Si vous étiez là il y a 6 ans ( ), vous avez connu le grand RP Du village à la capitale : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-19348-1952762-1-0-1-0-rp-serieux-du-village-a-la-capitale-v2.htm

Le principe est simple, vous incarnez un personnage de votre création dans la province Nord de Tamriel. Comme les éditions précédentes, l'important est avant tout l'histoire. Autrement dit, vous pouvez jouer le meilleur assassin de Bordeciel ou un pauvre paysan de Rivebois. Les plus vifs d'entre vous comprendront vite qu'il est assez peu intéressant de faire un personnage qui ne peut pas s'améliorer plus qu'il ne l'ait déjà. Mais le plus important est bien sûr de vous amuser !

En plus des règles de courtoisie habituelles, une petite nouveauté. Pour pimenter la partie et permettre des rebondissements, des perturbations et autres imprévus propres à l'aventures, j’incarnerai le rôle de Maître. Lorsqu'un message apparait Comme ceci , ceci est un Événement. Ce qui est écrit entre les balises est une description obligatoire qui se produit. Cela peut-être aussi simple qu'un monstre qui apparait, ou aussi dur que la mort d'un personnage.

Passons maintenant au contexte de notre partie !

Notre histoire commence quelques années seulement après la chute d'Alduin. L'Enfant de Dragon, sa mission accomplie, n'a laissé que le récit de sa légende derrière lui. L'Empire a réussi à contenir la Rébellion Sombrage. Ulfric a été exécuté, et les dernières poches de résistance sont trop faibles et désorganisées pour représenter une menace à la stabilité du pays. Quand au reste, il ne tient qu'à vous de l'écrire.

Afin d'avoir un semblant d'organisation, voilà à quoi devrait ressembler votre présentation de personnage :

Nom : Pryapus
Race : Impériale
Compétences (comme le jeu vidéo, vous avez des compétences à choisir. Précisément, 3 lorsque vous créez votre personnage. Au cours de ses aventures, le Maître pourra vous accorder des maitrises supplémentaire via un Événement.) : Magie Destruction, Magie Conjuration, Magie Illusion

Description : Le visage de Pryapus était petit, mais charnu, traversé de nombreuses rides profondes et au menton pointu. Sous ses petits yeux toujours fureteurs, insolents et railleurs, il avait des poches longues et charnues. Sa bouche était grande et goulue, ses lèvres gonflées et sensuelles, ses dents petites, noires et effritées. Son nez était petit, très fin et fortement arqué. Sous le menton, une pomme d'Adam charnue, grande et oblongue. Cela lui donnait un air de répugnante sensualité bestiale. Malgré cela Pryapus aimait plaisanter sur son visage dont il demeurait, en fin de compte, satisfait, insistant sur la forme de son nez qui lui donnait l'air d'un authentique patricien de Cyrodiil du temps de la décadence.

Ce n'est pas vraiment un méchant homme, mais il est déformé. C'est un jouisseur, rusé et corrompu. Il n'y a trace chez lui d'aucun comportement orienté vers un but noble, du fait de son absence de foi et d'idéal. Il n'a pas peur de paraître stupide et son manque de morale lui permet d'accepter sans scrupule toute situation. Il n'émet aucune réflexion sur la différence entre le bien et le mal, la vérité et le mensonge. Il ne se présente qu'avec une apparence extérieure qui n'a pas de côté intérieur inverse. C'est ainsi que lui sont étrangers : les sentiments de honte ou de responsabilité, ou celui d'être ridicule devant les autres.
En même temps, il est suffisamment rusé et égoïste pour rester adorable quand il s'agit de femmes ou d'argent. Il dit toujours ce qu'il faut dire au moment opportun. Il est suffisamment finaud pour connaître les sentiments des gens qui l'entourent et les évaluer à leur juste valeur. Il n'a pas de complexe de supériorité et c'est pourquoi les sentiments d'envie et d'hostilité lui sont étrangers. Pour atteindre ses objectifs il ne va pas jusqu'au meurtre. C'est un homme au sens pratique. Il participe activement à la vie qui se développe autour de lui dans l'intention de pouvoir ainsi satisfaire ses propres désirs. Pour Pryapus, rien n'est sacré.

Enfin une nouvelle aventure comme on les aime

Chouette idée !

Nom : Brulaf Chasse-Neige
Race : Nordique
Compétence : Arme à une main, Parade, Éloquence.
Description : Visage bourrue, barbe émacié, cheveux raide et court, une calvitie naissante dont il fait peu de cas. Au centre de son visage son gros nez est cassé penchant légèrement vers la droite. Son corps lui est se qui pourrait s'apparenter au ruine de celui d'un homme actif, les muscles maintenant flasque, et le ventre bedonnant. Il sort rarement avec un accoutrement autre que des guenilles.

Burlaf a servi au service des sombrages pendant la rébellion il était là lors de la prise de Vendeaume par les impériaux, paniquant face à la défaite imminente de son partie il rendit les armes abandonnant ses frères à une mort certaine ou une vie de fuite constante. Il se remémore le souvenir de ce jour maudit toute les nuits perturbant son sommeil. Refusant d’abandonner ses idéaux pro nordique et pour une indépendance du nord, il commet régulièrement des actes de violence sur les non nordique de Vendeaume avec la complicité de certain membre de la garde.

Dans les rues de Vendeaume à la jonction entre le quartier gris et le reste de la ville
Brulaf interpelle un elfe noir une de ses victimes favorite ce bon vieux Aramiil, jamais il ne le dénoncera et quand bien même ce bon vieux Aramill est complémentent fou personne ne le croira.

Brulaf - "Eh Aramiil viens là !" dit-il depuis une sombre ruelle.

Aramiil - "Euh que voulez mon seigneur Brulaf ?"

Brulaf - "Viens voir je vais te montrer un truc" alors qu'Aramiil arrive à son niveau Brulaf le choppe par le cou et le plaque contre un mur, "Alors toi mon salop tu vas payer pour ta naissance"

Aramiil - Haletant "Arrêter s'il-vous-plait je n'ai rien fait de mal"

Brulaf - "Bien sur que si et tu le sait très bien"

Brulaf continue de la tabasser jusqu'à se qu'Aramiil soit au bord de l'évanouissement. En faite cette fois il va même s'évanouir "Il se réveillera avant la tomber de la nuit" pense Brulaf, satisfait il part à l'auberge.

À Auberge du Candelâtre, Vendaume

Pryapus s'était vu confié une mission simple. Simpliste, même dans le sens où c'était trop beau pour être honnête. Pas que ça l'importait véritablement. La politique de Vendaume était de toute manière trop complexe et imbécile pour qu'il puisse en saisir les subtilités. Tout ce qu'il savait, c'est qu'il pouvait rester bien au chaud, là où le vin coulait et les femmes dansaient. On lui avait remit dans la matinée une lettre scellée. Sa curiosité n'avait pas été assez forte pour qu'il ressente le besoin de l'ouvrir, et la paye était trop bonne pour qu'il la refuse. Il devait simplement rester suffisamment sobre pour repérer un gros brun bourru, dont le nez tordu devrait assurer de ne pas le confondre avec un autre.

Pryapus vida sa dixième coupe d'hydromel, lorsque le vent glacial propre au Nord s'engouffra dans la pièce. Des cris de protestations exigèrent que le nouvel arrivant la referme vite, ce que l'homme s'exécuta de faire. Alors que le vieux magicien posa son regard sur le bonhomme à la carrure aussi imposante que son ventre, celui-ci plissa des yeux comme pour mieux l'observer. Trônait sur son visage un nez distordu, réduisant à néant le peu de charme qu'avait déjà ce personnage. Pryapus s'y connaissait, en nez, mais celui-ci n'était ni impressionnant, ni séduisant, ni rien. Il ressemblait juste à un petit animal qui avait été broyé sous la roue d'une charrette. Sans dire un mot, le patricien se leva de son tabouret et sorti de sa manche la lettre qui lui avait été confié. Il s'approcha de l'homme et la lui tendit, avec en tête seulement les Septims promis.

Après avoir fermé la porte Brulaf balaie du regard l'assemblé jetant son habituel regard noir sur tout se qui n'était pas nordique, Brulaf n'était pas inquiété par son comportement ouvertement raciste, ses complices s'occuperait de tout ses ennuis en justice. En échange ils ne demandaient que quelque moment avec sa sœur, qui est indubitablement considéré comme une des plus belles femme de Vendeaume, enfin quand Brulaf ne la battait pas. Le regarde de Brulaf croise celui d'un Imperial à l'apparence repoussante, comme celle de tout les impériaux. L'homme se lève et approche de Brulaf lui tendant une lettre...

Brulaf - "Qu'est ce que c'est ? Impérial..." Préparant sa salive au cas ou la réponse ne lui conviendrait pas

Le vieillard, légèrement aviné colla la lettre au torse du Nordique. Bien que celui-ci semblait prêt à le frapper à tout instant, il n'effrayait pas le moindre du monde Pryapus. Celui-ci n'avait pas peur de se faire passer à tabac. Ce sont des choses qui arrivent, et ça n'aurait été ni la première, ni la dernière fois. Il se contenta de marmonner d'un air las : "Une lettre pour vous."

Brulaf arrache la lettre des mains du vieil homme. "Si ce que je lis à l'intérieur ne me plait pas on règle ça dehors. C'est compris ?"
En ouvrant la lettre on peut l'entendre "Abrutis de putain d'impériaux..", s'éloignant du répugnant petit homme il commence à lire la lettre.

À l'encontre de Brulaf Chasse-Neige,
Vôtre sagesse est immense et vos actions ont attirées notre œil. Vous êtes un véritable Nordique prêt à faire les choix nécessaire pour votre partie. Si vous désirez rencontrer d'autres patriotes, rendez-vous aux docks lorsque les lunes seront au plus haut dans le ciel.
Des amis.

Brulaf n'arrive pas à retenir son souffle les sombrages se rappellent de lui... Après toute ces années ils ne lui en veulent pas... Oui ses actions récente on surement attiré leur attention. Tout ces elfes frappés parfois à la limite de la mort, les concession familiale qui ont du être faite, oui tout ça se n'était pas pour rien.
Le sourire aux lèvres il lève son regarde vers le coursier "Ça va pour cette fois connard, de bonne nouvelle tu ne goûteras pas au poings du Chasse-Neige haha !"
Brulaf accourt vers le comptoir et demande sa rasade quotidienne d'Hydromel.

Pryapus se contenta de hocher la tête humblement, bien qu'il ne put restreindre un sourire moqueur. Il se hâta dehors et claqua la porte derrière lui. Le froid mordant eut tôt fait d'envahir ses vêtements, et il se hâta vers sa futur récompense, à la fois pressé par le froid et par l'avidité.

Brulaf festoya toute la journée c'était donc cette soirée même qu'il devait contacter ses camarades trop longtemps oublié. Sur le chemin vers le dock le corps d'Aramiil était encore immobile dans le neige, alors que la lune était à son zenith, "Ce con est probablement mort, bah de toute manière je serais bientôt plus en ville pour régler ce problème"
Brulaf arrive au dock et balaie alors du regard les personnes présentent...
Des argoniens "la racaille des docks..." et des fières nordiques se préparant surement à une dur traversé pour gagner leur pain honnêtement.

Alors que Brulaf attend sur le dock, sortent des ombres des hommes armés. L'un d'entre eux tient fermement le vieil homme rencontré à la taverne, qui pointe fébrilement du doigt le Nordique. Les guerriers portent le blason de Vandaume, prouvant leur appartenance à la garde. Mais, alors que celle-ci est habituellement composée de Nordiques comme d'Impériaux, la chose est ici différente. Aucun n'a de mâchoire anguleuse, ni de nez carré. A la place, les traits fins et longs des Impériaux se retrouvent dans chaque visage. Ils avancent en pince, bloquant toutes les issues pavées, déjà les glaives dégainés.

"Oula les gars qu'est ce qui se passe on peut surement s'arranger Hilda est dispo hein héhé..." Il lève les mains s'assurant d'afficher aux gardes ces intentions pacifique.

"Vous êtes accusé de haute-trahison." répond un des gardes. "Tout vos droits viennent d'être révoqués. Rendez-vous sur le champ."

"Quoi, quoi ? Comment ? Moi ? Le plus honnête des citoyens de Vendeaume ? C'est une blague ? Si c'est à cause de l'autre elfe il est surement mort tout seul il est fou ! C'est pas moi !" La sueur commence à perler le long de son front, il descend aussi une de ses mains vers sa ceinture où se trouve une dague...

Alors que le garde qui le tient fermement semble entièrement concentré sur le Nordique, Pryapus commence à bouger savamment ses doigts, tout en murmurant tout bas une incantation. Alors qu'un flux de magie semble apparaitre et disparaitre quasi immédiatement, une vive lumière éclaire soudain tout le dock. Les gardes se retournent surpris, pour voir derrière eux une créature toute de feu et de flammes et une boule de flamme foncer droit vers eux. Les hommes l'évitent au dernier moment, et Pryapus se libère d'un coup de la prise de son agresseur, arrachant le col de son vêtement.

"Retenez-les !" Crie un des gardes tandis que trois d'entre eux s'empressent d'aller affronter l'atronach. Deux des autres commencent d'ores et déjà à pourchasser le vieil homme, tandis que le troisième fonce vers le Nordique pour tenter de l'empêcher d'entreprendre quoi que soit.

Pryapus n'en est pas à sa première arrestation, mais il a entendu le discours du garde. S'il est impliqué dans cette histoire de trahison, cela veut dire au pire la torture, au mieux le billot. Alors, sans plus réfléchir, il plonge dans les eaux glaciales du Nord.

Le garde qui se précipite sur Brulaf est un novice, sa manière de bouger, les failles dans sa garde Brulaf les voit et se précipite immédiatement vers le tronc du garde tenant fermement sa dague a deux mains.
Un coup direct dans le foie de son adversaire et le voila au sol, commençant ses plaintes à Akatosh pour lui laisser la vie sauve.
Brulaf jette un rapide coup d’œil vers les autres gardes, deux regardent d'un air béât l'autre impérial qui viens de sauter dans l'eau tandis qu'une boule de feu souffle un des trois garde qui affrontent l'atronach.
Brulaf pousse un des gardes dans l'eau, et commence à croiser le fer avec l'autre. Celui la n'est pas mauvais mais il n'a pas l'expérience de Brulaf, surement un de ses impériaux fraîchement importé de Cyrodiil.
Malgré la plus faible allonge dont il dispose Brulaf parviens à pénétrer la garde du garde et la lui enfonce dans une des interstices de son armure. L'impérial alors au sol criant de douleur Brutolf se retourne, plus qu'un seul des gardes affronte l'atronach. Affronte le mots est bien peu adapté il est plutôt en train de fuir vers la grande porte laissant ses 5 camarades pour mort
Brulaf cherche un moyen de s'enfuir retourner en ville n'est pas une option... La juste devant lui un argonien en état hypnagogique sur une barque, la parfaite occasion Brulaf s'élance sur le barque et jette par dessus bord l'argoniens et commence à ramer vers le large...

Bide