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Sujet : Sous le soleil de Satan

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1
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frankcostello frankcostello
MP
Niveau 10
18 novembre 2008 à 10:32:28

La jeune Mouchette, 16 ans, tue son amant. Tout le monde pense que le défunt s'est suicidé. Mais l'adolescente ressent le besoin de confier son crime à l'abbé Donissan, le vicaire du village. Une relation étrange, malsaine et fallacieuse se noue entre eux.

Palme d'or 87 (le public à hué Pialat qui recevait son prix :( )

Il passe jeudi sur arte à 14h10 je crois :(

doc-patate doc-patate
MP
Niveau 10
18 novembre 2008 à 10:42:34

excellent film :ok: j'adore Pialat de toute façon :)

leprodiss leprodiss
MP
Niveau 10
18 novembre 2008 à 21:50:02

Pour Arte je crois que c'est le soir en prime,mais c'est à vérifier.

SkinnyBoy SkinnyBoy
MP
Niveau 10
19 novembre 2008 à 17:13:46

Ouais 21h c'est juste :ok:

Sigur7 Sigur7
MP
Niveau 10
20 novembre 2008 à 22:44:01

Spécial et curieux, mais pas désagréable.

Enfin, c'est le genre de film qu'il faut voir plusieurs fois pour l'apprécier.

blazcowicz blazcowicz
MP
Niveau 10
10 septembre 2010 à 17:29:38

Je me suis aperçu que ça passait à la cinémathèque à ce soir, je crois que je vais tenter ma chance.

resolution resolution
MP
Niveau 25
10 septembre 2010 à 18:19:52

Vas y c'est magnifique.

blazcowicz blazcowicz
MP
Niveau 10
11 septembre 2010 à 02:00:29

J'y suis donc allé, et c'est vraiment le genre de film dont on ressort étourdi, ne sachant trop quoi penser de sa propre appréciation tant c'est éreintant et âpre vis à vis du spectateur.

Légers :spoiler:

J'ai pensé à plusieurs reprises que le film m'évoquait Théorème avec plus de paroles, pour ce côté "souffrance" que subissent les personnages et le spectateur par leur intermédiaire.

Je ne suis également pas certain d'avoir compris tout ce qui se passe, mais encore une fois comme dans le Pasolini je trouve cela fascinant, il y a une part de mystère, de vérité hors de portée qui est très intéressante. J'ai également pensé à Haneke et son Ruban Blanc pour la noirceur profonde des situations et des personnages, l'idée selon laquelle le mal est partout, même dans le plus inoffensif des petits villages de campagne.

La religion et la foi sont sévèrement remises en question dans de nombreux dialogues, très longs, complexes, mais d'une richesse et d'une intelligence assez incroyables (du au livre j'imagine ?). Depardieu est vraiment convaincant dans son rôle, quasi possédé, tiraillé par le doute, pour être peu à peu convaincu de l'emprise de Satan sur le monde tant les pêchés commis par ses ouailles ainsi que l'absence de "manifestation" de Dieu lui sont devenues insupportables.

Pour conclure un peu sur la technique, la photo m'a assez marqué sur certains passages où elle a une teinte ocre, terreuse que je n'avais jamais vue il me semble. En tout cas c'était assez beau dans son genre et j'ai trouvé que ça contribuait parfaitement à l'ambiance. Les nombreux plans séquence de dialogues passionnés et quasi théâtraux y participent également, mais c'est plus évident.

Je me rends compte là que j'ai totalement oublié le scénario en lui-même, mais comme le Pasolini ce n'est pas ce dont on se souvient le plus, chaque scène se place dans un contexte particulier, avec forcément des liens aux évènements précédents, mais ce n'est pas une histoire "classique" au sens de fluide et linéaire. A cet égard les premières scènes sont tout à fait magnifiques, avec les plusieurs ellipses brutales et saisissantes.

Film difficile, voire éprouvant, mais gratifiant, j'ai adoré.

8/10 (mais ça pourrait monter en le revoyant)

homeraimeladuff homeraimeladuff
MP
Niveau 10
11 septembre 2010 à 09:07:32

Bernanos rules !

Goldfinger83 Goldfinger83
MP
Niveau 10
11 septembre 2010 à 10:00:14

Bien belle argumentation blazo, pour un bon film, je n'aurai pas dit mieux :oui:

FandeDQ FandeDQ
MP
Niveau 10
22 septembre 2012 à 22:53:50

Premier Pialat pour moi, le fameux "Sous le soleil de Satan", Palme d'Or 1987 célèbre surtout par sa controverse, mais il ne faut pas l'oublier que c'est quand même rare une Palme d'Or française, que 2 depuis les années 70... Bref.

:spoiler:

Je commencerai par la mise en scène, car selon moi c'est un peu la base du film. En fait la rigueur à laquelle s'est tenu Pialat m'a d'abord surpris, négativement, dans le sens où dès le début on est plongé dedans, avec ces longues scènes de dialogues que l'on a dû mal à comprendre, ça m'a pas franchement emballé. Pialat, avec une grande sobriété, se fond dans j'imagine l'ambiance du roman (pas lu mais à ce qu'on m'a dit cela semble très fidèle), il y a donc une certaine froideur, et il m'a fallu donc un certain laps de temps pour m'habituer à ce style (c'est d'ailleurs mon premier Pialat en plus).
Disons qu'avec les premières scènes de Bonnaire ça passe mieux, et là aussi si au début je ne suis pas trop convaincu par sa prestation, ça s'améliore rapidement.
Le film prend un véritable élan à partir du moment où Depardieu quitte son abbaye afin de rejoindre une paroisse à une vingtaine de kilomètres de là.
On se fond dans la campagne avec ces images un peu vieilliote, cette musique inquiétante, et la scène de la rencontre avec le Diable est vraiment magnifique. Ce qui est bien, c'est que c'est pas du cinéma qui se veut rationnel ou quoique ce soit, on ne nous demande même pas de nous poser des questions sur ça, simplement Pialat nous montre des scènes, et on doit s'y adapter, ce que j'aime.

De plus, je rajouterai à cela (même si c'est pris sur le roman, donc pas du film en lui-même) l'intelligence du regard porté sur la religion. Je veux dire bon un film sur la religion ça peut être controversé ou machin, là c'est pas du tout la question, je veux dire ça fait du bien de voir un film qui traite le sujet de telle façon, quoi de mieux qu'un prêtre perdant la foi et rencontrant le Diable pour encore plus le faire douter ?
Et puis cette scène, aussi comique que déstabilisante, quand Depardieu est parti en exil, et qu'il est acclamé par la population, perçu comme un véritable saint, alors que s'il y a bien un prêtre qui n'en est pas un c'est lui (toutes proportions gardées cela me fait un peu penser à la fin de Taxi Driver si vous voyez ce que je veux dire, dans l'ironie du truc...), là c'est un peu pareil.

Pialat adore jouer sur le contraste des couleurs (on le voit très souvent), par exemple quand il ressuscite le garçon, lui en noir et le gosse en blanc, d'ailleurs cette scène est vraiment magnifique.
Le scénario est assez mystérieux, tragique aussi, mais la mise en scène de Pialat est suffisamment discrète mais en même temps prononcée pour que le tout soit magnifique.

Voilà donc aux premiers abords assez bizarre, le film se révèle très profond, réflexion intéressante sur la religion, c'est intelligent, bien mené, voilà d'habitude j'ai une franche tendance à aimer le "rationalisme", et là au contraire tout ce flou qui subsiste autour de ce film ne me fait que l'apprécier d'avantage, c'est un très beau film, apparemment Pialat est resté proche du livre repris, donc pouvoir avoir une atmosphère comme celle-là c'est vraiment du beau boulot.

Et que dire de l'interprétation de Depardieu, c'est le premier vrai rôle dans lequel je l'ai trouvé, c'est le genre de mec je le vois je me dis "lui, il peut jouer partout", voilà, c'est simple et clair.

Très beau film en somme, il me tarde de découvrir d'autres Pialat (et enfin voir A nos Amours que j'avais commencé il y a environ 6 mois et bêtement arrêté pour aucune raison...).

iIRL-spotted iIRL-spotted
MP
Niveau 20
22 septembre 2012 à 23:52:29

Ça me fait penser à un livre de je ne sais plus qui...

iIRL-spotted iIRL-spotted
MP
Niveau 20
22 septembre 2012 à 23:54:06

Ah bah oui, c'est tiré du roman !

-Zappa- -Zappa-
MP
Niveau 10
08 février 2015 à 18:53:35

Je vais commencer par le point noir du film histoire de l'éjecter tout de suite : c'est Sandrine Bonnaire qui, décidément, a toute mon antipathie. Son jeu est extrêmement lourd et fatigant, cultivant une vague inspiration théâtrale sans lui donner aucun relief. C'est bien simple, Sandrine, elle en fait trop, entre ses regards pesants de sens dans le vide, cette expression maladroitement exagérée, ses mimiques de haine imblairables ... Non, définitivement, non, sa pitoyable prestation ne fait pas vraiment honneur à la belle sobriété du film et à la direction d'acteurs de Maurice Pialat, ailleurs impeccable : Gérard Depardieu est monstrueux, comme toujours, Pialat himself est encore prodigieux et de la Maison des Bois à Sous le soleil de Satan, c'est un vrai plaisir de cinéphile de le voir devant la caméra.

Sinon, à part Bonnaire, rien à signaler, Pialat a signé un autre film majeur et magistral, où la retenue et l'impressionnisme de sa mise en scène trouve ici un terrain de jeu tout bonnement passionnant. Il se dégage un mysticisme inquiétant de Sous le soleil de Satan, que Pialat cultive dans l'épure : les scènes durent, bavardes, très écrites, elles entretiennent un malaise presque insidieux par des jeux d'ombres discrets et des champs contre champs pesants et dévastateurs. La foi d'un homme, d'un prêtre, mise à l'épreuve par la tentation. La religiosité du film de Pialat est parfois salvatrice (l'hallucinante séquence de résurrection où j'étais en PLS absolue) mais elle est toujours morbide et funèbre, Satan est là, il est palpable, à l'orée d'un Dieu moqueur qui semble se jouer de son fidèle. Et la reddition ne pourra passer que par le sacrifice ...

Le rapport à la foi et à la mort n'est pas sans évoquer un autre grand film testamentaire, sorti l'année d'avant Sous le soleil de Satan, l'opus final de Andrei Tarkovski : Offret qui déployait le même genre de questionnements. Mais Offret épousait le mystique dans une suite de séquences purement hallucinatoires là où la puissance du film de Pialat réside dans la froideur de ses plans fixes, dans la rigueur du cadre, dans la beauté perverse de ses dialogues finement écrits.

Jean-Hardcore Jean-Hardcore
MP
Niveau 10
11 février 2016 à 01:36:54

Avant d'étayer mon analyse de cette oeuvre, il est nécessaire de rappeler un peu le synopsis qui m'a pas mal fait rire après coup [[sticker:p/1kkp]]

"La jeune Mouchette, 16 ans, tue son amant. Tout le monde pense que le défunt s'est suicidé. Mais l'adolescente ressent le besoin de confier son crime à l'abbé Donissan, le vicaire du village. Une relation étrange, malsaine et fallacieuse se noue entre eux."

Voilà maintenant nous pouvons commencer à nous lancer dans cette aventure. Ici je suis en pleine découverte de la Nouvelle Vague et ce cinéma a démarré en trombe avec 2 petits bijoux que sont "Hiroshima Mon Amour" et "Les 400 Coups", films impeccables à tout point de vue, touchant et surtout vrais dans leur propos. Je me suis dit ici "pourquoi pas nous ruer sur un Pialat cette fois ?" et j'en ai profité pour me ruer sur son film le plus connu et en plus palme d'or à Cannes en 87. Tout cela rajouté à un synopsis attrayant en faisait un candidat prometteur pour rejoindre les 2 bijoux que j'ai cité précédemment. Eh bien non mais ne vous enflammez pas car je ne vais pas descendre le film gratuitement mais l'ensemble ne m'a pas vraiment convaincu.

Tout d'abord il est bon de souligner un jeu d'acteur particulièrement intéressant. Mouchette habite complètement son personnage d'adolescente vénale, antipathique et arrogante. Elle est énervante, insupportable par moment certes mais malgré tout on peut pas se cacher les yeux sur le fait qu'elle est parvenue avec brio à nous faire ressentir cette méprise à son égard. Depardieu, en revanche, m'a déçu car sa prestation est bien trop plaintive et en plus c'est théâtral au possible dans sa manière de s'exprimer.

Il est évident que son personnage est empreint d'une solitude quasiment insoutenable. Une tristesse très forte se dégage quand on le voit mais est ce nécessaire de nous le rappeler en permanence par des tournures de phrases où il a l'air de se considérer comme la plus grosse chiure du système solaire ? Allons bon... Si on veut mettre en scène un personnage ravagé par la solitude, autant faire passer ses pensées avec une subtilité savamment dosée comme pour "Seul Contre Tous" par exemple. Là il y a un trop plein. Je ne tergiverserai pas sur son jeu d'acteur théâtral car c'est ce jeu d'acteur qui m'a touché dans "Hiroshima Mon Amour" à la différence qu'ici ça ne me touche pas :noel:

Mais ne cachons pas notre désarroi car globalement la mise en scène et le jeu d'acteur sont vrais. Ce sont 2 composantes ancrés à la réalité. On a ici du cinéma vrai, proche de la réalité et sans artifices. Ceci dit j'aurais aimé quand même avoir plus de punch. Je n'ai absolument rien contre le cinéma posé ou lent car au contraire c'est le style de cinéma qui me plaît en général mais il est nécessaire pour cela d'avoir une accroche permanente. Je peux prendre l'exemple de "Sunset Boulevard" ou encore "Qu'est il arrivé à Baby Jane ?" qui sont des films plutôt posés mais qui happent le spectateur à la gorge pendant toute la séance. Bien sûr le registre n'est pas le même mais pour n'importe quel genre de film, c'est faisable. Franchement ici, c'était la limite possible avant que je ne pense à aller farfouiller un peu sur mon GSM.

Par contre dans ce film, j'ai vraiment cette manière de parler. C'est raffiné, empreint de philosophie et de morale religieuse et ça m'a plu énormément. Il y a quand même un hic car on oscille en permanence entre des phrases superbes (j'ai rarement été aussi concentré sur l'écoute des phrases dans un film) et des tournures de phrases imbuvables et prétentieuses. Et par moment, ça s'enchaîne très vite, ce qui veut dire qu'il s'agit d'avoir une attention optimale pendant 1h30 et la moindre petite mouche volant à côté de toi peut te perdre lors de certains dialogues :noel:

Mais le meilleur point dans ce film, c'est son incroyable dimension philosophique et christique. "Sous le Soleil de Satan" est assez fascinant à analyser. C'est rare d'avoir un film aussi froid et désespéré alors que nous sommes justement dans une atmosphère religieuse que l'on devrait juger accueillante et chaude. Il y a ici une vraie ambiguïté mise en place et surtout en rapport avec Depardieu se questionnant en permanence sur sa foi et ses convictions. Bah ouais, c'était bien joué de nous créer ce type d'ambiance, je dois avouer. Et on rajoute à ça sa très forte solitude et c'est un bon petit jackpot.

RISQUE DE SPOILER : Tout au long du récit, on peut faire des parallèles intéressants avec la Bible. On a ici un véritable parcours initiatique et une scène qui m'a plu énormément est celle où Depardieu effectue sa longue marche jusqu'au monastère. Une symbolique très forte du Christ gravissant le Golgotha et la très forte faiblesse de notre acteur souligne également cette symbolique du Christ portant sa croix. On peut également déceler la tentation s'invitant sur son chemin. J'ai cette impression que Pialat a mélangé les codes et les symboliques mais ça reste fascinant. Un autre exemple est la scène où il regarde par la fenêtre dans une pénombre très anxiogène. Là j'ai décelé un parallèle fort où ses convictions sont tiraillés entre le bon (présence de la lumière de la lune) et le mauvais (l'obscurité). Enfin n'oublions pas le final chaotique et sans espoir. FIN DE SPOILER

Si j'ai mis le synopsis du film au début, c'est pas pour rien car il était absolument trompeur et Pialat est passé complètement à côté de son sujet. On parle d'une relation étrange, malsaine et fallacieuse se nouant entre eux. Ok mais à quel moment ? Parce que pour moi (SPOILER) une discussion philosophique entre eux 2, le suicide de Mouchette et une brève apparition de celle-ci dans la chambre de Depardieu, je n'appelle pas ça une relation étrange. Après sa mort, Mouchette est absente et les sempiternelles plaintes de Depardieu n'ont pas changées d'un iota alors expliquez moi où se trouve ce mensonge de relation fallacieuse ?? Ca ne manque pas seulement de développement mais c'est tromperie sur la marchandise.

Mais bon pour conclure, "Sous le Soleil de Satan" n'est pas un mauvais film évidemment mais il possède quelques défauts assez voire très gênants : un jeu d'acteur plaintif de Depardieu, un manque de peps dans la mise en scène et ce passage à côté du sujet. Autrement, la plus grande force de ce film est son analyse philosophique qu'il remplit largement mais malgré tout, le résultat fut décevant sans être mauvais je le rappelle.

12/20

Jean-Hardcore Jean-Hardcore
MP
Niveau 10
11 février 2016 à 01:41:18
  • vraiment aimé cette manière de parler
Pouerte7 Pouerte7
MP
Niveau 10
05 novembre 2021 à 20:12:22

Oeuvre très forte de Pialat mais je crois qu'elle tire davantage de la langue de Bernanos que du réalisateur.

Pouerte9 Pouerte9
MP
Niveau 10
19 octobre 2022 à 23:22:44

Par contre on est d'accord que la marche du prêtre est empruntée à la même scène de Journal d'un curé de campagne, cinématographiquement parlant. Je sais que c'est aussi du Bernanos.

Casiodel2 Casiodel2
MP
Niveau 7
19 octobre 2022 à 23:34:45

Mais bordel, t'as vraiment un grain à remonter des topics des années après pour ne rien dire. https://image.noelshack.com/fichiers/2022/16/5/1650643250-ahuri.png

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