no bide svp

Pripyat, 15h23

De la brume recouvrait le sol craquelé des rues.Les corbeaux volaient bas et me regardaient d'un oeil sinistre comme si j'étais un inconnu qui entrait dans une maison sans y être invité.Il fallait que je ramène une boite au chef du Monolithe, de la part de Léon que j'ai rencontré deux jours avant, quand il allait rejoindre lâutre monde. il m'a demandé une faveur:ramener la boite qu'il avait détournée aux Mercenaires:Malheureusement il s'est retrouvé par terre avec quatre balles dans le bide.

J'arrive enfin devant "Prometheus"le cinéma de Pripyat, un garde m'interpelle.

-Eh toi que viens tu faire sur nos terres sacrées?

-J'ai un message de Léon et une boite de sa part.

-Ca veut dire que Léon n'est plus ded ce monde...?

-Oui il m'a supplié d'apporté ça à Charon et j'exauce son dernier voeu...

Il me laissa entrer puis il me donna le mot de passe "Fleuve gris" le temps que je me présente à Charon j'avais remarqué que je n'étais pas comme les autres STALKERs qui canardaient cette faction au moindre mouvement.J'éprouvais une sorte de pitié pour cette équipe, quoique un peu folle,persecutée par les autres factions.J'arrive devant leur chef.

-Bien étranger, présente toi.

-Liev le Corbeau.

-Bien donne-moi ce que devait nous apporter Léon.

Je lui tendit la mallete, il l'ouvrit et regarda le contenu de la boite sans dire un mot, il envoya une message aux autres et me tendit un bout de papier avec un code dessus.

-Va chercher ton paquetage chez le marchand si tu veux nous aider contre les Mercenaires.

-Mais que vous veulent le Mercenaires?

-Depuis un moment ils ne se sont plus montrés mais un type les a armés et ils peuvent nous anéantir, d'après Léon ces armes proviennet du Devoir.

Mon cerveau qui marchait au ralenti depuis que j'étais arrivé à Pripyat, se remit à marchait normalement:Je considérai la gravité de la situation, Accroc que je devais retrouver avait armé les Mercenaires pour éliminer une des factions les plus imposantes:le Monolithe.Ce qui voulait dire que je devais me battre contre les Mercenaires pour le Monolithe.Je me rendis vers le marchand, lui donna le papier et me donna une Combinaison Avancée du Monolithe qui alliait une excellente protection contre les anomalies et les balles, il me donna un AK-74m Tactique avec un viseur Kobra, puis des grenades et 5000Ru pour me récompenser du travail de Léon.Je me rendis sur le toit du bâtiment principal du cinéma, où on avait construit des barricades qu'on avait recouvert de filets de camouflage.Un commandant du Monolithe me donna un SVD et trente cartouches pour la longue portée.Plusieurs combattants en exosquelette installaient des mitraillieuses fixes et lances-roquettes RPG.Je pris une caisse de munitions calibre 5.45x39mm.Cett faction était armée jusqu'au dents mais n'avait pas assez d'hommes pour écraser les Mercenaires et les bandits qui maintenant formaient une seule faction.Le stress se faisait sentir et chaque centimètre carré de territoire était extremement précieux.Je reçu une grande tape dans le dos, je me retourne et vois Tolik et Boris qui me sourient.

-Comment m'avez vous retrouvé?

-Le Hibou nous a donné tes coordonnées, dit Tolik

-Je remarque que tu ne te sépares plus de ce masque PMG, lança Boris.

Ils me donnèrent un casque de combat avec une visière en métal que seul un long trait en plexiglass me laissait voir l'exterieur.J'enlève mon masque et le range dans le sac de ma nouvelle combinaison. je mets le casque et rabats la visière...

Ceci est l'avant dernière partie de cette histoire.Merci à Black-Hole qui m'a donné de quoi m'inspirer, à Tcherno qui comme Black, a suivi ma fic' et à Spectrum9 qui m'a donné cette envie de faire ma propre histoire de STALKER.

Up de la mort qui tue la vie

Pas mal....

Merci mais est-ce que tu pourrais développer ta critique s'il te plait parce que sinon je ne peux pas savoir ce qu'il y a de bien et de pas bien

Tu bides ?
Je lirais tout ça un jour, un jour...

j'attends que quelqu'un critique pour sweeter

toujors personne...

Le Dernier Combat

Personne ne parlait, tout le monde était anxieux, en état d'alerte. Certains allaient vomir, le brouillard enveloppait l’atmosphère de mort de ma barricade, le bruit des arbres produisait un bruit pesant,répétitif. Le vent fouettait ma parka et mes gants.
J'étais placé derrière un mur de béton et de tôle rouillée. Notre barricade était un simple arc de cercle composé de déchets et de briques. Nous scrutions tous la route menant à Pripyat. Les Mercenaires devaient bientôt arriver. Personne ne pouvait connaitre l'issue du combat. Le soleil était en train de se coucher. Les rues s'obscurcissaient, rendant la ville encore plus effrayante qu'elle ne l'était.
D'un coup j'entendis un coup de feu. Tout le monde releva sa tête. Je commençais à transpirer. J'étais embarqué dans un des plus grands combat de stalkers. Lentement je m'accroupi. Prit mon AK74 et regarda à travers mon viseur. La pénombre m’empêchait d'y voir clairement, mais je pouvais distinguer une dizaine de Mercenaires courir.

-Ennemi en vue, cria Charon, chargez vos armes, luttez pour la Zone, pour le Monolithe!

Les combattants du Monolithe scandèrent un prière. Je regardais Tolik avec stupéfaction.

-Tolik, je veux qu'on s'en sorte vivants, avec Boris.

-t'inquiètes pas, répondit-il

Nous chargeons nos armes, quand les échanges de feu commencent.
Je me relève et tire une rafale touchant à peine un Mercenaire dans la jambe. Mon état était pire qu'avant. J'ai trop peur. Je sue a grosses gouttes dans mon casque. Je réfléchis. Et si nous faussions compagnie aux Monolithes, Tolik, Boris et moi. Mais je me ravise. Nous nous ferions sûrement capturer par une des deux factions. Je tire, encore et encore, touchant trois Mercenaires. Un à la gorge, à qui elle explosa, arrosant le sol de sang, un à la poitrine et un dans l'épaule. Les Mercenaires étaient beaucoup, avec un bon équipement: LR-300, G36, L-85, et une protection balistique.
Mon chargeur est vide, je me baisse, ouvre une poche de mon chest rig,et prends un autre chargeur. Une fois ma kalash chargée, je me relève et voit un spectacle cauchemardesque: des stalkers du Monolithe couverts de sang, des cadavres partout sur le toit. Je reprends mon sang froid et tire sur un Mercenaire dans la tête. Tolik vint me voir.

-Ouf t'es vivant. Ce combat est une boucherie!

-Je sais, faut trouver une solution, et vite!!

Tandis que les barricades volaient en éclat, je me faufilai parmi les combattants restants et courut au rez-de-chaussé. Il y avait un RPG-7 dans le bureau de Charon. Je prends le lance roquettes et remonte sur le toit. Je vise et tire sur les Mercenaires. Malheureusement, à cause de ma hâte, je ne touche que 5 Mercenaires. Je jette l'arme, furieux. Je reprends mon A et tue autant de Mercenaires possible. Je venait de m'approvisionner en munitions, quand une explosion me projeta à terre. J'étais totalement sonné, quelques débris étaient tombés sur moi. Le cadavre de Boris gisait à quelques mètres de moi. Les larmes me montèrent aux yeux. Le chef des Mercenaires, à en juger par sa combinaison ornée de trois étoiles sur les manches s’avançait vers moi. Il ne portait pas de protection faciale. il avait l'air comme tout le monde, cheveux longs, noirs, sales. Je saisi mon AK74 et rassembla toute l'énergie qu'il me restait. Je tira une rafale dans la tête de leur chef. Sa boite crânienne explosa, arrosant de sang tout ce qui se trouvait autour de lui.
Je me relevai, et regarda Boris. Il était immobile, les jambes écrasée par une dalle de béton. Je me mis à sangloter. C'était fini. Je ne le reverrais jamais. Un membre du Monolithe vint vers moi.

L’ennemi prend la fuite, on a gagné!!!

Les survivants manifestèrent leur joie en tirant sur les fuyards.
Je marche, l'âme en peine. Je rejoins Tolik, qui est sain et sauf. Il me regarde dans les yeux et comprends que quelque chose ne va pas.

-C'est... c'est Boris? Il est mort?

-Oui, bégayai-je

Il détourna le regard et commença à pleurer. Je haïssais de tout mon cœur Accroc, le Devoir, et les Mercenaires. Mais mon PDA vibra et me ramena à la réalité. Je sortit mon PA de ma poche et lut le message

"Retrouve moi à Tchernobyl-2"
C'était signé Vadik la Tortue.
Je ne savais pas qui étais Vadik, mais Sidorovitch m'en avait parlé. C'était un vétéran.Je me rendis près de Tolik.

-Tolik, on repart. J'ai reçu un rendez-vous

-Non, Liev, moi je reste... Je veux aider le Monolithe...

Je pris Tolik dans ms bras. C'était devenu la seule personne sur qui je pouvais compter maintenant.

-Ok... bah bonne chance... soufflais-je.

-A bientôt Liev!

-Salut Tolik!

Je pris des munitions et de la nourriture. J'enlevai mon casque le jeta par terre et mis mon masque à gaz PMG. JE pris la route pour quitter Pripyat...

Je devais aller au sud.

Fin