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Sujet : The Ghost Writer

News culture
La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume - la révolution simienne est en marche !
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DarkToonLink DarkToonLink
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Niveau 10
21 mars 2010 à 23:01:06

Pourquoi tu me parles de Mozart ? :hap:

Bien de raconter n'importe quoi ? :hap:

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Niveau 25
21 mars 2010 à 23:02:05

Ta musique de bouseux me casse les oreilles lorsque je sors de mon concert bimensuel du philharmonique de Berlin :hap:

DarkToonLink DarkToonLink
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Niveau 10
21 mars 2010 à 23:07:09

Je ne savais pas que Mozart était encore vivant et qu'il composait des musiques pour films d'animation. :ok:

Owned. :bye: :merci:

:hap:

DarkToonLink DarkToonLink
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Niveau 10
21 mars 2010 à 23:15:40

Non mais je rigolais, tu peux revenir hein, n'aie pas peur. :-(

:hap:

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Niveau 25
21 mars 2010 à 23:16:50

ça change rien c'est de la musique et je suis certain qu'on peut trouver un DA avec du Mozart :hap:

DarkToonLink DarkToonLink
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Niveau 10
21 mars 2010 à 23:17:22

Sauf que Mozart n'en sera pas le compositeur original. :hap:

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Niveau 25
21 mars 2010 à 23:31:16

Mais si, tu n'as jamais entendu parlé du fantôme de Mozart ?

The_Go-Between The_Go-Between
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Niveau 10
21 mars 2010 à 23:35:52

Mozart :rire:

La seule musique digne de mon écoute attentive est celle de JSB désolé.

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Niveau 25
21 mars 2010 à 23:37:18

Même pas un petit Ludwig Van ?

The_Go-Between The_Go-Between
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Niveau 10
21 mars 2010 à 23:45:25

Bon si tu me prends par les sentiments.

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Niveau 25
21 mars 2010 à 23:55:02

Je savais que tu n'avais pas mauvais fond :hap:

DarkToonLink DarkToonLink
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Niveau 10
22 mars 2010 à 00:11:30

Bach merci. :hap:

The_Go-Between The_Go-Between
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Niveau 10
22 mars 2010 à 00:22:04
  1. resolution Voir le profil de resolution
  2. Posté le 21 mars 2010 à 23:55:02 Avertir un administrateur
  3. Je savais que tu n'avais pas mauvais fond :hap:

Qui sait, j'aime beaucoup la musique de chantons sous la pluie également :hap:

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Niveau 25
22 mars 2010 à 00:36:27

Que je n'ai pas vu :hap:

DarkToonLink DarkToonLink
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Niveau 10
22 mars 2010 à 00:40:23

Qui n'est pas mémorable. :hap:

_-Zed-_ _-Zed-_
MP
Niveau 10
24 mars 2010 à 13:25:40

Vu.

Pour l'instant, et à première vue mon film de l'année.
Un parfait thriller sur fond politique mené par R.Polanski.
La musique joue une place importante et donne une impression d'inquiétude et de suspense.
Et là, je vais comparer le film aux oeuvres littéraires de Bret Easton Ellis parce qu'ils ont une chose en commun : il n'y a aucune longueur dans la narration. Ces deux artistes ont tous deux cette force de narration qui nous empêche de lâcher l'intrigue.

Je dis chapeau au film.

4/4

bouboul bouboul
MP
Niveau 10
07 avril 2010 à 13:46:58

Attention :spoiler:

De Polanski je n'avais vu que Rosemary's Baby et Le Pianiste, deux films qui m'avaient laissé le goût amer d'un sentiment de désillusion de par les quelques défauts qui les parsemaient. Je n'ai donc jamais considéré Polanski comme un grand cinéaste capable de pondre des merveilles... à tort.

Car en voyant The Ghost Writer, Thriller politique à l'ancienne, je me suis tout de suite rendu compte de l'importance de ce film dans le domaine du film à suspense.
Tous les éléments qui font la force du genre sont présents, tout comme les thèmes récurrents de Polanski. On bénéficie ainsi d'un scénario complexe en phase avec l'actualité, montrant bien que le thriller politique n'aura jamais éculé ses divers sujets.
L'atmosphère dépeinte à travers une réalisation sobre, est vraiment prenante et implique le spectateur de telle sorte qu'il vit les événements de la même manière que le héros (magnifiquement interprété par Ewan McGregor dans son meilleur rôle), jamais nous n'avons de longueur d'avance sur lui puisque le narrateur est dit "interne" en langage littéraire.

Etant donné que le film est souvent comparé à Shutter Island pour des raisons multiples ( une île comme environnement oppressant et claustrophobe, Thriller sorti en même temps, grands cinéastes que l'on attend au tournant), autant le dire tout de suite, les deux films restent tout de même radicalement différents.
Alors que Scorsese est sans cesse à la recherche de nouveaux plans, de nouveaux concept technique, d'une photographie artificielle très léchée, Polanski mise sur une réalisation classique, épurée d'effets spéciaux et de retouches d'images, dont le principal attrait est le jeu de caméras serein qui prend le temps de poser les décors, les personnages et offre des possibilités de lecture à travers la grammaire des plans et du découpage (cf. analyse de Philipe Rouyer dans l'émission Le Cercle). D'une certaine manière, Polanski serait un peintre mi-réaliste, mi-impressionniste, alors que Scorsese pencherait largement du côté expressionniste.

A ce propos, le contexte réaliste du film est sans aucun doute l'un des éléments qui en fait sa force. Comme le faisait un Hitchcock, Polanski à l'art de plonger un personnage banal comme vous et moi dans un univers fiévreux, qui contre son gré, va mener le protagoniste dans une sorte d'aliénation paranoïaque. Or le côté réaliste du film, ne fait qu'amplifier cette impression que tout cela s'est vraiment déroulé, que cette aventure aurait pu arriver à n'importe qui.

Quelques scènes sont d'une maîtrise incroyable, telle que celle du billet qui circule de main en main à travers l'assemblée, ou le plan-séquence finale, mettant en scène la mort de Ewan en hors-champ, ponctué peu après d'un générique pour le moins plaisant.

9/10

leprodiss leprodiss
MP
Niveau 10
12 avril 2010 à 23:45:16

Spoilers in da critique.

" Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé ne serait que pure coïncidence ".

Oui bien sûr. Tony Blair est donc le personnage principal du dernier film de Roman Polanski. L'habituelle phrase du générique sur la différence entre réalité et fiction perd ici toute crédibilité au vu d'un film qui se sert d'une actualité récente comme matériau principal à l'élaboration de son intrigue. Les références à l'ancien Premier Ministre britannique affluent : même lieu de naissance, appartenance au parti travailliste par exemple. Physiquement aussi l'amalgame est total, et le choix de Pierce Brosnan pour interpréter l'homme politique n'est guère anodin tant les deux hommes partagent un certain charme sûr de lui, une espèce de séduction nonchalante. Mais c'est surtout dans la ressemblance psychologique et dans le caractère commun des deux personnages qu'il faut voir de l'intérêt, puisque tout cela va permettre au film de développer son propos.

Entre autres choses, The Ghost Writer parle de manipulation et d'échanges de procédés qui n'ont souvent rien de bon. Soit la relation entre Lang et Paul Emmett, ou, plus important encore et faisant directement écho à l'histoire récente, la relation entre le Royaume-Uni et les Etats-Unis juste avant la seconde invasion en Irak. Plusieurs fois dans le film, on pense à cette fameuse phrase qui faisait de Blair le caniche de Bush. Comme lui, Lang semble réagir au doigt et à l'oeil au gouvernement américain, et se débarrasse de toute considération humaine au profit de la loi économique dont l'Irak permettra le développement. D'ailleurs, le fait de situer l'action du film aux Etats-Unis n'est pas anodin : c'est comme si le Royaume-Uni lui-même était, symboliquement mais pas seulement, une sorte de 51ème état, appartenant à l'Amérique et donc à l'Etat fédéral. Le Royaume-Uni est donc totalement incorporé au territoire américain, et dès lors il en suivra la ligne exécutive directrice. Ce qui fait de lui un " personnage " soumis, passif, laissant apparaître des ficelles dans son dos que d'autres prennent un malin plaisir à tirer. Et le film parle beaucoup de ça, puisque tout est affaire de manipulation ou d'échange permanent d'identités, donc de fonctions. Lang a des mémoires à écrire, mais ce n'est pas lui qui les rédigera, de la même façon qu'il a des décisions à prendre sur le plan international qu'il ne décide pas réellement puisque leur choix est la conséquence de la mainmise américaine sur le Royaume-Uni.

Le personnage du nègre joué par McGregor est dans le même cas, et se retrouve dans la peau du personnage hitchcockien typique puisqu'il n'est pas à sa place et qu'il ne maîtrise pas les événements. Il a beau choisir ses actes, il ne fait finalement qu'accentuer l'incessante propension à la répétition d'un destin qui condamne les " bons " pour, ironiquement et cruellement, laisser s'en tirer les " méchants ". McGregor aura beau lutter, sa volonté de mettre les choses au clair ne fera que trouver un écho dans le geste sisyphien du balayeur qui ne peut vaincre la parade des feuilles à l'extérieur. Les nègres passent, suivent tous la même mécanique ( l'écriture-l'enquête-la mort ), mais toujours, à la fin, ce sont les feuilles - qu'elles viennent d'arbres ou d'un manuscrit - qui viendront recouvrir leur tombe en même temps qu'elles recouvrent l'écran pour conclure le film.

L'atmosphère paranoïaque de The Ghost Writer trouve évidemment sa source dans cette sensation de ne pas tout savoir, et surtout de ne pas savoir qui fait quoi et qui est qui. Une importance est donc donnée aux faux-semblants, au caractère dangereux de l'apparence ( qu'est-ce qui se cache derrière le sourire ultra-bright de Brosnan ? Une colère soudaine ), à cette impression que voir une chose ne suffit pas à en déceler la nature profonde. A ce propos, le travail sur les décors est absolument prodigieux. Il y a bien sûr ce paysage d'un ciel gris et cette mer déchaînée, de la même couleur, propres à renforcer un certain malaise, instillant une atmosphère délétère. Mais surtout il y a les baies vitrées et donc le verre, participant pleinement et intelligemment de cette dualité au sein du film, et rejoignant le discours de Baudrillard : le verre est à la fois ce qui permet l'ouverture vers un extérieur, et à la fois ce qui enferme les personnages. Sa double nature est un parallèle aux propos que le film développe sur l'apparence. Ici le verre permet de voir des personnages à l'extérieur, mais on ne sait pas ce qu'ils disent ( McGregor observant Brosnan depuis l'intérieur ).

Le terme " nègre " ne permet pas d'être aussi profond que sa traduction anglophone, dont le mot Ghost offre au film une éloquence évidente. Le dernier Polanski regorge de fantômes, d'individus vivants qui n'en ont pas l'air puisque leurs actes sont finalement dictés par d'autres. La première traduction du titre en français était idéale puisque le film fait la lumière sur l'ombre et les hommes - et les femmes - qui s'y cachent, contrôlant sournoisement un monde rempli de valeurs morales déréglées. Polanski filme ça à l'ancienne, sans exagération. On pense un peu à Shutter Island - une île, une enquête, et même, un plan inaugural sur un bâteau - que Scorsese filmait plus viscéralement et nerveusement - " scorsesément quoi ". Polanski, lui, fait dans le classicisme pur, se met totalement au service de son histoire. Mais la marque des grands réalisateurs c'est justement de parvenir à susciter l'intérêt par leur mise en scène quand - comme ici - l'histoire perd quelque peu en intérêt sur la fin ( ça devient franchement mécanique et poussif ). Une mise en scène limpide, intelligente, à la fois discrète et vigoureuse.

4/5

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Niveau 25
13 avril 2010 à 00:40:22

Pourquoi que 4 ? :hap:

leprodiss leprodiss
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Niveau 10
13 avril 2010 à 00:43:27

Pourquoi ces nuages dans le ciel ? Pourquoi suis-je moi ? Pourquoi que 4 ?

Que de questions qui resteront sans réponses très longtemps :hap:

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