprennent les petits émirats qui ont fait sécession. C’en est fini des états indépendants nestoriens en Orient, et ce malgré la conversion totale de la population irakienne.
- Avant leur chute, les Shujahidid d’Espagnent reconquièrent une grande partie de la Maurétanie et ont le temps de la ré-islamiser.
- L’Empire d’Orient conquiert Rome.
- Le Saint-Empire pousse la conquête jusqu’à l’Egypte et le Mali.
- Conversion des rois de Pologne et de Danemark au catholicisme.
Ce qu’ils sont devenus…
- Les Amdo
Les loyalistes l’ont emporté et la famille règne toujours sur les ruines d’Ü-Tsang, vassale des Chinois. 70 membres en vie sur 407.
- Les Touvakes
Dynastie éteinte depuis le 11 septembre 945.
Elle a compté au total 19 membres qui se sont répartis 15 titres ducaux, 25 titres comtaux et 2 baronnies. Prestige final de 277 – soit un ratio prestige/membre de 14,6.
- Les Shujahid
Quelques conquêtes mais aussi quelques pertes territoriales. La mort du calife Abdullah II en 1062 lors d’une bataille contre l’Empereur seljukide leur a mis un grand coup au moral. 101 membres en vie sur 617.
- Les Rose
Pas de changement. 33 membres en vie sur 100.
- Les Welf
La famille s’est éteinte avec la mort de Bourguine Welf, une évêque cathare de Bretagne, le 22 janvier 1087. Elle a compté au total 78 membres qui se sont répartis 7 titres royaux, 16 titres ducaux, 53 titres comtaux et 6 baronnies. Prestige final de 571 – soit un ratio prestige/membre de 7,3.
- Les de Beretsy
[Oublié l’image, pas bien important]
Pas de changement. 48 membres en vie sur 225.
- Les Wintaling
Ils règnent toujours sur l’Ecosse, ont vassalisé l’Irlande, et ont des branches cadettes bien implantées en France où ils sont ducs de Flandres, d’Anjou, de Normandie, de Poitou, de Valois et de Berry.
- Les d’Asti
La famille s’est éteinte le 22 octobre 1058 avec la mort de Felicia d’Asti, reine d’Angleterre de 1019 à 1030, reine d’Ecosse de 1019 à 1039, et reine des Asturies de 1034 à 1058. Elle a compté au total 13 membres qui se sont répartis 5 titres royaux, 12 titres ducaux, 24 titres comtaux et 2 baronnies. Prestige final de 342 – soit un ratio prestige/membre de 26,3.
- Les Sulayman
Les derniers membres de la famille sont exilés à la frontière tibétaine. 5 membres en vie sur 146.
- Les Oristani
Sabas vit toujours et règne toujours sur le royaume de sa mère, qu’il a agrandi de plusieurs terres : la province de Barcelone, et une poignée de comtés en Mer Noire et en Anatolie. Pratiquant ouvertement la foi nestorienne désormais, il est en pleine révolte contre l’Empereur afin d’augmenter le pouvoir du Conseil.
- Les Arsi
La famille subsiste grâce à trois de leurs membres qui ont un petit comté, dont la petite-fille de Pelmo. 14 membres en vie sur 89.
Choix XIV
- Gaucher d’Evron, héritier du précédent
- Wulff Theodericing, comte d’Altmark
- Boethios Monotes, doux de Transylvanie
- Sigismond du Sud d’Hispanie, comte d’Algésiras
Boethios, et le fils se nommera Dracula!