Bonjour à tous !

Suite à la sortie du nouveau DLC, je me suis dit que j'allais tenter une petite chronique pour l'essayer. Comme pour la précédente chronique de Mad World que j'avais faite il y a... près de deux ans ... voici les règles :

1) Je fais un tirage aléatoire de trois persos
2) Je vous montre les persos, vous avez un jour pour voter
3) J'incarne le personnage que vous avez majoritairement choisi, je joue avec lui jusqu'à sa mort et je résume sa vie sous forme de chronique, comme pour les Magnus
4) Repeat

De plus, pour parfois continuer certaines dynasties, à partir du deuxième personnage vous aurez le choix entre les trois tirés aléatoirement ou l'héritier du précédent... celui qui a le plus de voix l'emporte. En cas d'égalité, je trancherai selon ce qui me botte le plus.

Voilà, je vous envoie le premier tirage dans quelques minutes, en espérant que ça vous botte

Réglages de la partie :
Epidémies mineures : davantage
Aztèques : non
Maladies non épidémiques : davantage
Déroute : non
Pactes défensifs : non
Conversion culturelle : creuset plus rapide
Séduction de l'IA : non
Interaction avec la Chine : quiconque

Le reste est par défaut

Chapitre I

I. Amdo Quianshun, chef de Dangla et d’Amdo

Un jeune chef tribal tibétain bouddhiste. Son jeune âge et ses bonnes caractéristiques permettraient d’en faire quelque chose, si le Tibet ne se fait pas bouffer par la Chine trop rapidement…

II. Thomas Morgannid, duc de Provence

Un jeune mais pas très puissant duc, vassal de Carloman. Possibilités d’expansion assez limitées : à l’ouest la puissante Toulouse, à l’est la non moins puissante Lombardie, et même les comtés du nord sont regroupés et alignent trois fois plus d’hommes que Thomas…

III. Gulusa Masuna d’Araouane

Un jeune chef tribal berbère qui règne sur une tribu au nord du Ghana, avec de bonnes stats. Possibilité d’expansion vers le nord si les Ghanéens ne passent pas à l’attaque trop vite…

A vos votes !

1) Original et plus "compliqué" que les autres. Enfin comme toujours c'est une question de patience

le 1er aussi, même si la Chine attaque pas, le Tibet bouge bcp niveau révolte, surtout avec ton duc :p

Si tu le dis ! Pour le moment j'ai juste lu les descriptifs des nouvelles religions, jeté un coup d'oeil à la nouvelle map, et écouté quelques nouvelles musiques

Le premier! Le Dalaï Bigrat! C'est une évidence avec Jade Dragon sorti!

Va pour le premier, je commence

Oh déjà 2 ans depuis la dernière? Ca fout un coup de vieux mais j'ai hate de voir ce que ça va donner

Chapitre I : Amdo Quianshun (744 - 811)

L’histoire de Quianshun, fondateur de la Maison Amdo, commence au milieu du huitième siècle dans l’Orient lointain. D’humble origine, n’ayant jamais connu ses parents, Quianshun passa les premières années de sa vie comme enfant des rues dans le petit village de Tongtian, survivant grâce à la générosité des moines du monastère bouddhiste voisin aussi bien que grâce à ses propres talents de voleur. Quianshun garda toute sa vie une forte reconnaissance à l’égard des moines, ce qui explique sans doute qu’il se convertit à cette religion, délaissant l’antique religion bön tibétaine, encore majoritaire dans la région.
À l’âge de quinze ans, Quianshun s’engagea dans l’armée du seigneur local, Tong Ataklumo. Il se révéla rapidement être un bon élément, et se distingua par son charisme et ses aptitudes militaires, si bien qu’il finit par être acclamé chef du village paysan d’Amdo, et devint un vassal de la cheftaine Ataklumo. Fier comme un paon de cette ascension sociale, il prit le nom d’Amdo comme son propre patronyme, afin que ses descendants se souviennent à jamais de son histoire.
Son autorité grandit rapidement, et bientôt il devint également chef de la tribu de Dangla.
Sa première action comme chef fut de trouver une épouse, qu’il alla choisir parmi le peuple han. Les tensions politiques étaient vives avec la Chine, et Quianshun pensait qu’épouser une Chinoise serait le meilleur moyen de le mettre à l’abri en cas de conflit.

Parallèlement à cela, Quianshun tente de s’attirer la sympathie de l’Empereur – qui déteste pourtant les bouddhistes – en lui envoyant son meilleur général, un Chinois, Arpadi Yang.

Quianshun ne manque pas non plus de prévenir les menaces venant de l’intérieur du Tibet. Lorsqu’il apprend qu’Ataklumo complote pour le faire assassiner et saisir de ses titres, il utilise avec brio de diplomatie et de menace pour la faire renoncer à son macabre projet. Mais le mal est fait, et Quianshun n’a plus aucune confiance en cette suzeraine dont il cherche à se débarrasser de la tutelle…

Quianshun présente ses preuves à l’Empereur du Tibet afin de faire condamner la comploteuse. Si l’Empereur est réticent à entreprendre une action hostile contre elle, il reconnait toutefois qu’elle a violé son serment de protection et décide de libérer Quianshun de son joug en créant pour lui la Grande chefferie de Sumparu, qui va de pair avec le contrôle de Quangtang, Samthon et Arjin. Quianshun se retrouve ainsi propulsé à la tête d’un vaste territoire de près de 80.000 kilomètres carrés.

La menace orientale se faisant de plus en plus présente pour le Tibet, Quianshun en vient à se dire qu’il vaudrait mieux assurer l’Empereur de sa sympathie. Alors que son épouse et ses trois concubines sont toutes enceintes, le Grand chef de Sumparu fait ses bagages et part vers l’Orient afin de se prosterner devant l’Empereur et l’assurer de sa loyauté.

C’est ce moment que choisit Tong Ataklumo pour tenter de se révolter contre l’Empire tibétain. La traîtresse commence sa révolution en assouvissant ses désirs de revanche, en pillant et conquérant les territoires de Quianshun, qui n’a pas assez d’hommes pour se défendre… et l’Empereur tibétain ne peut intervenir, occupé qu’il est à repousser une invasion musulmane chez ses alliés du nord-ouest de l’Inde.

Ignorant ce qui se passe sur ses terres, Quianshun continue son voyage en Chine. C’est là qu’il achèva son ouvrage « l’art de la guerre » qui, bien qu’il n’égalait point celui de Sun Tzu, se révélait sur certains aspects plus actuel que ce dernier, écrit 13 siècles plus tôt.

Alors qu’il vit tranquillement en Chine, le Tibet est secoué par une seconde guerre civile, et ce alors même que la première n’est pas achevée. Lorsque Quianshun revint enfin de Chine et se rendit compte de la situation dans laquelle était plongé son pays, il prit les armes et se joignit à l’Empereur contre les traîtres.


Cependant, malgré sa bonne volonté, ses 200 hommes ne purent faire la différence face à la dizaine de milliers de soldats des traîtres et l’Empereur Purgyal Trisong Detsen fut bientôt forcé à abdiquer et à céder le pouvoir à son fils aîné, Purgyal Mutri.

Plusieurs années passèrent. Quianshun nourrissait sa revanche à l’égard d’Ataklumo, qui avait sans vergogne pillé et incendié ses terres dans sa querelle contre l’Empereur. Lorsque l’occasion se présenta enfin, lorsque la cheftaine fut affaiblie par une bande de pillards qui décimèrent son armée, Quianshun passa à l’attaque et, en moins d’une année, se rendit maître de la province de Nagchu, l’ancienne capitale de la félonne. Mais comme si Quianshun ne pouvait recevoir une bonne nouvelle sans une mauvaise, il fut témoin du décès de son épouse, emportée par un cancer.


Parallèlement à cela, les Mongols se mirent à attaquer la Chine.

Quianshun se reclut dans le deuil et la solitude. Lorsqu’il apprit que son vassal Samtho Shimwerro complotait contre lui pour le renverser, il éclata de rage, le fit emprisonner et confisqua tous ses titres.


Alors que Quianshun se remettait à peine d’une nouvelle trahison, lorsqu’il apprit que l’enfant qu’attendait une de ses concubines n’était pas le sien – la chienne passa le reste de son existence en prison, ce qui fut court, puisqu’elle fut pendue dès l’accouchement à l’aide du cordon ombilical du nouveau-né –, il reçut une bonne nouvelle lorsque l’Empereur tibétain lui accorda un nouveau fief, augmentant son pouvoir.


Finalement, les années d’effort que Quianshun avait déployées pour plaire à l’Empereur finirent par payer lorsque ce dernier accepta d’offrir sa propre fille en mariage à Amdo Wansi, l’aîné des enfants du chef de Sumparu, qui venait d’entrer dans l’âge adulte. L’alliance fut doublement célébrée puisque Quianshun offrit également sa fille Huinan en mariage à Li Kuo, le fils de l’Empereur.



Pour fêter cela, Quianshun décida de s’offrir un petit plaisir : la tête de sa vieille rivale, Ataklumo… Il lui prit ses derniers fiefs et la condamna à l’exil, avant de célébrer cette victoire en prenant une nouvelle épouse, Shri Vijaya, une Iranienne.


En 790, l’Empereur tibétain Mutri mourut au combat contre les Indiens, et son père, l’Empereur déchu Trisong Detsen, en profita pour reprendre le pouvoir.

À l’est, d’encore pires nouvelles frappèrent la Chine : les Mongols finirent par avoir raison de l’Empire du Milieu, et leur khagan, Taizu Barsid, renversa et tua l’Empereur Li Daizong avant de monter sur son trône ! La princesse Panpan était inconsolable en apprenant la mort des siens, et Quianshun mit longtemps à se remettre de l’idée que cet effort de plus de vingt ans pour se faire un allié des Chinois n’avait finalement servi à rien.
Quianshun continue à développer ses états et sa famille. À l’aube du IXe siècle, il accepte le financement de l’Empereur tibétain afin d’entamer la transition de ses états du tribalisme antique vers la féodalité monastique, typiquement tibétaine. Il passe ensuite un peu de temps à agrandir ses possessions en vassalisant ses voisins.

C’est en tentant de conquérir Nédong qu’il reçoit une grave blessure à la jambe, blessure qui force l’amputation du membre qui commençait à se gangréner. L’auteur de la blessure est capturé quelques jours plus tard : bien que ce soit encore un enfant de 17 ans, Quianshun, fou de rage et de douleur, ordonne qu’il soit écrasé par un lourd rocher.



Quianshun ne souhaite cependant pas abandonner les bonnes relations de son pays avec la Chine, même dirigée par des Mongols. Il convient avec l’Empereur Taizu Barsid d’un mariage entre sa fille Akgul Barsid et l’un de ses fils cadets, Amdo Yundeshi, en échange de quoi il offre à l’Empereur une concubine… mais pas n’importe qui : Amdo Panpan, la fille de son fils Wansi et de la princesse impériale Li Panpan. Le marché est très avantageux pour l’Empereur, qui peut ainsi s’enorgueillir d’avoir pour concubine une petite-fille de Li Dainzong, le précédent Empereur…

Quianshun vit encore quelques années, commençant le long déclin de la vieillesse. Il finit par mourir le 23 octobre 811, peu avant son 67e anniversaire et après 42 ans de règne. Il lègue à son fils aîné Amdo Wansi des possessions considérables au sein de l’Empire tibétain, et à ses autres fils des parcelles de terres sous domination de leur frère aîné. À sa mort, il avait 17 enfants, dont un mort jeune, et la famille Amdo qu’il avait fondée comptait 38 membres, dont encore 35 en vie.

Pendant ce temps, dans le reste du monde…
- Mort de Karlomann et réunion des Francies, comme d’habitude.
- Charlemagne tente d’envahir la Saxe en 777, les Saxons reçoivent l’aide des Danois. Charlemagne est tué au combat le 4 juillet 778 par un certain Mourad, Bédouin sunnite qui combat pour les Danois où il est physicien de la cour du roi Bertil.
- Suite à la mort de Charlemagne, son fils Berald est proclamé roi par sa mère, Eldesende, grâce à l’appui du duc de Bourgogne. Pour éviter qu’il ne pose de problème plus tard, l’aîné des fils de Charlemagne, Pépin le Bossu, est castré le jour de son douzième anniversaire et envoyé comme eunuque en Chine.
- Le duc de Bourgogne trahit finalement Berald et le fait assassiner, lui, son frère, et sa mère, et envoie sa sœur comme concubine à l’Empereur chinois. La descendance masculine de Charlemagne s’éteint, le royaume franc passe à Pépin, fils de Karloman, qui épouse la veuve de Berald.
- Là où Charlemagne échoua, les Polonais l’emportèrent : la Saxe fut conquise par la cheffe tribale Kenna de Poznan. 12 ans plus tard, ce sont les Bohémiens qui s’en emparent.
- Le roi Bertil de Danemark annexe la plus grande partie de la Scandinavie mais perd tout suite à des révoltes.
- Les Muhallabid d’Ifriqiya réunissent l’Afrique du Nord sous leur joug, mais à la mort du sultan, son fils aîné et successeur Umar profite de sa prise de pouvoir pour dévoiler au monde sa conversion secrète au judaïsme et imposer la religion à ses vassaux. Umar est assassiné par un de ses frères, et le royaume Muhallabid éclate en deux : l’Ifriqiya, sunnite, et la Maurétanie, juive.
- Les Zunbils acceptent de se convertir à l’islam pour demeurer indépendants.

Cartes au 23 octobre 811 :

Chapitre II

I. Amdo Wansi, thupo de Sumparu

L’héritier du précédent

II. Bhavadeva Somavamsi, raja de Daksina Kosala

Peut-être un peu trop âgé ?

III. Amoghavarsha Amoghavarshid, thakur de Kalyani

Jeune et peu puissant…

IV. Anastasios Touvakes, comte de Dyrrachion et de Stymon

Un non-Oriental ! Ça change

A vous de choisir

IV le grec
Tu nous feras quand même un compte rendu des dynasties que tu as joué au fil de la partie?
En tout cas ça fait plaiz de te lire

Le 22 novembre 2017 à 22:44:15 Bigrat a écrit :
Chapitre II

I. Amdo Wansi, thupo de Sumparu

L’héritier du précédent

II. Bhavadeva Somavamsi, raja de Daksina Kosala

Peut-être un peu trop âgé ?

III. Amoghavarsha Amoghavarshid, thakur de Kalyani

Jeune et peu puissant…

IV. Anastasios Touvakes, comte de Dyrrachion et de Stymon

Un non-Oriental ! Ça change

A vous de choisir

je te l'avais dis que ce serait le bordel et qu'elle allait se révolter xD

j'hésite entre le 1 et 3, le 1er car la dynastie semble sympa et le 3eme car il est faible justement :p
va pour l'indien faible!

Le destin de Pépin complètement improbable

Je dirai le grec honnêtement pour la suite:noel:

Le 22 novembre 2017 à 23:06:48 Pipu06 a écrit :
IV le grec
Tu nous feras quand même un compte rendu des dynasties que tu as joué au fil de la partie?

Oui

2 - 1 pour le Grec contre le faible. Je reprends à 15h, si d'autres gens veulent voter d'ici là.

Va pour le Grec !

Ca a plutot bien commencé avec ton premier perso !
Sinon je vote pour le grec, histoire d'avoir au moins une dynastie de chaque coté de la map

Chapitre II : Anastasios Touvakes (773 - 832)

Anastasios est le fils de Manthos Touvakes, Stratège de Durres de 759 à sa mort en 795, et de Zoe, une roturière iconoclaste. À la mort de son père, Anastasios hérite de ses fiefs, le comté de Dyrrachion et celui de Stymon, mais le Basileus Anthimos Isauros ne l’estime pas digne de lui succéder au poste de stratège de Durres, et confie cette charge à Staurakios Kyritzios, déjà stratège de Thessalonique.

Les relations entre Anastasios et son nouveau seigneur sont tendues. En 805, Anastasios, qui siège au Conseil de son seigneur comme Maître des Offices, réclame une plus grande liberté pour les vassaux du duché. Sa demande est refusée, et Anastasios prend les armes contre son souverain. La révolte dure deux années, et le comte de Dyrrachion l’emporte, montrant à son seigneur qu’il est plus fort que lui.

Une trêve est cependant négociée pour dix ans. Convaincu par orgueil qu’il pourrait tirer un grand profit de plus de puissance, il rejoint la société secrète des Adeptes de Lucifer dès 808 et se met à œuvrer pour les forces obscures en échange de pouvoir. C’est dans ces conditions peu orthodoxes qu’il perd une main.
Anastasios ne recule devant rien pour arriver à ses fins. Il entreprend un pèlerinage à Jérusalem afin de contenter Dieu – car bien qu’il soit sataniste, rien ne sert de fâcher inutilement une divinité, hein ? Il voit comme un bon présage le fait que son suzerain meure subitement de syphilis quelques mois à peine après son retour de Terre Sainte…


Suite à ce décès, le Basileus nomme Anastasios stratège de Durres. Ému à l’idée d’enfin succéder à son père, le chef des Touvakes promet de ne pas en rester là.

Alors qu’Anastasios envisage de remercier Dieu en quittant la secte des Adeptes de Lucifer, la Grande prêtresse satanique est démasquée et brûlée vive sur ordre du Basileus. Suite à l’assemblée qui veut lui trouver un successeur, c’est contre toute attente Anastasios qui est élu à la tête de la société, et qui se retrouve à la tête d’un pouvoir considérable !


Contre toute attente, l’exécution de la grande prêtresse suscite un tollé général de la part des vassaux byzantins. Une double guerre civile éclate : les Iconoclastes réclament la déposition de l’empereur et la réinstauration de leur culte, tandis que d’autres réclament l’abdication de l’empereur en faveur de son jeune neveu… Anastasios en profite pour utiliser son pouvoir démoniaque à des fins curatives, et réussit, grâce à la magie de Satan, à récupérer sa main !



Anastasios veut faire prospérer ses états, mais ses caisses sont vides et il est criblé de dettes, ne pouvant entreprendre aucune action militaire contre ses voisins. Afin de ne pas perdre son temps, il décide d’accueillir à sa cour un voyageur de passage, le Chinois Feng Chuke et son épouse nubienne. L’homme s’avère être le fils de feu le dernier Général-Protecteur de l’Ouest de la dynastie chinoise Li, en exil depuis la conquête de la Chine par les Mongols. Cette visite donne une idée à Anastasios : cet empereur de Chine semble tellement fort qu’il ferait sans doute un allié de choix… Sans hésitation, le stratège de Durres fait ses bagages pour le rencontrer. Pendant son voyage, ses états devraient prospérer et combler le déficit, et il sera sans doute prêt à reprendre sa montée en puissance à son retour…

L’Empereur de Chine mourut peu après le départ d’Anastasios, mais ce fut sa fille aînée, Chengzu, qui lui succéda, laissant la dynastie sur le trône chinois. Lorsqu’après un temps certain Anastasios revint en Grèce, il apprit que la guerre civile avait abouti par la défaite du Basileus et son abdication en faveur de son fils Leontios.