Salut à toi
Bonne chance pour tout rattraper alors
Je te préviens que depuis le temps, j'ai apporté nombre de corrections dans mes fichiers word mais ça change juste quelques trucs de mise en scène pour que ça rende plus réaliste et crédible, ça ne rajoute pas de scènes ni ne change pas le scénar
C'est juste des corrections pour renforcer l'immersion
Sur ce, bonne lecture
Putain de smiley, j'avais zappé.
Jerry comment tout ton poste il fait pas sérieux ! xD
(Oui j'ose le xD sur JVC !)
Avec cette saloperie de poisson xD
Dans ta gueule :hap :
Go faire des espaces, en attendant :hap :
Voila, est libre maintenant.
Poisson d'avril de merde
fail poisson
Owned
Bon messieurs, je vais poster un dernier chapitre ce soir puis le suivant va attendre un petit peu car j'ai des modifs à faire dans les anciens épisodes
Ayant roué à Resident Evil 6, je me suis rendu compte que j'ai laissé trop laissé de côté certains personnages genre Ada et j'ai aussi envie d'améliorer/changer certaines choses des deux premiers épisodes (dialogues, deux-trois scènes)
Donc le temps que je fasse tout ça, vous allez un tit peu attendre
Mais rassurez-vous, mes lecteurs fidèles auront droit par mail aux épisodes déja diffusés ici mais avec toutes les améliorations effectuées depuis le temps en plus
Voici donc le dernier chapitre comme promis avant un petit moment (pas un mois non plus hein, rassurez-vous )
CHAPITRE VIII
Les Échos foncèrent, le dos courbé et le corps collé au bas-côté de la route. Des balles se mirent à fuser au-dessus de leurs têtes, provenant de l’infanterie à deux cents mètres sur leur gauche.
« On y est presque, continuez. »
« Personne devant. »
Ils étaient quelque peu étonnés de ne pas se faire tirer dessus. Si leur plan se déroulait comme sur des roulettes, les chars pourraient venir les appuyer et faire battre les Saoudiens en retraite. Et le centre-ville serait prit grâce à eux.
« Ici, c’est bon. » dit Tom en s’arrêtant.
« On est juste sur leur droite. »
« Et complètement à découvert. » rappela Sieg en regardant rapidement de tous les côtés.
« Arrif, Tony, allez-y. »
Les deux soldats se levèrent et appuyèrent leurs lance-roquettes sur le mur. Ils sourirent comme des gamins en voyant tous les ennemis qui s’offraient à eux.
« Tu prends le Patton, je prends l’Abrams. » dit Viron en désignant les deux tanks les plus proches, à moins de trente mètres.
« Euh… Thunder 2-1, ici Thêta-six, on a des chars et de l’infanterie en approche à quatre cents mètres à l’est de notre position. Ça sent pas bon du tout. »
« Répétez, Thêta-six. »
« Vas-y, tire. »
Dans un bruit sourd, les roquettes jaillirent des tubes et frappèrent leurs cibles dans le flanc. Le blindage de l’Abrams fut perforé sans soucis et l’explosion tua tous les occupants. Le Patton se vit presque entièrement traversé par la roquette qui péta en son centre. Des flammes jaillirent du trou et l’équipage fut déchiqueté.
« Dans le mille, bien joué. »
« Deux de moins. »
« Vite, on dégage. En arrière. » ordonna Tom.
Repérés mais couverts, les Échos commencèrent leur repli. Arrif et Anthony laissèrent tomber leurs AT4 au moment où un Abrams sortit de derrière le centre commercial, au bout de la rue.
« Un char ! » gueula Jack.
BAM !
L’obus arracha les palmiers au milieu de la route en une fraction de seconde et explosa vingt mètres derrière les S.T.A.R.S. en leur rasant la tête. Violemment frappés par le souffle et touchés par des éclats, ils furent projetés en avant. Le tank pivota et réaligna son canon sur eux. Sonné, Jack releva la tête et sentit du sang lui couler sur la tempe. En voyant le canon du char pointé sur lui, il prononça la phrase la plus logique du moment.
« On est morts. »
Une explosion détruisit soudain l’Abrams, le laissant bouche-bé comme ses amis. Plusieurs autres secouèrent l’arrière du centre commercial, faisant aussitôt cesser le feu aux Saoudiens.
« Qu’est-ce que c’était ? »
Un canon dépassa de l’arrière du bâtiment et un corps métallique massif apparut, suivit d’un autre.
« Des Leclerc. » répondit Sieg.
Les Échos se regardèrent puis se mirent à rire.
« Thunder 2-1, ici Thêta-six, les Français ont ouverts une brèche dans leur arrière-garde. Ce ne sont pas des renforts saoudiens, c’est Colossus. »
Le capitaine de la compagnie les observa dans ses jumelles en souriant.
"Content de vous voir les Français."
L’intervention divine du peloton de Leclerc redonna le sourire aux soldats qui n’en croyaient pas leurs yeux de les voir.
« Regardez, des Leclerc ! »
« Ils nous ont pas oubliés. »
« Ooooh, absolument magnifique ! »
Aussitôt, Thunder 2-1 donna l’ordre aux blindés et à l’infanterie de se lancer à l’assaut du centre commercial. Près de deux cents hommes et une trentaine de véhicules montèrent à l’attaque.
« A toutes les unités, ici Zulu-X-Ray-six, Colossus arrive par le sud. Ça veut dire qu’ils ont prit le contrôle du sud de la ville. Continuez d’avancer, balayez ces enfoirés et attention aux tirs alliés. »
Attaqués de tous les côtés, les Saoudiens ne savaient plus où donner de la tête. Leurs derniers chars furent détruits en moins d’une minute. En voyant l’avancée énorme des Américains et des Français, ils décidèrent d’abandonner leur position et se ruèrent hors du centre par derrière. Les troupes protégeant leurs arrières se faisaient matraquer par les Français. Des obus soulevaient des paquets entiers de terre et de béton et arrachaient les arbres. Un Leclerc se retrouva face à un Abrams. Le Français tira un quart de seconde avant le Saoudien dont l’obus passa à ras la tourelle. Goliath, Starscream et Zulu-X-Ray-six envahirent le centre commercial et arrivèrent dans le dos de leurs ennemis qui fuyaient en direction de Colossus dans l’espoir de se frayer un chemin entre les chars. C’était sans compter sur l’infanterie française sagement retranchée derrière ses Leclerc et AMX-10 P/RC. Un déluge impitoyable de balles tailla les Saoudiens en pièces. Les tanks et les mitrailleuses ne firent qu’une bouchée des groupes. Les soldats s’éclataient et vidaient leurs chargeurs sans relâche. Des gerbes de sang volaient partout et des cadavres s’effondraient continuellement. Le massacre dura jusqu’à ce qu’il n’y ait plus un seul hostile debout.
« A toutes les unités, cessez le feu, cessez le feu, cessez le feu. »
Il fallut plusieurs secondes pour que tout le monde s’arrête de tirer. Dans un calme presque reposant, les soldats de la Coalition observèrent leur carnage. Il n’y avait plus de mouvement du côté des Saoudiens. A la radio, des exclamations de joies montèrent. Les Américains allèrent à la rencontre de Colossus tout en continuant de se déployer.
Sur le parking du centre commercial qu’on était en train de sécuriser, les Échos étaient tranquillement posés sur des voitures. Des dizaines de soldats couraient dans tous les sens au milieu des ordres et des moteurs des blindés.
« Je crois que… on a mérité un p’tit repos. » dit Jack en se faisant soigner son entaille à la tête par Tom.
« Tu l’as dit, bouffi. » approuva Sieg.
« Si y’avait pas eu ce Leclerc, on serait morts. » rappela Baxter.
« Ouais, on peut remercier les fromages qui puent. » dit Anthony en ajoutant une touche d’humour.
Tout le monde éclata d’un rire de soulagement.
« David aurait kiffé être avec nous. »
« On aura des trucs à lui raconter. »
« C’est clair. Et maintenant, on fait quoi ? » demanda Jay.
« Euh… pour l’instant on se pose et on regarde. On verra la suite tout à l’heure. »
« Chuis pour. » dit MacCall.
Anthony renfila son casque radio.
« On va inviter les Deltas au moins. Delta, ici Écho-cinq, à vous. »
« Ici leader Delta, vous allez bien ? » répondit le Président.
« Euh… ouais, tout est OK de notre côté. Et vous ? »
« Ça va, on est entier. Mais on n’a plus de boissons. »
« On est sur le parking du centre commercial. Ramenez-vous. On va vous payer un coup à boire. Y’a sûrement moyen de trouver des bières là-dedans. »
« D’accord, on arrive. »
« A côté de l’Abrams qui brûle. Terminé. »
« Hé tête de zboub ! L’alcool est interdit en Arabie Saoudite, lui dit Jay. Tu peux toujours en chercher dans un centre commercial. »
« Boh c’est pas grave. Un p’tit jus d’orange, ça fera l’affaire. Même pas besoin de payer en plus. »
« Haha ! »
En une heure, le centre commercial fut sécurisé. Les quelques Saoudiens s’y étant cachés furent faits prisonniers sans grandes difficultés. A 21 H 07, les combats avaient totalement cessés et la ville était tombée aux mains de la Coalition.
« Overlord, ici Thunder 2-1, la ville est prise, je répète, Al Hofuf est sous contrôle. Horizon, Horizon. »
La perte de contact radio avec Colossus durant toute la bataille ne fut pas élucidée. Ils pouvaient entendre mais plus émettre après avoir atteints le deuxième aéroport. Cela conduisit à une révision entière de toutes les radios de la compagnie.
Les pertes américaines s’élevaient à cent soixante-quatre morts, plus de cinq cents blessés et vingt-sept véhicules détruits. Les Français comptaient quatre-vingt-dix morts, deux cent vingt-huit blessés et douze véhicules HS. Le nombre de morts civils montait jusqu’à trois cents, dont des enfants.
La facilité de la Coalition à se relever de l’embuscade fut rapidement comprise. La nuit où elle faisait route pour Al Hofuf, un bataillon entier avait quitté la ville pour Riyad, soit environ mille hommes et une centaine de blindés. Les forces saoudiennes s’étaient donc retrouvées amputées d’un tiers de leurs effectifs. Et maintenant, elles avaient à déplorer la perte de deux mille hommes dont mille cent trente-deux morts et le reste fait prisonnier.
La relève arriva le lendemain. Elle occupa aussitôt les aéroports et établit des positions fortifiées partout dans et autour de la ville, au cas où les Saoudiens voudraient tenter de la reprendre. Les civils, enfermés chez eux durant toute la bataille, furent recueillis et placés temporairement dans des camps de la Croix-Rouge et des hôpitaux http://www.fotos.geschichtsthemen.de/iraq-war/fotos/04_09_iraq_f.jpg http://www.fotos.geschichtsthemen.de/iraq-war/fotos/04_09_iraq_h.jpg . Leur état pitoyable montra à la Coalition le niveau de cruauté de l’armée saoudienne et de Mohammed Amu envers leurs concitoyens. (photo choc ) http://www.fotos.geschichtsthemen.de/iraq-war/fotos/04_12_iraq_b.jpg
Les S.T.A.R.S. furent rapatriés sur la côte est dans leurs corps respectifs, en attente de nouvelles instructions. Tom garda le commandement de l’équipe Écho jusqu’à ce que David soit remis de ses blessures.
Et voila pour cette bataille, à dans quelques semaines pour la suite
"Voici donc le dernier chapitre comme promis avant un petit moment (pas un mois non plus hein, rassurez-vous )"
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Je mets 20 billets sur la table que la suite sera posté après le 3 Mai, qui me suit ? Ou relance même...
J'augmente la mise de 30 billets de Monopoly®
Je m'efforcerai de poster ça le 2 mai
Remets-en un autre le 11 mai, c'est mon anniversaire
Pas de soucis
Thanks, man
ta fic ses de la merde blood
Je crois que tazer essaye d'évacuer ce qu'il vit comme brimades à l'armée
des brimade humm
tu serai surpri de voir a qu elle point chu ad et a quel point je me bistoufle
si vous voulais fair un travail de branleur UN VRAIS travail de branleur
devenais pilote de char a l armer