Non, incroyable

TOU SA NE KE TROMPERI

sa avant pas trop tous sa en attendent, je commence à rattrapé mon retard

Dépêche-toi, je vais bientôt mettre le prochain chapitre

Dans 3 jours donc ?

Non, ce soir

• Note dans son agenda*

Suite de la fic de Blood : 25 Juin 2016

Il va sûrement poster le chaître à des heures impossibles, sisi j'vous l'jure m'sieur !

Non de dieu, je ne sais plus écrire correctement, JVC m'a rendu dyslexique

Je posterais donc le chaître à une heure très tardive

Voici

CHAPITRE VI

Mercredi 10 août 2005.
Centre-ville d’Al Hofuf.
Al Hofuf.
Arabie Saoudite.
12 H 25 GMT ; 15 H 25 heure locale.

La bataille faisait rage en ville. Celle-ci était à moitié branlante et ne ressemblait plus vraiment à grand-chose d’autre qu’une étendue de ruines en flammes.
En deux heures, Zulu-X-Ray-six n’avait progressé que d’un kilomètre. Ils s’étaient arrêtés à l’échangeur de l’autoroute, à l’abri des forces ennemies de l’autre côté du tunnel. Goliath ayant réussi à repousser suffisamment les Saoudiens sur leur flanc droit au prix de lourds efforts, avait pu les rejoindre. Une tête de pont rudimentaire mais suffisante était maintenant établie par les Français entre l’aéroport Oméga et l’échangeur. La violence des combats s’était très atténuée dans cette zone. Starscream contrôlait quatre-vingt-dix pour cent de l’oasis est mais était arrêté à sa lisière à partir d’une limite d’un kilomètre en dessous de l’échangeur. En gros, les Saoudiens ne tenaient plus que le centre et le sud de la ville. Mais ils les tenaient bien malgré leurs pertes deux fois plus élevées que celles des Français et des Américains. D’ailleurs, Colossus ne donnait toujours pas de nouvelles depuis le début de l’attaque. Mais le silence soudain des mortiers qui avait surpris tout le monde leur était attribué. Soit ils étaient à court de munitions, soient les Français passant par le sud les avaient éliminés. Et alors les Saoudiens ne tiendraient en fait plus que le centre-ville. Mais l’absence de confirmation par radio était troublante et rendait cette hypothèse à prendre avec des pincettes.
A l’échangeur où se trouvaient les équipes Delta et Écho, les unités américaines et françaises commençaient à s’enraciner http://scenery-wallpapers.com/walls/the_war_in_iraq_baghdad_wallpaper-normal5.4.jpg http://st.gdefon.ru/wallpapers_original/wallpapers/73316_irak_vojna_soldaty_oruzhie_1920x1200_%28www.GdeFon.ru%29.jpg . Personne n’osait prendre le risque de passer sous ou sur le tunnel, de peur qu’il ait été piégé. Et si ce n’était pas le cas, les chars saoudiens les attendaient de l’autre côté, bien cachés. C’était la seule zone de la ville qu’on pouvait déclarer calme d’une certaine façon. Le commandement conseillait à Hunter d’attendre que Starscream et Goliath commencent à compresser l’ennemi sur leurs flancs, tout en faisant en sorte que ce dernier reste concentré sur ce qui se passait devant lui et non sur les côtés.
David ayant été ramené à l’arrière vers un point d’évacuation, Tom avait prit le commandement de son équipe. Les douze S.T.A.R.S. s’étaient promis des bières après la guerre pour l’intervention divine des Deltas. Et là, ils attendaient, à six Abrams et deux Guardian de l’échangeur. Planqués derrière ou même dans les bâtiments sur ses côtés, des Leclerc, Abrams et des VCI tiraient à intervalles irréguliers sur les positions saoudiennes à trente comme à six cents mètres d’eux, les dissuadant efficacement de faire une charge de blindés pour tenter d’enfoncer leur tête de pont. Ils auraient pu tenter le coup mais on ne peut pas en même temps se replier et lancer une contre-attaque si on n’a pas assez d’unités et qu’on a besoin de celles qui se replient pour rétablir des défenses.
« Ça fait longtemps qu’on a pas participé à un beau bordel comme ça, hein ? » fit remarquer Frank, assis sur un muret, le menton posé sur la crosse de son fusil.
« Depuis l’invasion de l’Irak quoi. » répondit Tom entre deux gorgées de flotte.
« Et encore, on effectuait des opérations éclairs. Pas comme ici où on est plongé en plein dans les combats. On côtoyait sûrement pas aussi souvent des soldats. »
« Hmm… »
« Tu parles, ça va vite changer c’te situation. Demain, le général Palmieri va nous affecter à une nouvelle unité. Direction : Riyad. Objectif : palais royal de Mohammed Amu. » dit Arrif.
« Mouais, faut voir. Faut voir… »
« Alors, qu’est-ce que vous avez foutu pendant les deux semaines où on s’est pas vu ? » demanda Oliver aux Échos.
« On s’est branlé. » révéla Jack en fixant distraitement le derrière d’un Abrams.
« On s’est tapé des nanas pilotes de chasse sur les porte-avions. » ajouta Anthony.
« Hahahaha ! »
« Hunter 2-6, ici Thunder 2-1, Starscream et Goliath sont en train de tailler les flancs de l’ennemi. Vous avez le feu vert pour avancer. »
« Ici Hunter 2-6, bien reçu. A toutes les unités, déployez les fumigènes. Faites le tour de l’échangeur, ne passez ni par le tunnel ni par le pont. En avant. »
« Et c’est parti. » fit Dante.
Une quinzaine d’obus fumigènes explosèrent à deux cents mètres de l’autre côté dans la zone ouverte. Portée par le vent, la fumée se mit à masquer complètement le champ de vision.
« Attention aux tirs alliés. Go, go, go, go ! »
Les chars américains déboulèrent de la structure autoroutière, couverts par les Leclerc. Les Saoudiens n’ouvrirent pas le feu au jugé et décidèrent d’attendre. Malheureusement pour eux, les Français, grâce à leurs viseurs thermiques, purent les aligner à travers l’écran de fumée. Des obus-flèche en surgirent et défoncèrent un à un six Patton. Pris de court et privé de la moitié de leurs chars d’un seul coup, les Saoudiens paniquèrent. Le tunnel de l’échangeur explosa, truffé en effet de charges explosives. Des tonnes de bétons s’effondrèrent, déstabilisant la structure. Des boules de feu s’en échappèrent tandis que les bretelles commençaient à craquer. Toutes les troupes dans un rayon de cent mètres s’en éloignèrent. Moins d’une minute après, l’échangeur s’écroula comme un château de carte, recouvrant la zone d’un nuage de poussière. http://worldregionsproject.wikispaces.com/file/view/Iraq_War.jpg/95956604/Iraq_War.jpg
« La vache ! Ils ont tout fait péter. » s’exclama Sieg.
Nullement effrayés par l’initiative ratée des Saoudiens, les Américains continuèrent d’avancer. Une fois les blindés passés de l’autre côté de l’écran de fumée, les VCI et l’infanterie se mirent en route. La charge des Abrams, combinée avec les tirs de soutien des Leclerc, défonça la ligne ennemie. Leurs soldats tombaient par sections entières et leur situation ne fit qu’empirer quand les Français et la 101ème débordèrent une demi-heure après sur l’autoroute, broyant leurs flancs.
« Thunder 2-1, ici Starscream, on est sur l’aire d’autoroute. Attention aux tirs alliés. A vous. »
« Reçu Starscream. A toutes les unités, vérifiez vos cibles avant de tirer. Présence d’alliés devant nous. »
Pris entre deux feux, les Saoudiens étaient obligés de se replier. Leurs tanks se faisaient démonter la gueule et leurs troupes mangeaient sévère. Une centaine de mètres derrière les chars, l’infanterie américaine et française observait le spectacle en tirant sur tout ce qui battait en retraite. Les S.T.A.R.S. étaient en première ligne dans des trous d’obus. Des balles leurs sifflaient aux oreilles à travers les coups de tonnerre des canons des blindés.
« Maintenez un tir concentré. Gardez un œil sur les toits. »
L’adrénaline fusait dans leurs corps, les rendant hyper-concentrés et leur donnant la sensation d’être supérieurs et intouchables. Mais une petite parcelle de leur conscience savait parfaitement que ces dernières choses n’étaient qu’illusions. C’était la guerre totale et personne n’était au-dessus des autres ni invincible. Mais les S.T.A.R.S. savaient gérer ça.
« On bouge. Direction cette fontaine. Go ! » lança Léon.
Les douze hommes coururent derrière un M1117 en se couvrant mutuellement et se planquèrent dedans et derrière. Sur la place un peu surélevée où ils étaient, ils avaient une excellente vue de ce qui se passait autour d’eux, si on faisait exception de la poussière qui gâchait tout.
« Regardez-les reculer. Ils en peuvent plus. » dit Jack.
« Essaye d’en avoir avec ton fusil. »
Le tireur d’élite se mit aux trois quarts derrière la colonne de la fontaine afin de s’exposer le moins possible et chercha des cibles avec son M21. Les autres tiraient quelques coups en direction des silhouettes qu’ils voyaient bouger et des éclairs des coups de feu.
« Je recharge. » informa Arrif.
« Hé Sieg, passe-moi une barre céréale s’te plaît, j’ai mon bide qui hurle depuis tout à l’heure. » demanda Oliver.
« Tiens. » dit le Mexicain après avoir rapidement fouillé dans une poche.
« Merci. »
Une vingtaine de secondes après, la M249 d’Arrif était de nouveau opérationnelle et se remit à cracher du feu. Les Saoudiens étaient surmenés, dépassés par la contre-attaque de la Coalition. Ils avaient beau leur avoir tendu une belle embuscade, ils auraient pu tenir leurs positions depuis le début sans sourciller s’ils avaient sus gérer la percée américaine déterminée et les Français leur arrivant sur le flanc gauche. Mais ces deux dernières armées étant beaucoup plus entraînées et mieux équipées, elles avaient finies par se redresser assez rapidement. Ce qui avait surtout fait défaut aux Saoudiens était la perte toujours non-éludée de leurs mortiers, les privant d’un soutien vital. Et le silence inexpliqué de Colossus n’avait toujours pas été brisé, ce qui commençait à beaucoup inquiéter les Français car du coup, personne ne savait ce qui passait dans le sud de la ville.

Les Saoudiens mangent sévère

m'ouai, je lirai sa plus tard, quand j'aurai fini les autres pages

Tu as le temps... ou pas

Je lirais ça au plus tard, ce soir j'ai plein de chose à faire, on ne vit qu'une seule fois

Finalement j'ai tout lu

Toute cette guerre pour une barre de céréale si j'ai bien compris.

Auto a tout compris

Voila

Sweet à capuche !

Sweat à col-roulé

Non ça gratte les cols roulés