Le meilleur écrivain

Tout d’abord, bienvenue dans cette réédition du jeu « Le meilleur écrivain »

Votre objectif sur ce topic sera de prouver votre valeur à travers différents récits à écrire sur un thème imposé, la taille et le contenu du récit restant relativement libre.

Comment participer

Ce topic fonctionnera par « semaines » . Vous aurez du lundi au samedi pour écrire votre nouvelle en relation avec le thème de la semaine. Le dimanche sera le jour des votes. Vous aurez droit à voter chacun pour une seule nouvelle de votre choix. Par soucis d’équité, il est recommandé de lire toutes les nouvelles avant de voter Le gagnant aura droit à choisir le thème de la semaine suivante

Quelques détails techniques

L’annonce du nouveau thème se fait en un post de cette manière, pour être bien visible :

nouveau thème

Pour poster votre récit, procédez de cette manière :

Titre de la nouvelle

Ce jeu est réalisé dans le but de recevoir des critiques afin de progresser. N’hésitez pas à tenter votre chance ou à donner vos appréciations sur les autres récits Veillez tout de même à rester poli et encourageant envers les participants !

Envie de lecture ? Passez faire un tour sur l’ancien topic

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Le premier sujet paraîtra dans quelques instants

pourquoi titre ?

Pour la visibilité

c'était juste pour rire!!

Le premier thème L'art de tuer Proposé par ]Portal2[

Le meilleur écrivain

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on a toute la semaine ..c'est ça ?

tuer la nuit

J'aime la nuit, les ombres sont comme des balises, il suffit de les suivre.
Le chemin se dessine, finalement, plus lumineux et plus perceptible.
l'odeur du crime est plus vive ,les mouvements plus subtils, le corps entier se délie.
la victime innocente ne sait que faire, elle s'enfuit.
la route défile à toute allure mais je sais que nos chémins se croiseront,tôt ou tard.
la fuite n'est pas la solution.
la nuit, la solution c'est l'attente.

L'attaque en elle-même ne fut pas des plus spéctaculaires, un bond et la jugulaire fut tranché.

c'est l'attente qui procure le plus de bien-être.
une fois le travail terminer, la nuit devient froide et l'impression de solitude se fait ressentir.

il est alors temps de rentrer.

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Kom jay pas d'inspirassion ~ ~

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ça me tente bien !!!

Apple : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-28123-283200-40-0-1-0-jeu-le-meilleur-ecrivain.htm#message_443814

Message laissé dans le topic précédent.

Crying Hitman - Les Tueurs Rêvent aussi

L’opéra était sur le point de commencer. Anton Zinsky dirigeait l’orchestre. Il était loin d’être un débutant et pourtant à chaque fois qu’il faisait face aux musiciens, la baguette levée, il éprouvait une joie sans égale.
Alors que le rideau s’écartait et qu’un décor paradisiaque voyait le jour, Anton imprima à sa baguette un lent mouvement sinueux tout en rythmant de la main gauche. Et les premières mesures retentirent dans la salle bondée du sol aux balcons.

http://www.youtube.com/watch?v=1WvuJwMFPz4&feature=plcp

Une voix céleste s’éleva, dominant l’envolée des cordes et hypnotisant l’assistance. Anton frissonna. Dans ces moments-là il se sentait béni des dieux. Peut-être même leur égal.
Le meilleur rôle, se disait-il. J’ai le meilleur rôle. Acteur et spectateur d’un spectacle grandiose, il avait le sentiment de se trouver au cœur d’un éden en pleine croissance, chaque ingrédient rivalisant de beauté avec le précédent, les uns se greffant aux autres pour constituer un fleuve d’émotions sans commune mesure. Lorsque la voix de la soliste fut rejointe par le chœur, Anton sentit une larme couler sur sa joue. Sa main souple devient alors un poing et la baguette cingla furieusement l’air comme pour en extraire d’insoupçonnables délices.
La symphonie venait de gagner le cœur de chaque spectateur. Anton le savait. Il leur tournait le dos et pourtant il pouvait percevoir les vibrations émanant de chaque homme et de chaque femme aussi aisément qu’il distinguait la sonorité unique de chaque instrument. Lui-même était un instrument autant qu’un virtuose au service de la plus belle des choses : l’harmonie.
Le morceau se termina bien trop vite à son goût. Lorsqu’il fit face au public pour le salut rituel, les bouquets de roses rouges se mirent à pleuvoir sur lui. C’était un succès, mission accomplie. Il sentit l’ivresse le gagner un peu plus lorsque tout le monde se leva pour l’applaudir. Un pétale lui frôla la joue, là même où il avait pleuré, donnant naissance à une poétique larme de sang. Anton regarda presque négligemment la baguette dans sa main droite. Elle n’était plus là. A la place, il tenait une arme. Un pistolet noir comme la nuit équipé d’un silencieux. Le restaurant résonnait encore des cris des clients épouvantés. Les sept gardes du corps gisaient dans des postures qui annonçaient leur mort mieux que les impacts de balle émaillant leur corps. Le mobilier alentours témoignait de la violence de la fusillade qui venait d’avoir lieu. Le ministre le fixait de ses yeux éteints, le front serti d’un lugubre rubis. Sa femme était tombée à genoux. Elle avait la tête baissée et semblait paralysée. Anton détailla sa robe blanche virginale avant d’essuyer sa joue éclaboussée de sang frais. La cantatrice releva la tête. Elle était en larmes. Anton sut alors qu’il avait été exceptionnel ce soir. Il lui sourit. La gorge nouée par l’émotion, elle lui demanda avec espoir :
- Ni femmes, ni enfants, n’est-ce pas ?
Le tueur la contempla avec tendresse :
- Ni témoins.
La baguette virevolta une dernière fois, une dernière fois la diva donna de la voix, clôturant l’opéra avec une maestria qui laissa le public béat.

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Lettre d'assassin

"Le meurte est un art, au même rang que la musique ou la peinture, et même plus car la moindre erreur est mortelle. Tout le monde peut le pratiquer, mais seulement quelques élus atteignent la perfection. Aucun bruit, invisible, muet, chacun de leurs gestes est calculé, éxécuté avec calme et violence. Et pourtant, même les meilleurs ratent leurs coups. L'imprévu est le plus grand ennemis des ces maîtres. Un homme en plus, une bourrasque de vent au movais moment, ou tout simplement la prétention. Une fois la cible connue, il doit se concentrer, l'observer, la comprendre. Il doit aussi connaître par coeur les lieux. Une fois prêt, la fleche, le couteau, ou autre peut partir et se loger dans le corps. L'âme peut ainsi être acheminé vers un autre monde, le sang, impur, salit la terre et il repart, fier, confirmer son succés. Ces hommes sont très peu sur Terre et dans les cieux, et être considéré comme un de ces hommes a été pour moi un grand honneur

C.K."

Une fois cette lettre lue, je ne me sentis pas encore prêt. L'heure n'était pas encore venu. Je la remis donc là où je l'avais trouvé, sur cette tenue blache, à côté de son arc, que je n'étais pas encore digne d'utiliser.

Le rythme de la mort

(http://www.youtube.com/watch?v=TpGijjfNCr4)

Elle se dirigeait vers l’immeuble d’un pas décidé. Habillé d’un grand manteau noir nuit, ses cheveux tout aussi noir attaché en arrière. Lunette de soleil sur le nez malgré la pluie qui tombait. Deux revolver caché avec deux chargeurs chacun. Deux épées dans le dos et une lame secrète dans chacune de ses bottes.

Comme à chaque fois…

Elle commençait à se préparer mentalement. Marchant lentement, préparant chacun de ses futurs gestes. Elle connaissait l’emplacement exact de chacune de ses cibles. Tout était calculé minutieusement, tout était rythmé. Elle devait entrer et ressortir, la mission accomplis, le tout en moins de cinq minutes. Elle commençait à entrer en transe quand elle pénétrait dans le bâtiment, la musique prenait le pas sur ses pensées.

Comme à chaque fois…

Arrivait à la douane, elle passa le détecteur de métaux. Il se mît à sonner. Sans s’arrêter de marcher, elle tira deux coups de feu, deux gardiens à terre. Elle commença à courir, tirant un coup pour chacun des hommes qui étaient derrière les poteaux. Elle n’entendait plus rien, ni ses propres tires, ni le bruit des corps sans vie tomber au sol. Rien, sauf cette musique…

Comme à chaque fois…

Arrivait à la moitié de ce long corridor, elle lâcha ses deux armes à feu. Elle sortie ses quatre lames de leur fourreaux et continua de dansé sur cette musique qui s’insinué de plus en plus en elle. Coupant, empalant, transperçant, décapitant, démembrant tout sur son passage. Elle ne laissait rien au hasard. Des balles se mirent à siffler dans tous les coins, pourtant aucune ne réussie à la toucher… Virevoltant tel un feu-follet, personne ne pouvait s’enfuir… Des portes s’ouvrir à la voilé, d’autres gardes entrait armé jusqu’à la dent. Mais rien ne la déconcentrait. N’écoutant que cette musique qui se fît plus pressante…

Comme à chaque fois…

Rien ne pouvait plus l’arrêter. Elle n’entendait plus la musique… Elle était la musique. Continuant d’avancer en dansant, ne laissant aucun survivant, aucuns témoins. Tuant tout sur son passage, laissant des corps démembré dans son sillage.
Elle ferma les yeux, pas besoins de voir ni d’entendre. Il lui suffisait de sentir chaque déplacement d’air et chaque respiration. Elle faisait se pourquoi elle était née. Toujours calme, concentré, se préparant pour la suite. Elle se relevant et fît face au porte de l’ascenseur. Les bras et les jambes écartées. Ses habits et ses armes couverts de sang. Elle était prête à changer de rythme…

Comme à chaque fois…

L’ascenseur commençait à descendre...

20…19…18…17…16…15…

Toujours en mouvement, aussi insaisissable et meurtrière que le vent en colère.

14…13…12…11…10…9…

Toujours en mouvement, aussi fluide qu’une rivière, dansant comme une flamme tellement chaude quelle en est blanche. Elle prît une longue inspiration…

8…7…6…5…4…3…2…1…R...........

Quand les portes s’ouvrirent, elle se laissa glisser sur les genoux, coupant les jambes des nouveaux arrivants. Elle les achevant pendant la monté des étages. Il eût un autre comité d’accueille. Elle dansa jusqu’à eux tellement vite que les corps mirent quelque seconde à tomber après leur mort.

Comme à chaque fois…

Nouveau couloir, nouvelle tuerie. D’autres vinrent, d’autres moururent. Chacun de ses coups étaient net et précis. Elle arriva à la salle des ordinateurs. Toujours en mouvement, tuant d’un côté et plaçant les explosifs de l’autre. Il n’y avait plus âme qui vive… Quand une nouvelle vague arriva. Des troupes d’élites cette fois. Elle prit une arme au sol et tira trois coups en pleine tête. Les hommes surpris eurent quelques secondes d’hésitation, elle en profita pour continuer à l’arme blanche. Ses lames bien aiguisées passé au travers de leur gilet. Rien à faire, tous tombèrent comme des mouches.

Comme à chaque fois…

Continuant ainsi, tel des dominos. Coupant, empalant, transperçant, décapitant, démembrant tout sur son passage. Jusqu’au dernier. Ensuite, elle sauta par la fenêtre, lança son grappin et descendit en rappel de l’immeuble. Arrivait à terre, elle s’éloignât calmement avant de s’arrêter à l’entré d’une ruelle étroite. Sortit le détonateur et l’actionnât…

Comme à chaque fois...

J'suis pas super inspiré...

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