Récemment, j'ai vu plusieurs fictions (traitant, bien évidemment, des zombies), et je me suis laissé influencé! Même si ça n'a pas rapport avec Black Ops, mais je tenais quand même à le poster ici. En fait, c'est plus un test qu'autres choses. Alors, voilà:

PRÉLUDE À LA GUERRE

Elle se crue sauvée lorsqu'elle stoppa d'entendre les grognements sourds. Mais, même à la vitesse qu'ils allaient, elle savait bien que ce répit ne durerai pas longtemps. En peu de temps, ils pouvaient la rejoindre. En peu de temps, ils pouvaient lui faire ce qu'ils leur font à tous. En peu de temps, c'en sera fini d'elle. Malgré tous les risques, elle s'arrêta. En reprenant son souffle, elle repensa aux événements récents. À tout ce carnage, cette chair, ce sang. Elle songea au policier, mort, juste devant son bureau, aux cris incessants. Elle songea aussi à ce qu'elle fera. Elle ira peut-être chez elle. Mais pourquoi? Pour lutter? Pourtant, tout ça est si invraisemblable! Mais elle n'avait nulle part où aller. Ses parents étaient partis en Europe, en Allemagne. Toutes ses amies étaient parties s'installer à New York. Tandis que son salopard de copain, et bien il l'avait laissée. Définitivement, elle était seule.
-Va pour la maison, alors.
Et voilà! Manquait plus que ça! Elle parle toute seule maintenant. Pas étonnant que son ex soit devenu ex.
Son esprit distrait fut rattrapé par la réalité lorsqu'elle entendit les...zombies approcher. Décidément, elle avait trop ralentie. Alors, même si ses jambes étaient encore réticentes, elle recommença à courir. Pour survire. Ou plutôt, pour ne pas mourir comme tout ces pauvres gens, se dit-elle.

(...)

Merde, fallait encore que ça tombe sur lui! Avant, il y avait la guerre, le carnage, le sang. Maintenant, c'est les tripes et les foutus zombies. Il ruminait en silence. -J'aurais dû écouter ma femme, et ne pas m'engager dans cette put*ain d'infanterie!
-Eh, ça va Matt?
Son frère d'arme de droite, Andrew, le dérangeait dans ces pensées.
-Ah, ouais. C'est ces pu*ains de zombies.
-J'te comprends. On nous avait déjà montré la dangerosité du projet Walhalla lors de l'opération Desert Storm, mais là, faut le faire!
-Mais je m'en fout du programme! J'parle des zombies!
-Eh, vous deux, vous allez la fermez!?
Bon, encore le colonel qui rétorque. Celui-là, ça me dérangerait pas plus que ça qu'il se fasse bouffer!
-On part pour Washington maintenant! Alors, taisez-vous, et entrez dans l'hélico!
-Oui colonel!

Après quelques instants d'attente, le CH-47 Chinook décolla. Une demi-heure plus tard, on voyait le dôme du Capitole. Par contre, les rues étaient vachement moins jolies. On voyait des gens se faire bouffer et des policiers paniqués. Les mitrailleurs de l'hélico se donnaient d'ailleurs à cœur joie de les aider. Enfin, on atterrit.

Voilà! Je posterais volontiers une suite demain si vous en demandez plus! N'hésitez pas à commenter.

CrazyMadMan

Et bien, les temps sont rudes, pour moi. J'écris si mal que ça? Parce que je pensait pas vraiment écrire un best-seller, mais là, c'est surprenant.

Sinon, voici un petit up.

CrazyMadMan

Et bien...je bide fort. Mini suite, au cas où...

(…)
Après de longues et interminables minutes de course haletante, elle atteignit enfin son domicile. Elle entra, d’un pas résolu, dans le haut bâtiment.

En franchissant le cadre de la porte, la jeune femme remarqua tout de suite le calme plat, inquiétant, qui régnait dans le hall d’entrée. Malgré les événements, il n’y avait aucune trace de ces créatures, ni même de sang. Quand elle se mit devant l’ascenseur, elle se demandait encore si ces derniers étaient toujours en marche. Lorsqu’elle appuya enfin sur le bouton, le voyant lumineux s’alluma. Rassurée de ne pas devoir utiliser les escaliers, elle entra dans l’ascenseur, venant tout juste de descendre. Après avoir pesé sur le bouton correspondant au quatrième étage, elle attendit, mal à l’aise, sur un air joyeux typique de tout ascenseur digne de ce nom.

Une fois sur l’étage, elle regarda prudemment pour essayer de repérer tout signe de vie. Ou de zombie. Avec un soupçon d’assurance, elle se décida d’aller dans son appartement. Même avec tout son courage, elle frémit quand même lorsqu’elle entendit le « bzz », pourtant habituel, de la porte qui se débarre après y avoir mit la clé.

Bon j'vais lire la tienne, pour t'faire plaisir

Fait de même pour la mienne ;)

Pas terrible, le début est limite incompréhensible.

Au début tu commence, directement pendant une manche, et tu parle de certaines choses abstraites.

C'dommage :/

Une manche? J'avais pourtant bien spécifié que ça avait plus ou moins rapport avec Black Ops. Aussi, le début est peut-être plus ou moins compréhensible, mais je désirais faire une fiction qui dure longtemps, et, par le fait même, j'aurais aimé changé de cadre une fois de temps en temps (ça s'écrit comme ça?). Le contexte géographique sera justement en lien avec les personnages, on découvrira leur passé, etc.

Pourquoi est-ce que j'ai choisi de parler de ses parents, et de spécifier où ils allaient d'après toi? J'ai aussi mentionné New York, et c'est pas pour rien.

Je l'ai dit, je ne veux pas faire une fiction en rapport avec le mode zombie de Black Ops. Pas de manche, pas de point. Pas de Teddy.

Aussi, selon mon expérience (certes, brimée par mon âge), il y a souvent des débuts assez...tumultueux. Mais, généralement, le lecteur se place après 1 ou 2 pages. Donc, pour moi, il était nécessaire de faire commencer ma fiction directement, au vif du sujet. Puis, quand le lecteur se sera trouvé une place dans tout ce bordel, je commencerai à incorporer des éléments d'action (Il y a seulement un des deux personnages qui sait se servir correctement d'une arme).

Aussi, j'ai choisi de mettre deux personnages tout à fait différents afin de montrer deux perspectives face au problème. Une "victime" et un soldat.

En tout cas, merci d'avoir pris la peine d'avoir lu, merci pour la critique aussi. Je me remet au boulot. Aussi, je vais de ce pas lire ta fiction.

CMM

Ty d'avoir lut ma fic.
J'attends la suite, le début est toujours le plus difficile ;)

Moi aussi j'ai galéré t'inquiète :D

Suite, même si je vois pas grand monde.

Lorsqu'elle franchit le pas de la porte, elle eut un tressaillement, presque soulagée, de ne voir personne. Mais pas pour très longtemps. Dès son entrée, elle commença à plier bagages. Peu de vêtements, beaucoup de nourriture et d'eau. Après s'être préparée, elle daigna même apporter un couteau de cuisine, au cas où, se disait-elle. Une fois à l'extérieur du bâtiment, elle remarqua les rues vides, dévastées. Encore deux ou trois morts-vivants vagabondaient ça et là, et ce sans but apparent. Elle décida de courir le plus vite possible vers...vers où? Certains passants, paniqués, avaient dit qu'il y avait un point de rassemblement au Capitole, et, sans véhicule, elle ne peut même pas espérée sortir de la ville. Au moins, là elle ne sera pas seule. Elle se mit donc en route.

(...)

-Merde! On est surchargé! Où sont les renforts, colonel?
-Sont pas près d'arriver! Les aéroportés vont vers New York, et les véhicules de rationnements ne comportent pas de support militaire! Contacte l'autre escouade, pour voir!
-Andrew, t'es où?
-Banlieue de Washington, on est débordé!
Mais pourquoi est-ce qu'on s'est séparé! Manquait plus que ça! Déjà qu'ici, c'est chaud. On voyait le sang gicler de partout. Heureusement que les policiers sont venus. Sinon, les zombies auraient pu percer le barrage. Mais que fout le gouvernement? En attendant, c'est nous qui font tout le boulot. Des dizaines de douilles vides jonchent le sol, et autant de corps.
-Merde!
Un zombie se rapproche, plus rapidement que les autres, de Matt. Encore dans ses pensées, il tire, hésitant, sur la femme ensanglantée. Les balles profilées percent le plexus et ralentissent sérieusement la créature. Le soldat est vite occupé par d'autre de ses congénères, frappant les zombies d'une mort certaine.
-Sergent Matt Taylor! On a besoin d'un autre membre pour la dernière équipe de sauvetage! Sa vous chante?
Voilà un haut gradé qui se pointe. Mais, malgré tout, c'est tout de même mieux que de faire le tir au pigeon ici.
-Et mon escouade?
-De nouveaux hommes vont arriver pour vous remplacer, ne vous inquiétez pas.
Ouais, c'est ça. Ne pas m'inquiéter.
-C'est d'accord alors. On se déplace comment?
-À pied, sergent!
Merde...

Voilà! C'est pas génial, mais bon, on verra pour la suite.
CMM

J'ai peut être mal compris, mais je voit pas comment ils ont trouvé un autre groupe, par apl de toki, sa peux l'faire mais vue comment ça été dis on le perçoit pas comme ça.

+ ton (...) c'est pour passer d'un personnage à un autre? Fauderais plutôt quelques phrases, passé du genre.

Tandis que de son côté, le général..

Un truc du genre ^^ Bonne continuation ;)

D'accord, j'ai dû mal formuler. Mais je savais pas trop comment le dire. Et, oui, le (...) c'est pour changer de personnages. Bonne idée pour les organisateurs textuels. Je vais essayer. Merci encore pour ton avis.

Tandis que les soldats étaient surchargés, éreintée, la jeune femme s'arrêta encore. Il fallait qu'elle rejoigne je point de rencontre. Point qui a été confirmé par les hélicoptères de transport voletant au-dessus de où se trouve le Capitole et par les lumières vives, sondant le ciel à la recherche du salut éternel d'éventuels avions. Elle était à mi-chemin, environ. Mais là, à partir de maintenant, ça sera plus difficile. Jusqu'à maintenant, elle n'avait pas rencontré grand monde. Mais là, elle devra passer par les rues les plus, normalement, fréquentées de Washington. Silencieusement, elle maudit son sort.
Mais elle devait arrêter de le faire. Le seul moyen de s'en sortir était d'atteindre le Capitole, et elle l'atteindra. Elle se remit donc en route, mais plus lentement.
-Vaudrait mieux garder mon énergie pour plus tard!
Mais elle n'eut pas le temps de sortir de la ruelle où elle s'était arrêtée qu'un zombie, avec un seul bras, lui sauta dessus. Lorsqu'elle sentit l'écume noirâtre, mélange de sang, de pus et de bile, couler sur ses vêtements, elle frappa, presque instinctivement. Le corps du monstre, glissant de côté, s'affala sur le sol, inerte, un couteau dans la gorge. Une fois qu'elle reprit le contrôle de sa respiration saccadée, elle regarda le zombie, dans une mare de sang. C'était la première fois qu'elle tuait une personne.
-Ce ne sera sûrement pas la dernière fois...
Reprenant son couteau maculé de sang, elle reprit son chemin.

Quand elle sortit enfin de la ruelle, elle vit une place publique. Remplie de zombies. Elle ne pourrait pas les affronter tous. Pas tous. Alors, elle fonça droit vers elle, presque tête baissée. Le premier de ces monstres agrippa son bras. Paniquée, elle tenta de s'en défaire en lui assenant quelques coups de couteau dans la poitrine, sans succès. Puis elle n'entendit plus rien, sauf le battement débilitant des pales d'un hélicoptère et une explosion. Quand elle retrouva son ouïe, elle entendit enfin un des seuls bruits salvateurs du moment: celui des balles et des roquettes s'abattant sur les êtres qu'elle haïssait maintenant.

Un Apache, armé jusqu'aux dents, tirait sans relâche sur les zombies, mutilant la majorité de ces derniers. Une fois qu'il ne restait plus que quelques unes des abominations, il arrêta son feu nourrit.

-Eh! Regardez-moi! Je suis là, venez me chercher!
Désespérée, elle regarda son sauveur s'en aller, la laissant seule.
-Merde!
Pourquoi ne l'avaient-ils pas secourut? Elle était pourtant sûre qu'ils l'avaient vue.

Voilà! Autre suite plus tard.

-Colonel! Je pars pour l'équipe de recherche et de sauvetage. Vous venez?
-Non! Je reste ici, avec le reste de mes hommes. Mais allez-y vous, vous gênez pas.
-Oui colonel!
-Sergent Taylor, on part à l'instant! Une fois l'équipe toute rassemblée, il faut organiser notre sortie.
-Quoi? Vous n'aviez pas prévu ça?
-Non sergent, et je n'ai aucun commentaire à recevoir. Surtout de vous.
Merde! J'ai jamais aimé les haut gradés. Toujours à se la croire.
-Soldats! Écoutez bien! La division anti-chars va nous creuser un passage dans tout ce bordel et les snipers vont s'assurer qu'aucun de ces zombies ne va nous suivre. Mais il va falloir faire vite! C'est compris?

Aussitôt dit, aussitôt fait. Tout d'abord, quatre ou cinq soldats, armés de lance-roquettes AT-4 antichars, tirèrent vers l'Est, où nous allions faire notre sortie. Les roquettes, s'écrasant sur le sol, explosèrent simultanément, tuant toute créature à proximité. Le trou béant en résultant nous laissa le temps de se faufiler à travers les lignes défensives et de rejoindre l'immeuble le plus proche. Je courais le plus vite possible, en essayant par le fait même d'éviter de trébucher. Les tireurs d'élite s'étaient déjà mis à l'ouvrage. Les balles fusaient de partout, tuant tout les zombies ayant l'audace de nous suivre. Les derniers survivants du massacre étaient ensuite abattus de sang froid par le reste de mon équipe. Moi, je suis plus malin que les autres. Je garde mes munitions. Une fois tout notre beaux monde rassuré de ne voir plus personne s'occuper de nous, on se remit en marche, regardant nos confrères résister tant bien que mal. Il devront résister.

Pas si loin de tout ça, la jeune femme entendit de fortes explosions. Inquiétée, elle continua tout de même son chemin. En marchant dans la rue, longeant le trottoir, elle vit une station de police. Priant presque, elle ouvrit la porte. Mais, encore une fois, elle fut déçue. Il n'y avait plus personne. Elle se décida quand même à fouiller l'immeuble, il y aurait peut-être quelques objets utiles. Dans le bureau, elle vit des uniformes et des manteaux suspendus. Dans une des poche, elle trouvât une clé. Continuant son chemin, elle fut surprise de ne voir aucun prisonnier. Puis, au tournant d'un couloir, elle vit une porte, verrouillée. Encore hésitante, elle essaya tant bien que mal de l'ouvrir. Puis elle se souvint de la clé. Rapide, elle alla la chercher où elle l'avait trouvée. Une fois la clé insérée, elle tourna la poignée, poussa la porte et recula prudemment. Personne. Mais il y avait des choses utiles. Des armes. Déjà qu'elle a faillit ne pas prendre le couteau chez elle, comment allait-elle pouvoir se promener avec une arme? Mais elle savait qu'elle en aurait besoin. Alors elle en pris plusieurs. Tout d'abord, un pistolet, qu'elle mit dans son sac, en prenant soin de vérifier que la sécurité était actionnée, comme elle l'avait si souvent vu dans les films. Puis, elle pris un fusil à pompe. Il était lourd, très lourd. Mais elle le pris quand même, avec une boite de munitions qui semblaient être destinés au pistolet, quelques chargeurs et une poignée de cartouches de fusil à pompe, qu'elle mit dans sa poche et dans son sac. Mais elle trouva une solution pour le fusil à pompe. Elle trouva un moyen pour ranger le shotgun, à moitié sortit de son sac. Mais elle se dit qu'elle devait être prête à tirer, elle pris donc aussi un holster, où elle mit son pistolet. Enfin, ultimement, elle sortie.

Autre suite, malgré toute cette impopularité!

APOCALYPSE

Nous nous mîmes en route pour aller vers le premier signal de détresse, et nous espérions y arriver et y résoudre le problème avant l'aube. Selon les messages d'alerte reçus, un groupe de policiers était entouré par les zombies. Il va falloir se creuser un passage dans les quartiers culturels de Washington, puis atteindre notre objectif. Avec un peu de chance, on établira une base d'opération avant quatre heures AM.
S'approchant de Matt, un homme à la barbe fournit et au visage fatigué lui adressa la parole.
-Hey, t'es nouveau dans le coin?
-Ouais, je suis arrivé il y a juste 3 heures.
-Eh, vous! En route, et pas le temps de jacasser!
-Oui lieutenant!
-Tu verras, même s'il est un peu sévère, le lieutenant est un chic type.
-Et bien, pour être sévère, il l'est!
-Sergent Taylor, Sous lieutenant Adams! Taisez-vous nom de Dieu!

Après cela, l'équipe se déplaça le plus rapidement possible. Ils évitaient les grandes places en passant par les immeubles. Cela pris un quart d'heure traverser le quartier culturel.
-Merde.
Devant eux ce trouvait une place publique, avec quelques terrasses et restaurants.
-Eh bien, les zombies veulent casser la croûte!
En effet, sur la place se trouvait plus d'une cinquantaine de zombies. Ce ne fut pas long avant qu'ils remarquent les intrus. Surpris, le commando se mit à l'abri dans un restaurant. Une fois l'équipe positionnée, Adams dégaina son Mp5 SD et commença à tirer, de même pour le reste de l'équipe. Au fur et à mesure que Matt, le lieutenant et les quatre autres soldats eurent commencé à tirer, les morts-vivants tombaient comme des mouches. Avec son Bushmaster M4A3, Taylor tirait en petites rafales, visant à hauteur mi-poitrine. Le lieutenant Lins, lui, enchaînait les tirs à la tête avec son M14 EBR. Après un moment, le manque de balles se fit sentir.
-Et qu'est ce qu'on fait, là?
-Lieutenant, je propose une sortie en force.
-Nous n'avons pas vraiment le choix, sergent Taylor. Va pour la sortie.
-Tir de supression!
-On y va!
Pendant qu'Adams et le lieutenant sortaient de leur couverture, Matt et les autres tiraient sur tous les zombies se rapprochant d'eux. Après que les deux gradés soient sortis, le reste de l'équipe sortit à son tour, grâce au passage frayé par le sous-lieutenant et Lins.
-Merde!
Le soldat McKinley trébucha. Mais quand il allait se relever, un zombie lui sauta dessus, l'écrasant de tout son poids.
-Non!
Solin et Ryan, les deux autres membres de l'équipe, rebroussèrent chemin. Solin et son fusil à pompe Maverick 88 dégagèrent le passage. Les projectiles frappaient avec force les morts-vivants, les projetant au loin. Quand Taylor s'aperçut avec horreur ce qui se passait, lui-même rebroussa chemin. Mais les quatre militaires furent vite encerclés. Malgré leurs armes à feu, trois zombies, jusqu'alors restés à l'écart, sautèrent sur Ryan, le tirant vers la masse grouillante de monstres. Poussant un hurlement futile, Ryan fut d'abord mordu au cou. Le sang, giclant, maculait le sol. Quand enfin les trois autres purent dégager le chemin, il ne restait presque rien du pauvre soldat. Ils furent donc obligés de partir rejoindre le lieutenant et Adams. Ces derniers n'avaient pas pu intervenir, trop occupés à sécuriser la ruelle où ils étaient. Encore sous le choc Solin et McKinley ne disaient mot. En remarquant l'absence d'un des GI, Lins comprit.
-Je suis désolé, mais il faut qu'on continue, sinon les autres laiderons vont répliquer.
-Vous avez raison, on y va.
Mais ce fut avec un pincement au cœur que l'équipe repris route.

Une fois qu'elle sortit de la station de police, la jeune femme reprit son chemin. Malgré ses deux armes à feu, elle ne se sentait pas du tout rassurée. Elle se rapprochait de plus en plus de son but. Le problème est qu'elle devra traverser un autre quartier anciennement beaucoup fréquenté. Il y avait là des théâtres, des spectacles. Elle allait vers l'Ouest, et il n'y avait que quelques ruelles à passer avant le quartier culturel. Elle avait déjà hâte de voir les militaires, les barrages et les hélicoptères. Elle se mit donc en marche, plus déterminée que jamais. Mais lorsqu'elle tourna sur un coin de rue, elle fut soudain prise d'une vision d'horreur. Deux chiens, à l'allure décharnée, dévoraient un homme. Ce dernier, poussant des cris paniqués, perdait son sang abondamment. Pétrifiée, la jeune demoiselle recula. Puis se souvint. Elle se souvint de l'hélicoptère, de son impuissance face aux atrocités, à son sauveur, et à son abandon. Elle ne vaudrait pas mieux que lui si elle s'enfuyait. Ne serait ce que pour donner une mort plus honorable au pauvre homme. Elle sortit donc son pistolet, et appuya sur la détente. La balle, filante et rapide, vint se ficher dans un des chiens, qui, occupés par leur repas, ne l'avait même pas sentie. Le deuxième chien, dont on voyait les côtes blanches, mêlées au sang répugnant coulant de partout, bondit en avant, comme pour défendre son repas. Hésitante, la jeune femme tira une seconde fois, mais, cette fois-ci, sans succès. La balle ricocha sur un mur. Prise de panique, elle recula, mais lentement. Si elle courait, elle n'aurait pas le temps de tirer une troisième fois, et de s'en sortir. Donc, elle décida de reculer vers la porte la plus proche, juste derrière elle. Entre temps, le deuxième chien, grognant, s'approchait lui aussi de la femme. Cette dernière se tourna rapidement et entra dans le bâtiment, fermant la porte. Le premier chien la suivait, et, lorsqu'elle referma la porte, son coup fut pris. Avec un peu trop de nervosité, elle tira successivement plusieurs coups à travers la porte, tuant le premier chien. Mais elle n'entendait plus le second aboyer. Peut-être était-il lui aussi mort? Lentement, elle se dirigea vers la porte. Lorsqu'elle retoucha à la poignée, froide, elle déglutit. Soudain, elle ouvrit la porte, pistolet à la main. Mais elle ne vit rien, a part le chien de la porte, le coup déchiqueté. La jeune femme fut prise d'un frisson de terreur. C'était elle qui avait fait ça. Mais, après un moment, elle repensa à l'homme. Rapidement, elle se dirigea vers où elle l'avait vu. Mais à l'instant où elle sortait du cadre de la porte, elle fut assaillie par le second chien, resté caché derrière la porte. Sa vision fut prise d'un éclair lumineux.

Houlà! Faute repérée! Quand je dis "son coup fut pris", je voulais dire Son cou fut pris. Même chose pour "coup déchiqueté", ça donne cou déchiqueté. Désolé.

Me reste le dernier pavé àlire,je le lirais plus tard, sinon ouais sa peut aller, après pour l'impopularité je sais pas si c'est ta fic qui déplais ou si c'est parce que des gens n'ôsent pas la lire, sa fait trop gros quand même, fauderais laisser des petits blanc, par exemple on lit le 1er chapitre, on à le temps de se poser et on lit le 2eme, si tu vois se que je veux dire, attends du monde pour faire la suite ;)

C'est d'accord. C'est juste que j'écris quand même beaucoup, et je passe la majorité de mes soirées à écrire (2 romans finis, pour l'instant), donc je suis assez...productif. J'attendrai donc. Merci pour les commentaires!

Pas d'mal, fait une signature pour la pub, ça aideras ;) J'vais faire de même. J'vais t'aider un p'tit coup aussi ;)

Ta fic est vraiment pas mal continue aussi

Ah tu vois ? On commence ^^ Fait une signature pour faire de la pub, ça aide ;)

http://jvcsignature.azertweet.com/

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Ma fic sur les zombies, n'y aller pas vous aurez trop peur
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-22798-846694-1-0-1-0-hs-on-va-parler-de-zombie-fic.htm
Une fic impopulaire mais aller voir, ça pourrais vous plaire
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-22798-848169-1-0-1-0-hs-premiere-fiction-fic.htm

C'est la mode des fictions ou quoi ?
Désolé y'en a vraiment 3 , j'ai du en lire 2 ou 3 la , la flemme de me retaper des pavés

Y'en a vraiment trop *